n° 07002 | Fiche technique | 30822 caractères | 30822Temps de lecture estimé : 19 mn | 28/01/04 |
Résumé: Luc et Sarah: La rencontre | ||||
Critères: fh fépilée caférestau toilettes telnet fellation cunnilingu anulingus pénétratio double fdanus hdanus | ||||
Auteur : Zorglub |
Épisode précédent | Série : Luc et Sarah Chapitre 02 / 02 | FIN de la série |
Note de l’auteur :
Merci pour les critiques. Je ne savais pas, ne pensais pas, que chaque récit faisait l’objet d’une lecture avant parution. J’ai fait en sorte de suivre les conseils que vous m’aviez donnés. À vous de juger.
Z
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Le samedi suivant, Luc n’a pas touché à son ordinateur de la journée. Il attend, nerveux, l’heure fatidique où sa belle reprendra vie sur l’écran. La journée se passe lentement, les aiguilles de la grande horloge du salon semblent avancer au ralenti. Pour passer le temps, Luc a fait le ménage de fond en comble dans son appartement, tout y est passé, le salon, la cuisine, la salle de bain, la chambre, et même les fenêtres. Une fois tout ceci terminé, il contemple le résultat et, un sourire de satisfaction aux lèvres, se jette dans le canapé pour siroter une bière qu’il juge bien mérité. Dix huit heures : « Encore deux heures !! » Se dit-il. Il allume le petit poste de télévision et regarde béatement une émission débile qui vante les mérites d’un produit détergent. Enfin, il est dix neuf heures et quarante cinq minutes. Luc se précipite sur son ordinateur et l’allume en pestant sur la lenteur avec laquelle le système d’exploitation se charge. Tout est enfin en ordre et il se connecte, comme d’habitude, à son site habituel. Ile n’est pas encore vingt heures et pourtant, Casablanca est déjà là. Luc clique sur la petite icône de connexion et une fenêtre s’ouvre. La jeune fille ne montre toujours pas son visage. Un coup d’œil sur la droite et il se rend compte qu’il y a au moins douze personnes qui sont connectées et que sa belle dialogue tranquillement avec tout ce beau monde, il entre en cours de conversation :
« …
En voyant ces mots s’afficher à l’écran, Luc sent une vague de chaleur monter en lui. Il se dit qu’il a au moins deux ou trois longueurs d’avance sur ce crétin de « loverboy » qui entreprend de draguer SA Casablanca.
Luc n’attend pas la réponse et clique sur l’icône de chat privé pour se retrouver en tête-à-tête avec la jeune fille :
A ces mots, Luc se rendit compte qu’il était, contre son gré, sous l’influence de la jeune fille. « Il faut que je prenne la direction du jeu » se dit-il.
Luc expliqua le plus clairement possible à Casablanca comment se rendre sur la place en question puis ils conviennent d’un rendez-vous pour vingt et une heures trente, quand tout à coup, au moment de couper la connexion :
Luc éteint très vite son PC et file se doucher et s’habiller. Il choisit un pantalon en toile beige et une chemise de soie vert pâle, dont la couleur concorde avec celle de ses yeux.
Sarah, quant à elle, au sortir de la douche, choisit un string en dentelle bleue et le petit soutien-gorge assorti. Elle essaie une jupe droite, trop stricte, essaie une petite robe d’été, trop décolletée, puis opte finalement pour une jupe longue et ample, blanche avec des petits motifs bleu marine.
Elle enfile ensuite un chemisier blanc assez transparent pour laisser apercevoir ses dessous, mais pas assez pour qu’on sache exactement de quoi il s’agit. « Il faut tout suggérer mais ne rien montrer » se dit-elle.
Elle met ensuite une paire de mocassins bleu foncé, se contemple dans la psyché et se trouve heureuse du résultat.
Luc s’est déjà mis en route, il ne lui faut pas plus de quinze minutes pour faire le chemin, mais il préfère arriver en avance pour… Il ne sait pas trop pourquoi. Il se sent nerveux, ses mains sont agitées de tremblements, sa gorge est sèche, sa voix chevrotante.
Il arrive au lieu de rendez-vous avec vingt cinq minutes d’avance. « Qu’est-ce que je vais faire pour tuer le temps » se dit-il !
