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n° 06978Fiche technique28539 caractères28539
Temps de lecture estimé : 17 mn
19/01/04
Résumé:  Un jf se laisse seduire par homme de 65 ans
Critères:  fh hagé extracon grossexe fépilée fmast rasage fellation cunnilingu anulingus 69 pénétratio fdanus fsodo ecriv_f
Auteur : Nadine Wonda  (Jf de 29 ans)            Envoi mini-message
Mon petit Monsieur


Dans ces moments là, on se sent particulièrement coupable. J’essuie mon sexe glabre car je n’ai pas le temps de prendre une douche et je ne voudrais pas éveiller les soupçons. Je cache les draps souillés de semence masculine dans le bac de linge sale. Je suis sûr qu’ils sont bien cachés, mon mari ne s’en approche jamais, il doit en avoir peur. Je cours dans la chambre et enfile une culotte propre. J’ai à peine baissé ma robe que mon mari pénètre dans l’appartement. Il est 20H00 pile.

Je vais à sa rencontre, il tient dans sa main les pizzas que je lui avais demandées de prendre, prétextant une furieuse envie d’en manger. Il me sourit et nous échangeons un baiser. Je sors les couverts et nous nous installons dans le salon devant la télévision. Il me taquine, il me caresse, il est d’un esprit tout à fait coquin. Moi qui pensais passer une soirée calme, je crois que je vais y avoir droit. Ça fait une semaine que nous n’avons pas fait l’amour ; il trouverait bizarre que je me refuse. Pourtant l’après-midi que j’ai passé, m’a quelque peu irrité le vagin. Je n’ai pas l’habitude d’autant de sexe.

Nous finissons notre plat. Il me fixe dans les yeux et me caresse les jambes. Il m’embrasse fougueusement, je réponds à ses baisers. J’ai envie de lui faire le coup de la migraine, mais déjà sa main passe sous ma jupe et s’immisce dans ma culotte. Il se rend compte de l’absence de poils sur ma vulve. Moi qui lui avais toujours refusé, un autre me l’avait mise à nu aujourd’hui. Pour le coup de la céphalée, c’est trop tard. :



Il me déshabille rapidement et m’écarte les cuisses. Il s’agenouille et admire ma petite chatte toute lisse. Il me la caresse. Il glisse un doigt dans mon vagin, je grimace à cause des irritations mais lui ne le remarque pas. Bien sûr, je suis mouillée, mais pas d’excitation, c’est le reste des sécrétions d’un autre homme :



Je pense n’avoir aucun problème à le recevoir en moi, étant donné que son sexe est bien plus petit que celui de mon amant de cette après-midi. Il pose son gland à l’entrée de mon vagin et s’introduit profondément. Je ressens alors une vive douleur, comme une brûlure qui enflamme mes chairs intimes et qui me fait cambrer les reins. Je grimace et gémis. Il prend ça comme un encouragement et se prend pour un dieu de l’amour. Il coulisse dans ma matrice. Accélérant la cadence en même temps que ma souffrance et mes gémissements. Je n’en pouvais plus de douleur. Heureusement que concernant les choses de l’amour, il n’a jamais été bien endurant. En tout cas, ce n’est pas pour cela que je l’aime. Je simule un orgasme et il lâche son jus d’homme en moi, le mélangeant à celui de l’autre. Une première pour moi, être porteuse des gènes de deux hommes différents. Il se retire et je me sens soulagée. Je le remercie de m’avoir bien fait jouir. Après deux minutes de tendresse, il s’endort. Je me réfugie dans la salle de bain pour une douche salvatrice et purifiante.

Je passe une bonne vingtaine de minutes sous le jet brûlant, à savonner méticuleusement mon intimité. Sortant de la salle de bain, je choisis de laisser mon mari dormir sur le canapé. Je pourrais profiter de notre grand lit et m’endormir sans l’avoir sur le dos. Je me glisse nue sous les draps, c’est ma tenue préférée, et repense à cette longue après-midi qui m’a laissé le corps fatigué. Un corps qui me signifie son besoin d’un sommeil réparateur par quelques courbatures. Je ferme les yeux et revois le film de ce qui m’a amené à coucher avec un homme de 65 ans.

