Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
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Temps de lecture estimé : 13 mn
11/02/04
Résumé:  Une femme mariée reçoit à son domicile un masseur très attentioné
Critères:  fh extracon inconnu médical volupté exhib massage fellation préservati journal ecriv_f
Auteur : Camille M  (Femme mariée sur Montpellier, connait un excellent masseur)            Envoi mini-message
Un massage mémorable


Pour tout dire, je suis passionnée par Internet ; j’ai d’abord pris goût au surf au bureau puis chez moi. Maintenant sans emploi j’y passe davantage de temps. Au début je me contentais de feuilleter en ligne les magazines que j’avais coutume de lire auparavant sur papier. Après beaucoup d’hésitation j’ai commencé à passer des commandes pour habiller la famille et puis je me suis aventurée un peu plus sur d’autres sites et de fil en aiguille je suis arrivé sur CE site.


Son programme était alléchant, que du pur bonheur pour le corps et l’esprit. Tout y était très soft. J’y trouvais un intérêt grandissant au point de l’inscrire dans mes favoris, et d’y retourner plusieurs fois au cours des jours qui ont suivi sa découverte. Le site n’avait rien de très esthétique ni de très professionnel mais le texte bien écrit témoignait du goût de son auteur… et il avait fait naître en moi une demande.


Dans ce site il n’était question que de massages ; tous les massages décrits étaient très soft. Ils étaient proposés par un passionné dans la région de Montpellier.

J’ai dévoré ce site, m’imprégnant des mots doux et sensuels qui évoquaient en moi quelques souvenirs de massages pratiqués dans des hôtels ou des instituts. En réalité je n’ai pas été massée très souvent… mais à chaque fois j’y avais trouvé beaucoup de plaisir. Les séances sont toujours merveilleuses, il est tellement agréable de ressentir sur son corps des mains qui s’y attardent, d’avoir une personne toute attentionnée à soi, et de s’assoupir de délassement.


Mais il y avait un gros hic ! Ce passionné se déplaçait à domicile et je n’avais pas envie de lui dévoiler l’intimité de mon domicile, ni qu’il puisse rencontrer mon mari ou mes enfants,… et puis je ne savais pas qui s’était, même si j’avais une vague idée de ce à quoi il ressemblait grâce à ses photos. Il proposait de faire des massages à domicile mais aussi à l’hôtel par exemple, dans un souci de discrétion, d’anonymat ou pour toute autre raison. Malgré tout je ne pouvais me résoudre à confier mon corps n’importe où et à n’importe qui.


Il faut vous dire que je suis une femme assez pudique, réservée. Les hommes me trouvent à leur goût si j’en juge leurs regards quand je les croise et il est fréquent qu’en l’absence de mon mari je sois abordée très sérieusement. Mariée et très heureuse dans mon couple, les hommes n’ont pourtant aucune chance de me tenter et je les éconduits gentiment mais fermement. Du reste ma tenue n’est jamais provocante, tout juste classique et sobre, mais féminine. En général je ne porte que des jupes mi-longues, des talons avec des hauts assez peu décolletés (sauf l’été, la chaleur de Montpellier oblige !).


Un jour j’ai pris mon courage à deux mains (ou plutôt dix doigts) et je me suis lancée. J’ai écrit à l’adresse email mentionnée sur le site marquant mon intérêt sur le site et les massages. J’ai reçu une réponse le lendemain même alors que je brûlais d’impatience de lire mes messages. Olivier, c’est le prénom qu’il utilise, m’a donné rendez vous pour le rejoindre sur un chat gratuit que je connaissais un peu, en m’indiquant son pseudo (très simple à retenir 1.massage, à croire qu’il était fait pour moi diront les hommes car je suis blonde !).


C’est comme ça que tout a continué. Je lui ai posé des questions de tous ordres pour me faire une idée du personnage d’abord, et pour connaître sa pratique, pour comprendre son intérêt et puis m’assurer de sa bonne foi, de ses bonnes intentions… mais surtout pour savoir comment trouver le moyen ou plutôt le lieu où recevoir le massage. Nous avons chatté comme cela, sur tous ses sujets presque tous les jours de la semaine pendant plusieurs semaines. Il faut dire que je suis extrêmement prudente, surtout sur Internet, et hélas il n’y a en la matière que l’intuition qui compte… mais nous sommes dotées d’une bonne intuition (n’est-ce pas mesdames ! Voilà quelque chose que les hommes ne sont pas prêts de nous prendre !).


