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03/01/04
Résumé:  Je m'appelle Léanne, j'ai 32 ans et je suis mariée depuis 8 ans à Marc, un jeune cadre très dynamique qui aspire à de hautes fonctions dans une firme américaine.
Critères:  fh ff init pénétratio fmast cunnilingu fbi fellation ecriv_f
Auteur : Léanne      
Léanne ou l'amour triste



Je m’appelle Léanne, j’ai 32 ans et je suis mariée depuis 8 ans à Marc, un jeune cadre très dynamique qui aspire à de hautes fonctions dans une firme américaine.


Il est 2h du matin et je viens de me relever.

Je n’arrive pas à dormir car je suis triste et c’est toujours à ce moment qu’arrive cette manie de faire le bilan de sa vie. Plutôt noir le bilan.

Je n’arrive pas à trouver le sommeil et après un long moment à faire la crêpe dans mon lit je me suis relevée et suis allée à la salle de bain pour faire un brin de toilette. Je me suis lavé l’entrejambe à grande eau pour enlever les traces de sperme séché et rendre la liberté à ma toison restée collée sur mes lèvres à nouveau endormies.

Petit tour à la cuisine pour boire un verre de lait.

Puis convaincue que le sommeil se fera encore attendre je m’assieds devant cet ordinateur et je commence à me confier …


Comment commencer ?

Je n’ai vraiment pas l’habitude de parler de moi…surtout à des inconnus.


Retour au début de soirée.

Après le repas et les diverses tâches ménagères j’ai lu quelques chapitres puis suis allée me coucher.

Après la fin du film, dans un semi-sommeil j’ai entendu l’eau de la douche qui coulait puis Marc est venu se coucher.

Il se colle à moi ce qui termine de me réveiller. Il est plaqué contre mon dos. J’aime le sentir si près de moi. Sans un mot il s’empare d’un de mes seins qui se met en devoir de pincer, de faire rouler sous ses doigts la pointe sensible. Je sens son sexe qui se plaque contre mes fesses et qui s’épanouit lentement. Je le sens de plus en plus dur contre la raie de mes fesses.

Sans fioritures sa main libre vient entre mes jambes chercher mes lèvres. Elle parcoure ma fente de bas en haut, écarte mes lèvres, et je sens qu’un doigt cherche mon clito pour aller aussitôt s’enfoncer dans mon sexe. Quand l’orifice est repéré je sens son gland s’approcher à tâtons et soudain s’enfoncer en moi.

Je suis à peine mouillée, pas très agréable comme sensation.

Marc s’en fout et je le sens bouger en moi.

Je mouille tout de même un peu sous les assauts de ce sexe complètement gonflé.

Le film devait être assez excitant car je le sens chaud ce soir Marc.

Je le sens chercher son plaisir en moi sans trop se soucier du mien.

Nous ne changerons pas de position, c’est joué d’avance. Je sens son souffle qui s’accélère sur ma nuque.

Il tient mes cuisses serrées pour se sentir à l’étroit dans mon sexe.

En réalité il se masturbe en moi et finalement je sens de longues giclées chaudes qui m’emplissent le vagin.

Marc se retire en laissant une traînée humide contre mes fesses.

Il se retourne et s’endort.

Le mâle est repu, c’est le repos du guerrier.

La saillie est terminée.


Et moi je reste là comme une conne avec mon ventre qui commençait à peine à lancer quelques étincelles, avec mon ventre qui ne supporte pas ce vide, avec mon sexe qui commençait à me réchauffer tout le corps.

Doucement le sperme coule de ma chatte sur mes cuisses.

Triste non ?

Pour calmer ma chatte frustrée je me masturbe pour terminer ce que Marc avait commencé. Je caresse ma chatte doucement puis j’enfonce en moi deux doigts que je fais aller et venir en caressant mon clito qui s’est complètement réveillé.

Mes doigts sont poisseux de la semence de Marc.

Après tant d’années de non-orgasme je sais parfaitement me faire jouir. Le plaisir n’est pas long à venir.

Je jouis en expulsant le reste de sperme du monsieur qui dort déjà profondément à côté de moi.

Ma chatte trouve enfin le répit et se rendort doucement. Je serre les cuisses fort sur cette chaude humidité.

Ô Marc si tu savais comme je voudrais qu’au moins une fois tu me fasses jouir, que tu penses aussi à mon plaisir, comme avant. Je ne demande que ça de monter avec toi, de me dévergonder, de me faire chienne ou chatte.


