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n° 07035Fiche technique13261 caractères13261
Temps de lecture estimé : 8 mn
01/02/04
Résumé:  Une infirmière téléphone à un ancien patient plûtôt salace. Elle ne sait pas qu'elle va découvrir le plaisir intense.
Critères:  fh fhh fsoumise voir exhib photofilm fellation cunnilingu fdanus ecriv_f
Auteur : Marjoriebp      
Une soumission inattendue


Je m’appelle Marjorie. J’éprouve un besoin de révéler aux lecteurs de revebebe (je suis parfois lectrice), ce qui m’est arrivé la semaine dernière. Le fantasme conduit parfois hors des frontières du raisonnable. J’ai vingt sept ans. Je mesure 173 cm, brune aux cheveux bouclés, mon tour de poitrine est de 85c. Je vis seule avec ma fille. Je travaille comme infirmière. C’est de là que tout a commencé.


Un jour, je m’occupai des soins du patient de la chambre 16. Les collègues m’avaient prévenue : il est obscène et ne parle que de sexe. J’étais là au côté de son lit, seule avec lui. Il me prit prestement le poignet et m’attira vers lui :



Il me relâcha :



Il retira de sa veste de pyjama un papier :



Il me tendit le papier :



Déconcertée, pour fuir cette relation désagréable, je pris ces coordonnées, les mit dans ma blouse et je tournais les talons et je l’entendis dire :



C’en était trop ! Je fermais la porte de la chambre et demandais à ne plus soigner ce triste individu.


Un mois, après, la semaine dernière, j’étais seule. Ma fille était en vacances chez mes parents. Dans cette solitude, je rangeais quelques papier quand mon regard se posa sur le papier du patient de la chambre 16. Il avait inscrit sous son numéro de téléphone, ces mots vulgaires qui à ma surprise me troublèrent :

"juste de bouffer la chatte et mettre mon doigt dans ton cul".

Ces mots électrifièrent mon corps. J’étais troublée et pendant l’heure qui suivit, je n’arrivai pas à me défaire d’eux. Allais-je appeler ? Probablement, après les propos qu’il avait tenu, il m’avait donné un faux numéro.

J’hésitais. J’étais curieuse et mon envie me titillait. Qu’importe, faux ou pas, au téléphone, je ne risquais rien qu’une excitation sans lendemain. Je pris mon téléphone et fit les numéros.



Il y avait lui au bout du fil.



La voix me troubla. J’étais allée trop. Une force me poussa à répondre.



Il répondit comme dans la chambre :



Il fallait que je réagisse, que je l’envoie paître. Mais j’étais comme hypnotisée. J’aurai dû raccrocher, peut-être.. Mais, ma voix dit tout autre chose :



D’une voix automatique, je lui la donnais.



Il raccrocha.

Je restais dix minutes dans un état second entre inquiétude et plaisir, gêne et envie.


Ma sonnette enfin retentit. Allais-je lui ouvrir la porte. À nouveau, une envie me poussa à le faire.

Il était là devant moi droit, bedonnant, un peu chauve, arrogant, sûr de lui. Avant même que je dise un mot, il avait mis un pied dans l’appartement.

Je le devançai jusqu’à la cuisine. Pour détendre l’atmosphère, je lui demandai :



Enlèves ton pantalon et tes chaussettes, ajouta-t-il d’une voix qui n’admet aucune contradiction.

Ma volonté était annihilée. Je surpris mes mains en train d’ôter les vêtements qu’il avait demandé.



Les jambes nues, je mis mes mains devant ma culotte.



Il s’approcha de moi, je ne pouvais réagir. Il ôta lui même le pull et la chemise qui me protégeaient de son regard sale et attirant. J’étais presque nue devant un inconnu, toute excitée, en culotte et en soutien-gorge.



Ma culotte se remplissait de mouille. Je voulais dire non et je dis :



Il contacta son ami par son téléphone portable.



Un autre inconnu allait assister à ma soumission volontaire. J’étais dans un état de honte et d’excitation extrême.



Il vint. Il était presque aussi gêné que moi.

Barbu, habillé d’un pull et d’un pantalon noir, il faisait négligé, un peu sale.



Je menais mes inconnus dans ma pièce principale.

Le deuxième individu s’assit sur un fauteuil.