Nous étions rapidement passés sur le chat de MSN et très souvent je le trouvais connecté et disponible, toujours aimable et poli.

Puis il a voulu en savoir un peu plus sur moi, ma situation familiale, le nombre d’enfants que j’avais, etc. Il m’a également demandé une photo – pour s’assurer que j’étais comme je m’étais décrite. Semble-t-il il n’apprécie pas toutes les femmes et il a essuyé quelques déboires ! En dépits de ma nature et sur son insistance, je le lui ai fébrilement envoyé deux photos d’abord le visage puis en pied. Rassuré sur la véracité de mes propos, il m’a demandé de fixer un rendez-vous pour le massage.


J’ai choisi parmi sa palette, le massage californien à base d’huile, enveloppant et relaxant. C’est le massage qui me disait le plus… soudain j’ai réalisé que je serais très découverte et peut être qu’il tenterait alors de me contraindre à des actes sexuels que je ne désirais pas du tout… je l’ai questionné (très) longuement sur cette question ! Il n’a pas nié que parfois le massage pouvait se poursuivre par un massage érotique, sans pénétration mais jusqu’à la jouissance, voire exceptionnellement par des relations sexuelles. J’ai été choquée mais également heureuse de sa franchise… le contraire m’aurait étonnée. Cependant, il a continué en m’indiquant que son plaisir n’était pas là, qu’il ne souhaitait pas spécialement avoir de rapport et que cela ne se passait qu’avec des femmes tout à fait consentantes.

Compte tenu de nos échanges antérieurs et de l’idée que je m’étais faite de lui, je voulais bien le croire.



De plus en plus j’étais hantée par l’idée de ce massage que pourtant je n’osais pas avouer à mon cher et tendre mari. Je suis sûre qu’il n’aurait pas approuvé cette idée… et pourtant j’avais maintenant confiance et je sentais qu’Olivier était franc.



Et puis l’occasion s’est présentée ; un concours de circonstances absolument incroyable qui me laissait toute liberté pendant deux jours consécutifs, seule à la maison, sans les enfants ni le mari.

J’ai aussitôt sauté sur l’occasion pour prévenir Olivier également disponible et apparemment heureux de pouvoir venir me masser.



J’ai donc préparé les lieux – ma chambre à défaut d’autres pièces adaptées – et plus précisément mon lit. J’ai suivi ses instructions : bougies, senteurs, musique douce, lumière tamisée, des serviettes de bain, etc. La veille j’avais pris soin de mon épilation en prévision de cet après-midi de massage. Mon principal problème était de savoir comment m’habiller et jusqu’au dernier moment, quand il a sonné, je n’avais pas encore décidé et j’ai donc gardé ce que j’avais sur moi à cet instant…


Olivier est entré chez moi ; il était bien comme je l’imaginais, peut être un peu trop sérieux et froid… mais aussi plus charmant, grand, brun, élancé. Nous n’étions pas très à l’aise, Il m’a félicité sur ma toilette.

Nous avons bu un verre en parlant de tout et de rien, puis nous sommes allés dans ma chambre. Je lui ai montré les produits que j’avais achetés et il semblait satisfait. Là, il m’a demandé de me déshabiller et de me mettre à l’aise sur le lit, en travers, puis avec beaucoup de tact il s’est effacé pour se laver les mains.

Lorsqu’il est revenu, j’étais allongée sur le ventre, avec une serviette sur les fesses qui masquait ma culotte.

Tout doucement, il s’est installé sur le bord du lit, il avait pris soin de retirer ses chaussures, de se mettre à l’aise en enlevant sa veste et remontant ses manches. Il est resté un instant ainsi, à respirer calmement puis il a pris entre ses mains l’huile qu’il m’a consciencieusement appliquée. Le premier contact a été un peu électrique et j’avais du mal à me relaxer.


