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n° 07020Fiche technique26751 caractères26751
Temps de lecture estimé : 16 mn
31/01/04
Résumé:  Sevrée depuis trop longtemps je rencontre régulièrement un homme qui va me faire jouir
Critères:  fh volupté hdomine fellation fsodo ecriv_f
Auteur : Sylvie  (Femme célibataire)      
Une chaude soirée


Lorsque je cours bien, je sens tout mon corps profiter de cet effort, c’est comme un engourdissement agréable. La douche qui suit est divine et le reste de la journée se passe agréablement. Le jogging je l’ai découvert au moment de mon divorce. C’était un moment dur à vivre lorsque deux êtres qui se déchirent. Il me fallait un expédient, aussi sur les conseils d’une amie j’ai commencé à courir. Pour moi, pour m échapper au stress. Cela m’a aidé à franchir le cap.

Je m’appelle Sylvie, j’ai 36 ans. divorcée donc, je suis grande, 1,80 m pour 67 kg. J’ai les cheveux mi long qui me tombent sur les épaules, brune avec des iris couleur noisette. J’ai les pommettes hautes et les yeux légèrement bridés, on me dit eurasienne, pourtant à ma connaissance, je n’ai pas d’ancêtres habitant de l’autre côté de la planète. J’aime bien mes jambes, longues, et musclées, mon ventre est plat et le suis assez fière de ma poitrine 90 b que je dois bien maintenir lorsque le cours. Je n’aime pas sentir mes seins ballotter à chaque foulée. Lorsque je courrais au début, j’avais plus mal aux seins qu’aux jambes, ce n’est qu’après que j’ai appris qu’il existait des soutien-gorge pour sportive. Dans le cadre de mon travail, mes collègues apprécient la collaboratrice que je suis. Ils m’estiment compétente et très professionnelle. Je bosse dans les réseaux internet, et j’aime ce job. Si parfois mes collègues mâles m’invitent à leurs conversations « machistes » je prends assez de distance pour m’amuser de leurs plaisanteries, tout en prenant une certaine distance. Je n’ai jamais eu d’aventure avec aucun d’entre eux et ne le préfère pas. Un bruit court sur moi que depuis mon divorce, je serai plutôt gouine qu’hétéro ? Comme cela m’arrange, je laisse dire.


Mais je ne le suis pas. Mon ex m’a fait découvrir des plaisirs que je ne soupçonnais même pas. Parfois, non souvent, je regrette les caresses qu’il me donnait, mais comme il les prodiguait à d’autres, qu’il avait une fâcheuse tendance à boire et avoir l’alcool méchant, nous nous sommes séparés. Je vis donc seule, dans une grande maison, longeant un chemin que borde une rivière. C’est là qu’en courrant je me ressource


Depuis quelques temps j’ai remarqué parmi les coureurs habituels du dimanche, un homme qui lui court tous les deux ou trois jours. Je le vois passer le soir devant ma maison. La quarantaine, la foulée alerte, mince, le cheveu légèrement grisonnant, les poings serrés il court le regard droit devant lui, ses mollets sont anormalement musclés. Il a quelque chose en plus. Chaque soir je le regarde passer, oui il est pas mal. Aussi, au printemps j’ai fait installer devant la maison un banc, devant lequel il passe. Bien sur je m’y suis installée guettant son arrivée.

Les premiers soirs c’étaient des « bonsoirs » de politesse, son regard était toujours fixé droit devant lui. Aussi, au lieu de mes jeans traditionnels, j’ai décidé de remettre mes jupes. Là jambes croisées, un livre à la main, j’ai pu constater que son regard était moins rigide. Qu’il me voyait enfin et me souriait à chaque fois qu’il passait devant moi.

Au bout de quelques jours, il s’est arrêté.



Je souris, en plus il n’est pas bête)



Il se leva.



Et il repartit en petite foulée.

Durant la nuit je ne cessai de penser au timbre de sa voix, grave, et de ses yeux d’un bleu acier, pénétrant. J’avais l’impression de sentir mon corps se réveiller.


Durant la semaine qui suivit je n’ai pas eu le temps d’aller lire. Un coup de bourre important au bureau faisait que je rentrais trop tard pour le voir passer.


La semaine d’après le soleil était doux, je m’étais installée sur le banc lorsque je l’ai vue de loin arrivé. Il s’arrête



Avant de partir, il me fit la bise. Je fus un peu surprise, mais après tout pourquoi pas.


