n° 07073 | Fiche technique | 12154 caractères | 12154Temps de lecture estimé : 8 mn | 07/02/04 |
Résumé: Un Contrôleur des Impôts sodomise une contribuable dans les WC... Véridique ! | ||||
Critères: fh hépilé travail toilettes fellation cunnilingu pénétratio fsodo hmast humour | ||||
Auteur : Obsédé |
Lecteur assidu des récits de Rêvebébé, je pense que la plupart des histoires mises en ligne ne sont que le reflet des fantasmes de leurs auteurs. C’est pourquoi je désire vous raconter quelque chose de bien réel, qui s’est déroulé pas plus tard que la semaine dernière.
Je suis un homme d’une cinquantaine d’années (bien que paraissant nettement plus jeune que mon âge réel), mon activité professionnelle se situe dans le domaine de la fiscalité: Je travaille au Centre des Impôts d’une ville moyenne du Sud-Ouest. Pas très excitant, comme entrée en matière ! Cependant, les mornes journées d’un fonctionnaire peuvent parfois connaître de savoureuses surprises, jugez-en plutôt…
Je connais, depuis une quinzaine d’années, une ravissante blonde, sexy à souhait, mais, à cette époque, elle était mariée. Je l’avais perdue de vue depuis quelques années lorsque j’appris le décès de son mari. Il y a quelques semaines, elle m’a contacté pour un problème fiscal, je l’ai donc reçue dans mon bureau et, une fois son problème résolu, comme ma journée de travail était finie, je l’ai raccompagnée à sa voiture. Au moment de nous séparer, elle me dit – d’une voix un peu anxieuse – en me regardant droit dans les yeux « Tu me fais un gros bisou ? »
Surpris, je lui répondis « Un gros ? » Et, approchant mes lèvres des siennes, je lui demandai « Comme ça ? »
« Oui » répondit-elle dans un souffle. Je posai doucement mes lèvres sur les siennes, et nous échangeâmes un long baiser, d’une très grande douceur. Elle s’assit dans sa voiture, et je me dirigeai vers la mienne, à mi-chemin, je fis demi-tour pour la rejoindre. Je m’agenouillai sur le siège passager et me penchai vers elle afin de déguster une dernière fois ses lèvres. Ma main se dirigea vers ses cuisses, puis remonta jusqu’à son bas-ventre où elle se plaqua sur sa vulve. La toile épaisse de son jean’s m’empêchait cependant d’en sentir les détails, mais je l’imaginais toute ruisselante de désir. Le baiser de Claudine fut tellement lascif que je sentis mon sexe se dresser, directement sous le cuir de mon pantalon (lorsque je porte des vêtements en cuir, je ne mets pas de slip, de manière à ce que mon sexe – totalement épilé – soit en contact direct avec cette matière hautement érotique).
Dans la position où je me trouvais, ma verge en érection n’était qu’à quelques centimètres de son visage, j’envisageai un moment d’ouvrir ma braguette et de lui présenter mon gland tout gonflé afin qu’elle le prenne en bouche, mais craignant une réaction de la part de mon amie, je repartis à ma voiture. Là, à l’intérieur, terriblement excité, je dégageai ma verge et entrepris de me branler afin de me libérer de l’excitation qui me submergeait. Claudine, assise dans sa voiture, n’avait pas démarré, elle n’était qu’à une dizaine de mètres, et je la regardais en me caressant. Soudain, mon téléphone portable retentit, c’était Claudine. Tout en lui parlant, je continuai les caresses sur mon membre dont le gland était devenu rouge violacé, jusqu’à ce que de violents spasmes de plaisir me submergent et que mon sperme jaillisse sur la pièce de tissu dont j’avais recouvert mes jambes (je ne voulais pas que des traces suspectes attirent l’attention de mon épouse lorsque je reviendrais au domicile conjugal).