Il parcourt la place des yeux et repère une boutique encore ouverte. Il s’y dirige à grands pas et se pose devant la vitrine. C’est un fleuriste. « Et si je lui achetais une rose, ce serait sympa ». Une femme sort du magasin et entame la fermeture du store :
Dans un sourire plein de tendresse, la femme sourit à Luc, attrape une rose rouge et la lui tend.
Tout sourire, Luc repart vers le bar où il a donné rendez-vous à sa belle. Il remarque une fille toute habillée de blanc. Elle a l’air de chercher quelque chose, ou quelqu’un. Il s’approche d’elle et la reconnaît enfin :
Luc avance doucement en direction du bar. Sarah lui attrape le bras et se cramponne après, elle paraît heureuse, un sourire figé sur ses lèvres. Ils arrivent dans l’établissement, et s’installent à une table. Sarah s’assoie d’abord face au jeune homme, puis finalement change d’avis et vient s’installer sur la banquette, à côté de lui.
En disant ces mots, Sarah avait glissé sur le ski de la banquette, et sa cuisse était maintenant collée à celle de Luc. Ils restent là, immobiles et silencieux, à se dévisager. Un serveur arrive, un plateau à la main :
Luc ne répond rien, il se contente de s’approcher de la jeune fille. Leurs lèvres se touchent une première fois, puis une seconde, puis finalement les deux bouches se collent l’une à l’autre. La langue de Sarah se fraie un passage dans la bouche de Luc qui, lui aussi, fait pénétrer sa langue dans celle de la jeune fille. Il pose sa main sur la cuisse de Sarah qui, comme un reflex, écarte légèrement les jambes pour facilité un peu l’accès à son entre-cuisse. Le couple est tendrement enlacer quand le serveur amène les consommations. Luc repousse alors doucement Sarah, qui se recule en faisant une moue de désapprobation. Luc règle immédiatement les deux verres et, se retournant sur la jeune fille :
Sur ces mots, Sarah se lève et tire Luc par la main pour l’emmener. « Tu es folle » proteste-t-il en forçant pour rester assis.
Luc met sa main sur la cuisse de Sarah, mais elle le repousse avec un « non ! » Ferme.
La jeune fille se lève dans un éclat de rire et se pend au cou de Luc.
Luc ne dit rien, il serre Sarah contre lui, par la taille, et l’embrasse à pleine bouche. Elle le prend par la main et l’emmène dans les toilettes. Là, elle colle tout son corps contre celui de son ami et l’embrasse dans un long baiser où leurs deux langues explorent la bouche de l’autre. La main droite de Sarah est descendue et est maintenant posée sur le sexe de Luc, qu’elle sent grossir au travers de l’étoffe de tissus. Luc, lui, tient de sa main gauche une fesse de Sarah et, de la main droite, lui palpe les seins, les pétris, les pince, les caresse. Ses mamelons durcissent à mesure qu’ils sont sollicités. Sarah l’entraîne tant bien que mal, en essayant de ne pas arrêter leur étreinte, vers le cabinet de toilette qui est ouvert à deux ou trois pas de là. Ils entrent et Luc actionne le verrou pour ne pas être dérangé.
Sarah est maintenant à genoux devant le jeune homme et dégrafe son pantalon. Elle le laisse glisser jusqu’à terre et tire sur les pans du caleçon qui subit le même traitement. Le sexe de Luc pointe maintenant fièrement le plafond. « C’est encore mieux en vrai » murmure Sarah. Luc est très fier des dix neuf centimètres de sa verge que surmonte un gland proéminent. D’un geste habile, sans l’aide de ses mains, la jeune fille décalotte le gland. Elle fait rouler la peau du prépuce en n’utilisant que ses lèvres.
C’est la première fois qu’on prodigue à Luc une telle caresse. Il ne peut retenir un soupir de satisfaction. Sarah entame maintenant une fellation très lente, presque douloureuse pour le garçon qui voudrait faire pénétrer son sexe au fond de cette bouche si douce, si accueillante. Elle descend doucement le long de la verge, remonte encore plus doucement, presse délicatement le gland entre sa langue et son palais, le titille du bout de la langue.
Après quelques minutes de ce manège enchanté, Luc est au bord de l’éjaculation. Sarah s’en rend compte et arrête de la sucer. Elle se remet debout et embrasse goulûment le garçon « tu aimes ça non ? » Demande-t-elle en lui mordant la lèvre inférieure. Luc ne répond pas, il se contente de fermer les yeux et de soupirer longuement, comme pour se remettre de ses émotions.