Difficile de comprendre que je reste avec cet homme ?


Quand nous nous sommes connus Marc et moi je croyais avoir rencontré l’homme de ma vie. Il était beau, plein de projets et il avait une assurance dans tout ce qu’il faisait qui me fascinait et qui me rassurait. Passionné de tout il ne faisait rien à moitié.

Si j’avais su que je regarderais un jour ses qualités comme des défauts.

Pour ma part j’avais 22 ans, j’étais sans me vanter la plus belle fille de l’école et j’étais l’objet de désir de beaucoup de garçons. En plus pas trop conne, que demander de plus ?

Voila mon drame, tellement mignonne, bien élevée et proprette sur moi que j’étais convoitée par tous les jeunes loups de la ville.

Un objet de désir, la définition me va bien.

Marc a remporté le morceau.

J’étais amoureuse de lui sans contestations.

Mais lui m’aimait-il ?

Plus les années passent et plus je suis convaincue qu’il ne m’aime pas. Ce qu’il aime en moi c’est la jolie poupée qu’il est fier de sortir et d’exhiber dans les dîners.

Je suis une potiche, un bel objet au même titre que sa voiture de sport ou sa montre Cartier.

Et si en plus la jolie potiche permet de se vider les couilles c’est parfait.

Il est 3h30, je broie du noir et je n’ai toujours pas sommeil.


Pour chasser mes idées noires je repense à Stan.

Un amant ?

Non pas du tout, tout simplement celui qui a eu le droit de cueillir ma fleur et qui m’a tout appris sur le sexe.

Et il a eu du boulot croyez-moi.

Pour planter le décor je vais simplement vous dire que mon père était un grand chirurgien qui s’est marié sur le tard avec ma mère et que leur vie amoureuse doit se résumer à trois saillies qui ont donné trois enfants : ma sœur, mon frère et moi.

Mai 68 est passé dans toute la France sauf dans notre famille.

Une anecdote en passant. Pour mes premières règles j’ai eu droit à un cours privé d’anatomie féminine sur planches anatomiques.

Du haut de mes 14 ans j’étais assise devant le bureau de papa et il me faisait un cours comme il en donnait à ses étudiants à la fac de médecine. C’est l’apothéose de mon éducation sexuelle.

Cerise sur le gâteau un de mes oncles est évêque, ce qui termine le portrait de famille.

Donc pour faire court, ma relation au corps était : « c’est sale !!!!! »

On n’en parle pas, on ne regarde pas et Ô suprême ignominie on ne touche pas !!!

C’est vous dire la montagne de patience et de délicatesse qu’a montré mon cher Stan pour avoir enfin le droit de cueillir ma fleur.



Stan est le petit fils des voisins qui habitent dans la propriété en face de la notre. Les jardins communiquaient et comme ces voisins étaient des amis de mes parents nous pouvions jouer avec Stan sans la supervision des parents.

Et puis nous n’étions que des enfants, je n’avais QUE 17 ans et Stan QUE 19 ans.

Stan m’a tout appris et c’est peu dire. Ila commencé à apprivoiser la sauvageonne sentimentale que j’étais et peu à peu j’ai appris que les contacts entre humains ne sont pas sales et ne mènent pas directement en enfer.

Après des semaines de jeux anodins, ce coquin a réussi à m’arracher un premier baiser sur les lèvres. Ce baiser qui a duré un millionième de seconde m’avait électrisée pour toute la journée.

Puis de fil en aiguille j’y ai pris goût et nous avons passé la vitesse supérieure, c’est-à-dire que j’ai enfin daigné entrouvrir mes lèvres. Quand j’y repense je suis morte de rire.

Après ce baiser qui fut des plus troublant pour moi les choses se sont accélérées.

Nos baisers devenaient de plus en plus passionnés.

Il faut dire que nous étions tous deux internes dans des institutions religieuses et que nous avions que les week-ends pour nous voir.

A force d’échanger ces baisers passionnés mes barrières sont tombées peu à peu. Stan s’enhardissait et peu à peu il a eu le droit de caresser mes seins jusqu’au jour ou au cours d’un de nos longs baisers passionnés il aventura sa main vers les terres inviolées de mon intimité.

Et là….

Et là pour la première fois de ma vie je me suis sentie proche de quelqu’un, j’ai compris le bonheur d’être désirée et aimée.

Ce jour là Stan n’a que caressé ma chatte à travers ma culotte et j’ai découvert ce que mouiller voulait dire, électrisée de part en part.


