n° 06954 | Fiche technique | 37600 caractères | 37600Temps de lecture estimé : 23 mn | 05/01/04 |
Résumé: C'était un grand homme noir costaud, disons dans la fin de la trentaine... | ||||
Critères: fh hplusag couleurs inconnu grossexe volupté pénétratio init ecriv_f | ||||
Auteur : Cokine (Ma première histoire, toutes catégories confondues.) |
J’allais rencontrer après le travail un ancien collègue de travail au billard près de chez moi pour un petit 5 à 7 amical. Comme je travaille en banlieue, le trafic me joue parfois des tours et ce vendredi là, en plus du trafic habituel, à l’entrée de la ville il y avait une manifestation qui bloquait complètement la circulation, en pleine heure de pointe. Sans entrer trop dans les détails, disons que je suis arrivée à 18h15 mais mon ami n’y était plus ! Pour décompresser et surtout pour ne pas gâcher ma soirée entière, je me suis assise au bar et j’ai commandé un porto. Comme il était tôt, il y avait très peu de gens, surtout des habitués de l’endroit. Je connaissais le gérant, mais ce n’est pas lui qui était là à ce moment. C’était plutôt un grand homme noir costaud, disons dans la fin de la trentaine mais les noirs paraissent toujours plus jeunes que leur âge je trouve ! Je crois que je l’avais déjà vu là, je crois qu’il est le doorman de l’endroit.
Je le regardais nous servir le porto. Il était vraiment impressionnant physiquement ! Il devait mesurer 6’2, les épaules et le cou larges, les cheveux rasés, une petite barbiche frisée sur des lèvres énormes qui recouvraient un sourire immense et communicatif. Il se retournait de temps à autre pour me servir un petit sourire charmeur. Les hommes noirs sont tellement dragueurs ! , me dis-je.
Je suis passée derrière le comptoir pour téléphoner, d’où j’ai pu mieux le détailler : Il portait un pantalon cargo style jeans foncé avec une chemise noire à manches courtes d’inspiration militaire. Ses fesses étaient bien rondes et hautes, je me disais qu’il devait s’entraîner au gym pour avoir un tel profil. C’était vraiment un très bel homme! Il m’a tendu le combiné, ses mains étaient grandes et grosses et plus haut, ses biceps gonflés semblaient un peu à l’étroit dans ses manches. Lorsqu’il s’est éloigné pour me laisser à mon appel, une odeur délicieusement virile, un mélange d’exotisme et d’effluves boisées, l’a suivie.
J’ai appelé mon ex-collègue sur son portable pour m’excuser. Pour sa part, il est allé chercher sa copine à son travail tandis qu’il était encore en ville. Il n’était pas trop fâché, puisqu’il avait entendu à la radio qu’il y avait des problèmes de circulation au centre-ville. Nous avons finalement remis notre 5 à 7 à une date indéterminée.
Au moment où je raccrochais le combiné, Stéphane est entré dans le bar. Il vint à ma rencontre, tout souriant.
Nous rîmes un coup et Stéphane disparût sous le comptoir pour faire l’inventaire. Jeff vint me rejoindre de l’autre côté et me demanda si je restais pour un autre verre.
Tout au fond du bar se trouvait une petite pièce semi-fermée, dotée d’un écran géant et de divans disposés de façon à créer un petit lounge. En attendant que Jeff amène nos consommations, je parcourus le répertoire musical du juke box. J’y introduis deux dollars et mon choix s’arrêta sur 6 pièces d’un même album de compilation Jazz. Il y avait 2 causeuses et 2 divans simples. Je pris place dans la causeuse du fond, et Jeff arriva avec les verres.
Il s’installa à côté de moi, sur le même divan. J’en fus un peu surprise, parce qu’aucun client ne se trouvait dans le lounge à ce moment et nous avions donc toute la place. J’en fus tout de même flattée et me demanda s’il avait fait exprès de vouloir prendre le porto ici plutôt qu’au bar, où Stéphane n’aurait pas manqué de nous taquiner et commenter notre conversation. Il s’assit de façon à me faire face, et je dus en faire autant. Nos genoux s’effleuraient donc et, comme je portais de minces collants de nylon, ma peau était presque nue. Je sentais la chaleur de son genou comme s’il me communiquait son énergie. Il me tendit une coupe tiède, et au moment de trinquer il me fit un petit clin d’œil assorti d’un sourire en coin qui ne manqua pas de me faire rougir vu la proximité.
