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Temps de lecture estimé : 16 mn
09/01/04
Résumé:  Un jeune homme se voit offrir un job d'été particulièrement interessant
Critères:  fhhh collègues boitenuit collection noculotte hmast facial fellation cunnilingu pénétratio
Auteur : Franck Morgon      

Série : Les bonnes adresses de Lyon

Chapitre 01 / 02
Les bonnes adresses de Lyon


Pas facile de trouver un job d’été ! Surtout lorsqu’on s’y prend à la dernière minute ! C’est donc avec assez peu d’espoir que je consultais les dernières offres parues sur Internet lorsque je tombai sur une annonce qui retint mon attention : « Recherche étudiant pour CDD 1 mois. Bonne présentation. Permis B et véhicule exigé. Se présenter au 8, rue des remparts Lyon. »

Je correspondais à peu près à la description. C’est donc avec un peu d’espoir et une certaine appréhension que je me présentais le jour même à l’adresse indiquée. En arrivant devant le N° 8, je constatais avec surprise qu’il s’agissait du siège du journal « Les bonnes adresses de Lyon ». Je me demandais à quel poste j’allais atterrir…

J’entrais donc et une charmante hôtesse m’accueillit.



Ce n’était donc peut être pas trop tard…Pourvu que ça marche !

La secrétaire revint et me fit signe de la suivre.



Je la suivis donc à travers les méandres des couloirs de l’agence jusqu’à une pièce à l’aspect feutré où m’attendait un homme d’une quarantaine d’année : Mr le directeur !



Il vint à ma rencontre pour me saluer. Sa poignée de main était ferme et énergique.



Je m’assis !



Je restais un peu interloqué. Je ne m’attendais pas à ce genre de questionnaire !



De plus en plus étonné , j’essayais cependant de le montrer le moins possible.



Mais où voulais t-il en venir ? Allait il m’embaucher pour tester les restaus de Lyon ? Si Oui, c’était le bon plan !



De plus en plus étrange, ce type ! Je me demandais ce qu’allait être la prochaine question ! Je m’attendais à tout, désormais !



J’en restais comme deux ronds de flan ! Ce type devait être un vrai tyran domestique ! Et pas habitué à ce qu’on lui dise non par dessus le marché …



Je me demandais quelle allait être la prochaine surprise mais mon nouveau patron mit fin à l’entretient en me tendant la main :



Je tournais les talons et me mit en quête de la secrétaire qui m’avait reçu. En fait, c’est elle qui vint à ma rencontre.



Et bien…Ce monsieur menait son affaire d’une main de maître. Et son personnel d’une main de fer apparemment !


Toutes les formalités furent accomplies avec le même brio et dix minutes après mon entretient, je ressortais du journal avec un contrat à la main et 200 Euro en poche pour mes dépenses de la soirée.

Il était déjà 17 heures, soit juste le temps de rentrer me préparer pour ce soir et surtout ne pas arriver en retard pour le premier jour. Ou plutôt le premier soir !


C’est donc avec 10 minutes d’avance que j’arrivais au rendez vous. Je connaissais déjà le restaurant pour y avoir manger une ou deux fois. J’avais bien aimé. J’allumais une cigarette pour tuer le temps, tout en me demandant à quoi pouvait bien ressembler ma future collaboratrice. Jeune ? Belle ? Sympa ? Je l’avais déjà imaginée en belle brune de 25 ans lorsqu’une jeune femme blonde vint à ma rencontre.



Elle me précéda et entra dans le restaurant à grand pas. Apparemment, deux mois avaient suffit à lui faire prendre le rythme infernal de mon nouvel employeur.

Je la suivais jusqu’à notre table en la détaillant de la tête aux pieds. Elle était assez jolie. Pas un top-model, non, mais agréable à regarder avec un visage rond éclairé par des yeux noisette pétillants de vie. Des lèvres charnues délicatement ourlées d’un rose vif et quelques mèches brunes perdues dans ses cheveux blonds lissés par une petite natte. Elle portant un chemisier blanc très seyant et une robe longue fendue assez haut qui laissait entrevoir à chaque pas une jambe délicieusement galbée.

Arrivée à notre table, elle s’assit la première. Comme je passais à côté d’elle pour rejoindre ma chaise, mon regard glissa sur son épaule mais son chemisier boutonné assez haut ne laissait rien paraître d’une poitrine dont je ne pouvais que deviner les contours et la forme rebondie. Je devais me mettre dans la tête que j’étais ici pour travailler ! Pas si simple…

Je m’assis donc en face d’elle et put à nouveau contempler son visage alors qu’elle commençait à me questionner.