Luc ne demande pas son reste. Il s’agenouille à terre entre les cuisses de Sarah et remonte la jupe jusqu’à mi-cuisse. Il s’arrête un instant pour contempler sa belle. Les jambes ont un galbe réellement parfait. Elle sont épilées de près et il s’en dégage un parfum enivrant. Il pose ses mains sur les genoux et les pousse pour les écarter. Il plonge sa tête et embrasse l’intérieur des cuisses de Sarah qui a la tête basculée en arrière, en appui sur la chasse d’eau. Luc voit le petit string en dentelle bleu ciel dont la partie entre les cuisses est trempée. Il embrasse et remonte vers ce point qu’il vise de ses yeux écarquillés. Luc n’a jamais vu de près un sexe entièrement épilé, et il lui tarde de le découvrir, mais il ne veut pas brusquer les choses.
La jeune fille resserre soudain les genoux, Luc se défait de cet étau et la regarde interrogatif. Elle se cambre, lève les fesses et ôte elle-même sa petite culotte pour présenter son sexe glabre aux yeux de son amant. Le jeune homme est un peu déçu, lui qui se faisait une joie de découvrir petit à petit ce trésor caché. Elle se repose et reprend la même pose, comme si de rien n’était. Luc est maintenant en face à face avec cette vulve ouverte, déjà luisante de mouille et offerte à tous ses caprices.
Sans attendre, il colle sa bouche dessus et donne quelques grands coups de langues. Sarah laisse échapper un petit cri au premier contact. Luc fait pénétrer sa langue dans le vagin de la jeune fille. De ses doigts agiles, il tient les grandes lèvres ouvertes pour facilité le passage de sa langue. Il aspire le clitoris, le mordille, il entre un doigt, puis deux dans cette chatte qui n’offre aucune résistance. La mouille de Sarah coule de plus en plus abondamment sur l’intérieur de ses cuisses et sur le menton de Luc. D’un coup, elle le repousse en arrière et le regarde, les yeux hagards :
Luc ne se fait pas prier. Tenant sa queue d’une main, il se redresse, approche son sexe, raidi par le désir, de l’entrée du vagin de Sarah. Il pose le gland contre le clitoris, joue un peu avec, descend le long des petites lèvres, remonte redescend puis s’enfonce dans un mouvement lent et régulier. Les mains de Sarah son crispée sur les épaules de Luc. Elle se retient pour ne pas crier. Luc commence un lent mouvement de va-et-vient.
A chaque fois que son sexe arrive en butée, le corps entier de Sarah est parcouru de spasmes. Les muscles de son vagin emprisonnent chaque fois un peu plus le pénis maintenant très dur. Luc fait des efforts surhumains pour ne pas éjaculer. Il s’arrête à mi-course et reprend son souffle, mais Sarah cambre les reins pour faire entre le sexe entièrement dans son vagin. Elle se redresse et dit « viens en moi ». Luc reprend son mouvement et jouit au bout de quelques secondes. De longues rasades de sperme se déversent au fond des entrailles de Sarah. Elle s’empale sur le sexe encore tendu et jouit à son tour. Un flot de cyprine mêlée de sperme coule sur le couvercle de la cuvette et finit sa course à terre. Sarah se serre contre le torse de Luc. Il la prend dans ses bras et l’embrasse dans le cou. Ils restent ainsi enlacés un long moment. Luc se relève, Sarah toujours dans ses bras :
Sarah plonge son regard dans celui de son homme :
Quelqu’un frappe à la porte « on peut aller aux toilettes maintenant !! ». Ils éclatent de rire tous les deux. Luc remet son pantalon, Sarah rajuste sa coiffure et ils sortent ensembles des toilettes, dévisagés par des regards inquisiteurs. Ils retournent à leur table pour s’apercevoir qu’elle a été débarrassée et est maintenant occupée par quatre lycéens boutonneux assis autour d’un magazine de mobylettes. Sarah tire Luc par la manche et lui fait signe de la suivre dehors :
En disant ces mots, elle avait ouvert sa main dans lequel elle tenait encore son petit string, tout chiffonné. Luc amène la main de la jeune fille à la hauteur de son visage et renifle à pleins nez les effluves encore humides de Sarah.