Pierre prit une chaise. J’étais toujours en slip et soutien-gorge devant eux.



Je lui obéis. Des fois sur sa cuisse, il ma caressa la jambe, le ventre, sans toucher à ma culotte. J’étais au comble de l’excitation.

Il libéra mes seins du soutien-gorge, et roula mes mamelons entre ses doigts.



J’exécutai l’ordre. L’autre me dévorait des yeux et j’étais fière d’être l’objet de cette concupiscence.



Je défis les boutons de sa braguette, sortit de son slip un vit frais émoulu pour le plaisir.

Je dégrafai son ceinturon, tout en léchant son ventre rond. Je baissai le slip et le pantalon, et descendit lui lécher les couilles avec la langue. La sensation était douce. Il me caressait les cheveux. Je remontai la langue le long de son pénis et tout à coup aspira son sexe dans ma bouche.

Il gémissait.



Il est vrai. Magiquement, j’insinuais un rythme parfait et saccadé au mouvement de ma bouche. La crispation de sa jambe me fit comprendre qu’il allait jouir. J’allais me retirer. Il me maintient la tête pour empêcher toute fuite.



Je suffoquais. Tout à coup, le liquide chaud de sa semence emplit ma bouche jusqu’au palais.

Je n’avais jamais avalé auparavant. Je trouvai ce goût de sperme onctueux et enivrant. Il me libéra la tête.



Son sperme sur les lèvres, j’effectuais ce qu’il me demandait. Mais, là, revenue à une demi-conscience, un sentiment de honte parcoura mon corps. Je croisai le regard de l’autre inconnu.



Pierre quitta la pièce.


Je me trouvais seule face à l’inconnu, les seins à l’air, la culotte mouillée. L’un face à l’autre, le silence était lourd et la gêne intense. Je le coupai la première :



Je voyais maintenant distinctement qu’il bandait.

Je lui dis une phrase folle :



Une voix retentit. Pierre entra dans la pièce :



Je fus prise de panique. Son ami se leva du fauteuil.



Le ton vulgaire de l’ordre me le fit exécuter immédiatement.


J’étais maintenant nue devant deux hommes que je ne connaissais pas deux heures auparavant.



Je m’exécutai.



Je me pliai à sa volonté.

La position était inconfortable. J’y parvenais tout de même. Ils avaient une vue imprenable sur mes intimités. J’avais honte et je jouissais.

Les deux hommes rigolaient derrière moi. J’attendis le cliquetis d’un appareil photo.

Je ne m’affolais pas.

Pierre s’approcha de moi :



Pierre me tapotait maintenant les fesses.



Je dus répéter quatre fois, soumise, jusqu’à crier.



Enfin, je sentis son doigt prendre possession de mon anus, puis vint sa langue déverser sa salive.

Lentement posément. Au bout de quelques minutes de ce jeu voluptueux. Il me retourna. Il joua d’abord avec mon clitoris, me lécha la chatte tout en mettant un doigt dans mon cul. Trois orgasmes vinrent secouer mon corps. Je n’étais plus qu’une poupée de plaisir lorsqu’il se retira de mon intimité. J’aurai voulu qu’il me baise, me pénètre.



J’aurai aimé que son ami le fasse à sa place.

Non, il était venu pour çà et ne me donnerait rient d’autre que ce qu’il avait promis.



Je me laissais faire, humiliée, insatisfaite mais heureuse.

Pierre vint à mon oreille et sa voix se fit douce.



Il prit un feutre et m’inscrivit ses coordonnées sur le ventre.



Il quittèrent l’appartement me laissant nue sur le fauteuil, dans un monde de luxure où les bruits du monde contemporain sont absents et lointains. Je mis près de vingt minutes à reprendre mes esprits, le goût du sperme dans la bouche. Entre honte et encore envie, je passai à la couche. Je vis le numéro laissé par Pierre sur mon ventre. Je l’inscrivais avec un bâton de rouge à lèvres sur un coin de ma glace. Je n’irai jamais là bas et je ne reverrai plus ce salaud de Pierre. C’était ma révolte du soir.

Mais qui sait ce qui peut arriver dans la vie d’une femme libre qui suit dangereusement le fleuve ombrageux de ses pulsions et de ses fantasmes.