Appelée en urgence à l’étranger, je n’ai pas pu être présente la semaine suivante. Je rageais, mais bon, il y a des priorités. Le mardi soir suivant je me suis retrouvée assise, mais il n’est pas passé. Les deux jours suivants non plus.


Le vendredi absorbée par ma lecture, je ne l’ai pas entendu arrivé.



J’ai sursauté.



Je le lui ai brièvement expliqué.



Jetant un coup d’œil à ma montre, j’avais un rapport à finir, je répondis oui.



Deux heures, j’avais deux heures devant moi, vite, une douche et me préparer. Je me sens nerveuse, excitée…. J’ai envie de me calmer en me caressant, je me retiens. Je sors de la cabine, trempée ( dans les deux sens). Je me sèche, enfin, comme je le peux.


Nerveuse, j’ai du mal à trouver ce que je veux mettre. Je jette mon dévolu sur une petite robe, noire moulante, et après. Avec ou sans soutif ? culotte ou string ou rien du tout. Selon ce que je porterai je serais considérée comme une fille facile ou réservée. Qu’est ce que je voulais ? Où étaient mes priorités ? Etait-ce du désir ou de l’amour que j’avais pour cet homme ? je me prenais la tête avec toutes ces questions, pendant que je me maquillais légèrement, en soulignant mes yeux au crayon.

De plus me reviennent en flasch certaines scènes de jadis, avec mon mari, lorsqu’il me prêtait à ses amants et où je me prêtais à leurs jeux…Trois ans sans amour, et là, comme une déferlante une vague de passion prend possession de mon corps.

Alors, quoi merde décide toi, avec ou sans sous vêtement ? Putain ou bourgeoise ?


Après tout, je ne lui dois rien, il ne me doit rien, et je ne me sens pas prête pour une histoire d’amour avec un mec dont je ne savais même pas s’il était marié, Tous les mecs sympas sont pris, leur femmes ne sont pas folles à les laisser partir. Marc est probablement marié, il va chercher une excuse pour s’absenter auprès de sa femme. Je connais assez les hommes pour savoir qu’ils préfèrent une amante à une femme.


Très bien, ce sera putain de luxe. ( Même si je ne compte pas me faire payer )


Aussi, je décide de me faire plaisir. Mon corps réclame son dû des caresses que je pourrais obtenir tout à l’heure. Je ne mets pas de sous-vêtement. Ma chatte ruisselle


Je me regarde dans la glace, les pointes de mes seins semblent vouloir percer le tissus de ma robe. Ils ne tombent pas. Je les sens un peu plus, surtout lorsque je marche, le frottement excite mes tétons. Pas de trace indélicate de petite culotte, ma hanche est fluide sous le tissus.


Je tremble, non de froid, d’impatience, de désir. J’ai juste le temps de préparer quelques boissons. J’ai les yeux rivés sur l’horloge. Au troisième coups de huit heure, la sonnerie retentie. Un dernier regard affolé au miroir, j’ouvre.


Un énorme bouquet de fleurs chatoyantes.



Maladroitement j’apporte le plateau. Il me déshabille du regard en souriant.



Il éclate de rire



Je me sens rougir



Je lui explique, mon divorce mon travail. Il m’écoute gentillement patiemment. Après un long silence de ma part il prend la parole



C’est sorti tout seul



En baissant la tête je réponds oui.



Je m’approche tout prés de lui.



Sans attendre ma réponde, il pose la main sur ma poitrine. Je ferme les yeux. Sa paume me caresse, me palpe délicatement le sein.



Obéissante je me place debout devant lui



Je pivote.



Cm par cm, je la remonte, laissant apparaître à mon spectateur ma stricte nudité.



Naïve, je pensais qu’il allait se jeter sur moi, non au contraire. Il se lève, se pince le nez dans une intense réflexion



Là j’ai l’impression de prendre le pas sur lui. Mon trouble depuis que je sais qu’il va venir, c’est envolé, j’ai l’impression d’être redescendue sur terre, je me sens froide lucide tout d’un coup. Il me regarde ne sachant pas comment reprendre



Il sort de sa braguette un membre de belle dimension qu’il tient entre sa main



Renversement de la situation, je me sens de nouveau gauche, sans voix, excitée. J’ai du mal à avaler ma salive, le membre est épais, voir large, mais en même temps d’une bonne longueur, j’ai du mal à détacher mes yeux de ce morceau de chair



J’ai la gorge sèche, mais l’eau à la bouche. Je suis à 1 mètre. J’avance la main. Il me prend le poignée



En même temps je prends sa queue dans la main, mes doigts se referment sur elle. Retrouver cette sensation de chaleur, de fermeté, et de douceur. Pour mon plaisir, je commence doucement à la faire glisser dans ma paume les yeux fermés. Je me rapproche. Le regarde, son regard est intense, nous nous recherchons, nous défions les yeux dans les yeux, alors que je continue de la masturber doucement.