Michel est un fidèle client de notre boutique. Il y vient régulièrement se fournir en parfum pour lui et sa famille. C’est un homme d’environ 65 ans, marié depuis plus de 40 ans, d’un physique plutôt agréable, taille moyenne, plutôt svelte, cheveux gris, toujours poli et souriant, habillé avec un goût certain. Depuis environ 3 ans, il a pris l’habitude que je le serve. À chaque fois, il me fait demander, il préfère attendre, si je suis occupée, plutôt que de se faire servir par une autre que moi. Il a toujours des mots charmants qui me font rire. Je l’appelais affectueusement mon petit Monsieur. Il me draguait gentiment et je trouvais cela touchant mais n’y prêtais pas vraiment attention. J’ai quand même 36 ans de moins. Il y a quelques semaines, il m’a invitée à déjeuner avec lui. Il m’était déjà arrivé d’être invitée par des clientes et j’accepte toujours, c’est très sympa, on papote de tout et de rien surtout des trucs de fille. J’ai toujours par contre refusé les invitations des hommes. Je ne suis pas naïve et sais très bien ce qu’ils ont en tête, ces petits vicieux. Mais là, c’était différent car il est vieux et je n’ai pas du tout supposé qu’il ait pu avoir des pensées coquines. Je le considérais comme un ami ou comme un oncle. J’ai donc accepté son offre.

Nous sommes allés dans un restaurant cubain. Il m’a proposé de commander pour moi. Il semblait bien connaître ce restaurant et surtout les mets qui y étaient servis, je le laissais donc faire. Puis nous avons commencé à discuter. Il semblait avoir beaucoup de culture. Il me parlait de ses voyages, de ses différents métiers avec une grande richesse de langage. J’étais très intimidée et n’osais plus ouvrir la bouche de peur de paraître bête à ses yeux. Mais il sut m’interroger, me demander mon avis et me laissa raconter ma vie. Il me mettait très à l’aise. Il m’écoutait avec attention. Je me sentais comprise. Mais l’heure de reprendre le travail arriva trop tôt. Je le quittais en le remerciant pour ce moment que j’avais trouvé particulièrement agréable. Il appréciait manifestement mon enthousiasme et me proposa de nous revoir. J’acceptais avec joie cette perspective. Il me demandait si je pouvais avoir un peu plus de temps pour cette future pause repas afin de prolonger nos conversations.

Ainsi, nous déjeunâmes une fois par semaine pendant un mois. Je lui accordais ma plus longue pause de la semaine, c’est-à-dire 1h30. Nos conversations étaient très riches, surtout de son fait. Parfois enflammées lorsque nous n’étions pas en accord pour ce qui concerne la politique, mais toujours courtoises et charmantes. Je n’avais jamais eu de dialogue aussi approfondi avec un homme. À chaque fois, je me sentais grandie à la fin de ces repas. La semaine dernière, j’ai voulu lui rendre la politesse. Je l’ai donc invité chez moi pendant mon jour de repos. Dans la boutique, nous avons un jour de congé en semaine puisque nous travaillons le samedi. Cela allait nous permettre d’avoir de plus longues conversations sans se préoccuper du temps et bien sûr profiter de l’absence de mon mari. Le rendez-vous fut fixé au jeudi. C’est-à-dire aujourd’hui à 12h00.

Il arriva à l’heure convenue avec un superbe bouquet rond et un sourire radieux. Nous nous sommes salués d’un baiser chaste et je lui ai pris son manteau. Il était comme à son habitude, très élégant, tout en restant classique, pantalon de toile noir, chemise blanche de luxe. Moi je portais simplement une robe bordeaux qui descend jusqu’aux genoux, bras nus, pas de décolleté sur la poitrine, mais juste un dos nu plus bas que les omoplates, très sobre et des escarpins à talons. Je l’installais dans le canapé et je lui proposais un alcool. J’avais prévu une bouteille de vin blanc pour le repas, il me proposa de composer l’apéritif avec celle-ci. Notre conversation commença bien sûr, par la déco de l’appartement. Il me félicitait pour mes goûts. Puis nos conversations habituelles reprirent le dessus. Nous parlions de voyages et des modes de vie différentes selon les cultures. Nous passions à la cuisine, je posais les mets sur la table, nous les avalions sans nous en rendre compte, chacun absorbé par les propos de l’autre. Je dus ouvrir une autre bouteille de blanc que nous avons également finie. Je me sentais pompette à la fin du repas. Il me proposa son aide pour débarrasser et faire la vaisselle. J’acceptais avec joie, étant donné l’équilibre précaire que m’imposait cette douce ivresse.

Les tâches ménagères accomplies, nous retournons nous installer dans le salon afin de continuer de papoter devant un bon café.

