n° 07061 | Fiche technique | 7705 caractères | 7705Temps de lecture estimé : 5 mn | 04/02/04 |
Résumé: Comment j'ai fait l'amour à ma belle-soeur | ||||
Critères: fh extracon alliance fellation cunnilingu pénétratio fdanus | ||||
Auteur : Gemeaux06fr |
Tout d’abord, permettez-moi de me présenter en quelques mots, rassurez-vous je ne serais pas très long. Je suis un homme de 38 ans, brun, 1m78 pour 80 kgs j’exerce mon métier de nuit, ce qui me laisse pas mal de temps durant la journée.
Je vais vous raconter l’aventure qui m’est arrivée il y a deux mois environ avec ma belle-sœur, entendez par-là femme du frère de ma femme. Elle s’appelle Valérie, c’est une belle jeune femme de 32 ans, aux cheveux châtains clairs, mi-longs. Elle est bien proportionnée, 1m65 environ, avec des fesses que j’adore et des seins qui tiennent bien en mains. Valérie est une belle coquine, elle connaît mon beau-frère depuis de nombreuses années, et ils ont deux enfants de cinq et trois ans.
Valérie n’a connu aucun homme avant mon beau-frère, c’est elle qui me l’a dit, et au début qu’ils se fréquentaient, elle a longtemps attendu avant de s’offrir à lui, mon beau-frère, qui n’en pouvait plus, je le comprends avec une femme comme il a, devait, si je peux dire, se contenter de quelques masturbations ou fellations rapides qu’elle lui prodiguait rapidement afin de le soulager. Il leur arrivait, comme souvent aux jeunes n’ayant pas beaucoup d’argent, de faire çà en voiture, elle se penchait pour le sucer, il lui caressait la nuque et jouissait en quelques minutes, puis il la raccompagnait chez elle ou ses parents l’attendaient. Cela a duré près de deux ans avant qu’elle ne s’offre à lui. Maintenant, toujours selon les dires de Valérie, ses positions préférées sont la levrette et être prise par derrière, allongée sur le côté. Elle adore également se faire brouter le minou en écartant et relevant les cuisses au maximum, ce qui lui permet de prendre des orgasmes fulgurants.
Mais revenons en à ce qui nous intéresse et plus particulièrement à cette aventure que j’ai eue avec elle.
Un samedi après-midi donc, aux alentours de 17 heures, elle téléphone chez moi et tombe sur ma femme, qui bien entendu n’est au courant de rien, les deux belles-sœurs s’entendant à merveille depuis des années, ma femme pensant que Valérie est une sainte, ( Ah ! Ce qu’elle cache bien son jeu la coquine.)
Elle demande donc ma femme, s’il est possible, comme je travaille de nuit, qu’avant d’aller travailler, je lui rapporte son parapluie qu’elle avait oublié chez moi la semaine dernière quand elle etait venue avec son mari.
Ma femme lui répond qu’il n’y a bien entendu aucun problème, étant donné que je prends mon travail à 21 heures, rendez-vous est donc pris pour le soir.
A 20 heures trente, je sonne donc a l’interphone de Valérie, qui quelques secondes plus tard m’ouvre la porte de l’immeuble.
Je vous avoue qu’il y a des années que je fantasme sur Valérie, sur ses cuisses bien pleines, ses seins arrogants, et ses fesses à damner un saint.
Mais calmons-nous, son mari, que je n’aime pas du tout par ailleurs, doit être la devant la télé et à mon avis par très content de me voir.
Je grimpe donc les marches qui me mènent au deuxième étage et je frappe doucement à la porte afin de ne pas réveiller les enfants.
Moins de dix secondes se passent et la porte s’ouvre. À ce moment-là, je me sens défaillir. La belle petite poupée m’ouvre, tenez-vous bien, seulement habillée si je puis, dire, d’une nuisette blanche ultra courte. Je n’ose plus bouger, complètement tétanisé, et je sens mon sexe dans mon pantalon qui commence à prendre de l’ampleur. Valérie me fait un grand sourire et me prie d’entrer. Zut ! Je vais encore voir mon c.. De beau-frère.