Elle jeta un coup d’œil rapide au menu et commença son explication :



Je pouvais facilement l’imaginer… Elle dégageait une sorte de sex-appeal qui incitait à l’aborder…



Le serveur vint nous interrompre pour prendre la commande. Sandra commença, puis ce fut mon tour de choisir. Je pris soin de bien choisir des plats différents de ceux de ma collègue afin d’avoir une palette aussi large que possible. De même pour les vins , je choisis un vin blanc en pichet et un rouge plus coûteux afin d’avoir une idée assez précise du rapport qualité prix.

J’espérais faire les bons choix. Une fois le serveur parti, je questionnais Sandra du regard :



Je souris.



Le serveur revint avec nos entrées : Des pieds de cochons pour Sandra et un plat de charcuterie pour moi. Très Lyonnais !

On continua de parler durant le repas. Je la questionnais sur ses expériences vécues depuis deux mois qu’elle faisait ce métier. On évoqua nos vies respectives, nos études…Ainsi, j’appris qu’elle avait 29 ans tout comme moi. Son travail précédent l’avait conduite jusqu’à Paris dans une boite de publicité, mais le mal du pays l’avait pressée de revenir à Lyon, sa ville natale.

Bien évidemment, elle était célibataire, avec malgré tout quelques aventures sans lendemains qui agrémentaient son existence.

Arrivés au café, on s’entretint discrètement de la qualité du repas et mis à part un service assez moyen, nous le trouvâmes tous deux excellent.

Comme convenu auparavant avec le directeur, c’est moi qui réglai l’addition. Nous devions passer pour le parfait petit couple jusqu’au bout … Enfin presque ! Une relation amoureuse n’étant sûrement pas de mise entre deux partenaires de travail.

Après avoir payé, nous sortîmes du restaurant et nous dirigeâmes vers le parking où nous attendaient nos voitures respectives.



Malgré la circulation et les feux, je parvins à la suivre sans trop de difficulté jusqu’au parking qui jouxtait la rue en question. Alors que je sortais de ma voiture, j’entendis la voix de Sandra m’interpeller :



Elle remonta sa vitre. Je me dirigeai tranquillement en direction de la rue et quelques poignées de secondes plus tard, Sandra me rejoignait et… Bon sang ! Elle avait changé de vêtement !

Sa longue jupe noire fendue avait fait place à une minijupe blanche qui portait vraiment bien son nom tellement elle était courte, et un bustier très décolleté avait remplacé son chemisier. De même, son maquillage s’était sensiblement renforcé , notamment sur ses lèvres où un rouge vif semblait éclairer la nuit !

Le style très classique de mon deux pièces jurait vraiment à côté !



Elle se mit à rire. Visiblement, elle s’était aperçue de mon étonnement alors que je la dévisageais de la tête aux pieds !



Je n’avais pas souvenir que cet honnête club de jazz qu’était le Hot Club accueillât des membres aussi court-vêtues, mais alors que nous approchions de l’entrée, tout devînt clair… Nous n’allions pas au Hot Club, mais en face, dans un endroit appelé Le Lanterne. À côté de la sonnette sur laquelle Sandra s’empressa d’appuyer, une petite plaque en cuivre indiquait : Club Privé.

Quelques instants plus tard, une femme d’une cinquantaine d’année mais qui pensait sûrement en paraître trente en s’habillant comme une Lolita, vint nous ouvrir la porte. Nous la suivîmes le long du grand escalier en pierre qui descendait jusqu’à une lumière rouge diffuse qui devait émaner de la piste de danse.



Je devais avoir l’air un peu étonné de me trouver là car elle cru bon d’ajouter :



Ca, j’étais en train de m’en apercevoir… Car le spectacle qui s’offrit à mon regard lorsque nous arrivâmes en bas confirma mon impression : nous étions dans un club échangiste !

J’avais déjà été dans ce genre de club. Une fois, avec des copains, histoire de rigoler un peu. Mais nous étions restés au bar, nous délectant de ce sex show amateur en sirotant un whisky coca.

Nous déposâmes veste et sac au vestiaire et commençâmes à arpenter les recoins du club.

Nous laissâmes donc le bar sur notre gauche et nous dirigeâmes vers le fond de la salle. Là, un couloir desservait différentes pièces, chacune étant agrémentée d’accessoires bien distincts : Une croix géante destinée aux amateurs de SM ici, un lit gigantesque là…Il y en avait vraiment pour tous les goûts. Comme j’étais là pour juger ces lieux – ce dont j’avais d’ailleurs de plus en plus de mal à me persuader !- je fis remarquer à Sandra la propreté satisfaisante des pièces .