J’étais ravie d’être en si bonne compagnie. À vrai dire, je n’avais jamais eu l’occasion d’avoir une conversation digne de ce nom avec un homme noir. Je m’étais déjà fait courtiser par quelques uns d’entre eux, mais le contexte avait fait en sorte que j’avais chaque fois décliné leurs avances. Leur réputation d’hommes-dragueurs ont certainement joué en leur défaveur toutes ces fois. Mais ce soir, l’effet envoûtant du porto me gagnait et Jeff était tout à fait charmant. Je me doutais bien qu’il avait au moins 15 ans de plus que moi, mais ça ne le rendait que plus séduisant à mes yeux. J’ai toujours flirté avec des hommes d’au plus 27 ou 28 ans, un peu maladroits et victimes de leur libido. Et puis Jeff n’avait pas un cheveu gris, seulement la sagesse et le charisme de sa quarantaine.
Je me sentais toute petite à côté de lui ! Je suis pourtant de grandeur moyenne et, bien que proportionnée, je suis plutôt dodue. Je me félicitai d’avoir choisi cet ensemble, qui m’avantageait, pour un 5 à 7 qui s’annonçait pourtant quelconque. Je portais un chandail résille noir ajusté sur une camisole décolletée de même couleur, une jupe kaki aux genoux, de minces bas de nylon qui laissaient deviner mon bronzage et de longues bottes noires à talons plats. Mes longs cheveux bruns à mèches blondes étaient libres sur mes épaules et j’avais rafraîchi plus tôt mes lèvres charnues d’un peu de gloss.
Nous avons discuté de toutes sortes de choses, de nos jobs respectifs, les spectacles et films que nous avons vus… Nous avons abordé des sujets plus intimes tels que nos relations amoureuses passées, nos goûts en la matière… Le courant passait vraiment bien, nous avions un goût partagé pour les arts, la décoration, la musique et pleins d’autres choses. J’userais ce soir de mes grands yeux bleus pour le séduire. Mais peut être qu’au fond je suis la dixième cliente qui prend place sur ce divan. Peut être que ce séducteur a vu en moi une cible facile ? Peut être que je prends ce verre partagé pour plus que ce qu’il est vraiment, c’est à dire une trinquette amicale parce que je connais son patron ? Après tout, me dis-je, je vais laisser couler la soirée et nous verrons au fur et à mesure. Je sortis de mes divagations un peu en sursaut, Jeff avait sa main sur mon genou :
Il retira sa main, mais la chaleur qui s’en dégageait demeura sur ma peau longtemps après qu’il l’ait enlevée.
Réalisant qu’il avait un peu exagéré les propos de sa dernière phrase, il nuança…
Un peu décontenancée, ne sachant quoi répondre, je me mis à penser à ma réponse, à peser le pour et le contre, à chercher une raison pour ne pas y aller, puis une motivation pour y courir parce que j’en avais franchement envie. Dans mon livre à moi, quand un homme invite une femme chez lui pour un « dernier verre », c’est pour coucher. Mais Jeff est d’une culture différente, peut être que ce n’est qu’un verre entre amis. Au fond de moi, je priais pour qu’il me fasse des avances une fois chez lui.
Nous avons parcouru les quelques rues qui nous séparaient de chez lui à pied. Il me disait que je ressemblais beaucoup à une fille qu’il avait connue en vacances il y a quelques années, tout en faisant mille et un compliment sur les attributs physiques de cette fille, donc par la bande à moi aussi. J’étais flattée de l’entendre, même indirectement, de la bouche d’un si bel homme. Tout en discutant, il se retournait pour me sourire et je sentais que j’étais faible devant cet homme qui (s’en doutait-il ?) n’aurait qu’à me toucher pour que je fonde dans ses grands bras musclés et lui appartienne. Il respirait la sexualité, tout son être semblait crier sa virilité, jusqu’à sa voix chaude et forte. Nul doute que le porto avait attisé mes sens puisque mes pensées semblaient toutes dirigées vers un moyen de le séduire.
