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n° 07062Fiche technique11012 caractères11012
1945
Temps de lecture estimé : 8 mn
04/02/04
Résumé:  Dans le futur, un employé obscur se souvient des femmes du début du XXI ème siècle et de sa première fois...
Critères:  #sciencefiction #initiation fh fplusag facial
Auteur : Triste solitaire      
Femmes d'hier et de demain


Récit de science fiction…


Nous sommes en 2015 et les expériences en génétique, clonage et autres manipulations sont devenu le lot quotidien des pays riches depuis que le gouvernement impérial américain a complètement déréglementé ce secteur aux revenus très juteux.

Je me présente, je m’appelle Aurélien, j’ai presque 31 ans et je vis dans le sud de la zone française de la province anglo-européenne.

Je travaille dans un labo de contrôle génétique des naissances où je n’occupe qu’un poste, disons… très subalterne puisque je suis affecté à la destruction de certains matériels biologiques qui présentent des anomalies jugées trop importantes pour être viables.

En un mot je détruis par combustion des échantillons de sperme hautement trafiqués !

Ce n’est pas ce qu’on peut appeler un job très reluisant et du coup ma vie sociale et sentimentale s’en ressent énormément. Du coup je n’ai pas eu le loisir d’avoir la moindre relation physique depuis bientôt 2 ans et à l’heure actuelle je ne peux que me contenter de louer des cartes-films avec de somptueuses créatures modifiées et que je modèle et scénarise sur mes écrans afin de m’offrir des plaisirs solitaires bien frustrants.


Je me souviens des années 2000 et de toutes ces femmes encore si naturelles et qui ont arrêté de vieillir grâce aux thérapies géniques.

D’ailleurs je garde toujours mon antique adaptateur dvd qui me permet de voir ces vieux films peuplés de mes « héroïnes d’avant » telles que laetitia Casta, émmanuelle Béart et autres pulpeuses actrices de film X de tous horizons…

Je suis resté très nostalgique de ces beautés imparfaites d’un point de vue génétique et corporel, mais tellement plus excitantes pour moi. De voir ces poitrines refaites par des chirurgiens (cette idée fait frémir ces dames aujourd’hui), ou tout simplement belles de naturel, menues, énormes, pas symétriques, au grain de peau si différent.

Parmi mes rares amis je passe pour un excentrique, voire même un pervers à continuer à magnifier l’originale beauté naturelle des femmes du début du siècle.

Aujourd’hui, les femmes subissent dès leur puberté une petite intervention dans un centre UNIGEN afin que leur corps se développe selon leur choix dans un catalogue de modèles de référence. Ainsi, leur croissance est sans surprise et sans imperfections, selon leurs vœux, éliminant ainsi toute frustration adolescente, toute exclusion de la société.

Conneries !!!

Notre société se dirige vers une uniformité que je rejette par tous mes pores.

Je reste marqué par mes expériences d’adolescent, elles m’ont construit, et mon goût pour les femmes d’avant me vient de ma première expérience en 2003.

J’ai perdu mon pucelage avec une amie de ma mère qui avait à l’époque 15 ans de plus que moi et qui a pris en main mon éducation sexuelle de la plus douce des manières.


Cela s’est passé un soir où mes parents, chez qui je végétais alors, étaient partis pour le week-end.

Cette ami, Françoise, était passé pour rendre à ma mère un livre de cuisine…

C’est très classique comme situation, mais je vous prie de croire que ce fut délicieux !!!

La dame apparu à la porte et me demanda si elle pouvait entrer quelque minutes pour discuter avec moi.



Du coup, me sentant « grand », je lui proposais de boire une tequila avec moi. Elle acceptait.


Nous nous sommes installés sur le sofa et avons commencé à deviser sur mes projets et mes réflexions de jeune adulte, flatté et exalté par l’alcool.

Tout en parlant, je me suis mis à regarder Françoise d’un nouveau regard…

Cette belle femme d’âge mûr restera depuis ce jour gravée dans ma mémoire.

Assez grande, elle possédait un regard d’une intense profondeur qui m’intimidait et me fascinait tout à la fois. Des yeux très noirs et soulignés par des sourcils gracieux.


(Je fais une petite parenthèse ici : je suis un fétichiste du sourcil féminin !!! A l’heure actuelle je n’ai encore rencontré personne qui partage cette fascination pour le vrai sourcil, pas l’immonde petit trait sur-épilé, voire même dessiné… beurk ! Je voue un culte à cette gracieuse ligne, siège pour moi de sensualité, révélatrice du caractère, et lieux de milles baisers… enfin tout ça…)


Donc, je commençais à trouver cette Françoise des plus charmante et je profitais de sa prise de la parole pour la détailler avec mon nouveau regard sur elle.

Grande donc, un peu enrobée mais tellement féminine, elle avait de somptueux cheveux noirs comme l’encre qui cascadaient sur ses épaules et entourait un visage toujours serein.

Cette femme respirait la tranquillité et une sensualité discrète mais redoutable.

Elle s’est, à un moment, penché vers moi pour que je lui donne du feu et j’ai pu renifler une effluve qui a instantanément provoqué en moi un trouble que je n’oublierais jamais.

Mélange de mûre et de musc.

Je n’ai de cesse depuis ce jour d’essayer de synthétiser cette odeur, mais en vain.

Elle de son coté, me racontait qu’elle se sentait tomber petit à petit dans une vie un peu trop routinière et qu’elle cherchait comment sortir de ce début de mélancolie généralisée.



Je réalisais soudain à son regard qu’elle ne plaisantait pas tant que ça et que je venais d’entrer sur un terrain miné.

Je balbutiais, rougissais et m’empêtrais dans une sombre litanie de mots incompréhensibles.