J’obéis ! Nous trouvâmes un fauteuil où nous asseoir et la femme qui nous avait accueillit vint nous apporter deux coupes de champagne. Le moment me semblait venu de demander quelques explications à Sandra.



Sandra sourit avant de me réponde :



Et sur ces paroles, elle se leva et se dirigea vers la piste de danse où se déhanchaient déjà quelques femmes et une dizaine d’hommes. Je la suivis du regard, ne pouvant détacher mes yeux de ses longues jambes qui commencèrent à se mouvoir au rythme de la musique avec une aisance qui semblait dénoter une certaine habitude… Aussitôt, trois hommes s’approchèrent d’elle en exécutant des pantomimes grotesques qui contrastaient sévèrement avec les mouvements lascifs de ma partenaire. Qu’importe après tout ! Ce n’était pas un concours de danse. Après tout, nous étions tous ici pour la même raison !

Après quelques minutes, Sandra finit par se lasser des trois pots de colle – à moins que ce ne fût une tactique !- et revint vers moi.

Elle s’accroupît un instant afin de prendre son verre sur la table basse et l’espace d’un instant, j’entraperçut ce qu’il y avait entre ses cuisses…ou plutôt ce qu’il n’y avait pas ! Elle était nue sous sa minijupe ! Décidément, elle s’était parfaitement préparée pour cette soirée…Une vraie professionnelle !

Elle dut s’en apercevoir car elle me lança aussitôt un sourire sans équivoque et je baissais les yeux, gêné. Elle but une gorgée de champagne puis se releva, pris ma main et m’entraîna avec elle sur la piste de danse. J’avais retardé ce moment le plus possible. En effet, il faut savoir que la danse restera à jamais pour moi comme le plus grand mystère de l’univers ! Avec les femmes, bien entendu…Mais si je pouvais m’accommoder de l’un, l’autre provoquait en moi une honte grandissante a mesure que je tentais de me mouvoir avec une maladresse flagrante et l’horrible sensation que tous les regards étaient tournés vers moi. Il me fallut un certains temps pour me convaincre que je n’étais pas plus ridicule que les autres et Sandra m’aida beaucoup en se lovant de plus en plus contre moi, frottant son corps au mien, jusqu’à provoquer en moi une excitation grandissante. Je ne cherchais même pas à la cacher. J’avais enfin fini par me rendre compte de l’endroit où je me trouvais et ce que j’étais venu y faire importait peu. J’y étais. Nous y étions.

Juste à côté de nous, une femme se baissa et défit la braguette de l’homme qui se trouvait en face d’elle. Elle en sortit un sexe dressé qu’elle commença à lécher langoureusement puis qu’elle mit tout entier dans sa bouche. Elle le suça pendant quelques minutes alors que nous continuions à danser et que nos gestes se faisaient de plus en plus suggestifs. Sandra mit sa main sur mon torse alors que j’osais une caresse sur sa hanche. Et les mouvements se firent plus précis, sa main passant sous ma chemise, la mienne descendant sur le bas de ses reins. Bientôt, un des hommes qui la collaient toute à l’heure vint se mettre derrière elle et posa ses mains sur son corps. Elle se laissa faire. Elle ne dit rien non plus lorsque les mains de l’homme approchèrent de ses seins et lorsque la mienne caressa le haut de ses cuisses, remontant légèrement sa jupe pour atteindre les courbes naissantes de son cul. Puis elle s’accroupit à son tour et sortit mon sexe gonflé de mon pantalon et le mit directement dans sa bouche. Alors que ses lèvres allaient et venaient sur ma queue, l’autre homme vint se placer à côté de moi et sortit à son tour son sexe. Lorsqu’elle s’en aperçut, Sandra m’abandonna quelques instant pour s’occuper de lui de la même façon. Elle suçait vraiment bien, la chaleur de sa bouche autour de ma queue était un délice et je n’avais qu’une envie : qu’elle recommence au plus vite ! Je n’eus pas à attendre longtemps ! Elle continua à branler l’homme et sa bouche reprit ses va et viens sur moi. Après quelques minutes où elle passa d’une bite à l’autre, elle se releva et se dirigea vers une des salles que l’on avait visitée en arrivant. C’était celle où un matelas géant recouvrait à peu près la totalité du sol. Elle s’allongea sur le dos et me fit signe de venir. Elle remonta sa jupe et me présenta sa vulve humide. Je m’agenouillai et commença à la lécher avec application, ma langue allant tantôt caresser son clitoris, tantôt la pénétrer le plus loin possible alors qu’elle commençait à mouiller de plus en plus. Les mouvements de ses hanches laissaient d’ailleurs à penser que mon cuni lui convenait parfaitement. À moins que ce ne fut la queue de l’autre homme qu’elle venait de prendre à pleine bouche qui provoquât ces ondulations lascives. Quoi qu’il en soit, elle adorait ça…