Luc la prend par la main et ils prennent la direction de son appartement. Arrivés en bas du bâtiment, Sarah à une moue étrange sur le visage :
Luc part dans un éclat de rire et dit simplement, en tapotant les fesses de Sarah, « A la douche ».
Une fois chez Luc, le jeune homme fait visiter l’appartement à Sarah. Elle est sous le charme cette grande pièce mansardée, des petites fenêtres, du mobilier ancien. Elle l’abandonne un instant pour se rendre aux toilettes et se refaire une beauté. « Tu peux vraiment prendre une douche » dit-il. La jeune fille s’éclipse avec un large sourire. Luc entend l’eau couler et en conclut qu’elle opte pour cette solution. Il prépare un petit plateau télé sur lequel il pose quelques chips, des boisons gazeuses et deux verres. Sarah apparaît dans le salon, drapée seulement d’une grande serviette de bain. Il lui sourit et l’invite à venir le rejoindre sur le canapé.
Elle pose son verre et vient s’asseoir à califourchon sur Luc, posant un genou de chaque côté du bassin de l’homme. Luc l’embrasse tendrement dans le cou et, se souvenant qu’il n’avait pas encore vu les seins de Sarah, fait tomber le drap de bain. La poitrine apparaît, gonflée par le désir, encore moite de la douche. Les mamelons roses se redressent au contact de l’air frais. Luc en happe un et le suce, le mordille, le lèche. Sarah enfonce ses ongles dans le cuir chevelu de son amant. Elle gémit sous ses caresses et frotte son sexe dénudé sur celui de Luc qu’elle sent gonfler sous le tissu de son pantalon. Elle se recule, défait les boutons de la chemise et la retire très vite. Elle embrasse le torse nu de Luc. Elle lui mordille aussi les seins. Luc s’étonne de trouver cette inhabituelle caresse assez agréable. « Elle est décidément pleine de surprises » se dit-il. Elle défait la ceinture, le bouton et baisse la fermeture éclair pour libérer le sexe de son entrave. Luc la pousse sur le côté, se lève et fini de se déshabiller complètement avant de reprendre sa place. Sarah reste à côté et commence à le branler doucement tout en lui léchant la poitrine. Il se laisse aller dans le canapé pour profiter pleinement des caresses qu’on lui prodigue. Il regarde Sarah, elle est à genoux à côté de lui, entièrement nue. Il passe machinalement une main sous les fesses de la jeune fille et lui caresse le sexe. Il n’a jamais vu de fille aussi belle, et elle l’aime, en tout cas elle le croit. Il s’imagine à ses côtés dans quelques années. Une nouvelle caresse le sort subitement de sa torpeur. Sarah a prit ses testicules à pleines mains et les serre tout en continuant de le masturber :
Luc ne pose plus de question et décide de profiter de l’instant. Il s’abandonne dans un long soupir aux caresses de sa belle. Sarah descend du canapé pour prendre place, à genoux, entre les jambes de son amant. Elle lèche toute la longueur de la verge, bombe le torse et emprisonne le sexe de Luc entre ses seins. Elle fait aller et venir son buste contre la queue de l’homme deux ou trois fois, et dans un sourire « Ca marche pas non plus avec toi ». Luc se baisse pour l’embrasser à pleine bouche, comme pour lui ôter ses remords « C’est bien quand même ».
Il aurait voulu qu’elle continue, mais la jeune fille a visiblement d’autres idées en tête. Elle passe ses mains sous les genoux de Luc et les soulève au-dessus de sa tête. Devant elle, apparaît maintenant l’anus de l’homme. Elle le caresse du bout de langue, remonte aux testicules, les prend en bouche, les suce, les lèche, redescend sur la rondelle et en force l’entrée de la langue. Elle humidifie son majeur et, doucement, le fait entrer, phalange après phalange. Lorsque son doigt est entré à fond, elle recommence à lécher les couilles de Luc et, de sa main libre, le masturbe sur toute la longueur de sa verge. Luc commence à trouver cette caresse très agréable et se délecte du moment qu’on lui offre.
