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Temps de lecture estimé : 17 mn
05/01/04
Résumé:  Un mari offre à sa femme, pour son anniversaire, le spectacle d'homme noir nu. Mais de fil en aiguille, le noir sodomise la femme et le mari.
Critères:  fhh hbi couleurs couplus volupté fellation pénétratio fdanus fsodo hdanus hsodo champagne init
Auteur : Yvois  (Homme marié, un peu dépassé par les événements.)      
Fidèle Johanna l'anniversaire


Aujourd’hui c’est l’anniversaire de Johanna, ma femme.

J’ai pris mon après midi afin de pouvoir savourer tranquillement notre repas au restaurant

Nous avons commencé par le champagne, un grand cru, blanc de blanc de Cramant, vingt cinq ans, c’est le bel âge pour une femme, ça se fête ! La bouteille nous a suffi pour tout le repas. C’était un jour de semaine, le restaurant fait surtout des repas d’affaires, je n’ai pas fait servir le gâteau avec les bougies et le tralala, nous n’avons pas pris de dessert et nous sommes rentrés à la maison pour le traditionnel gâteau qui nous attendait.

Johanna est resplendissante dans son tailleur jaune canari qui sied très bien à son teint de brune.

Elle prépare le café, j’allume les bougies sur le gâteau, et je dépose sur la table le cadeau que je lui destine.



Je trouve un endroit pour poser le caméscopes, et : moteur !

Johanna dispose le café et s’assied.



Ma femme commence par souffler ses vingt cinq bougies et nous sert une part de gâteau, puis elle déballe son cadeau : un bracelet que je l’avais vu regarder avec attention et envie, il n’y a pas très longtemps lorsque nous étions passé devant la bijouterie.

J’avais vu juste elle est enchantée.

Nous avions fini de débarrasser la table et je commençais à lui flatter la croupe lorsque le carillon de l’entrée retentit. Qui cela peut-il être ? Nous n’attendions personne cet après-midi.

Johanna se lève et va dans le vestibule, puis j’entends une discussion. Probablement un représentant en truc quelconque dont on a que faire. En effet, ma femme revient en maugréant :



Je réalise qu’effectivement ma femme m’a déjà raconté que depuis son adolescence elle a toujours fantasmé sur les noirs. Elle ne rêvait pas de prince charmant qui approchait sa bouche de la sienne pour la réveiller, elle rêvait d’un beau noir tout nu qui la réveillait en posant son gland noir sur ses lèvres roses. Avait-elle succombé à la légende selon laquelle les noirs seraient monstrueusement équipés sexuellement ? Avait-elle été subjuguée par un acteur ? Je n’en savais rien et elle non plus. Toujours est-il qu’il me vient une idée, puisque c’est son anniversaire je vais essayer de convaincre le colporteur de revenir et de montrer son sexe à Johanna, ainsi je réaliserais le vieux rêve de ma femme et ce serait un cadeau d’anniversaire inattendu dont elle se souviendra.



Et je me précipite dans la rue, je rattrape sans peine le colporteur qui se dirigeait vers la maison voisine. Effectivement, il est plutôt bien bâti, alors je lui explique la chose, on palabre un peu, je lui glisse un billet, il est d’accord. En revenant sur nos pas, il me dit qu’il est sénégalais et qu’il s’appelle Fouad, Quand nous rentrons à la maison, Johanna est pour le moins interloquée, mais je ne lui laisse pas le temps de se poser trop de questions, je lui dis que pour son anniversaire Fouad va lui découvrir son sexe.

Surprise de Johanna qui reste sans voix, mais je remarque son œil qui se fait gourmand et un sourire qui s’ébauche.

C’est alors que Fouad nous dit :



Il y a un instant de flottement dans le regard de Johanna qui se tourne vers moi, mi-inquiète, mi-suppliante.


Maintenant que je lui ai mis cette idée en tête, je vois qu’elle meurt d’envie de voir ce beau gars lui exhiber son sexe et en peine érection bien sûr.



Sans un mot, Johanna se lève et sans excitation ni précipitation elle enlève la veste de son tailleur. Comme je m’en doutais, elle ne portait sous sa veste rien d’autre que son soutien-gorge. Même dans cette tenue, ma femme faisait déjà bander Fouad qui ne pouvait dissimuler la bosse qui se dessinait dans son pantalon.



Fouad déboucle sa ceinture, ouvre sa braguette et enlève son pantalon. Il est maintenant visible qu’il est en érection, l’engin parait de bonne taille mais pas énormément plus important que le mien. Cela me rassure.