Après un long moment de ce léchage effréné, n’y tenant plus, je me relevai et présentait mon sexe dressé aux abords de sa chatte désormais offerte. Après quelques caresses aux abords de sa vulves, je la pénétrai profondément dans un râle de plaisir. Elle se cambra légèrement et mes mains qui empoignaient ses hanches la sentirent se contracter, puis se relâcher lorsque je me retirai entièrement…pour mieux entrer à nouveaux entre ses lèvres ouvertes qui à mesure que je glissait en elles déposaient sur ma queue tout le fruit de son désir.

Devant moi, l’autre homme s’agitait de plus en plus dans la bouche de Sandra. Je remarquais aussi que deux autres hommes étaient venus nous rejoindre et se branlaient lentement en nous regardant.

Je ne saurais dire si c’était le lieu, l’ambiance ou la situation qui me mettait dans cet état, toujours est il que je n’avais pas souvenir d’avoir été un jour aussi excité que je l’étais à cet instant. Les mouvements de mon sexe se faisaient de plus en plus rapide, tout comme ceux de l’homme qui n’allait sûrement pas tarder à jouir. Ce qu’il fit en se contractant violemment et en enfonçant sa queue au fond de la gorge de Sandra. Il lui inonda la bouche et se retira tout en continuant à jouir, maculant du même coup son visage en sueur. Elle s’essuya avec sa main et l’homme s’éloigna, un sourire de satisfaction aux lèvres.

Je ne savais pas si je pouvais jouir en elle ou non. Aussi, après quelques derniers allers retours où je me retins au maximum et où Sandra gémit de plaisir, je me retirai brusquement fit jaillir ma semence sur son corps. De longs et puissants jets de sperme retombèrent sur son ventre et jusqu’à ses seins, puis, tout essoufflé, je me relevais en la regardant. Son visage était radieux et épanoui. Je lui rendis son sourire. Visiblement, elle avait aimé…

Je commençais à me rhabiller. À côté de moi, les deux autres hommes continuaient à se branler. Sandra se leva à son tour et s’approcha du premier. Elle pris sa queue et commença à la sucer comme elle savait si bien le faire. L’homme semblait être aux anges. Son visage grimaçait d’un plaisir qu’il paraissait avoir de plus en plus de mal à contenir. Il était vraiment très excité et il ne lui fallut guère plus d’une minute pour se vider dans la bouche de Sandra qui continua de le pomper avidement jusqu’à ce qu’il soit vidé de toute force, après quoi elle passa au deuxième homme qui la prit par ses cheveux blonds et lui bascula la tête légèrement vers l’arrière tandis qu’il continuait à se branler. De plus en plus vite, de plus en plus fort. Afin de l’exciter encore plus, Sandra ouvrit sa bouche d’où s’écoulait encore un mince filet de sperme. Alors, l’homme n’y tint plus et dans un râle, se vida presque entièrement dans la bouche qui lui était offerte, le reste giclant sur les lèvres et les joues de Sandra.

Son forfait accompli, il caressa le visage maculé avec sa queue, puis s’enfonça entre les lèvres encore ouvertes de Sandra qui termina de le nettoyer avec sa langue. Alors, il se retira et sortit rejoindre les deux autres hommes. Je restai seul dans la pièce avec elle tandis qu’elle se rhabillait sommairement.



Elle me sourit



De retour sur la piste de danse, je constatais que la salle était presque vide. Femmes et hommes qui avaient trouvé leur bonheur s’étaient éclipsés dans les pièces du fond. D’autres, moins pudiques, faisaient ça sur les banquettes, sous le regard amusé et voyeur du barman.

Sandra et moi nous rassîmes à notre table. L’air un peu hagard, les yeux brillants et le visage en sueur. Nous gardâmes le silence pendant un long moment. Ce fût Sandra qui émergea la première.



Elle se mit à rire. Je pris l’air le plus sérieux du monde et ajoutai :



Sandra regarda sa montre. Il commençait à se faire tard. Deux heures du matin…



Nous ne parlerions pas de ce qu’il s’était passé ce soir… en tout cas pas tout de suite. C’était inutile. Je la raccompagnais simplement à sa voiture et lui dit au revoir d’un petit signe de la main. Elle me sourit, puis démarra en trombe et disparut au coin d’une rue. J’allumai une cigarette et restai quelques secondes appuyé contre ma voiture en repensant à cette folle journée…et en imaginant celle de demain.


To be continued…