Je me laissais aller à rire à gorge déployée de ses bons mots. Je me sentais toute émoustillée. Il s’en rendit compte et dans un mouvement de tendresse et de sensualité, il posa ses lèvres sur les miennes. Sa langue s’insinua dans ma bouche, je me laissais faire, appréciant toute la douceur de ce profond baiser. Je lui répondis en activant ma langue sur la sienne. Déjà, je sentais ses mains parcourir mon corps, mes cuisses, mes hanches. Mes seins pointaient du désir d’être caressés. Ce qu’il fit avec une grande adresse. Il baissa la fermeture éclair de ma robe. Je me retrouvais les seins nus dans ses bras. En effet, avec cette robe je ne peux pas mettre de soutien-gorge. Il prit mes seins entre ses mains et me prodigua un délicieux massage. La réaction au niveau de mon bas ventre ne se fit pas attendre. Je ne pouvais m’empêcher de remuer le bassin afin de sentir mon string frotter contre mon clitoris.



Il se pencha et prit mes tétons en bouche, il me les suçait, les mordillait. Il s’occupait tellement bien de ma poitrine. Mon ventre était en feu. Il me retira ma robe et mon string en même temps. Il se recula un peu puis m’admira. Je le trouvais si touchant.



Je lui obéissais et lui dévoilais mon intimité. Tendant mes jambes je lui offris la vision de ma petite chatte à peine protégée par une toison peu fournie. Il s’agenouilla, ses lèvres se posèrent sur mes genoux, il remonta doucement entre mes cuisses. Je me languissais de le sentir sur mon sexe. Il me fit patienter encore en parcourant mon autre jambe. Puis lentement, sa langue se posa sur mon clito. Toujours avec sa langue, il descendit en écartant mes grandes lèvres et la fit glisser dans mon vagin. Doucement il parcourait tout mon sexe, s’attardant par moment sur mon anus, le dardant, le forçant. Il suçait longuement mon petit bouton d’amour et introduisit un puis deux doigts dans ma petite chatte qui n’attendait que ça. Il me lécha de plus en plus vite le pistil et ses doigts augmentèrent la cadence. Je ne pus retenir plus longtemps mon premier orgasme et exprimais bruyamment mon plaisir. Il continuait encore quelques minutes ses caresses, me laissant profiter au maximum de ma jouissance. J’étais très touchée par cette attention. J’avais envie de lui rendre le plaisir qu’il venait de me donner.



Je me redresse et l’embrasse fougueusement. Je commence à lui enlever sa chemise et fais glisser ma bouche sur son torse. Je me retrouve à genoux, les yeux sur son pantalon particulièrement déformé. Je dégrafe la ceinture, défais le bouton et baisse le zip. Je retire doucement son pantalon. Je suis surprise de découvrir un caleçon boxer très à la mode qui, lui aussi, est vraiment tendu. Je passais ma main dedans et me saisis de son sexe. Je le masturbais lentement en le regardant dans les yeux. Puis, je baissais le joli boxer short et un magnifique pénis apparut devant moi. Il était si gros et si dur ; dessous, se balançaient de grosses boules bien rondes, bien pleines et poilues. Je m’étonnais de tant de virilité chez un homme de son age. La question suivante me traversa l’esprit : « Ai-je la chance de tomber sur des amants très gâtés par dame nature ou est-ce ma référence qui est sous-dimensionnée, c’est-à-dire mon mari ? » Je n’ai toujours pas la réponse à cette question.

Je continuais à le branler d’une main et de l’autre, je soupesais ses lourdes réserves de semence que je savais m’être destinées. J’approchais ma bouche de son gros bout violacé. Je le lapais délicatement, insistant sur le méat qui suintait d’excitation. Puis je l’embouchais doucement, prenant bien soin de beaucoup saliver pour rendre ma fellation la plus agréable et la plus chaude possible. J’avançais et reculais sensuellement ma tête en gardant ce bel organe prisonnier entre mes lèvres. Parfois, le libérant, je gobais ses grosses testicules, l’une après l’autre, activant une main sur le mât. Puis, je le reprenais pour le mettre bien au chaud dans ma bouche. Il posa ses mains sur ma tête pour m’imposer son rythme. Il me baisa la bouche.