Enfin le massage a vraiment pris tout son sens. C’était absolument exceptionnel de sentir de telles mains sur mon corps ; il alternait parfaitement les pressions, les effleurements, les palpés,… un vrai délice. Je me suis parfaitement détendue, ne pensant plus à rien du tout, jusqu’à presque m’assoupir.

Lorsqu’il s’est « attaqué » à mes jambes, j’ai réalisé l’incongruité de la situation. Je me trouvais seule chez moi, avec un homme dont je ne connaissais pas l’identité, qui me massait maintenant l’intérieur des cuisses avec une extrême sensualité. J’étais très troublée, partagée entre des sentiments tout à la fois mêlés de crainte, de plaisir, de culpabilité. Il était trop tard, je n’allais pas tout arrêter d’autant que sa conduite était totalement conforme à ce qu’il avait décris… jusqu’à ce qu’il baisse délicatement ma culotte.



Contrairement à toute attente, je lui facilitais la tâche en relevant davantage les fesses. Depuis quelques instants je ressentais dans le bas de mon ventre de l’agitation sourde, mon sexe devait commencer à se lubrifier. Cela n’avait pas dû échapper à Olivier qui avait descendu ma culotte jusqu’à mi-cuisses.

Il a alors commencé à me masser les fesses, le bas du dos, revenant régulièrement vers l’entre jambe. À chaque fois qu’il massait mes fesses, il semblait vouloir en écarter les lobes, si bien que je ressentais de la fraîcheur au niveau de mes lèvres. J’ai pris conscience que cela avait aussi pour effet de les écarter, laissant sans doute s’échapper un peu de ma mouille ; le bruit provoqué ne me laissait plus de doute, pas plus que les effluves que je sentais assez nettement. Peu à peu je commençais à sentir cela extrêmement excitant et ma respiration devenait saccadée.

Olivier devait en avoir une idée plus précise car plus rien ne me cachait, il pouvait certainement discerner très clairement mon intimité qui le plus naturellement du monde s’ouvrait à lui. Ses doigts s’insinuaient maintenant autour de mon sexe sans jamais le toucher, et remontaient sous mes fesses.


Je commençais sérieusement à avoir des envies, lorsque soudainement et contre tout attente, Olivier a tenté de me replacer la culotte avec beaucoup de délicatesse. Mais cette fois je n’ai pas eu envie du tout de lui faciliter la tâche. Je me sentais frustrée et j’ai donc appuyé de tout mon poids sur le matelas pour l’en empêcher. Depuis le début du massage nous étions restés silencieux à écouter la musique, mais là, d’une voix à peine troublée et très sensuellement, il m’a demandé si finalement je ne préfèrerais pas continuer sans ma culotte… j’ai répondu que ce serait plus agréable de ne plus la porter et il me l’a retirée.


Puis ses mains sont remontées lentement des orteils, sur les chevilles,puis les mollets, les genoux, l’intérieur des cuisses largement ouvertes, ses doigts ont écartés mes lèvres, et avec les paumes il a écarté une fois encore mes fesses. J’aurais voulu qu’il me prenne, là tout de suite !j’étais prête, le feu dans les entrailles…


Une fois encore il pris la parole pour m’indiquer qu’il allait retirer son pantalon pour éviter de le tâcher avec l’huile. Ce n’était pas une demande de permission mais bien une affirmation. Je n’avais pas le choix, il ne faisait que me prévenir ! Je ne m’en offusquais pas et cela même m’étonna.

Après s’être dévêtu, il est revenu m’entourer mes cuisses de ses jambes dénudées. Il ne portait plus non plus de chaussette et c’est avec tout son corps qu’il me massait. J’avais bien réalisé qu’il n’avait pas quitté son caleçon, mais il semblait aussi avoir perdu sa chemise ! Assis maintenant sur mes fesses, il continuait son massage de ma nuque, de mes bras…


Est-ce que tout cela est bien réel ? Ne suis-je pas en train de me monter un cinéma ? S’il avait voulu me prendre de force il l’aurait déjà fait…, il n’attend donc rien de moi et il ne doit avoir aucune intention de me faire jouir. Lors de nos chats, il avait dit qu’il n’entreprendrait rien sans un signe de ma part, une acceptation formulée clairement. Peut-être que je ne le fais même pas bander. Ce serait bien incroyable.



