Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 07092Fiche technique8887 caractères8887
Temps de lecture estimé : 6 mn
09/02/04
corrigé 01/02/22
Résumé:  Un essayage un peu particulier
Critères:  fhh bizarre magasin travesti facial préservati double sandwich fsodo
Auteur : Nadher      Envoi mini-message
Joyeuse Saint-Valentin



Nous avions rendez-vous le soir au restaurant pour la Saint-Valentin. Je cherchais un cadeau qui pourrait lui plaire. Une eau de toilette, une chemise, un pull, un serre-taille avec jarretelles pour moi et de jolis bas de soie noire. C’est décidé, le cadeau ce sera moi. J’arpente les boutiques, je vois une charmante jupette mauve et noire plutôt courte avec une fente de chaque côté, avec ça quand je marche on va deviner mes bas, si je m’assieds on verra ma culotte, en attendant il faut que je trouve le tout. J’essaye la jupe et un chemisier assorti, je trouve que la jupe me met particulièrement en valeur, je tourne sur moi-même, la vendeuse me demande si tout va bien, je sors pour me regarder dans la glace, elle a un petit sourire aux lèvres.



Il faut dire que je porte des bas auto-fixants et que ceux-ci se sont vus lorsque je suis sortie de la cabine d’essayage.



Et moi, de piquer un fard.



Je me mets à bredouiller.



Je règle en prenant la carte, je ne sais même pas si je la remercie et pars le rouge aux joues.


Je prends le chemin indiqué par la vendeuse, la boutique n’est éloignée que de quelques centaines de mètres.


J’arrive devant, la devanture ne paye pas de mine, je rentre ou je ne rentre pas, j’hésite… de quoi ai-je donc peur ? Je regarde, si cela ne me plaît pas, je repars !


Je me décide, je rentre, je pousse la porte et je suis tout de suite saisie par l’atmosphère, les murs sont couverts de dessous affriolants à l’ancienne, de dentelles, de rubans, je lève les yeux et je vois le sourire de deux jeunes hommes un peu efféminés, vêtus de la même façon : jeans et tee-shirt.



Je vois une lueur dans leurs yeux.



Je suis un peu gênée, mais quel risque y a-t-il avec deux homosexuels, je rentre dans la cabine et je me change. Ils m’attendent derrière le rideau.



Je m’exécute, cela commence à m’amuser. Je les regarde mieux, ils sont plutôt mignons. Je tourne sur moi-même à mon corps défendant, on voit un peu de peau nue au-dessus de mes dim-up.



Je le vois farfouiller dans un tiroir et en extraire une guêpière aux couleurs moirées et des bas de soie noire.



Ils ont la mine gourmande, je prends ces babioles et rentre dans la cabine. Je retire ma robe, mes dim-up, à ce moment-là le rideau s’entrouvre et l’un d’eux rentre sans gêne.



Je le prends et referme le rideau. Pendant que j’essaye de fermer la guêpière, je les entends pouffer de rire. J’attache deux crochets et ne peux finir. Avant de les appeler je mets mes bas, ils sont doux, ils crissent sous les doigts, et le string.



J’entends un pas empressé, le rideau s’ouvre. Celui qui m’a apporté le string émet un petit sifflement.



L’autre arrive sur ces entrefaits, je suis toujours avec ma guêpière ouverte. Il émet un petit sifflement :



Et le voilà qui retire sa chemise et son pantalon pour apparaître avec une guêpière qui ressemble énormément à celle que je porte.


L’autre qui s’appelle Jérôme s’approche de moi pour refermer les crochets de mon vêtement, puis il me fait tourner sur moi-même. Par moment, ses doigts frôlent ma poitrine, ma hanche, mes fesses. Je n’y prête pas attention puisqu’ils sont efféminés, mais peu à peu Yves se rapproche et sous le prétexte d’ajuster au mieux ma guêpière il me prend les hanches et m’attire vers lui. Il pose ses lèvres sur les miennes pour un baiser qui se veut chaste, je veux me reculer mais il me maintient solidement, force mes lèvres et me roule un patin d’enfer. Sa langue fouille ma bouche et mordille ma langue, il embrasse bien.


Yves lui dit :



Je le vois s’approcher, ouvrir la chemise de Jérôme et lui baisser son pantalon. Il apparaît en bas et porte-jarretelles. Yves le force à se baisser tout en retirant son propre string, puis il lui tend sa queue à sucer. En se baissant, Jérôme en profite pour retirer mon string, il est à présent entre nous deux. Il suce Yves puis me lèche à tour de rôle. Il fait cela très bien, pendant que je me laisse aller, Yves vient me rouler une pelle, je ne m’offusque plus de rien, je lui abandonne ma bouche, je voudrais qu’il me caresse les seins que je lui tends. Il les pince et les caresse, il les emprisonne entre ses mains, je sens que mon ventre a envie de leurs sexes, je me baisse et prends la queue de Yves aux lèvres de Jérôme, elle a bon goût. Pendant que je le suce, Yves me parle.



Pendant que je suce Yves, Jérôme a mis un préservatif, se glisse derrière moi et après m’avoir préparé les fesses, me pénètre avec fougue. Son sexe et plus gros que celui de mon nounours, je voudrais que Yves me prenne la chatte, mais il a l’air d’avoir seulement envie que je le suce.



Jérôme m’attire sur le dos, Yves se positionne et me prend avec fougue, ils me pistonnent tous deux en cadence, et de plus en plus vite. Je décolle, je ne sais plus où j’habite, je ne sais plus comment je m’appelle, je ne suis plus une femme fidèle, je ne suis plus qu’une femme qui prend son pied.


Je les sens haleter. Je ne sais plus combien de fois je me suis envolé, je commence à être un peu moulu. Yves sort de ma chatte, retire son préservatif et se répand sur mes bas (il va me falloir en acheter une autre paire pour ce soir) et sur mon ventre. Je n’ai pas le temps de reprendre mon souffle que Jérôme sort de mes fesses, retire à son tour son préservatif et vient se répandre sur mon visage, sur ma bouche, sur mon cou. Yves s’approche et vient m’embrasser et aspire toute la semence de Jérôme.


Je suis exsangue, il se fait tard, il me faut reprendre mes esprits avant d’aller rejoindre mon mari. Mes deux hôtes me proposent de prendre une douche et de me remaquiller avant de partir.


La douche me fait un bien fou. Je sors. Ils ont préparé mes affaires, une paire de bas à couture, la guêpière de tout à l’heure, un string, la jupe et le chemisier, mes autres affaires sont pliées et rangées dans un sac.


Je me rhabille rapidement, ils passent la tête par l’entrebâillement de la porte et émettent un petit sifflement.



Je promets, les embrasse sur la joue et file à mon rendez-vous en laissant le sac contenant mes affaires, ils savent que je reviendrai…


A suivre…