Ma femme enlève son soutien-gorge, faisant apparaître sa poitrine qu’elle a bien ferme. Ce n’est pas une bimbo, mais ses seins emplissent largement mes mains et font mon bonheur. D’une caresse rapide, elle passe sur ses seins comme pour les défroisser après les avoir libérés du soutien-gorge, ce faisant les aréoles brunes qui couronnent ses tétons se contractent et ne font plus qu’un avec les tétons qui pointent fièrement.

Fouad appréciait le spectacle que lui était offert, et moi aussi, je ne sais pas si c’était la simple vue de la poitrine de ma femme ou la situation particulière mais je bandais hardiment.



Et joignant le geste à la parole, Johanna s’approcha de Fouad et s’emparant de la ceinture de son slip, le fait descendre jusqu’à mi-cuisse. C’était suffisant, l’engin était superbement offert à nos regards. Johanna se recula légèrement pour mieux voir ce sexe noir dont elle rêvait depuis si longtemps. Elle le dévorait des yeux.

Fouad se débarrasse de son slip et fait un tour sur lui-même pour bien s’exhiber.



Je mets la main à ma poche pour sortir un billet quand Johanna me retient le bras.



Johanna à son tour sort de sa jupe et apparaît en string, porte-jarretelles et bas, le tout assorti en marron clair comme son soutien-gorge. Elle est superbe. Elle a un petit instant d’hésitation, nos regards se croisent, je perçois son excitation, et prestement elle se débarrasse de son string, puis pivote elle aussi pour nous montrer sa touffe côté pile et ses fesses côté face. Finalement, il n’y a pas de mal, la touffe bien fournie de ma femme ou son string c’est pareil, elle n’en montre pas plus.

Je suis quand même troublé, je n’ai jamais vécu, ni même imaginé une telle situation depuis que je suis avec Johanna. Je ne sais si c’est parce que ma femme contemple le sexe d’un autre homme et va même le toucher ou si c’est parce que ma femme est là nue, offerte au regard dans autre homme.

Fouad paraît admiratif et heureux de l’aubaine.

Johanna s’approche et pose la main sur ce bel engin, puis doucement fait glisser sa main pour découvrir le gland, elle s’arrête un instant pour apprécier cette vision, puis sa main continue à descendre jusqu’aux couilles qu’elle soupèse l’une après l’autre, elle prend maintenant cette bitte à pleine main et en apprécie la dimension et la rigidité et décalotte entièrement le gland qu’elle caresse maintenant avec son autre main.



Johanna s’incline et présente un sein à hauteur de la bitte et elle commence à promener l’engin autour du téton, elle recommence le manège avec l’autre téton, puis maintenant fait glisser le sexe entre les deux seins.


Je n’y tiens plus, je me mets à poil moi aussi et après avoir caressé la croupe de ma femme, je passe ma main entre ses cuisses, elle était trempée et brûlante, je vais et je viens, le bout de mes doigts à chaque mouvement agace son clitoris et à la façon dont elle se prête à cette caresse montre que cela vient à point.

Pendant ce temps, la bitte de Fouad avait été dirigée vers le visage de Johanna qui passe sa joue du menton à l’oreille contre ce sexe, du gland aux couilles puis elle remonte son visage, caresse le gland de son menton et passe à l’autre joue, mais cette fois quand elle a redressé son visage le gland n’est pas passé sur le menton mais sur les lèvres.

Je continuais à lui fourrager l’entrecuisse et à glisser un doigt dans sa chatte pendant que de l’autre main je lui titillais le clitoris. Quand j’ai vu que sa bouche rose effleurait ce gland noir, je me suis dit que ma femme n’y résisterait pas et qu’elle allait le sucer. Mais si elle le suce alors je l’encule. En fait nous ne pratiquons pas la sodomie, Johanna n’a jamais refusé que je l’encule mais chaque fois que j’ai tenté l’expérience, je ne suis jamais parvenu à mes fins, c’est à peine si j’ai pu faire pénétrer la moitié du gland. C’est pourquoi dans la situation exceptionnelle actuelle j’ai décidé d’enculer Johanna si elle suce le noir engin qu’elle a dans la main, ce n’est pas par punition c’est simplement pour profiter de son excitation présente.

Ma femme promène le gland sur ses lèvres elle dépose des bisous sur le gland d’abord puis jusqu’aux couilles, sa bouche est maintenant entrouverte et remonte le long de la bitte, ses lèvres entourent le gland, je ne la vois pas mais je sais, d’expérience, que sa langue ne reste pas inactive dans ce cas là. Et voilà, ça n’a pas manqué, Johanna vient d’engouffrer totalement le gland.