Je l’embrasse, nos lèvres se collent, sa langue glisse et cherche la mienne, nerveusement, comme si elle voulait prendre possession de ma bouche. Ses doigts palpent ma poitrine, s’attardent sur mes tétons, les font rouler pincent au-dessus du tissus. Ma poitrine se gonfle, mes tétons deviennent durs. Doucement je me dégage lui mordille la langue



Je ne réponds rien et me glisse à ses genoux. Sa queue est à quelque cm de mon visage. Je le défie du regard en esquissant un sourire. Je pose les mains sur ses reins, puis je me concentre sur la « chose » . Une queue démontre le caractère de son propriétaire, quand elle est petite, le mec est à 90 % un lapin, il n’a pas d’endurance. Celle que j’ai sous les yeux est d’une belle taille, pas de celle qui font les records, mais assez longue entre 19 en 21 cm, large, j’ai du mal à en faire le tour avec le pouce et l’index. Le prépuce cache encore le gland qu’à cela ne tienne, je le reprends en main et délicatement le décalotte. Il m’apparaît enfin, brillant un peu rouge, son « œil » me regarde. L’ensemble me semble sain. Doucement j’y porte le bout de ma langue. Mes papillent réagissent vite au goût, âcre, légèrement acide. Je sors la langue et le place au creux , juste au milieu de ma langue. Je lui léchouille le frein, puis remonte pour faire un tour complet de son gland. Ma salive se mèle à ses secrétions. Je replace la main sur son rein pour entamer un « tête à queue » Je salive fort. J’ouvre la bouche pour le sentir glisser entre mes lèvres, sur ma langue. Je creuse les joues en l’aspirant, c’est un « suc d’ogre ». Je fais attention à ce qu’il ne touche pas mes dents. J’essaie de le prendre le plus loin possible. Je le sens encore grossir dans ma bouche, vivre, palpitait. Cela faisait si longtemps, trop longtemps. Je le suce avec application, amour, comme mon ex m’avait apprit à faire, mais tout me revient automatiquement, la position de mes mains, ma tête, ma langue, la manière de prendre sa queue de l’aspirer, la relâcher avant de la reprendre avec fougue. À un moment son gland force un peu trop ma luette. Je suis surprise, déconcentrée, un haut le cœur me prend, j’avais oublié cette sensation pas très agréable je dois dire. Je me recule sa queue sort, luisante sur presque toute sa longueur. Je m’essuie la bouche d’un rapide et discret revers de la main. Je me redresse assez satisfaite. Il me prend le menton, plonge ses yeux en moi.



Doucement il me recule. Je sens le canapé derrière moi. Je m’y assois. À son tour il se met à genoux devant moi, écarte mes cuisses, ma robe remonte. Je l’aide. Sa joue se pose sur ma cuisses, ses mains se placent de chaque côté de mes cuisses, sa langue remonte doucement vers mon minou, laissant une sensation de chaud et froid. Il se redresse. Se place de façon à trouver ses aises. Retire enfin son blazer, déboutonne sa chemise, la retire. Je suis devant lui les jambes écartées. Ma chatte ruisselle, il plonge entre mes jambes, je ne vois que ses cheveux poivre et sel, ne sens que sa langue qui remonte sur ma cuisse et mon cœur qui bat. Il ouvre encore un peu plus mes cuisses, sa langue évite tout contact avec ma chatte, mais passe sur les côtés. Il me fait tourner bourrique, la tension devient si forte. Je passe les mains sur sa tête pour le diriger là…là…Lorsqu’enfin le contact se fait, c’est comme un éclair dans ma tête, un violent orgasme me secoue, par vagues je sers les cuisses, emprisonne sa tête, pendant que sa langue appuie sur ma vulve si sensible, s’insinue dans ma grotte. Je me détends brusquement, me relâche anéantie, sans force. Il se relève. Je le perçois dans un brouillard, le bas du visage, barbouillé de ma mouille. Souriant.