J’en étais là de mes réflexions lorsque je me rendis compte que j’avais à portée de mains le moyen de vérifier. Après le massage du premier bras, ma main était restée négligemment posée sur sa cuisse, assez haut. Imperceptiblement, pensais-je naïvement, je faisais remonter mes doigts et ma main le plus haut possible vers son caleçon. Je tentais de dissimuler cette progression en la calquant sur le rythme du massage de l’autre bras. Mais apparemment je ne fus pas assez discrète car profitant qu’il tenait l’autre main, il la plaqua d’autorité et fermement contre son caleçon. Me laissant alors toute liberté d’apprécier le calibre de son sexe, il poursuivi son massage sur la nuque. C’était merveilleux. Je m’activais alors à estimer son degré d’excitation en parcourant avec mes mains tournées dans mon dos l’ampleur prise par son sexe. Je n’en revenais pas, son excitation devait être à son apogée tellement son sexe me semblait fort. Ne réalisant plus trop ce que je faisais, je commençais pourtant à masser son sexe à travers le tissu, me régalant de ce membre que mon ventre réclamait si fort. Je tentais de lui tirer son caleçon plus bas, d’introduire ma main sous le tissu. J’avais envie de tenir fermement son membre entre mes doigts !


Olivier me demanda :

« veux tu que je retire mon boxer ? »

et je lui répondis, avec plus d’empressement et de force que je m’y attendais ou n’aurais voulu :



Aussi tôt dit, aussitôt fait. Il repris sa position, assis bien haut sur mes fesses, son sexe à portée de mes mains baladeuses. Son sexe était vraiment impressionnant de vigueur. Mes mains s’activaient maintenant davantage… peut être trop !



Il s’écarta et me demanda après avoir pudiquement remis une serviette sur moi de me retourner pour le massage sur le dos.


Le temps de me retourner sur le lit et par je ne sais quel tour de passe-passe, malgré mes discrètes tentatives à le voir nu, il s’est positionné à ma tête, à moitié accroupi au pied du lit. Je ne pouvais voir que son torse. Un joli torse, presque imberbe, bronzé et bien proportionné, avec juste la marque de pectoraux entretenus. Il fit glisser la serviette sur moi, masquant mon intimité et me gardant ainsi au chaud.


Puis il commença à me masser le haut des épaules, descendant sur mes seins érigés, bandés comme rarement. Je crois que j’ai du prendre au passage 2 tailles ! ils étaient à la fois douloureux et très sensibles… ce qu’Olivier avait dû réaliser car avec une infinie douceur il les massa. Ce n’était plus des massages, mais davantage des caresses sensuelles qu’ils portaient à mes seins. Lentement il passa plus bas, sur le plexus et le bas ventre. J’étais aux anges car il a fallu qu’il se lève davantage et j’ai pu ainsi mieux le voir. Il était complètement absorbé par son ’travail’, apparemment très à l’écoute de mon corps, car je ressentis de douces sensations en moi.


Olivier monta sur le lit et posa ses genoux de part et d’autre des mes épaules. Cette fois, j’avais une vue imprenable sur son sexe. Il était majestueux, tendu fort le long de son torse, remontant jusqu’à son nombril. Sa verge était vibrante, je pouvais presque voir le sang affluer et battre dans ses veines gonflées à bloc.


Toute prise à mon examen détaillé de son sexe, je n’avais pas réalisée qu’Olivier avait dégagé la serviette et s’employait à me masser les lèvres, insinuant ses doigts entre elles et caressant mon clitoris. Je n’en pouvais plus et je ramenais mes mains sur son sexe pour lui prodiguer une douce masturbation.


