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n° 07041Fiche technique6275 caractères6275
Temps de lecture estimé : 5 mn
02/02/04
Résumé:  Elle a mis une tenue pour lui plaire, il va la découvrir sous sa jupe avec ravissement. Elle lui montre un truc qui lui plaît énormément
Critères:  fh couple odeurs anulingus uro lingerie exhib fmast
Auteur : Paul3  (Paul)
Cet après-midi là


Cet après-midi là, elle est venue me voir chez moi vers 14 heures. Après l’avoir invitée à entrer, je lui offrais de boire quelque chose dans la cuisine. Elle avait un de ces airs coquins que je lui connais pendant les périodes de pleine lune.


Manifestement elle ne s’intéressait absolument pas à ce que je lui racontais, elle ne semblait pas même m’entendre.


Que se passe-t-il au juste pour que tu sois si distraite ?


Elle me répondit en se penchant vers mon oreille : Tu sais, je me suis préparée pour te faire plaisir. Je suis fatiguée par ma journée de travail mais je pense à ma tenue cachée, je suis sûre qu’elle va te plaire.


Mon ventre fit un bond. Non! Qu’est-ce que tu portes ?


Sous la jupe j’ai mis les collants ouverts que tu m’as offerts, regarde, dit-elle en faisant glisser le tissu de sa jupe jusqu’au-dessus de ses genoux. Et je porte le string en velours de noir, celui qui te plaît tant… me sussura-t-elle à l’oreille. Je frissonnais d’aise. Elle se leva, abandonnant sa tasse de café pour se poster devant l’évier et se servir un verre d’eau. En une seconde j’étais à genoux derrière elle et mains étaient sur ses jambes. Elle se dégagea en se retournant et, me lançant un regard coquin : mais je t’avertis, je ne suis pas de la première fraîcheur… J’étais en route toute la journée.


Ca ne me gêne pas du tout, au contraire…, tu me connais !


J’enfouis ma tête sous sa jupe, à la manière du photographe d’antan. Ah, ses belles cuisses fermes, enveloppées de nylon, la lisière des ouvertures ovales qui dévoilent sa peau si douce… Mes mains couraient en tous sens, s’attardaient sur la limite de la maille de nylon, s’aventuraient sur le tissu de velours noir sur son pubis. Elles rampaient sur son fessier magnifique et un doigt s’égarait dans la dentelle formant de petites poches derrière les hanches. J’approchais mon nez de l’entrejambe… Une douce odeur de sueur mêlée à un fumet de pipi fit frissonner mes neurones excités. Mes mains sur ses fesses s’approchaient de la raie pour irriter le fil du string pendant que je caressais doucement le tissu par-devant avec mon nez. Elle soupira, se détendant et gémit doucement. Puis c’est ma langue qui se promena sur la culotte. Elle leva une jambe pour la poser sur mon épaule. Le périnée m’était offert… j’y mis mon visage, ma bouche. Le tissu était un peu humide et sentait son urine. Mes lèvres jouaient avec le velours et le sentaient glisser sur les siennes qui se mettaient à gonfler : ses plis étaient déjà mouillés et son excitation grandissait encore, le tissu s’en imprégnait lentement. Ma langue poussa la culotte sur le côté et se mit à explorer les poils de ses grandes lèvres, les replis dont le goût de miel mêlé à l’ammoniac me ravissait. Je n’en pouvais plus, d’une main j’essayais d’ouvrir mon pantalon pour dégager mon sexe douloureusement comprimé. Ouf ! Je réussis à le mettre plus à l’aise. Elle s’était tournée et appuyée d’une main à l’évier se cambrait, de l’autre releva la jupe. Aaah ! La vue de sa croupe encadrée par le collant ouvert, son sexe enfermé comme un fruit trop mur dans le petit sac de tissu luisant, ses lèvres séparées en un minuscule sillon et les globes de son fessier se tendant, dévoilant le fil du string et barrant l’étoile sombre de son orifice tabou ! C’en était trop pour moi. Je plongeai mon visage entre les fesses et léchai avidement sa raie. Elle gémit et écarta le slip. Je pouvais aller et venir du sacrum jusqu’au clitoris avec ma langue, glissant sur ses jus abondants, appréciant le goût salé et les odeurs interdites de son trou noir. Je m’attardai sur son bouton, désirant le faire gonfler comme un petit pénis. M’appliquai à la naissance d’une de ses petites lèvres, là où elle est si sensible. Et longuement tournai autour de son orifice amer qui me donne le vertige. J’étais ivre, mon sexe dégouttait sur le carrelage et quand je le pris dans la main, il explosa contre sa jambe Je me noyai dans un cri étouffé entre ses lèvres, le nez dans son cul ! Et m’écroulai, le dos sur le carrelage, les bras en croix.


Elle était restée les jambes ouvertes et remontait lentement la jupe sur ses hanches. Je voyais à nouveau son beau fessier offert, sa main droite massant son sacrum et tandis que ses hanches ondulaient, ses doigts apparaissant, caressant doucement les lèvres par-devant. Je jouissais du spectacle, éteint, les yeux paresseux. Elle tempérait son plaisir de femme, consciente de plaire plus encore dans cet état d’excitation. Puis elle prit au-dessus de l’évier un grand verre à bière et lentement s’accroupit face à moi. Je me redressai d’un bond.


Et maintenant, la suite du cadeau ! Accroupie, la culotte cachant à nouveau son sexe, elle dit : Oh, j’en peux plus, il faut que je me soulage. Les lèvres enserrées dans le tissu semblaient démesurément gonflées et vouloir faire craquer le tissu. Elle ajusta le verre sous elle et se mit à pisser à travers le triangle noir. Cinq secondes plus tard, elle l’avait à nouveau glissé sur le côté et se vidait à grands jets dans le verre qui ne tarda pas à déborder sur le carrelage. Le spectacle te plaît, n’est-ce pas ? Je n’avais pas à répondre, elle le savait bien et mon pénis se redressa fièrement. L’odeur de son urine, le goût de son sexe dans ma bouche et le panorama me ravissaient au plus haut point.


Nous débarrassant de nos habits, nous sommes allés ensemble prendre une douche. À grand renfort de mousse savonneuse, nous nous sommes caressés mutuellement. Longuement nos bouches se sont mêlées sous le ruissellement tiède. Devant la cheminée sur le tapis blanc nous sommes restés longtemps l’un contre l’autre, silencieux, les yeux perdus dans les flammes. Le soleil teintait la chambre en rouge quand nos deux corps se remirent l’un à l’autre sous une averse de caresses tendres. Ce soir-là, elle jouit plusieurs fois, le visage ouvert, les yeux au ciel de ma chambre.