A l’internat j’avais une amie, Elsa, comme une sœur de misère pour moi et qui était un peu dans le même contexte éducatif que moi mais qui n’avait pas la chance elle de connaître un Stan.

Alors dès le retour le dimanche soir je me suis empressée de lui raconter. Aujourd’hui encore je n’arrive pas à trouver de mots pour décrire l’envie dans son regard.

Comme nous étions si complices je voulais lui faire partager le bonheur de mes découvertes. Et ce soir-là, dans le silence de notre chambre j’ai caressé pour la première fois un sexe de fille.

La semaine suivante, encore pleine des souvenirs des caresses prometteuses du week-end précédent j’avais hâte de revoir Stan. Qu’allait-il encore pouvoir faire de plus ?

Après le repas du dimanche midi, le carillon sonne à la porte.

La bonne va ouvrir et annonce Stan. On le fait entrer et il demande si quelqu’un serait intéressé par une promenade en barque sur le lac qui jouxte le parc.

Personne n’est motivé.

Sauf moi !!!!

Forts de la permission des parents nous partons pour canoter.

Ah papa si tu savais comme je t’aurais embrassé ce jour-là quand tu as dit de ton air auguste :



Stan et moi sommes partis en barque. Il pagayait et moi je l’admirais. Pour être franche je le bouffais des yeux.

Pour lui donner du courage je l’embrassais tendrement puis fougueusement. J’ai même été obligée de diminuer la fougue un moment à cause du risque grandissant de chavirage.

Après une heure de barque nous avons accosté près d’un hangar à bateaux délabré où personne ne venait jamais.

Ainsi c’est ici que je deviendrais femme.

L’endroit manquait de charme mais peu importe, j’aurais suivi Stan au bout du monde. Moi qui vivais sous les lambris dorés depuis mon enfance j’allais devenir femme sous les poutres vermoulues d’un hangar désaffecté.

Ironique la vie parfois.

Nous avons débarqué en nous tenant par la main puis en nous tenant par la taille.

Quand j’ai voulu parler Stan m’a prise face à lui et m’a dit



Nous avons unis nos lèvres en sachant que nous allions vivre un grand moment.

Dans le hangar l’atmosphère se tendit un peu. La peur sans doute. Il jouait un peu au fier mais je crois qu’il avait tout de même un peu peur de sauter la fille-du-grand-chirurgien.

Moi c’est simple j’étais liquéfiée de bonheur, incapable de résister ou de réaliser.

Il est retourné au bateau et a ramené une couverture.

Il a fermé la porte de bois comme il a pu.

Il s’est approché de moi.



Nous sommes à nouveau embrassés et il a commencé à me déshabiller. Lentement.

Ma robe légère tombait doucement sous ses caresses et chaque mouvement de sa main découvrait un bout de peau que personne n’avait jamais vu avant lui.

Ses caresses me donnaient des frissons, sa langue qui envahissait ma bouche me faisait perdre pied.

Je gémissais doucement

Je n’osais pas déboutonner sa chemise. C’est lui qui porta mes mains aux boutons. Son corps était chaud et humide de transpiration d’avoir ramé jusqu’ici.

Son odeur m’enivrait. Il sentait bon le savon à la lavande et la transpiration fraîche.


Finalement ma robe se retrouva à mes pieds et j’étais impudiquement devant lui en culotte et soutien-gorge.

Le soutien-gorge ne fit pas long feu et mes seins respiraient enfin.

Il les prit à pleine main et les caressa longtemps avec une douceur exquise. Il les embrassa suavement, ce qui failli me faire devenir folle.

Tandis qu’il embrassait mes seins ses mains baissaient lentement ma culotte.

Je n’avais pas pensé à ça !!!! J’allais être entièrement nue devant un homme.

Je pris une respiration et le laissé faire. De toutes manières sa bouche qui dévorait mes seins accaparait mon esprit.

Ma culotte baissée laissa pour la première fois de ma vie ma petite chatte à l’air ailleurs que dans une salle de bain ou des WC.

Sa main commença à caresser cette fente inexplorée même par moi.

Ses doigts glissaient doucement et découvraient lentement les plis les plus secrets de mon intimité.

Plus audacieux il tenta une visite plus profonde et fut arrêté par le dernier rempart de ma virginité.

Il laissa alors mes seins et avec sa bouche il descendit lentement vers la fourche de mes jambes.

Il descendit si lentement…….laissant sur mon ventre une longue traînée de baisers qui me donnaient des frissons. J’anticipais les sensations qui se confirmaient à chaque centimètre gagné vers mon sexe.