Nous entrâmes dans un vieil immeuble en pierres cadré par deux jolies tours caractéristiques des bâtiments du début du siècle, qui étaient chose courante dans le quartier. Nous montâmes au 3ième étage où il habitait. Nul doute que cet immeuble avait été rénové, car une odeur de peinture flottait encore dans l’air et les lampes modernes du couloir et les tapis étaient modernes, bien qu’ils se fondaient dans le décor vieillot. Il entra avant moi, prit mon manteau et le rangea tandis que j’enlevais mes bottes.
Le charme du bar était un peu rompu, puisque nous nous retrouvions maintenant chez lui et non en territoire neutre. Il prit soin de me mettre à l’aise au salon, de mettre de la musique et me laissât seule quelques minutes pendant qu’il préparait nos portos à la cuisine. Je pus l’observer d’où j’étais assise, car Jeff habitait un appartement à aire ouverte séparé seulement par des demi-murs, à l’exception de la cuisinette. Par le passe-plat je le voyais déboucher la bouteille minutieusement et verser ce délicieux nectar dans nos verres. Je me levai pour regarder à la grande fenêtre, qui donnait sur la cour. Étant situé tout en haut d’une côte, la vue était bonne et je voyais jusqu’au bord de l’eau à quelques kilomètres de là. C’était vraiment un appartement et un emplacement super pour un mec célibataire comme Jeff. La décoration était chaleureuse, un gros tapis jonchait le sol et le canapé était moelleux à souhait de sorte qu’il était difficile d’y rester assise bien droite avec classe. On avait seulement envie de s’y avachir avec des coussins. Je m’y assis en l’attendant, et me mis à éplucher quelques revues qui se trouvaient sur la table à café. Il avait mis une musique similaire à ce que j’avais choisi quelques heures plus tôt dans le juke box, en version un peu plus relaxe, un peu plus romantique, même. J’étais troublée de me trouver, les esprits échauffés de surcroît, chez un homme noir de 15 ans mon aîné que je connaissais à peine. Ma mère m’aurait sans doute reniée si elle savait ! Mais qu’est-ce qu’elle vient faire dans mes pensées, celle-là… J’ai 25 ans et je suis quand même capable d’être raisonnable ! Il s’agissait de l’employé d’un bon ami, après tout. Sur ces pensées, je me laissai aller au confort et repliai mes jambes sur moi.
Jeff vint me rejoindre quelques instants plus tard, et il prit place à côté de moi dans la même position. Nos pieds se touchaient un peu, et je ne fis rien pour couper ce contact. Nous reprîmes un sujet abordé plus tôt au bar. Le porto était délicieux, ce qui me donnât l’aisance de discuter avec lui comme si nous nous connaissions depuis longtemps. Lui aussi semblait avoir la discussion facile, ses yeux pétillaient et il souriait beaucoup. Nous parlions de nos rencontres respectives au cours des derniers mois, de nos aventures même. Je vis là une porte ouverte pour lui montrer mon intérêt de façon subtile. À lui de l’ouvrir s’il est intéressé…
Il rit, renversa la tête en arrière un peu, comme pour aller chercher son souvenir dans sa mémoire afin de mieux le verbaliser.
À ce moment, je me dis qu’il ne voulait pas aller plus loin, qu’effectivement ce verre n’était qu’amical puisqu’il avait fermé la porte que je lui avais discrètement ouverte au cours de la discussion. Bah ! Tant pis je profite du moment présent, je suis bien, il est charmant, certes j’ai les hormones au plafond à l’heure qu’il est mais si je ne branche pas tant pis, je ne veux pas forcer la note. Ce qui m’allume, c’est de me faire séduire par un homme sûr de lui et non d’avoir à faire les premiers pas. Jeff était dos à moi, il fît le feu puis a disparut dans la cuisine.
J’étais un peu sous le choc qu’il me dévoile ça tout d’un trait, et en même temps j’enviais cette femme d’avoir pu charmer cet homme un peu mystérieux. Jeff semblait prendre plaisir à me choquer. Il me regardait avec un petit sourire en coin.
Nous rîmes un bon coup lorsque Jeff se mit à décrire cette femme androgyne.