Elle ne disait rien et me souriait.


Tout à coup, je ne sais toujours pas pourquoi, je me suis mis à fuir son regard et mes yeux se sont posés sur sa poitrine.

N’importe quelle femme le voit instantanément !

Elle me dit : « c’est mes seins qui t’intéressent, on dirait » avec toujours ce regard serein et rieur.



Et lentement comme dans un rêve, elle a ouvert sa chemise blanche pour me révéler une poitrine opulente qui pigeonnait dans un beau soutien-gorges parme. Elle a lentement enlevé sa chemise et a fait sauté l’aggraffe du soutien-gorge.

Vision de paradis !


Devant moi se tenait une femme qui me montrait une paire de seins d’une blancheur diaphane, légèrement évasés sur les cotés, en forme de poire, délicieuses.

J’ai vu des archives du XX ème siècle et elle ressemblait à ces pin’up des années 1950.

Je commençais à trouver cette situation terriblement excitante et je bandais dans mon bermuda comme jamais.

Tout en me souriant toujours, elle me prit la main et me la posa sur ses seins. Je la caressais avec timidité, d’une main puis des deux.

Ensuite elle m’a pris la tête dans ses mains, m’a déposé un petit baiser sur les lèvres et ma posé la bouche sur sa poitrine.

Je découvrais alors un univers de douceur et j’embrassais, puis suçais, puis mordillais ces deux blanches collines d’une douceur infinie.

Elle s’est mise à respirer plus fort, à gémir et à m’encourager doucement à continuer mes caresses.

Elle m’a alors déshabillé, sans un mot et je me suis retrouvé allongé sur le sofa, nu, mon sexe tendu vers le ciel.

Elle souriait, regardait ma verge et se déshabilla à son tour, lentement devant moi.

J’étais pétrifié et n’osais dire le moindre mot.



Elle s’approcha de moi et sans quitter mes yeux de son beau regard, elle vînt s’empaler sur moi délicatement, en tenant mon sexe entre ses doigts. Elle était suave, mouillée et douce et je suis entré en elle sans problème.

Une fois que j’étais en elle, elle est restée sans bouger quelques secondes et m’a dit de respirer et de me détendre.

Me détendre, voilà l’idée la plus saugrenue du monde à ce moment là.

Mon bas ventre était en feu et je me sentais sur le point de jouir ; ce qui m’angoissait au plus haut point.

Mais ça s’est effectivement calmé.

Elle a commencé à aller et venir sur moi en fermant les yeux, et en riant doucement.

Petit à petit, je commençais à prendre confiance en moi et je me disais que je pourrais finalement tenir UN PEU plus que ce que je pensais.

Françoise allait de plus en plus vite sur moi et ne se soulevait presque plus. Mon sexe en elle, elle se frottait de plus en plus fort sur moi et je sentais avec délectation un liquide brûlant se répandre à l’endroit où nos sexes se mêlaient avec tant de plaisir.

J’ai alors pris ses seins à pleines mains et je les ai malaxé avec tendresse, agaçant les tétons qui étaient enfin sortis de leur torpeur.

C’est à ce moment là que ma douce initiatrice à complètement perdu pied.

Elle s’est mise à gémir puis à crier et allant de plus en plus fort sur moi, me faisant presque mal au pubis.

Ce qui m’arrangeais car cela m’empêchait d’exploser dans son ventre.


Tout à coup, elle s’est raidi et s’est jeté sur moi, sur ma bouche et m’a littéralement dévoré le visage. Puis toujours dans la même frénésie elle s’est accroché à mon cou et elle a complètement « pété les plombs », comme on disait, hurlant dans mes oreilles et retombant, inerte, faisant sortir mon sexe encore dur d’elle, les cheveux en bataille, collé par la sueur.


Après quelques secondes, elle me regarda l’air complètement apeuré, triste, et, constatant que je n’avais pas joui avec une sorte de reproche tristement agacé et silencieux dans les yeux, elle se jeta sur mon sexe et se mit à me sucer avec ardeur.

Là c’en était trop pour moi. Elle me regardait le regard sauvage et provocateur, mon sexe entrant et sortant âprement de sa jolie bouche.

Je finis par sentir mon orgasme arrivé et je me mis à gémir comme un gosse que j’étais.



Et j’explosais, au vrai sens du terme…

Avant de perdre à moitié conscience, j’ai eu le temps de voir mon sperme jaillir sur son visage et ses cheveux, ses joues, son front, son cou, ses seins. Je ne savais pas que l’on pouvait éjaculer avec cette force ! Je sombrais quelques seconde, les tempes battantes, le corps anéanti.

Quand je relevais la tête, angoissé par sa possible réaction face a mon éjaculation je découvrais une scène qui est gravée en moi pour toujours.

Françoise, la tête reposée sur mon ventre plein de sperme, se masturbait avec violence, les traits du visage crispés, le visage rouge et les yeux exorbités. J’ai vu sa main frotter avec force son sexe dans un bruit mouillé et elle a joui une seconde fois dans un cri de bête blessé, rauque…


La tête pleine de ces images, je m’endormais avec elle, heureux comme jamais je ne le fut.

A mon réveil, je le vis sortir de la douche, son sourire aux lèvres.

« Ca a été incroyable, bel endormi »

Je voulais la remercier, la serrer dans mes bras, lui témoigner ma gratitude, mais elle coupa court et s’en alla retrouver son foyer sans dire un mot quasiment.


Elle m’appela le lendemain pour me dire qu’elle voulait me revoir.

Je fus son amant pendant 6 mois,

jusqu’à la guerre.

Elle fut ionisée en 2004 ainsi que les 12 millions d’habitants de la zone anciennement appelée Paris.


A SUIVRE….*