Après mon nombril qu’il inspecta du bout de la langue il arriva enfin vers ma chatte.

Mes jambes s’écartèrent sans que je le veuille.

Il posa sa bouche sur ma fente et des étincelles irradièrent vers mon ventre.

Il commença lentement à lécher mes lèvres qui s’ouvrirent sous ses caresses, il insinua sa langue plus profondément dans la fente qui à ma grande surprise dégoulinait comme jamais.

Il me fit me coucher. Ainsi j’étais plus écartée et il pouvait déguster mon fruit à pleine bouche.

Moi semi-inconsciente je gémissais de plus en plus fort.

Je sentis qu’il entrait un doigt dans mon vagin et me murmura



Après un long moment ou il ne laissa aucun répit à ma fente je sentis qu’il se redressait.

Il se positionna sur moi, me caressant sans cesse.

J’avais les yeux mi-clos de bonheur.

Je sentais son sexe contre ma fente et il la caressait sur toute sa longueur. Allait de l’anus au clitoris qui s’était tendu autant qu’il pouvait sous les coups de langue.


Il plaça son gland à l’entrée de mon vagin et poussa doucement.

Il est entré en moi avec une douceur infinie, à un moment j’ai senti une déchirure, comme une petite brûlure mais je n’ai pas eu mal.


J’étais femme maintenant.


Il s’est enfoncé au fond de mon sexe toujours aussi doucement et moi je m’évanouissais de bonheur de sentir son sexe qui écartelait ma petite chatte à peine déflorée.

Arrivé au plus profond de moi il s’est arrêté et a planté son regard au fond du mien.

Il a certainement vu les étincelles de bonheur qui y passaient.



Alors il s’est mis à bouger en moi très doucement. Je sentais que chaque coup de rein qu’il donnait forgeait peu à peu mon vagin à sa forme.

Son sexe coulissait en moi de mieux en mieux.

Chaque coup de rein était un vrai bonheur. Je sentais mon ventre tout entier qui s’échauffait. Mon sexe prenait feu. Puis il augmenta la cadence de ses coups. Il butait au fond de moi. J’étais de plus en plus haut dans des sphères de plaisir que je n’imaginais même pas.

Puis ce fut le cataclysme, dans un grand cri.

De mon sexe des ondes irradièrent dans tout le corps. Je crois même que j’ai perdu connaissance quelques secondes.

J’ai senti que Stan se contractait en moi et mon sexe a été inondé de sa semence brûlante. Il s’est planté au fond de moi et nous sommes longtemps restés unis par nos sexes et par nos bouches. Amants échoués au fond d’un hangar à bateaux nous n’étions plus qu’un.

Stan s’est retiré.

Il était très doux et très câlin avec moi.

Lentement nous avons terminé d’atterrir puis nous nous sommes habillés.



Nous avons repris la barque et tout le voyage s’est passé sans un mot. Nos yeux se parlaient et ça suffisait.


A peine rentrés, nous avons droit à l’inquisition.



Le soir je suis rentrée à l’internat pressée de raconter à Elsa.

Dans le silence de notre chambre je lui ai montré par l’acte comme c’est bon quand quelqu’un nous lèche la chatte. Elle en est restée sans voix.

Son miel aussi est très bon, légèrement sucré.

Depuis ce jour-là Elsa et moi avons eu une relation très intime jusqu’à la fin de l’année scolaire.

Si les chères sœurs de notre internat s’étaient imaginées un seul instant de ce qui se passait sous nos couettes !!!

Tous les soirs Elsa et moi nous nous offrions des trésors de tendresse et de volupté. Nous avons fait de rapides progrès dans l’art de se lécher.

Tantôt elle, tantôt moi et parfois nous y allions de concert dans des 69 torrides. Après quelques semaines je connaissais la réaction de chaque millimètre de sa chatte et je la faisais jouir comme je voulais. C’était identique pour elle. Elsa restera sans doutes à tout jamais la personne sur cette terre qui connaîtra le mieux ma chatte.

J’étais un peu amoureuse d’Elsa je crois.

Quand je repense à ses caresses je frémis. Le simple fait de m’en souvenir me refait mouiller.


Les semaines passaient lentement et chaque week-end je retrouvais Stan. Officiellement pour faire de la barque. Officieusement pour….

Avec toutes les heures ou nous sommes allés nous entraîner sur le lac nous devrions être au minimum champions olympiques.

