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n° 07034Fiche technique5172 caractères5172
Temps de lecture estimé : 4 mn
01/02/04
Résumé:  Voyage peu commun dans un train fantôme.
Critères:  fh hagé inconnu intermast fellation ecriv_f
Auteur : Nathalie D  (Jeune femme de bonne famille)      
La fête foraine


La fête foraine vient s’installer à Rouen pour quelques semaines, mon ami et moi décidons d’y aller un week-end. Ce jour-la, comme tous les jours en Normandie, le temps est froid, humide et pluvieux, je porte un pantalon serré noir en stretch avec un pull moulant en laine rose et au col évasé (et sans soutien-gorge), le tout sous un long parka bien chaud.


La foire est située le long de la Seine, il y a toutes sortes d’attractions, auto-tamponneuses, du tir, du saut à l’élastique…etc… Je mange une pomme d’amour, en nous promenant, le sucre rouge accentue mon rouge à lèvre, rendant ma bouche toute collante.


Mon copain ne pense qu’à faire le grand huit, moi je n’aime pas ce genre de sensation forte, alors, gourmande comme je suis, j’achète une barbe à papa pendant qu’il s’envoie en l’air. J’essaye de la manger le plus proprement possible, mais mon menton devient rapidement collant. Je le délaisse dans une salle de jeu pour m’offrir un train fantôme " le moulin des supplices ", tout un programme, la vieille femme au guichet porte de grosses bagues de voyante avec une écharpe sur ses cheveux blancs. Une fois le train à moitié rempli, nous pénétrons dans un tunnel complètement noir, des cris de peurs et de douleurs résonnent dans la pièce, puis des rires sadiques. Nous accédons ensuite dans la pièce des tortures, des mannequins de cires sont torturés, il y a une table d’écartèlement, un pendu… Le tout, sous des couleurs bleutées et rougeoyantes, j’ai l’impression d’être dans une " série B " italienne de Mario Bava.


Dans la pénombre, ou domine des toiles d’araignées et des squelettes, un gorille surgit du néant, il passe de wagon en wagon en faisant rire les garçons et crier les filles… Voyant que je suis seule dans mon wagonnet, notre gorille en profite pour me peloter les seins d’une main tout en ébouriffant mes cheveux de l’autre, ses grognements de bête me font sourire malgré moi. Cela semble l’inciter à aller plus loin, sa grosse patte en poil synthétique passe sous le parka et masse bien mes grosses mamelles au travers du pull. Je ressors du " moulin des supplices " avec les seins durs et les tétons tendus sous la laine. Les pupilles dilatées et les cheveux en bataille, je redemande au guichet un nouveau ticket sous le sourire malicieux de la vieille femme.


Je m’arrange pour me mettre dans le dernier wagonnet, en ajustant mes gros lolos sur la barre de sécurité comme pour les lui offrir. J’en suis tout excitée de retrouver ce gorille vicieux, j’ouvre bien grand le parka et attends patiemment mon tour. King-kong semble me reconnaître, il se jette sur moi en tirant violemment le pull vers le haut, je me retrouve les seins à l’air et bien relevés par la barre de sécurité. Il commence à me les peloter, la fourrure de ses pattes excite terriblement mes tétons. Debout face à moi, je le vois ouvrir une fermeture éclaire entre ses cuisses.


De la fourrure bestiale, sors une petite queue raide d’humain, elle semble usée par le temps, les poils pubiens sont blancs.


En la regardant je me dis qu’elle a dû souvent servir, mais le vieux gorille me sort de mes pensées en pousse ma tête sur sa petite trique.


Je le suce, mon menton collant de barbe à papa se mélange dans ses poils. Les deux mains dans mes cheveux, il me donne de petits coups rapides dans la bouche pour terminer son affaire au plus vite. Je vois son masque velu tourner de gauche à droite, de peur d’être vu. Je ne vois de lui, que ses petits yeux noirs, brillants, et son vieux sexe rabougri.


Il me baisouille la bouche comme un chimpanzé. Ces va-et-vient sont de plus en plus saccadés, il continue de jouer son rôle de primate en grognant de terreur ! je ne peux m’empêcher de sourire avec sa queue en bouche.


La lumière du jour apparaît au bout du tunnel, nous sommes à quelques mètres de la sortie lorsque je sens sa semence envahir ma bouche endolorie, il ne me laisse même pas le temps de lui vider entièrement les bourses, il se retire d’un coup, laissant partir ses dernières éjaculations dans le vide. Un filet blanchâtre vient s’écraser sur ma poitrine. Juste avant de quitter le wagon, je le vois m’attraper une poigné de cheveux pour s’essuyer le gland dessus, il le presse bien pour en déposer une belle gerbe.



Il saute du wagon la queue à l’air, afin de retrouver sa caverne


Je ressors du train toute étourdie, j’ai son goût de sperme dans la bouche. Je réajuste mon pull qui se colle contre mes seins souillés, recoiffe mes cheveux ébouriffés, mes mèches sont engluées de foutre, je m’en sers comme d’un gel pour les remettre en place… Sans penser aux détails, je retrouve mon homme, il rigole aussitôt en me voyant, " bas quoi ? ! " je lui demande l’air étonné, " tu portes la barbe maintenant ? " me dit-il…


(Ca m’apprendra de manger une barbe à papa avant de sucer un gorille !)


Nathalie D. (Mèche brune)