Mais ce n’était qu’un hors d’œuvre, le plat de résistance allait suivre quelques jours plus tard…
La semaine dernière, Claudine m’a contacté, elle devait accompagner un de ses voisins qui avait des formalités à régler avec les services fiscaux. Arrivée dans le hall d’accueil, elle me passa un appel téléphonique sur mon portable, je la rejoignis et, après avoir dirigé le voisin sur le service compétent, je pris la direction de mon bureau, Claudine m’accompagnant. Je m’aperçus que si je voulais pousser plus loin nos relations, je ne pouvais pas rejoindre mon bureau car, depuis quelques jours, une charmante collègue travaillait avec moi.
C’est dans un couloir que, masqués par une porte, nous nous précipitâmes dans les bras l’un de l’autre, notre baiser fut long et langoureux… Je la sentais totalement abandonnée, la prenant par la main, je l’entraînai jusqu’à un local où, jouxtant des lavabos, deux cabines de WC s’offraient à notre choix. Je faillis choisir les WC dames mais, connaissant la propension de mes collègues féminines à utiliser cet endroit, je jugeai préférable d’opter pour les WC hommes: Nous y serions moins dérangés !
Le local était exigu, je refermai la porte derrière nous, sans allumer la lumière. Je la pris dans mes bras et, comme nous n’avions pas beaucoup de temps, j’entrepris de passer mes mains sous ses vêtements, à la recherche de zones érogènes. Nos yeux s’habituaient à la pénombre (un peu de clarté filtrait sous la porte), sans même dégrafer son soutien-gorge, j’en remontai les bonnets afin de dégager ses seins, qu’elle avait fermes et dont les extrémités sensibles étaient déjà dressées. Après quelques caresses – mais sans m’y attarder longtemps, faute de temps – c’est dans son pantalon que ma main voulut s’insérer. Comme il était très serré, j’en défis les boutons. J’atteignis enfin sa culotte. Mes doigts glissaient sur le fin tissu qui était déjà humide, j’écartai le mince rempart qui protégeait l’objet de mon désir: Son sexe. Oui, la vulve représente pour moi ce qui existe de plus intense chez la femme. Je prends un extrême plaisir à en découvrir de nouvelles, car toutes sont différentes, aussi bien par leur configuration que par leur odeur ou leur goût.
Celle de Claudine ne m’a pas déçu: Déjà ouverte et humide. Mes doigts glissèrent dessus en de légers frôlements, puis ils commencèrent à l’explorer. Ses petites lèvres n’étaient pas très développées, mais elles étaient en érection, plutôt épaisses et rigides. Mes doigts remontèrent un peu, à la recherche de son clitoris, il était assez long, mais encore flasque et complètement recouvert par son capuchon. Sous l’effet de mes caresses, il durcit rapidement.
Pour me faciliter les choses, Claudine se débarrassa de son pantalon et de sa culotte. Je pouvais distinguer ses belles cuisses, un peu charnues mais fermes au toucher. Je tombai à genoux devant elle, et mes lèvres se posèrent sur celles de sa vulve. Je commençai par passer doucement ma langue tout le long de sa fente, puis j’aspirai délicatement ses lèvres intimes dans ma bouche, les suçant tout en les caressant de ma langue. Peu à peu, mes lèvres remontèrent vers son clitoris, je lui fis subir le même sort, l’aspirant doucement dans ma bouche tout en lui prodiguant des caresses avec ma langue. Par moments, le lui léchais tout le sexe, descendant jusqu’à l’ouverture du vagin, où j’introduisais l’extrémité de ma langue, pour revenir à son clitoris dont le petit gland saillait à présent.
Je me remis sur pieds, et introduisis mon gros gland entre les lèvres de sa vulve. Là, je me mis à le faire glisser de bas en haut et de haut en bas à plusieurs reprises avant de l’enfiler dans son vagin, mais, vu notre position debout (Claudine étant plus petite que moi), je n’arrivais pas à la pénétrer profondément (je ne suis pas monté comme les acteurs des films X !) Je lui fis faire demi-tour, elle comprit sans mot dire ce que je désirais, et s’appuya sur la cuvette des WC, me tendant son postérieur.