En réalité je ne sais toujours pas comment tenir les rames.

Par contre j’ai fait énormément de progrès du côté cul.

Je suis devenue polissonne au fil des mois. Stan était un merveilleux amant qui ne manquait jamais d’imagination.

A force de me faire cadeau de ses merveilleux cunnis j’ai voulu lui rendre la politesse.

J’ai appris à le sucer et j’y ai pris beaucoup de plaisir.

La première fois que j’ai saisi son membre avec ma main je l’ai doucement massé puis poussée par l’envie j’y ai posé mes lèvres.

Plus pour donner un baiser à cette queue qui me donnait tant de plaisir.

Puis lentement je l’ai prise dans ma bouche en fermant les yeux.

Je me suis rapidement aperçue que je prenais un plaisir terrible à le sucer. Que sa queue me faisait autant d’effet dans la bouche que dans ma fente.

Longtemps je l’ai fait coulisser en le titillant de la langue, l’aspirant fort.

Sa queue avait un léger goût de lavande.

A force de le sucer il s’est tendu en me disant qu’il allait jouir. Je l’ai gardé au plus profond de ma bouche en aspirant la semence qui venait par vague.

Je voulais le boire comme lui buvait ma liqueur de fille chaque fois qu’il me mangeait la chatte.

J’ai avalé son sperme sans honte.

Je ne vais pas aller en enfer pour ça non ?


Puis au fil des mois nous avons testé encore la sodomie que j’ai moyennement appréciée. Quand je l’ai dit à Stan il m’a dit que nous ne recommencerions pas. C’était un sujet d’étude. Sans plus.


J’ai vécu heureuse à cette époque.

Enfin mes sens étaient satisfaits.

La semaine avec Elsa et le week-end avec Stan.


Puis ça été la déchirure.


Stan est parti dans une école en Angleterre. Il ne rentrait que tous les 6 mois.

Il me restait Elsa que j’aimais de plus en plus.


Stan et moi nous sommes éloignés de plus en plus jusqu’au jour ou il est arrivé chez ses grands-parents pour présenter sa fiancée anglaise, la sœur d’un copain de promo.


L’internat s’est terminé et nous nous sommes aussi éloignées avec Elsa.


Mes premiers amours ont été remplacés par d’autres. Sauf Elsa qui n’a jamais été remplacée.

Les flirts se sont succédés jusqu’au jour ou j’ai rencontré Marc.

Le mariage après deux ans de fiançailles, la routine qui s’installe au quotidien.

Le mystère qui disparaît chez le conjoint que l’on croit connaître dans tous ses détails, dans toutes ses pensées et toutes ses réactions.

La lassitude.


Depuis 8 ans ma vie sexuelle n’est qu’un triste déclin.

Au début nous avons fait quelques étincelles je ne dis pas, j’étais encore un nouveau jouet. Puis d’année en année le decrescendo.


Puisque j’ai décidé de tout confier à cette page blanche je vais vous avouer que les seuls orgasmes que j’ai eus au cours de ces 5 dernières années c’est une femme qui me les a donnés.


Un soir nous sommes invités chez un collègue de Marc.

Arrivés dans leur magnifique appartement je ne tarde pas à comprendre que le Monsieur a les dents aussi longues que mon mari. Ils doivent faire la paire ces deux là.

Renaud me présente son épouse Marie.

Elle est à peu près de mon âge et ressemble à un ange blond. Tout en elle n’est que douceur.


Dès que nous avons franchi la porte du salon les Messieurs nous ignorent. Ils se lancent dans l’élaboration d’un projet auquel nous ne comprenons rien.


Marie sert l’apéritif.

Tchin.

Au peu d’empressement et d’affection que lui montre son mari je comprends que j’ai rencontré une collègue potiche ce soir.

Comme je ne sais pas que faire je l’accompagne à la cuisine pour surveiller le repas qui cuit.

En discutant nous nous trouvons rapidement des affinités et elle me raconte sa vie qui ressemble à la mienne.


Un mari qui ne pense qu’au boulot, une épouse qui fait joli dans la vitrine etc…


Ce que je remarque surtout chez elle c’est la douceur de son regard. Elle me dévisage avec des yeux de velours. Je retrouve dans ses yeux la même douceur que dans ceux d’Elsa.

Je me sens de plus en plus attirée par elle et je n’arrive pas à résister.


Nos maris sont tellement emballés par leur projet qu’on dirait qu’ils sont en train de racheter les USA.

Nous sommes tranquilles.