Cette pensée me fît un petit pincement au cœur. Je n’avais plus aucun doute sur ses bonnes intentions, mais qu’il veuille abuser de mon corps, j’espérais que ça soit possible. Il était à la fois si fort, si imposant mais en contre-partie si tendre, si attachant, si… sexuellement attirant. Est-ce qu’il savait le pouvoir qu’il exerçait sur les femmes, sur moi du moins? Il semblait si sûr de lui, comment ne pas le suivre dans ses idées? Comment ne pas tomber sous le charme?
Pour toute réponse, je lui souris. J’aimais qu’il m’appelle « ma belle », j’aurais souhaité qu’il me le susurre 100 fois à l’oreille. L’un de ses pieds caressait maintenant ma cheville machinalement. Le silence se fît, le CD était fini et sa jambe se dépliait maintenant pour remonter le long de ma jambe, de la cheville au genou. Il dégageait beaucoup de chaleur, ou était-ce moi qui était froide? La chaleur du foyer commençait à se répandre dans l’appartement et tous les éléments étaient réunis pour me donner envie de me laisser aller à ces douces avances. Comme j’étais adossée à l’accoudoir du canapé et lui de même, nous étions face à face et nous nous touchions par les pieds. J’entrouvris légèrement les jambes et les détendît pour lui permettre de prolonger sa trajectoire jusqu’à ma cuisse. Nos jambes étaient un peu entremêlées et à ce moment, un deuxième CD de musique commença. Des notes de blues, chaud et sensuel, entreprirent de meubler le silence.
Ses yeux étaient brillants et la lumière des bougies d’ambiance éclairaient son regard. Son pied parcourait maintenant ma jambe jusqu’au genou, puis en dessous de ma cuisse jusqu’à la naissance de mes fesses. Depuis que j’avais entrouvert mes cuisses, il pouvait apercevoir une partie de ma chatte nue, habillée seulement d’un mince filet poilu au centre sous mes bas de nylon translucides. Ce premier contact de son pied avec l’intérieur de ma cuisse fit monter en moi une chaleur et un désir indescriptible. À chacun de ses aller-retours, il dirigeait son pied toujours plus à l’intérieur de mes cuisses et au bout d’un moment, son pied me narguait franchement en tournant autour de ma chatte, passant de la cuisse droite à la gauche, puis redescendant le long de ma jambe. Je devinais qu’un flot incroyablement abondant devait me couler entre les jambes à sentir la chaleur intense qui s’y était installée. Il cessât son petit jeu et se redressât pour prendre ma cheville de sa main. Il se penchât vers moi, à genoux entre mes jambes. J’étais toute petite, calée dans son canapé sans fond, les jambes ouvertes et lui au-dessus de moi, son immense carrure me dominant totalement.
Je lui souris et calai ma tête dans le coussin derrière moi. Jeff se penchât pour poser sa bouche dans mon cou et ce contact me fît frémir. Il était d’une douceur inversement proportionnelle à son impressionnante stature. Une main me caressait doucement les cheveux et la nuque et l’autre me caressait l’épaule, s’aventurant un peu à l’intérieur de mon chandail pour toucher la peau de mon épaule et de mon dos du bout de ses doigts. Je sentis mes seins se gonfler et un courant me traverser la colonne lorsqu’il posa ses grosses lèvres chaudes sur les miennes. J’entrouvris mes lèvres et le titilla de ma langue, l’invitant à entrer, ce qu’il ne fit pas tout de suite. J’aurais juré qu’il faisait tout pour me faire languir, m’émoustiller au maximum et contrôler totalement le moment présent, ce qui décuplait mon désir. Le bout de sa langue parcourait mes lèvres, les frôlant seulement, puis entrait un peu dans ma bouche, chatouillant la mienne. Ce contact si sensuel était une première pour moi. Mes mains caressaient son dos, son cou, ses cheveux, puis descendaient masser ses fesses. Je sentais sous sa chemise ses muscles, et ses fesses rondes bien dures. Tout son corps était brûlant, comme s’il me communiquait sa chaleur. Je sentais maintenant une pression sur ma cuisse, que je devinais être son sexe qui prenait de l’ampleur, ce qui augmenta encore la chaleur de ma chatte.
