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n° 07120Fiche technique36173 caractères36173
Temps de lecture estimé : 22 mn
18/02/04
Résumé:  Lors de nos vacances , ma femme couche avec un noir et me le raconte
Critères:  h fh fhh couleurs couplus extraoffre inconnu fépilée vacances plage jardin hotel voyage exhib noculotte fellation anulingus fsodo
Auteur : appizo  (H 40 ans écrivain et pervers à ses heures)

Série : Aventures en République Dominicaine

Chapitre 02 / 02
Ma femme cède à ses pulsions pour mon plaisir


L’aube pointait déjà quand Véronique rentra dans la chambre vers 4h30. Dès que j’entendis la porte, je me suis réveillé et les paupières entrouvertes, l’ai regardé se dévêtir, retirer sa robe blanche sous laquelle elle ne portait toujours rien et vint se glisser dans le lit contre mon corps. Avant que je ne puisse lui poser la moindre question, elle m’embrassa sur la bouche pour me faire taire et me faire comprendre qu’elle m’expliquerait tout dès qu’elle se serait reposée. Voulait – elle me faire languir intentionnellement ou était – elle réellement épuisée par des actes sexuels hors norme ? Toujours est – il que j’ai respecté ses desiderata et la pris dans ses bras pour continuer à dormir. Serrée contre moi, elle dégageait une odeur de mâle assez prononcée qui me grisa, m’apportant la certitude qu’elle avait suivi ses envies sexuelles, conformément à mes fantasmes pervers.


C’est vers 11h30 que Véronique daigna se réveiller alors que pour ma part, je m ’étais déjà levé et étais en train de lire sur la terrasse pour calmer mon impatience. Dès que je l’entendis s’étendre dans le lit, je ne pus m’empêcher d’aller me lover contre son corps encore chaud du sommeil réparateur, serrant son corps dénudé contre le mien. Elle ronronna et se serra encore davantage contre moi en lui susurrant doucement :



Comme dans un rêve, je vis Véronique descendre contre mon corps jusqu’à ce que sa tête soit à hauteur de ma bite tendue et elle commença à passer sa langue sur ma verge en me regardant droit dans les yeux, puis inclinant ma queue à la verticale, elle posa ses lèvres sur mon gland et avec une lenteur exquise, elle goba mon sexe qui s’enfonça avec plaisir dans la cavité chaude et humide. Je pense que la dernière fois où Véronique m’a sucé remontait à plus de cinq ans, après une soirée particulièrement arrosée et là sans rechigner, elle faisait monter et descendre délicieusement sa bouche sur ma queue en me malaxant doucement les couilles.


La douceur du traitement et surtout l’excitation ressentie depuis le début et la surprise dont elle me gratifiait, m’amena rapidement aux bords de la jouissance et par délicatesse, je lui en ai fait part en tentant de me retirer de sa bouche



Elle me regarda dans les yeux tout en s’accrochant à ma queue, je compris qu’elle voulait que je jouisse dans sa bouche, car elle accéléra les va-et-vient, pompant mon dard comme si sa vie en dépendait et j’atteignis le point de non-retour. Dans un grognement de plaisir, j’explosai et de longues salves de sperme crémeux jaillirent au fond de sa gorge. Les rasades devaient être copieuses car ma femme n’arrivait pas à avaler suffisamment vite, et du sperme s’écoula sur ma verge par la commissure de ses lèvres. Je voyais qu’elle faisait son possible pour tout avaler, me gardant en bouche et alors que ma jouissance se tarissait, elle continua à me branler pour extirper un maximum de foutre avant de me lécher le sexe pour consciencieusement le nettoyer de tout trace. Puis délaissant mon organe viril, elle remonta sur mon corps pour me demander si cela m’avait plu avant de m’embrasser à pleine bouche. Dans ce baiser, je retrouvai l’odeur de mon propre sperme et je trouvai cela particulièrement grisant. Son corps mince reposait sur moi et elle continua son histoire



En effet, son histoire avait produit ses résultats car je bandais à nouveau et comme elle était couchée sur moi, ma bite se trouvait à hauteur de sa chatte et je pénétrai d’un coup dans son vagin mouillé. Elle poussa un soupir de plaisir et m’embrassa à pleine bouche.