Au cours de la manœuvre, ma verge avait légèrement débandé, je dis à Claudine « Je vais avoir besoin de ta bouche pour retrouver la forme… » Elle comprit immédiatement et, sans se faire prier, elle s’agenouilla devant moi, prit mon sexe d’une main, et posa ses lèvres sur mon gland circoncis. Je sentis une douce chaleur lorsqu’elle fit glisser ses lèvres jusqu’à la couronne du gland, après une légère pause, elle l’introduisit en entier dans sa bouche (heureusement, la taille de mon pénis le permet sans risquer l’étouffement), et commença de délicats va-et-vient tout le long de la hampe, elle me suçait si bien, qu’un instant, j’envisageai de prendre mon plaisir dans sa bouche. Lorsque je fus au bord de l’éjaculation, elle reprit sa position première, et j’introduisis mon membre dans son vagin qui, fort curieusement pour une femme de son âge (la quarantaine) n’était pas distendu, il me serrait délicieusement la verge. Mes allers-retours étaient pleins de délicatesse et, dans cette position, je pouvais la pénétrer à fond. Mais cette position me donna une idée un peu perverse: Ressortant de la chaleur de son vagin si accueillant, je plaçai mon gland contre son anus.
Claudine n’émit aucune protestation, je donnai alors une légère poussée, et ma verge se retrouva facilement à l’intérieur du conduit anal. Elle n’en était pas à sa première sodomie, car je n’avais pas senti de résistance lors de l’intromission, et son rectum n’était pas plus étroit que son vagin, bien au contraire ! Je l’enculai doucement, mais fermement, bien à fond. Je la tenais par la taille, en haut des hanches, la guidant pendant que je l’empalais, dans la pénombre, je pouvais distinguer la blancheur laiteuse de sa peau, sa touffe de cheveux blonds, et sa taille fine qui s’évasait jusqu’aux deux globes charnus de ses fesses où ma verge avait pénétré au plus profond. Là, j’ondulai du bassin afin de bien lui caresser tout l’intérieur avec mon gros gland. Elle appréciait cette situation plutôt humiliante, le visage à hauteur de la cuvette des WC, en train de se faire enculer profondément par un Contrôleur des Impôts dans l’exercice de ses fonctions !
Moi-même, j’étais un peu ému par la situation, si bien que ma verge perdit un peu de sa rigidité, je ressortis de son anus dilaté, et dû avoir recours une fois de plus à ses talents de suceuse pour me retrouver en forme.
Je m’assis sur la cuvette des WC, et demandai à Claudine de venir s’asseoir sur moi. C’est ce qu’elle fit, mais en me faisant face, je lui fis faire demi-tour, et c’est en me présentant son beau cul qu’elle saisit ma verge (qui avait retrouvé une bonne érection, grâce à ses lèvres), la tenant fermement, elle s’assit lentement dessus en la faisant pénétrer au plus profond d’elle-même. C’est elle qui fit tout le travail, montant et descendant le long de mon membre, choisissant le rythme qui lui convenait. Je sentais ma verge gonfler, et un délicieux fourmillement annonçait mon plaisir qui n’allait pas tarder. Elle dut le comprendre, car je sentis le fond de son vagin devenir chaud et m’enserrer plus fortement. Je lui dis « Je vais jouir… », elle me répondit « Moi aussi, viens en moi ! »
Elle me devança de quelques secondes dans le plaisir, laissant échapper un gémissement, mais elle prit soin de ne pas arrêter ses mouvements avant que mon sperme gicle au fond de son ventre.
Quand je jouis, je suis plutôt démonstratif, aussi, lorsque le plaisir me submergea, je criai, mais moins fort que d’habitude, heureusement ! Une porte s’ouvrit, et j’entendis quelques pas dans le couloir, mais, ne voyant rien d’anormal, le (ou la) collègue regagna son bureau.
Lorsque je regagnai le mien, mon visage était encore maculé des secrétions intimes de Claudine, ma collègue ne demanda rien au sujet de mon absence, mais elle dut être surprise lorsqu’elle me vit me lécher les lèvres et les doigts à plusieurs reprises. Savait-elle que j’étais en train de me régaler des restes d’une baise mémorable, à faire entrer dans les annales (sans jeu de mots…) du Centre des Impôts ?