Sa langue s’accélérait un peu et sa bouche exerçait une douce pression sur la mienne. Je ne savais plus comment réagir, déjà je ne m’appartenait plus. Je n’étais qu’une boule de désir ardente, contrairement à lui qui semblait ralentir le rythme et déguster chaque moment. Sa main glissait maintenant de mon épaule à ma main, puis à ma taille, mon ventre, entre mes seins, mon menton… Mes seins étaient si gonflés à ce moment que je me sentais à l’étroit dans mes vêtements. Il les contournait adroitement, faisant rouler ses doigts tout autour. Il semblait prendre plaisir à me faire souffrir d’envie. Il se rapprochât encore plus près de moi et je sentais une énorme forme très dure qui faisait une pression directement sur ma chatte. Son sexe devait être très gros, et je le sentais bien défini à travers ses pantalons. Il reculât et, tout en me regardant dans les yeux, la bouche un peu ouverte, son autre main vint rejoindre la première pour me caresser les épaules, la taille et les cuisses. Il avait un petit air coquin, comme s’il devinait mon impatience.
Il roulât ses doigts autour de l’aréole de mes seins par-dessus mon chandail, puis les pris à pleine main. Son index et son pouce glissaient lentement jusqu’au bout de mes seins, et je renversât la tête en arrière avec un petit gémissement de délivrance tant ce moment était attendu. Sans cesser ses caresses, il revint m’embrasser et tout deux haletâmes dans la bouche de l’autre au milieu de mille baisers sensuels. Mes mains malaxaient ses fesses et les pressaient contre moi pour sentir son sexe sur ma chatte. Il parcourait mon visage et mon cou de sa bouche immense et j’entendais sa respiration qui s’accélérait. Je déboutonnai sa chemise pour découvrir son torse et toucher ce corps si convoité. J’entrepris ensuite de défaire son pantalon pour le délivrer de la pression de son sexe entre ses jambes. Il me prit les hanches et tira sur mes bas collants en les faisant glisser, sans manquer de passer ses doigts tout près de ma chatte inondée. Il dût sentir que mes bas étaient trempés.
Il enlevât ensuite mon chandail et ma camisole, et fit glisser mon soutien-gorge sur mes bras. J’étais maintenant nue devant lui, à l’exception de ma jupe qu’il défît avec ses dents, glissant au passage son nez entre mes cuisses. En se levant, ses pantalons tombèrent sur ses chevilles et il retirât sa chemise complètement. Son sexe était parfaitement défini sous son slip de coton ajusté. Il l’enlevât et restât un instant debout devant moi à me contempler. Je le détaillai moi aussi de la tête aux pieds. Je n’avais jamais vu un homme noir nu, et Jeff avait selon moi un corps parfait; très grand, musclé juste ce qu’il faut, une grosse ossature, une taille un peu plus fine, des jambes aux muscles bien découpés et surtout, un pénis très gros et grand qui me pointait. À vrai dire, je n’avais jamais vu un homme aussi viril et désirable. J’étais maintenant pratiquement couchée, les cheveux un peu ébouriffés, les lèvres gonflées. Mes seins étaient durs et ma chatte très chaude. Bien qu’un peu exhibitionniste de nature, j’étais un peu intimidée par son regard qui se prolongeait sur moi. Il éteignît la lumière derrière lui pour ne garder que celle des bougies et du foyer, qui offraient tout de même une lumière respectable mais plus intime.