Sur cela, elle se pencha et m’embrassa profondément et je dus faire de gros effort de concentration pour ne pas juter dans sa chatte tellement ce qu’elle venait de m’annoncer me faisait plaisir. Notre baiser dura de très longues secondes puis Véronique se releva, mon sexe gluant de cyprine expulsé de sa chatte, et vint se placer au centre du lit à quatre pattes en offrande.



Mon sexe tendu et douloureux, je vins me placer derrière et plongeai ma tête entre ses fesses. Ma langue s’engouffra dans sa chatte trempée et je me mis à lui lécher le sexe et la raie des fesses dans de grands mouvements de langue. Je la sentais réticente que me bouche explore son entrejambe et sa raie culière mais je la tenais par les hanches. Aussi, quand le bout de ma langue s’enfonça dans son anus, elle dut se plier à ma volonté et pour la première de ma vie, je goûtai à ses odeurs intimes, fortes et musquées. Durcissant ma langue, j’évasais progressivement son anus et Véronique, son moment de répulsion et d’appréhension passé, se mit à pousser des petits gémissements, surtout que j’enfonçais en même temps deux doigts dans son sexe en les faisant aller et venir doucement.


Jugeant enfin le moment venu, je lui ai enfoncé doucement mon index trempé de mouille dans sa rondelle humide de salive tout en maintenant mon pouce figé dans son sexe, les faisant aller et venir. Véronique poussait des petits cris de plaisir et accompagnait les mouvements de mes doigts. Puis, tout en laissant mon index au fond de son cul, je m’agenouillai derrière elle pour lui pénétrer profondément la chatte. Par mon index, je sentais mon sexe voyager dans son sexe. Estimant mon sexe bien englué par sa mouille et mon épouse très excitée, je retirai mon index et plaçai mon gland contre sa pastille et d’une lente poussée, j’investis le cul de ma femme. Elle cria de mal quand mon gland a franchi le muscle de son anus. J’arrêtai aussitôt ma progression pour lui donner le temps de s’habituer à l’intrus qui lui perforait les intestins. J’en profitais pour pleinement apprécier les sensations nouvelles de sentir ma bite étranglée par son anus que je sentis se détendre légèrement. Aussi, je continuai ma progression et finalement, c’est elle-même qui s’empala sur mon sexe en reculant brusquement ses fesses qui claquèrent contre mon bas-ventre. Elle poussa un gémissement de douleur mais, elle devait me le confirmer par la suite, elle avait voulu avoir mal en s’empalant sur mon sexe pour se punir de m’avoir trompé alors que je l’y avais poussée.


Passant une main sous son ventre, je découvris sa chatte poisseuse de mouille et je débusquai sans problème son clitoris que je pressai délicatement entre le pouce et l’index et ses gémissements de douleur firent place à des halètements de plaisir tandis que son anus se dilatait autour de mon membre. Elle commença à aller et venir et m’encouragea bientôt par des mots crus que je découvrais dans sa bouche.



Sentant ses doigts se caresser la chatte, j’empoignai ses hanches et entamai de longs va-et-vient dans son cul, prenant beaucoup de plaisir à voir mon sexe entrer et sortir de son anus, retroussant l’anneau culier puis quand mon gland menaçait de sortir, je m’enfonçais profondément d’une traite dans ses entrailles. Une forte odeur de sueur et de sexe flottait dans l’air tandis que nos grognements de plaisir emplissait la chambre. Sentant que les mouvements de va-et-vient allaient rapidement avoir raison de ma résistance, elle accéléra les caresses sur son clitoris, s’enfonçant deux doigts dans la chatte. Enfin, je ne sus plus me retenir et j’expulsai des litres de foutre dans ses intestins tandis qu’elle hurlait à son tour sa jouissance.