J’entre et vais vers le salon, Valérie me dit que son mari n’est pas là, qu’il est dans leur résidence secondaire car il a des travaux à faire pour le week-end. Quelle aubaine pour moi je pense. . . . . . . ? Elle me prie de m’asseoir sur le canapé et je ne me fais pas prier. Elle me propose un café que j’accepte volontiers. Je la suis du regard pendant qu’elle va vers la cuisine et me dit: "Quel beau cul elle a ! Mon salaud de beauf ne doit pas s’emmerder".
Elle revient quelques minutes plus tard et vient s’asseoir à mes côtés. La nuisette, qui etait courte tout à l’heure, est maintenant totalement indécente, elle lui remonte jusqu’en au haut des cuisses et là mon sexe manque de sortir de mon slip. Valérie s’en aperçoit, me fait un grand sourire et m’embrasse à pleine bouche. Nos langues se mêlent et je n’en peux plus. Je passe ma main sur ses cuisses que je caresse, elles sont douces, ça y est je fais faire cocu mon beauf, quel régal. Je remonte le long de sa cuisse pour m’apercevoir qu’elle ne porte pas de culotte, quel bonheur. Je la bascule sur le canapé, lui écarte doucement les cuisses, me positionne entre elles, en entame une douce léchette de son clito. Elle me crie des mots cochons, dit qu’elle adore çà, que c’est sa caresse préférée. Elle mouille comme une fontaine et je bois tout son jus. Je me régale. Puis elle me dit:
Elle baisse donc ma braguette, sors mon sexe de son étui, le branle doucement puis d’un coup le rentre dans sa bouche. Elle me fait un pompage en règle comme j’aime et comme me fait ma femme tous les soirs. Çà y est je suis dans la bouche de la femme de mon beauf, je lui dis quelques mots vulgaires qu’elle semble apprécier car elle aspire de plus en plus fort. Au bout de 5 minutes, je lui ordonne de se mettre à 4 pattes.
J’écarte donc délicatement sa chatte et introduis mon vit en elle. Je la pénètre d’une longue poussée. Elle hurle de plaisir, me dit:
Je la pistonne un bon moment, lui met également un doigt au cul, elle jouit comme une chienne, j’ai ma queue pleine de sa cyprine, je sens que moi aussi je ne vais pas tarder à jouir, elle le sent également, et me demande malheureusement de sortir pour me reprendre délicatement en bouche. Elle suce divinement cette petite salope, tellement bien que je ne tarde pas avec des miaulements, à me répandre entièrement dans sa bouche. Elle boit jusqu’à la dernière goutte, ne laissant rien, elle m’essuie également le bout avec sa langue puis doucement me remet mon sexe dans le slip, remonte ma braguette, en me demandant si j’ai aimé.
Que lui répondre à votre avis ?
Je l’embrasse encore langoureusement tout en la caressant sur tout le corps. Elle m’a promis que nous recommencerions très vite, ce que nous avons fait 4 jours plus tard bien évidemment.
Depuis nous sommes amants, lorsque nous ne pouvons pas nous voir chez l’un ou chez l’autre, l’un de nous deux prétexte de devoir faire une course ou d’aller acheter des cigarettes. Nous nous voyons à la sauvette dans la voiture, pour une fellation suivie d’une léchette rapide puis rentrons chacun chez nous.
Inutile de vous dire que le soir de notre première aventure, je suis arrivé quelque peu en retard à mon travail, mais quel plaisir j’en ai ressenti.
Toute cette histoire que je vous ai racontée est formellement vraie, je n’ai rien inventé, rien rajouté ou oublié, et depuis ce jour, je vous avoue que je ne regarde plus mon beauf de la même façon maintenant que je connais le goût de sa femme.