C’est dit, je l’encule ! Je commence par retirer mon doigt de sa chatte et je lui introduis dans l’anus, cela se passe bien, Johanna a continué d’engloutir le sexe de Fouad, ou plutôt ce qu’elle a pu enfourner et commence le va-et-vient de sa bouche. Je fais aller et venir mon doigt dans son petit trou et maintenant je présente à cette entrée ma bitte qui attend cela avec impatience, et hop, rien du tout, pas moyen, j’y retourne, je pousse, je lui mets ma bitte dans la chatte pour lubrifier, je recommence, toujours rien, je remets un doigt dans l’anus, j’essaie de nouveau d’y introduire ma bitte, rie à faire.


Pendant ce temps, la bouche de femme coulisse agréablement sur ce sexe noir qu’elle fait apparaître et disparaître comme par magie. Fouad qui a compris que j’avais un gros problème avec la rondelle de ma femme, me propose :



Je me précipite au plus près, à la cuisine, je verse de l’huile d’olive dans une tasse et je reviens aussitôt. Fouad qui se fait toujours pomper la tige, me demande de prendre sa place. Ma femme libère le sexe de Fouad et se redresse.



Ma femme ne parait pas convaincue de la réussite de l’intervention de Fouad, mais s’empare de mon dard et se l’engloutit dans la bouche sans autre préambule tout en me tripotant les couilles.

Fouad avait trempé deux doigts dans l’huile d’olive et en avait introduit un dans l’anus de Johanna, il le fit aller et venir doucement tout en décrivant un cercle comme pour arrondir la rondelle, puis il retire son doigt et masse l’anus du bout de deux doigts en appuyant de plus en plus sa caresse comme pour les faire entrer. Il poursuit son massage de haut en bas de droite à gauche, il assouplit cette entrée.

Johanna ne semble pas en souffrir, au contraire, car elle me suce avec ardeur.

Fouad introduit ses deux doigts et doucement pénètre ce petit trou rebel, il recommence ses va-et-vient tout en tournant et les retire pour recommencer le massage de l’entrée. Il trempe maintenant ses deux pouces dans l’huile et posant une main sur chaque fesse, il les écarte et introduit ses deux pouces dans le trou du cul de Johanna, il les fait pénétrer entièrement et commence à les bouger dans l’anus, l’un vers le haut, l’autre vers le bas, l’un qui rentre l’autre qui sort, tout en les écartant l’un de l’autre insensiblement et progressivement. Johanna qui avait marqué un temps d’arrêt, quand elle s’était fait mettre les deux pouces, avait repris le pompage de ma bitte.

Fouad écarte et rapproche ses pouces comme s’il jouait avec un élastique, effectivement l’anus semble assoupli et s’ouvre et se referme suivant le mouvement des pouces. Le moment doit être venu, Fouad badigeonne sa bitte avec de l’huile et l’approche de l’orifice. Il est maintenant au contact, il pousse, le gland pénètre, Johanna cesse tout mouvement et reste la bouche ouverte autour de mon dard, Fouad continue à pousser et s’introduit doucement mais sûrement.


Johanna a refermé sa bouche mais n’a pas repris les mouvements ni la succion, elle doit savourer la jouissance de se sentir son anus enfin perforé et empli par une bitte et de plus par une bitte noire comme probablement dans ses fantasmes de jeune adolescente.

Fouad avec patience a réussi à fourrer sa queue jusqu’au couilles dans le trou du cul de ma femme qui, se sentant comblée, recommence à me sucer et à me titiller le gland avec sa langue. La bitte noire réapparaît entre les deux fesses blanches puis s’y enfonce de nouveau lentement. Après quelques va-et-vient, Fouad se retire.



Je ne me fais pas prier et je plante mon dard entre les fesses de Johanna. Quel bonheur de sentir ma queue pénétrer enfin son cul tant désiré. Et je vais et je viens, je coulisse dans cet étroit boyau.


Fouad que j’avais oublié, se rappelle à mon bon souvenir en introduisant son doigt dans mon anus. Je m’arrête, interloqué, puis je reprends mon mouvement en me disant qu’après tout son idée n’était pas mauvaise, c’était cela qu’il voulait dire en parlant de doubler notre plaisir.

C’est vrai qu’en faisant l’amour avec ma femme il lui arrivait de me mettre un ou deux doigts dans le cul pour me branler l’anus et ce n’était pas pour me déplaire.