Délicatement, je me retirai de son anus meurtri qui resta légèrement entrouvert pendant quelques secondes avant de se refermer. Pris d’un élan subit, je déposai un baiser sur son anus rougi par la pénétration et commençai à lui lécher entre les fesses pour apaiser la brûlure. J’enfonçai même la langue dans son minuscule trou, récoltant un peu de mon sperme en provenance de son cul. Véronique tenta de refuser la caresse sous prétexte que c’était dégueulasse mais je l’empêchai de se relever en plaquant une main sur le bas de son dos et poursuivis ma caresse buccale. Ma langue allait de sa chatte trempée à son anus, en passant par son clitoris dardé de désir. Malgré qu’elle venait de jouir, le plaisir la reprenait, je buvais avec joie sa liqueur intime mêlée à mon sperme qui s’écoulait lentement de son anus, ma langue frétillait sur son clitoris. Puis, dans un feulement de plaisir qu’une actrice de porno n’aurait pas renié, Véronique fut parcourue d’un orgasme renversant


Terrassés par le plaisir, on s’écroula sur le lit et nous nous endormîmes serrant ma femme dans mes bras. On s’est réveillé vers 15h00, toujours tendrement enlacés et après s’être longuement embrassés, nous prîmes une douche, enfilâmes notre maillot et fonçâmes nous allonger dans un transat sur la plage pour s’endormir à nouveau.


Vers 18h00, on a abandonné à regret notre chaise longue à l’ombre des palmiers pour rejoindre notre bungalow pour nous préparer à aller manger notre dîner du soir. Après avoir enfilé un pantalon à pinces et un polo, j’assistai aux préparatifs de mon épouse qui déambulait toute nue dans la chambre, le temps de se sécher les cheveux et de se maquiller. J’adorais la regarder en toute impudeur, sa peau délicieusement bronzée si ce n’est son pubis qui arborait sa blonde toison finement taillée et ses fesses arrondies, légèrement moins bronzées que le reste, preuve qu’elle avait déjà bronzé depuis son arrivée.


Elle me demanda ce que je voulais qu’elle mette, ce à quoi je lui répondis que cela m’était égal mais je voulais qu’elle soit très sexy. Finalement, elle opta pour un body string en dentelles noire sur une jupe moulante blanche en toile et un chemisier en tulle noir qui dévoilaient quelque peu par transparence le body et chaussa des escarpins noirs à hauts talons.

Quand elle sortit de la salle de bain, je m’en suis voulu de lui avoir demandé de s’habiller sexy et je faillis lui conseiller d’aller s’habiller plus sage car là, elle était un véritable appel au viol, encore davantage que la veille. Car si hier soir, elle dévoilait davantage ses formes dans une robe moulante blanche en lycra, là tout se devinait par transparence, ses seins projetés en avant par le body au soutien ampliforme, à peine cachés par le chemisier en tulle noir transparent tandis que le string de son body se devinait sous la toile, faisant croire que sa toison pubienne était noir foncé.


Je la pris dans mes bras, réfrénant ma remarque concernant sa tenue, ce qui n’aurait pas manqué d’être déplacée dans la mesure où je récoltais les fruits de mes fantasmes. Je lui pris les lèvres pour l’embrasser profondément et elle répondit à mon baiser, se collant contre moi. Ma queue manifesta directement son contentement en se déployant douloureusement dans mon slip.



Déjà, elle s’attaquait à ma ceinture, défaisant mon pantalon pour le laisser tomber sur mes pieds. Elle tâta mon sexe à travers mon slip, le faisant grossir encore avant de l’extirper de sa prison de tissus. Comme un beau diable, ma bite jaillit de mon slip pour être directement empoignée par Véronique qui me branla un petit peu avant de s’accroupir et me lécha le gland avant de le prendre délicatement en bouche pour me sucer. De surprise, je faillis exploser dans sa bouche mais je sus me contenir à temps. Tout en me suçant, elle descendit mon slip et me retira pantalon et slip, laissant présager son envie de me faire l’amour.


Mais elle en décida autrement car je sentis après quelques minutes, qu’elle remontait mon pantalon, à la différence près, qu’elle avait retiré mon slip et à présent, elle rangeait ma queue tendue dans mon pantalon porté à même la peau. Elle referma doucement ma tirette, prenant soin de ne pas coincer la peau ou les poils. Voyant mon air étonné lorsqu’elle se releva, elle m’embrassa pour m’empêcher de parler, me faisant goûter par la même occasion mes odeurs intimes, puis me dit, dans le creux de l’oreille d’une voix suave :



Nous sortîmes de la chambre et le trajet de notre bungalow à la salle de restaurant permit à mon sexe de reprendre des dimensions normales. Je découvrais de nouvelles sensations en étant nu sous un pantalon de toile, ma queue à moitié érigée frottait contre le tissus tandis que mes fesses étaient perpétuellement caressées par la toile. Tout au long de la soirée, j’étais dans un état constant d’excitation, Véronique ne se lassant pas de laisser discrètement ses mains frôler ma queue ou mes fesses quand nous allions au buffet et chaque fois, ma queue se déployait et mon gland se redressait, déformant obscènement mon pantalon.