Je perds un peu la tête moi.

D’habitude si réservée je monte à l’assaut. Son corps m’attire. Mes carences de tendresse doivent me pousser vers ce corps si doux.

Je rapproche doucement ma chaise de la sienne.

Mes lèvres s’approchent des siennes.

Un baiser nous unis. Elle répond sans attendre à mon baiser. Elle ouvre ses lèvres et ma langue investit sa bouche. Nous échangeons un baiser passionné.

Je pose ma main sur sa cuisse, jusqu’où veut-elle aller ?

Elle ne résiste pas, loin de là.


Elle vient aussi poser ses mains sur mes cuisses et commence à les caresser.


Nos bouches se bouffent littéralement.

Faudrait pas que nos maris entrent à ce moment. Et je sens que ça va encore se corser.

J’ai posé une main sur son ventre et je la remonte sous son pull en cachemire.

Ses seins sont libres et d’une si agréable douceur.

De l’autre main j’ai remonté sa jupe.

Son string n’est déjà plus qu’un confetti détrempé.

Je la soulève et lui fais poser les fesses sur le bord de la table de la cuisine.

J’écarte le tissu pour découvrir sa chatte rasée.

Elle me dit



Je plonge la tête entre ses jambes elle se couche sur la table et je commence à lui manger la fente. Comme à Elsa.

Sa chatte commence à luire de perles de rosée.

Son miel est sucré comme celui d’Elsa.

Doucement, pour ne pas la brusquer, je commence par lécher ses grandes lèvres qui s’écartent au fil de mes coups de langue.

Puis les petites lèvres toutes rosées qui s’ouvrent comme une fleur.

Marie gémit, elle apprécie.

De la pointe de la langue j’explore toute sa tendre intimité. J’insinue ma langue dans le sillon humide, je vais de haut en bas et de bas en haut.

Je saisis les petites lèvres et le mordille en mes lèvres, les aspire.

Je tète son bouton de feu et le titille de la pointe de ma langue.

Je sens que Marie monte vite.

Alors je plonge ma langue au plus profond d’elle, faisant déborder toute une lampée de sa liqueur. Je remarque que j’apprécie de la boire autant que celle d’Elsa.

Marie se trémousse.

Elle ne va pas tarder à jouir.

Je tourne ma langue tout au fond d’elle, qu’elle est douce cette fille.

Je la pénètre de ma langue comme un homme avec sa queue.

Je sens que Marie s’envole, son sexe se serre autour de ma langue.

Marie jouit.

Jouit ma belle, envole-toi !


Marie halète. Elle récupère doucement.

Quand elle a retrouvé son souffle elle arrange ses vêtements, s’approche de moi en souriant.



Je lui souris aussi.

Elle me plaque contre la table et se met à genoux.

Elle soulève ma jambe et elle me rend un cunni maladroit mais plein d’amour et de bonne volonté.

Va falloir que je lui apprenne.

Petit tour obligé par la salle de bain pour un raccord maquillage.

Le repas est prêt.

Nos maris doivent être en train d’acheter le monde entier.

Nous passons à table.

Marie et moi passons le repas face à face, sans trop parler. Les yeux qui se parlent pleins de tendresse et dessous la table nos pieds qui n’ont pas cessé de se caresser.

Lors du trajet de retour mon mari m’a fait une remarque



S’il savait le pauvre chéri.

Nous nous sommes revues souvent Marie et moi.

Elle est devenue experte, une amante merveilleuse.

Un jour elle m’a dit que c’était fini.

Je n’ai jamais su pourquoi.


Voilà il est 5h 30, le jour se lève.

J’ai enfin un peu sommeil.

Ca m’a fait du bien finalement de relater ces périodes heureuses de ma jeunesse. Je me sens mieux maintenant.

Le reste de la nuit va être court. Je ne vais pas être fraîche tout à l’heure.

Je prétexterai une petite grippe.

De toutes manières Marc ne s’apercevra même pas que j’ai des poches sous les yeux.

Comme d’habitude au petit déjeuner il regardera plus son agenda électronique que moi.


L’autre jour Marc est rentré avec un air dépité.




Que faire de ce texte maintenant qu’il est écrit ?

Le laisser traîner pour que Marc le lise ?

C’est finalement la seule personne que j’aimerais vraiment voir lire ce texte.

Non ce serait trop facile.

Qu’il se rende compte par lui-même que je suis là et que je me fane à ses côtés !


Avant qu’il ne soit trop tard.

Marie est seule…