Je me redressai et prit ses fesses de mes mains. Il était toujours debout, et mains parcouraient ses fesses, le haut de ses cuisses, son ventre… Ma langue faisait des ronds près de ses testicules et à la base de son sexe. J’avais extrèmement envie de l’engloutir, de le sucer, de tout licher mais je retenais mes ardeurs pour lui faire subir le même traitement qu’il m’avait servi plus tôt. Ses mains caressaient mes cheveux et descendaient sur mes bras. J’aimais cette position, car il ne contrôlait plus les caresses, n’ayant pas accès à plus pour le moment. Son sexe était dressé à quelques centimètres de ma bouche. Il était très gros et très dur, et de grosses veines sortaient de partout. On aurait dit qu’il allait exploser tant il était gros et gorgé de sang. J’avais faim de lui, j’avais hâte d’emplir ma bouche de cet engin qui sentait bon le désir. Je me mît à genoux sur le canapé et, tout en gardant mes mains sur ses fesses, je dirigeai ma langue sur le bout de son sexe. Je donnais des petits coups de langue tout autour de son gland, le prenant parfois dans ma bouche. Ma langue titillait le dessous de son gland et Jeff lâchât un petit gémissement de plaisir. J’entrai le plus loin possible son sexe dans ma bouche, et entrepris de bouger lentement et doucement la tête. Mes lèvres le décapuchonnaient et je jouais de ma langue tout autour. Bientôt, ma main vint tenir la base de son pénis et l’autre caresser ses testicules. Je le grignotait, le dégustait avec délice, je prenais réellement plaisir à le sucer. Je commençai alors à faire une pression, en montant et en redescendant la main qui tenait la base de son pénis, lentement mais fort, sans cesser les va-et-vient et la succion de ma bouche. Son sexe et ses testicules gonflèrent encore sous l’effet de ces caresses, qui devenaient plus intenses. Il se soustrait alors lentement à ma bouche, plutôt meurtrie.
Il s’avançât et se remit à genoux entre mes jambes. Sa bouche parcourût mon cou et mon visage, et de la façon qu’il était positionné, son sexe durci était accoté sur ma chatte. J’étais si impatiente qu’il me possède entièrement! Sa bouche descendît le long de mon cou jusqu’à mes seins, qu’il embrassât tout autour de l’auréole tour à tour. Ils étaient gros et durs, bien pointés et j’appréhendais avec un désir immense qu’il y pose ses grosses lèvres chaude. Il s’amusait à respirer au-dessus et son haleine chaude les excitait. Du bout de la langue, il se mît à faire des ronds puis à y poser sa bouche sans cesser d’y bouger sa langue. Il les mordillât tour à tour, exerçant une succion. Il reculât et sa main, qui se promenait jusqu’alors sur mon ventre, descendît jusqu’à ma chatte et, sans cesser de lécher mes seins tout à tour, il y glissât son majeur puis fît des ronds tout autour de mon clitoris, ce qui me fit chavirer. Cette caresse me procurait tant de plaisir que j’avais l’impression d’avoir sauté toutes les étapes avant l’orgasme car je m’en sentais déjà toute près. Mon clitoris était maintenant si gros qu’il ressortait franchement de ma chatte. Il s’avança vers moi pour m’embrasser sans cesser son petit manège. Son sexe, à l’entrée de mon vagin, était insupportable. J’en sentais la chaleur et la douceur, je voulais qu’il emplisse mon ventre, je voulais sentir ce gros membre en moi. Il cessât de caresser mon clitoris pour reprendre mes seins, qu’il embrassait avec douceur et sensualité. Son gros gland entrait maintenant sa tête dans mon vagin selon la façon qu’il bougeait en suçant mes seins.
En prenant mes seins à pleines mains, il entrât le bout de son gland dans mon vagin. Il n’y entrait que son gland, un peu maladroitement et avec équilibre. Avec une main, il prît ensuite son sexe et le promenât de haut en bas dans ma chatte gluante en s’attardant parfois sur mon clitoris. Je n’en pouvais plus, j’avais l’impression d’être un volcan et qu’une coulée de lave se frayait un chemin sur mes cuisses. Il prit ma taille de ses mains et me soulevât un peu, ce qui fît entrer son sexe à moitié en moi. Cela fît instantanément durcir mes seins et m’arrachât un long gémissement. Comme il était chaud, comme c’était gros et doux! Il entrât complètement en moi avec douceur et jamais je m’étais sentie aussi pleine. Nous nous regardâmes un instant, les yeux mi-clos, drogués par tant de désir et de plaisir. Il entreprît alors très lentement un và-et-viens et un frisson me parcourût tout le corps comme un courant électrique. Je sentis le même courant passer en lui alors qu’il fermait les yeux. Chaque mouvement faisait encore augmenter le voltage de ce courant dans ma colonne et, lorsque je me redressai un peu pour voir son gros membre glisser en moi, je devins molle comme une pâte et me laissai retomber derrière sur les coussins, prise d’un orgasme incroyable. Jeff accéléra le rythme, et son visage trahissait son excitation qui montait depuis que j’avais joui. Il avait maintenant les yeux fermés, la bouche entrouverte et sa respiration se faisait bruyante et rapide. Je mis un coussin derrière moi et je voyais maintenant son sexe immense entrer complètement en moi et en ressortir avec chaque fois une bonne quantité de liquide, que je devinais être le fruit de mon orgasme. Cette vision m’excitait terriblement, et je sentais à présent tout l’intérieur de mon vagin qui bourdonnait. À l’entrée, des pincements saccadés, à la limite de la douleur, survenaient à intervalle irréguliers mais de plus en plus rapprochés, puis j’eus un autre orgasme encore plus fort que le premier. Je gémissais et me tortillais de plaisir pendant que mon orgasme s’effaçait lentement. Je levai mes yeux vers Jeff, qui était défiguré de plaisir et allait sûrement éjaculer d’une seconde à l’autre.