De loin, j’aperçus à plusieurs reprises Pascal qui semblait nous éviter. Je le signalai à Véronique qui me répondit qu’elle l’avait aussi vu.



Le moment le plus éprouvant, si je puis dire, fut quand, alors que nous étions assis à table, je sentis le pied de Véronique remonter le long de ma jambe pour venir se loger entre mes jambes pour écraser doucement de son talon aiguille, mes couilles tout en massant de sa plante du pied, ma queue. Je voyais son escarpin noir se promener sur mon entrejambe et j’eus juste le temps de placer ma serviette sur mes jambes quand un garçon vint nous demander si on ne manquait de rien. Je ne pourrais pas le jurer mais je pense qu’il avait eu l’occasion de voir le pied de Véronique. Je mordis sur ma lèvre pour éviter de jouir dans mon froc et Véronique, amusée par la situation, répondit au garçon que l’on passait « une excellente soirée « sans pour autant arrêter de me masser l’entrejambe. Heureusement, le garçon ne s’attarda pas et s’éloigna vers une autre table.



Véronique se leva et traversa la salle, faisant tourner les regards de tous les mâles de la salle à son passage, grâce à ses mouvements de hanches et sa tenue sexy. Près de la sortie, elle changea de direction pour se diriger vers Pascal, attablé avec d’autres animateurs, qui se leva à son approche, puis ils sortirent ensemble de la salle, semble-t-il à la demande de mon épouse. Je ne pus empêcher de ressentir un pincement au cœur de les voir sortir, quasi collés l’un à l’autre. Au vu de tout le monde, je passais pour le mari cocu marié à une femme qui se faisait sauter par un animateur de club. Mais je l’avais bien cherché mais est-on réellement cocu à partir du moment où cela se fait avec l’accord du mari ? Fort heureusement, je n’eus pas attendre trop longtemps car Pascal réapparut cinq minutes plus tard tandis que Véronique me rejoignit peu de temps après.



Nous nous sommes levés de table pour sortir de la salle, Pascal nous fit un signe de la main, apparemment rassuré sur mes intentions à son égard. L’air dehors était chaud et peu de monde était visible dans les jardins. Il est vrai qu’il était relativement tôt mais tout le monde devait être à la soirée organisée par l’hôtel mais nous avions d’autres projets. Pour rejoindre notre bungalow, nous décidâmes de passer par la plage pour profiter du clair de lune. Nous nous tenions étroitement enlacés et rapidement, ma queue reprit de belles proportions mais là, je m’en foutais car nous étions seuls. Alors que je ne m’y attendais pas, Véronique m’embrassa en me caressant l’entrejambe puis ouvrit la braguette de mon pantalon pour en extirper ma queue dressée. Le gland était suintant de liquide séminal, conséquence de l’excitation croissante au cours de la soirée. Pressant ma bite dans sa main, elle fit sortir sortir une goutte translucide qu’elle lécha sensuellement en me regardant dans les yeux. Avec un grognement de plaisir, je lui fis comprendre que j’appréciais mais que je redoutais que quelqu’un ne vienne nous surprendre. Mais elle me répondit qu’elle ne savait plus attendre pour faire l’amour et qu’elle rêvait de le faire avec moi sur cette plage.


Elle me fit allonger sur le transat et s’installa sur moi en position de 69. Elle dégrafa ma ceinture et mon pantalon pour le faire glisser sur mes cuisses . Après avoir retroussé sa jupe, j’avais sous les yeux sa chatte dégoulinante de cyprine. La fine bande de tissus de son body – string était trempée et pénétrait le centre de son sexe, si bien que ses lèvres intimes jaillissaient de part et d’autre du string, agaçant son clitoris. Je la soupçonnai d’avoir placé volontairement son string ainsi lors de son passage aux toilettes pour exhacerber son excitation. Au moment où elle me prit en bouche, je plaquai mes lèvres sur sa chatte détrempée après avoir écarté le string. Je plongeai ma langue profondément dans sa chatte bouillante, me grisant de son odeur intime, mordillai les lèvres de son sexe et son bouton. J’enfonçai deux doigts dans son vagin pour les agiter frénétiquement, lui arrachant des gémissements de plaisir.