De son gland j’ai senti perler une goutte de son plaisir, et c’est instinctivement que j’ai porté mon doigt humidifié à ma bouche, pour l’essuyer probablement. Sans prendre garde, j’ai goûté à son sexe et j’aimais ça ! Pourtant jusqu’à présent cela me dégoûtait d’imaginer prendre le sexe d’un homme en bouche et je ne l’ai jamais accordé à mon mari ni à mes précédents amants. Mais là, par une pulsion incontrôlée, j’ai voulu goûté davantage au sexe d’Olivier.

Oubliant tout préjugé et la raison de la présence d’Olivier, je l’ai bousculé sur le lit et je l’ai pris en bouche, sans même attendre de recevoir son accord. Un instant, j’ai eu peur de mal m’y prendre, mais j’y trouvais tant de plaisir que rien n’aurait pu me retenir.


Olivier semblait apprécier vraiment ce retournement de situation. Il n’a pas tenté de s’enfoncer davantage dans ma bouche, comme je le redoutais aussi ! J’allais à mon rythme, au gré du plaisir que je prenais et que me donnait Olivier ; il n’avait pas perdu de temps en introduisant deux doigts en moi.

Je désirais jouir, et aussi sentir son sexe en moi, lorsqu’il étendit le bras vers la poche de sa veste toute proche pour en sortir un préservatif. Il me dit alors que si je le souhaitais, il aimerait beaucoup s’introduire en moi… j’en fus flattée et je changeais de position pour lui montrer mon accord.


Il posa son préservatif et présenta son sexe devant le mien. J’avais trop attendue, je n’en pouvais plus, j’avais un désir immense de jouir, d’être pénétrée, de sentir son sexe en moi. JE lui pris en l’introduisit profondément en moi. Je jouis presque immédiatement avec une violence incroyable, et aussi pour la toute première fois ! Je n’avais jamais connu cette sensation de vide total, de perte de conscience bien qu’éveillée, de décharge liquide en moi… rien de comparable avec mes masturbations ou les jouissances obtenues avec mon clitoris.

Olivier se vida en moi, dans son préservatif et je pouvais sentir battre son sexe, et la chaleur de son sperme.



Lentement, allongés côte à côte sur le lit, nous avons repris nos esprits. La séance avait duré seulement une heure et demi… mais cela me semblait avoir duré une éternité. J’étais profondément relaxée et épuisée.

Olivier me murmura quelque chose à l’oreille et se leva. J’entendis l’eau de la douche couler et j’ais eu envie de le contempler pendant qu’il prenait sa douche. Le spectacle dépassait la hauteur de mes attentes, Olivier était là, étiré sous la douche pour se laver, son sexe n’avait pas débandé. Il était effectivement très beau. Sans qu’il m’ait vue, je repartis me coucher et j’attendis. Lorsqu’il revint, tout juste masqué d’une serviette, il se rhabilla, m’offrant un strip tease à l’envers dont je ne perdais pas une miette du spectacle.


Il me demanda s’il pouvait faire quelque chose d’autre pour moi et si j’avais apprécié le massage - comme s’il pouvait en douter !. Puis il partit après m’avoir embrassé en me disant qu’il avait passé un excellent moment.



Nous continuons régulièrement nos discussions sur le chat. Nous sommes toujours en relation très proches et j’attends avec impatience le jour où j’aurais l’opportunité de recevoir un autre massage.


Mon mari ne sait rien de toute cette aventure, mais il a beaucoup apprécié que depuis ce jour je prenne son sexe en bouche. Même s’il ne vaut pas celui d’Olivier, j’y suis amoureusement attaché et notre couple me semble encore plus fort ; je ne suis pas tombée amoureuse ou dépendante d’un autre homme.


Olivier, merci de tout cœur… Prends soin de ma copine Sandrine que je te confie. Je sais que je peux compter sur ta discrétion pour ne rien dévoiler de toute cette histoire.


Merci à Revebebe de me permettre de publier cette histoire ; j’ai ainsi le sentiment de partager un secret et cela libère un peu plus ma conscience de cette culpabilité mal placée d’avoir pris plaisir à commettre cet adultère.

Cher lecteur et lectrice, j’espère que mon histoire vous aura transporté dans les mêmes délices que ceux que j’ai vécus. N’hésitez pas à me faire part de vos commentaires…