Sa langue encore pleine de cyprine mèle sa salive à la mienne. Nous sommes blottis l’un contre l’autre, ne disant rien, je sais son envie encore intact. Je «la » sens présente entre nous, j’y glisse la main dessus.



Il se lève, sa queue sort de manière obscène de son pantalon qu’il défait. J’en profite pour enfin retire ma robe, complètement froissée. Je le regarde de profil, il est bien bâtit, pas de ventre, même un dessin d’abdo. À côté de lui je me sens fluette. Sa queue retombe un peu.



Je souris, compréhensive



En souriant il revient nu



Sur le même ton je réponds



Je me retrouve donc devant lui, les mains posées sur ses fesses, alors qu’il pose les siènnes sur ma tête.



A peine ai-je ouverte la bouche que sa queue y prend possession. Il m’incline la tête en arrière, ne me laissant pas d’autre initiative que de le « subir ». il commence doucement à faire venir sa queue dans ma bouche en bougeant son bassin. Sa queue retrouve vite la vigueur qui s’était estompée. Je le sens en pleine force sur ma langue.



Je prends une grande respiration, maintenue, il enfonce sa queue plus profondément…je salive beaucoup….sa queue glisse au fond de ma gorge…je me maîtrise, le sens glisser….jusqu’au moment où ses couilles touchent mon menton…..Il reste quelques secondes comme ça et se retire avec précaution.



De nouveau sa queue s’enfonce complètement dans ma bouche. J’ai la gorge serré, les larmes qui viennent au coin des yeux, lorsque ses couilles s’écrasent contre mon menton. Quelques secondes qui me paraissent interminables, puis il se retire.



Je me dit qu’en se relâchant, il devient vulgaire mon partenaire, mais je ne m’en offusque pas.



Je m’installe confortablement, la tête sur les bras. . lui présente mes fesses. Ses doigts commencent à passer du gel sur ma raie, il me tartine bien le petit trou. Je me détends…je sens ses doigts glisser, chauds, durs, de ma fente à mon petit trou. Qu’il badigeonne bien. Puis je sens un de ses doigt qui force le passage étroit, comme pour y défricher un chemin. Il le tourne, en moi, pour vérifier l’élasticité de mon anus. hummmm, Je m’attendais à un peu de douleur, même pas. Rien que du plaisir. Un autre doigts rejoint le premier….Puis un troisième. Il sait y faire….je passe la main entre mes cuisses et délicatement je commence à me caresser la vulve. Au bout de quelques instants de ces caresses , je me sens de nouveau très excitée.



Il retire ses doigts. Me prend aux hanches. Place sa queue sur ma rosette et commence à appuyer. Je me caresse plus fortement le clitoris, il pousse…je l’aide en allant vers sa queue. Je la sens qui ouvre le passage étroit, c’est gros…c’est fort..Centimètre par centimètre, je sens son gland forcer et enfin passer mon anus. Je pousse un petit cris



Petit à petit je me sens envahir par une douleur que je connaissais bien et par l’approche d’un grand plaisir qui ne l’était pas moins. Avec de plus en plus de fermeté, il me chevauche. Ses mains bien calées, il me prend en prenant son plaisir. Je me caresse en même temps, je sens qu’à ce rythme il ne tiendra pas longtemps, moi non plus, déjà, hélas, les premiers soubressauts. Il gémit, grogne et enfin se lâche. Je sens son foutre éclater en moi. Il crie sa jouissance, alors je me laisse aller une seconde fois au plaisir qui déferle en moi comme une vague de fond. C’est si…bon.

Il reste affalé sur moi, Nous sommes en sueur. Je me dégage lentement. Son membre glisse en dehors de moi avec son foutre qui me coule le long de la cuisses. Il ne bronche pas. Mes jambes sont en coton. Je me laisse glisser à terre. Je vois son membre qui pend…C’est plus fort que moi…je pose la nuque sur le siège du fauteuil. Sa queue est molle sur ma joue.



Je ne réponds pas, la reprends en bouche. Le goût est fort . Je « la » sens tressaillir. Je veux simplement le nettoyer, doucement, amicalement. Cm par cm je l’enduit de salive. Instant magique. Je commence à le sentir durcir…



Je me dégage pour lui répondre



Il se relève, je le vois rechercher ses vêtements. Je reste là à le regarder. Une fois habillé il se plante devant moi.



Il se penche vers moi m’embrasse, tendrement, se relève.



Dernier sourire, la porte se referme sur mon univers, 23h30, hummm je me sens bien. Une douche et au dodo.