Un deuxième doigt a rejoint le premier, l’affaire devient sérieuse. La main de Fouad s’est immobilisée de telle façon que quand je m’introduis totalement dans le cul de Johanna, je me libère des doigts de Fouad et inversement, quand je ressors des fesses de ma femme, je m’empale sur les doigts immobiles.

Je n’ai pas le temps de bien apprécier que déjà Fouad retire sa main et je sens sa bitte à l’entrée de mon anus. Je suis engagé jusqu’aux couilles dans le cul de Johanna qui, ayant deviné ce qui arrivait, encourage Fouad à me faire connaître le plaisir de se faire défoncer le cul, de se faire bourrer à fond.

Fouad ne s’en prive pas. Je sens sa bitte m’éclater l’anus et me pénétrer inexorablement, elle se rend maître des lieux, je sens sa progression irrésistible en mon intérieur jusqu’à ce que son ventre vienne buter contre mes fesses. Johanna bourrée à fond d’un côté et moi de l’autre, c’est une jouissance indéfinissable.


Fouad commence à se retirer lentement, quand il ne reste plus que son gland dans mon trou du cul, il s’arrête, pose ses mains sur les hanches de ma femme et reste immobile. Pour retrouver la plénitude de l’enculage, d’un mouvement de recul je m’empale sur ce sexe tendu et par le même mouvement je me retire des fesses de Johanna qui retenue par les mains de Fouad reste elle aussi immobile. Dans cette position selon mon mouvement, à l’aller je m’emmanche sur la bitte de Fouad, et au retour, j’encule Johanna. Et ce mouvement commence je fais pénétrer le sexe de Fouad au plus profond de mon cul puis je bourre à fond ma femme qui m’encourage. Nos bittes coulissent comme s’il s’agissait d’une seule et même tige sur laquelle l’anus de ma femme et le mien seraient empalés. Johanna ne reste pas de marbre, d’une main experte, elle se manipule la chatte, se titille le clitoris, et se fourre quelques doigts dans le vagin, passant de l’un à l’autre avec frénésie. Je sens ses orgasmes quand son anus se resserre sur ma bitte comme pour la retenir prisonnière de ses fesses. Je me déchaîne d’avant en arrière, enculeur et enculé d’une seconde à l’autre et ma jouissance éclate, j’éjacule par giclées interminables dans le cul de ma femme. Quel pied ! Fouad a cessé de rester immobile, il me bourre à fond et je crois qu’à son tour il va éjaculer. Johanna l’a senti aussi.



Tout en disant cela elle se dégage de ma bitte, bouscule Fouad pour l’extraire de mes fesses et s’empare de son sexe pour l’engouffrer aussitôt dans sa bouche. Elle suce, aspire, lèche mais il n’en fallait pas tant pour Fouad qui lui éjacule dans le gosier son foutre qu’elle déglutit giclée après giclée.


C’est fini, la fièvre est tombée, nos bittes aussi qui pendouillent entre nos cuisses. Johanna tient dans sa main ce sexe, cadeau d’anniversaire, qui a perdu de sa superbe. Fouad passe deux doigts entre les fesses et tâte l’anus de ma femme.



Quelle aventure ! Nous avons repris petit à petit nos esprits qui nous avaient entraînés dans des jeux que nous n’aurions pas même imaginés quelques heures plus tôt. Fouad a pris congé, nous ne le reverrons probablement pas, il poursuit sa route de commerçant itinérant à travers l’Europe.

Le silence maintenant, un faible ronronnement me rappelle que le caméscope, que j’avais mis en route pour filmer le soufflage des bougies du gâteau d’anniversaire, tournait encore et avait filmé la scène de nos ébats sexuels avec Fouad. J’enlève la cassette et je la donne à Johanna.



Effectivement, j’avais été surpris par Johanna, je savais d’expérience que ma femme n’était ni prude, ni guindée.


Mais je ne pensais pas qu’elle allait en redemander. Je lui avais involontairement mis le feu au cul et je n’avais plus qu’à assumer.

J’ai donc fini par adhérer à la conception de la fidélité vue par Johanna.



Décidément, depuis quelle s’est fait défoncer le cul, Johanna s’est déchaînée.

Il n’y a pas que son trou du cul qui s’est ouvert, il y a aussi d’autres horizons …

Je sens que cela ne va pas être de tous repos.

Je vous raconterai peut-être cela un autre jour, si on se rencontre de nouveau …..