Je ne pouvais m’empêcher de m’imaginer la scène. Lui un homme de 65 ans, debout, torse nu, pantalon au pied et moi, une jeune femme de 29 ans agenouillée, la tête entre ses mains, entrain de lui faire une gâterie. Cette image m’excita fortement. Il me dit alors :



Je m’allongeais sur le canapé, j’écartais les jambes comme pour l’attirer en moi. Il ne se fit pas prier. Il se glissa entre mes cuisses, posa son gland à l’entrée de mon vagin luisant qui palpitait d’impatience. Il poussa son vit en moi. Je ressentis comme un immense soulagement de le sentir progresser au fond de mon être. Il s’activa, accélérant progressivement, puis ralentissant, me massant les seins, me torturant les pointes. Reprenant de l’ampleur dans ses va-et-vient, me titillant le clitoris. En moi, montait inexorablement la jouissance. Il s’en rendit compte, en augmenta encore la cadence. Je criais ma jouissance, au bord de l’orgasme. Je lui saisis alors ses grosses couilles et les malaxais vigoureusement. Ses mouvements étaient de plus en plus désordonnés. Il émettait des râles de plaisir, ce qui décuplait ma propre jouissance. Je sentis son pénis grossir encore dans ma matrice, il buta profondément contre mon utérus et expulsa de grandes quantités de foutre dans ma petite chatte, déclenchant un orgasme puissant, suivi d’une vague de multiples petits orgasmes. Il continua à me pistonner doucement et longuement, me laissant descendre tranquillement des cieux où il m’avait amenée. J’étais heureuse d’avoir joui autant. Il souriait, fier de m’avoir donné cette jouissance. Son sexe finit par être expulsé car devenu trop mou. Il m’embrassa passionnément et me dit :



Nous échangions des nombreux et tendres baisers. Puis il se redressa et me dit :



Nous nous y rendons donc. Après un tour dans les placards, il opta pour un rasage avec la mousse de mon mari. Il n’y avait pas trop de choix, je n’avais rien de mieux. Nous retournions dans le salon afin d’être mieux installés. Il m’allongea sur le dos au sol. Il commença par tailler mes poils aux ciseaux, celui normalement prévu pour la cuisine. Une fois qu’ils furent coupés bien courts, il me les mouilla avec l’eau de la bassine et me les enduisit de mousse à raser. Je sentais les picotements de la menthe sur mes muqueuses. Il s’empara d’un de mes rasoirs jetables qui me servent pour les jambes et commença son œuvre. Je sentais à peine le frottement sur ma peau. Juste la fraîcheur du rasoir lorsqu’il le reposait sur ma vulve après l’avoir rincé. Il s’interrompait parfois pour essuyer le sperme qui s’échappait de mon vagin. Puis il s’attaqua à mes grandes lèvres. J’avoue que j’étais assez anxieuse, mais rapidement, me rendant compte de sa dextérité et de sa douceur, je me détendis. Il allait doucement aux abords de ma fente. Me relevant les jambes, me les posant de droite, de gauche, afin d’atteindre le moindre de mes poils. Il me demanda alors de me mettre à quatre pattes afin de s’occuper des poils de ma raie des fesses. J’obtempérais et lui présentais mon derrière, en l’écartant de mes mains pour lui facilité la tâche. Le même scénario se répéta mais avec mon anus dans le rôle principal. Le travail terminé, il ne put s’empêcher de le gratifier de quelques coups de langue que je savourais à leur juste valeur. J’avais envie de me voir dans la glace. Je le lui signifiais et me précipitais dans ma chambre. Je me mirais, observant mon pubis mis à nu. Je ne pus me retenir de m’allonger sur le lit et de regarder mon sexe, jambes écartées. Cette vision m’excita énormément. Michel me regardait depuis la porte :



Je commençais à faire courir mes doigts sur mon sexe glabre, titillant mon clito, les faisant glisser le long de mes lèvres nues. Déjà l’embrasement de mon bas ventre grondait en moi. Je ne pouvais détacher mon regard de l’image que me renvoyait le miroir. Michel me matait toujours, nu comme un ver mais dur comme du bois. Il se branlait tranquillement. J’avais trop envie de le sentir de nouveau en moi :



Il se glissa entre mes jambes et me pénétra de nouveau. La sensation était très forte. J’avais l’impression de le sentir encore mieux en moi avec mon sexe à nu. Il me lima dans un rythme très régulier, très calculé. Il me faisait monter doucement dans la jouissance. Je lui demandais d’accélérer le mouvement mais lui restait insensible à ma demande et continuait sur la même cadence, tout en profondeur. Ça me rendait folle cette montée lente mais inéluctable. Puis il me mit en levrette, et là il accéléra la vitesse de son pilonnage. Il me bourrait bien la chatte, je le sentais buter bien profond contre le col du vagin, déclenchant une intense montée de mon plaisir. Il commençait à s’exprimer avec des mots crus :