Quelques secondes plus tard, il sortit son sexe et le tint au-dessus de moi en se masturbant à deux mains. Un long flot de sperme chaud giclât jusqu’entre mes seins. Jeff avait la tête renversée et râlait son plaisir alors que son pénis s’affaissait sur mon ventre inondé. Nous nous regardions dans les yeux en souriant et il vint poser sa tête sur mon épaule.
Son index répandait la coulée de sperme pour faire comme un petit lac dans mon nombril. Sa main descendit vers ma chatte et c’est avec délice qu’il chatouillait mon clitoris jusque là un peu négligé. Encouragé par mes soupirs, il se levât et se mit à genoux à côté du canapé. Il tira mes jambes vers lui et les écartât de chaque côté de son visage. Il s’amusait à souffler à l’intérieur de mes cuisses et sur ma chatte, puis rapprocha sa tête et le bout de sa langue allât écarter mes grandes lèvres, ce qui fit couler sur sa langue le liquide chaud qu’elles contenaient. Il remontait jusqu’à mon clitoris et donnait de petits coups de langue juste en dessous pour le faire sursauter. Plus doucement ensuite, il faisait tourner sa langue autour de mon clitoris. Ses deux mains vinrent écarter mes grandes lèvres et mon petit bouton de plaisir s’offrait entièrement à lui. Sa grosse bouche contenait tout le haut de ma chatte et sa langue bougeait dans tous les sens sur et autour de mon clitoris enflammé. Des petites convulsions marquaient la transition à une phase plus élevée de plaisir jusqu’à ce que tous mes muscles se crispent et que je sente mon cœur battre entièrement dans mon clitoris. Une vague de chaleur intense montât dans mon ventre et la sensation était telle que si un liquide chaud coulait dans chaque veine de mon corps. Au sommet de cette jouissance, un cri rauque sortit de mes lèvres comme s’il s’agissait d’une autre personne que moi.
Jeff se relevât car son sexe bien dur et bien droit en redemandait. Il prit mes mains, me soulevât et m’emboîta à lui en me glissant sur son sexe qui entrât en moi profondément. Bien vulnérable dans cette position et béate de plaisir, il pouvait faire de moi ce qu’il voulait à ce moment précis. Nous fîmes quelques pas dans cette position et il me déposât sur le bord de son lit. Il se retirât de moi et je me tournai pour qu’il me prenne par derrière. Il entrât son pénis à moitié avec un peu de résistance, car cette position était plus serrée. Il ressortait, puis entrait toujours plus profondément. Au bout d’un instant, je sentais ses testicules se cogner contre mes fesses. Il tenait mes hanches très fort et lorsque je le sentis prêt à jouir, je me tournai pour engloutir de ma bouche son gland et entreprît de le masturber dans le même rythme qu’il m’avait pénétrée plus tôt. Son sperme emplit ma bouche et même plus, car je le sentais couler sur mon menton. Il avait un goût sucré un peu piquant, et je fis glisser ma bouche avec succion jusqu’au bout de son gland pour en prendre le plus possible.
Après avoir joui de toutes nos forces tous les deux, nous étions maintenant béats et nous regardions bêtement. Son visage tout près du mien me murmurait « ma belle, ma très belle Laura… ». Depuis cette soirée mémorable, nous nous revoyons souvent il m’a depuis fait découvrir tant de mon corps et du sien…