Elle, de son côté, gobait ma verge, léchant et suçant mon gland comme si sa vie en dépendait et il était clair qu’une compétition s’était engagée entre nous deux pour celui qui ferait jouir l’autre en premier lieu. Par traîtrise, elle faufila sa main entre mes jambes et je sentis un doigt humide forcer mon anus. Sentir cet intrus me pénétrer et cette bouche humide et chaude qui me suçait, je faillis tout lâcher mais à mon tour, j’enfonçai deux doigt dans son cul, forçant ses sphincters et cela déclencha sa jouissance peu de temps après, m’envoyant un flot de mouille dans la bouche. Rapidement, j’explosai à mon tour, me vidant au fond de sa gorge dans un râle de plaisir. Elle se releva et se retourna pour s’allonger sur moi pour m’embrasser et sans que je m’y attende, mon propre sperme se déversa dans la bouche tandis que sa langue jouait avec la mienne. D’abord surpris, j’acceptai ce baiser spermatique et pour la première fois, j’avalai du sperme et qui plus est, mon propre sperme. Le goût âcre et sucré en même temps n’était pas désagréable. Nous nous embrassâmes jusqu’à ce que j’eus avalé tout le foutre.


Toujours allongée sur moi, Véronique se laissait bercer par la brise marine et le clapotis des vagues venant s’échouer sur la plage tandis que sa chatte trempée de mouille et de sa salive reposait sur mon sexe au repos. Rapidement, ma libido reprit le dessus et ma verge commença à durcir à nouveau, venant se loger agréablement dans l’entrejambe ouvert de mon épouse, cognant contre sa chatte et naturellement, elle pénétra l’antre douillet de son sexe. Directement, elle commença à aller et venir sur ma tige, poussant des soupirs de plus en plus fort et elle se mit à haleter sous le plaisir qui grandissait en elle. Elle se redressa pour mieux sentir ma bite dans sa chatte, accentuant l’angle de pénétration.


Un léger bruit sur la droite détourna mon attention et j’aperçus, dissimulé dans la végétation, un noir qui se masturbait en nous regardant baiser et je me décidai de lui donner un super spectacle. Je déboutonnai le chemisier de Véronique pour le lui enlever malgré ses réticences, puis sortis ses seins du body pour les malaxer et en pincer les tétons dardés d’excitation. J’arrivais difficilement à maitriser ses déhanchements sur ma verge, tellement ses aller-retours étaient puissants au point même qu’à un certain moment, ma bite sortit de sa chatte pour cogner contre son périnée, entre son sexe et son anus. Passant une main dans son dos, elle se saisit de mon membre trempé de sa mouille et le dirigea vers son œillet froncé avant de se rasseoir doucement dessus, forçant elle-même son passage étroit. Une grimace de douleur apparut sur son visage quand mon gland força ses intestins mais elle continua à s’empaler jusqu’à la garde, procédant par paliers jusqu’à ce que ses fesses ne touchent mes couilles. L’air semblait lui manquer mais elle parvint à s’habituer à la présence de ma bite dans ses fesses.


L’accès à sa chatte étant à présent libéré, j’y enfonçai deux doigts tout en caressant son clitoris avec le pouce en utilisant la main droite, la gauche s’occupant de sa poitrine. À un certain moment, son attention fut également attirée par le voyeur et poussa un cri de surprise.



Bizarrement, ses halètement et gémissements de plaisir se firent davantage entendre dans le silence de la nuit tandis qu’elle regardait droit vers le voyeur qui se masturbait lentement, voulant associer sa jouissance à la nôtre en la retardant au maximum. Peu de temps après, Véronique et moi laissions exploser notre jouissance, me déversant dans ses intestins tandis que le noir expulsait des jets de sperme sur le sable, avant de s’éloigner rapidement. Nous en fîmes de même, rejoignant rapidement notre chambre et on se déshabilla avant de s’écrouler sur le lit.