Je devenais folle de tant de plaisir. Il me fit l’amour très longtemps, maîtrisant son éjaculation pour me permettre de jouir d’au moins 3 orgasmes. J’attrapais alors ses couilles entre mes jambes et frottais les lourds organes sur mon bouton d’amour. De nouveau je sentis son foutre emplir ma chatte, ce qui me fit lâcher prise pour un quatrième pic de jouissance. Nous nous écroulions en même temps. Restant sous lui, son torse contre mon dos, j’étais bien. Mon vagin expulsa son sexe ramolli ainsi que du sperme qui souilla les draps du lit conjugal. Mais nous restions là, quelque temps, lui sur moi. Nous somnolions, épuisés par le plaisir. Il devait être 18h00 lorsque nous avons émergé de notre léthargie toujours dans la même position. Nous échangions un baiser langoureux lorsqu’il l’interrompit :



Sur ces mots, il posa sa bouche dans mon cou et descendit pour butiner mes tétons qu’il fit durcir lentement. Il prolongea son parcours jusqu’à mon petit bouton rose qu’il maltraita avec délice, je sentais sa bouche et sa langue sur ma peau nue, mes sens se réveillaient. Il léchait mes grosses lèvres souillées de son sperme séché, cette image m’excita beaucoup. De son habile langue, il remettait la machine à jouir en marche. Déjà mes sécrétions s’écoulaient en moi, préparant le terrain à ce vit qui me donnait tellement de plaisir. Il vint se placer à genoux au-dessus de mon visage :



Je gobais ses grosses couilles, l’une après l’autre, masturbant son sexe qui avait du mal à être tout à fait dur. Je faisais mon possible pour avoir le meilleur de son érection. Je hasardais ma langue sur son anus. Il se contracta et son sexe prit de la vigueur ; encouragée par cette réaction, je me mis à le lécher franchement. Bien sûr l’odeur était des plus désagréables mais à la fois, c’était très excitant, c’était aussi une première pour moi. Je le branlais d’une main et je continuais à darder son petit trou avec ma langue. Lui replongea son nez dans mon sexe et nous sommes partis pour un 69 des plus torrides. Lui me doigtant la chatte et lustrant de sa langue mon clito, moi le sodomisant avec la mienne. Il me priva soudain de mon nouveau jouet. Il me couvrit et me bourra violemment la chatte. Je le sentais toujours aussi profond en moi. Il me lima longuement, puis il me mit en levrette et me pénétra de plus belle. Il allait bien profond dans mon vagin. Un doigt inquisiteur taquina mon anus puis doucement le força, aidé par mes sécrétions vaginales. Puis un deuxième rejoignit le premier, ce qui provoqua le premier orgasme de cette pénétration. Il s’en rendit compte et le prit pour un encouragement. Après en avoir retiré ses doigts, il retira son sexe de ma chatte et le posa sur ma petite fleur plissée :



Ne m’écoutant pas, il força le passage, mais le fit en douceur. Son vit, gras de ma mouille, glissait lentement dans mon anus. Je me détendis et j’acceptais dans mon fondement la grosseur de sa queue, sans pratiquement aucune douleur. Ses couilles s’écrasèrent sur ma chatte. Il était entré en entier. Après quelque instant d’immobilité, il ressortit pratiquement tout son sexe, puis le replongea doucement au chaud. Il recommença plusieurs fois, je me sentais de plus en plus dilatée. Il s’activait de plus en plus vite. Puis, il se retira, observait mon anus béant, il remettait son pieu bien au fond et se retirait entièrement de nouveau. À chaque fois qu’il me pénétrait une sensation doux amer m’envahissait, mélange de douleur et de bonheur. Je percevais cette sensation d’être possédée, d’être soumise à son bon vouloir, d’être sa femme. Il reprit son pistonnage, augmentant régulièrement le rythme. Une chaleur irradia mon bassin, montant dans mes seins, dans ma tête et explosa en mille particules de plaisir. Je hurlais mon bonheur d’être ainsi prise :



Je ne répondais plus, me contentant de crier. Il me pistonnait de plus en plus vite et soudain se vida dans mon cul en poussant un cri rauque et puissant, tapissant mes intestins de son jus. Il me pistonna encore une dizaine de fois et se retira :



Nous éclations de rire. Mais il était déjà 19h30, mon mari n’allait pas tarder. Je l’appelais pour qu’il prenne des pizzas, histoire de le retarder et changeais les draps. Pendant ce temps là, Michel prit une douche rapide pour faire disparaître les odeurs de notre coupable après-midi et me quitta pour rejoindre son épouse. Son sperme s’échappait de mon anus béant et coulait sur ma chatte. Je passais au salon, enfilais ma robe et me réfugiais dans la salle de bain.

Je me retrouvais seule face à ma conscience. Dans ces moments-là, on se sent particulièrement coupable. J’essuyais mon sexe glabre car je n’avais pas le temps de prendre une douche et je ne voulais pas éveiller les soupçons…