Sarah laisse les testicules et commence à sucer le sexe tendu de désir. Elle fait une fellation lente et terriblement profonde. Luc voit son sexe disparaître presque entièrement dans la bouche de Sarah. Le doigt qu’elle lui a introduit dans l’anus se met en action et le sodomise tout doucement. Très régulièrement, le doigt entre à fond dans ce petit trou et ressort presque entièrement. Luc est aux anges. Il sent son gland qui tape au fond de la gorge de Sarah. Elle augmente la cadence de ses allers et venus le long de la verge. Elle la prend entièrement dans sa bouche maintenant. Son doigt se replit et vient caresser, de l’intérieur, la base du sexe de Luc. Elle fait des efforts pour resserrer sa gorge autour du gland. Elle l’emprisonne et le relâche dans un mouvement de succion et d’aspiration. Luc se crispe, se cramponne au tissu du canapé et, dans un cri proche de la douleur, éjacule de longues giclées de sperme dans la bouche de Sarah. Elle ne relâche pas son emprise pour autant et avale consciencieusement tout le liquide chaud et gluant qui coule dans sa bouche. Elle nettoie avec minutie chaque centimètre de la queue qui perd un peu de sa vigueur. Elle reprend position sur lui, à califourchon au-dessus de sa taille, et l’embrasse à pleine bouche. Luc goûte à son sperme dont Sarah vient de se régaler.
Il attrape la jeune fille par les fesses et la fait basculer sur le dos. Il descend le long de ce corps offert, embrasse, lèche, suce, le cou, les seins, le ventre, les cuisses, le sexe. Sa langue s’enroule autour du clitoris gorgé de sang. Il le fait rouler, l’aspire, le suce. Il plaque sa bouche entière sur le sexe béant et humide de Sarah. Elle remonte ses jambes pour lui laisser l’accès libre à son antre. « Mets un doigt dans mon anus » dit-elle dans un souffle. Il lèche tout d’abord l’entrée de ce petit trou. Sa langue en marque les contours, passe dessus, et à chaque fois, ses caresses sont accompagnées d’un soupir de la jeune fille. Il pousse le bout de sa langue dans l’anus, tirant sur la peau autour pour écarter un peu plus les chairs et ainsi pénétrer plus loin.
D’un coup il fait entrer un doigt, accompagné d’un gémissement de satisfaction de Sarah. Un autre doigt de la même main pénètre dans le vagin. Cette double pénétration provoque des spasmes dans tout le corps de Sarah. Son vagin s’ouvre de plus en plus et une quantité importante de cyprine s’en échappe. Luc continue à aspirer le clitoris qui prend maintenant toute la place de sa petite alcôve de chaire. La main de Luc est trempée, son majeur pénètre maintenant sans problème dans l’anus de la jeune fille. Il retire son doigt du vagin de Sarah et l’introduit dans l’anus, à côté de l’autre. Elle pousse des petits cris, se contorsionne, appuie de ses deux mains sur la tête de Luc qui plaque sa bouche sur le sexe trempé et brûlant de la jeune fille. Il fait aller et venir ses deux doigts de plus en plus vite dans l’anus, elle crie de plus en plus fort. Luc ne peut boire tout ce jus qui lui coule dans la bouche. Sarah cambre son corps, ses seins lui font mal. Elle pousse un long gémissement et s’écroule finalement dans un orgasme qui la terrasse littéralement. Luc se couche sur Sarah et l’embrasse. Leurs deux langues se mêlent. Sans demander quoi que ce soit à sa belle, il la pénètre de son sexe. Il arrive en une seule poussée tout au fond de son vagin. Sarah pousse un cri. Elle entoure les reins de Luc de ses jambes pour l’inciter à rester là sans bouger. Ils s’enlacent, Luc au plus profond du corps de Sarah. Ils s’embrassent et s’endorment finalement, repus de sexe.
Elle ne répond pas, se contente de se tourner sur le côté et se rendort aussitôt. Après s’être soulagé d’une envie qui lui tiraillait la vessie, Luc revient vers le canapé. Il s’assoie au bout, prêt des pieds de Sarah, et boit un grand verre d’eau tout en lui caressant les pieds et les chevilles. Elle se redresse et lui sourit.
Sans lui demander, il se lève et, passant une main sous les genoux de Sarah et une autre sous sa nuque, il la soulève et l’emmène jusqu’au lit. Il la pose doucement et s’étend à côté d’elle. Elle passe ses mains autour du cou de son amant et l’embrasse avec passion :
Elle se colle à lui et s’endort. Luc se sent bien, il est peut-être amoureux.
A suivre…