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n° 07129Fiche technique19037 caractères19037
Temps de lecture estimé : 12 mn
27/02/04
Résumé:  Les arts plastiques c'est sympathique.
Critères:  fh jeunes voir fmast facial fellation cunnilingu anulingus fsodo coprolalie
Auteur : Epizod  (500 millions de chinois ... et moi et moi et moi)            Envoi mini-message
Connaissez-vous Malevitch ?


Viviane est jolie. Sujet, verbe, complément. Rien à ajouter, ni Viviane qui, pas paraît, semble, sera, était, ni jolie pourquoi, ni quand ni comment. Viviane est jolie. Elle est jolie quand elle se mord la lèvre inférieure parce qu’elle a une fois de plus gaffé, quand elle se tire sur l’oreille gauche parce qu’elle est intimidée, quand elle déchire les billets, quand elle rie, quand elle s’attache les cheveux avec un crayon de bois, quand elle fouille dans son petit sac asiatique à la recherche de ses kleenex, quand elle fait un doigt et tire la langue dans le dos d’un client peu aimable, et même quand elle se gratte le plus discrètement possible la fesse gauche comme je viens de la surprendre. Elle n’est pas belle, fatale, sublime. Elle est jolie, craquante, nature.


Viviane est étudiante. En arts plastiques. Comme beaucoup de jeunes filles qui se rêvent conservatrices, galeristes, critiques d’art. Elle veut se spécialiser dans le suprématisme. J’ignorais ce que c’était jusqu’à ce qu’elle me l’explique par le menu pendant une pause, en se tirant sur l’oreille gauche. Elle sait que c’est un secteur bouché, que ses chances sont faibles, que les concours sont durs, qu’il faut faire moults stages ingrats, plus souvent devant la photocopieuse que devant les œuvres ou dans les musées. Mais Viviane a la foi. Elle a décroché son DEUG l’année dernière, elle déplacera c’est sûr ces montagnes que sont la licence, la maîtrise, et tout le toutim. Viviane fait de la boxe française. C’est sans rapport, mais c’est un fait, elle en fait. Elle m’a expliqué en martyrisant son oreille que ça lui permet d’évacuer efficacement le stress des études, qu’elle aime bien se sentir en sueur en sachant qu’après une bonne douche, elle repartira les membres engourdis mais la tête vide vers ses bouquins.


Au grand dam de son oreille, j’ai appris au fils de nos conversations devant la machine à café que Viviane a 22 ans, qu’on la surnomme Vi, qu’elle a un petit frère qui lui manque car il vit avec ses parents en Vendée, que son copain resté à Niort s’intéresse un peu trop aux bagnoles et pas assez à elle, qu’elle déteste les brocolis mais adore la bouffe indienne épicée, que son chat est un emmerdeur et qu’il lui saccage sa chambre de bonne tous les jours que Dieu fait, qu’elle rêve de visiter St-Petersbourg («le musée de l’Hermitage, un des plus grands du monde, il faut le voir une fois dans sa vie, comme le Louvre, et d’ailleurs il y avait une expo qui… »), Buenos-Aires («trop beau le tango, j’ai essayé une fois, la vache c’est dur»), l’Inde (« … veux voir le Taj Mahal et goûter plein de trucs »), et Rome (évidemment) et le Japon et la Nouvelle-Zélande et … Tout quoi. Cette fille un peu gauche et rougissante est pleine de vie. Elle enfile son mètre 70 dans des jupes un peu bab, des treillis fatigués, des tee-shirts un peu lâches de toutes les couleurs, des gros cols-roulés, des baskets fatigués, arrive l’hiver avec des bonnets pas possibles, je ne sais pas où elle va chercher ces trucs, et trace sa route. Ses longs cheveux châtains forment le plus souvent un vague chignon tenu par l’inamovible HB, ses yeux en amande bruns brillent, ses joues sont rouges, son sourire timide est charmant, son coup gracile est à croquer. Et moi je la regarde s’acquitter de son job d’étudiante dès que je n’ai plus de client à ma caisse et même quand j’en ai, parce que c’est le plus joli spectacle dans le périmètre immédiat.


On n’est pas vraiment devenu copain, mais le courant passe bien, on passe nos pauses ensemble, on tchatche, son oreille dérouille. Elle me regarde un peu plus directement au fil du temps, son sourire est plus net, on a des bonnes tranches de rires, on s’est un peu pris la tête sur le traitement de la question du voile à l’école, ça roule quoi.


Nos conversations ont dévié une fois sur le cul, gentiment, je ne sais plus de quoi s’est parti mais on a parlé de son copain qui était devenu un peu routinier, ce qu’elle admettait d’autant moins qu’ils se voyaient peu. Sur le ton de la plaisanterie, elle m’a avoué qu’actuellement, si elle voulait une bonne suée, c’était la boxe et rien d’autre. Dont acte.


J’ai du mal à imaginer son corps. Elle est plutôt longiligne, bon, mais son style vestimentaire ne laisse guère deviner le physique de la demoiselle. Une fois, alors qu’elle se penchait pour ramasser un ticket tombé au sol, l’encolure ample de son tee-shirt m’a laissé entrevoir un sein libre de taille moyenne, et sauf question d’ombre ou de fatigue visuelle, au téton très brun. C’était charmant. J’ai failli faire une erreur en rendant la monnaie.


Demain soir, Viviane et moi, on ira au resto. Voilà, c’est ce qu’on vient de décider à la pause. J’avais entendu parler d’un resto indien dans le quartier, tout à fait honnête paraît-il, ça lui dit aussi quelque chose, on a qu’à l’essayer ensemble. Vendu. Ni elle ni moi ne bossons, condition sine qua none car sinon on ne finit jamais avant 23 h 00, fin de l’entrée de la dernière séance.


Pour notre sortie, Viviane a fait un effort. Elle porte un pantalon en toile beige, un tee-shirt vert mais ajusté celui-là. Bien sûr, dans les cheveux, le HB. Elle a mis, ça c’est vraiment une première, un peu de maquillage, un petit contour des yeux, qui n’en sont que plus beaux et un (très) discret rouge à lèvres.


Son pantalon ne dissimule plus une paire de fesses qui me parait menu et joliment pommelée, son tee-shirt sous lequel elle n’a pas de soutien-gorge abrite, c’est évident, de jolis seins fermes.


Tiens tiens, c’est ma Viviane ça ? En tout cas, mon regard est différent. Le suprématisme, donc, très intéressant, j’ai toujours été passionné.


Maintenant que je suis allongé à côté de Viviane, qui s’est endormie sur mon épaule et qui émet un souffle paisible et à intervalle régulier un très discret ronflement, dans une pièce qui s’est emplie des effluves dégagés par la bataille de deux corps, je peux me permettre cette pensée profonde, que s’autorise quotidiennement un fort pourcentage de la population mondiale, sans qu’Einstein et consorts ne se sentent particulièrement menacés : c’est drôle, la vie.


Le resto indien tient la route. C’est fin et fort à la fois. La bière indienne est surprenante, gouleyante et ambrée. La bière est une boisson internationale, qu’on retrouve immanquablement, en production locale, dans tous les pays. C’est ce que j’explique à Viviane, qui acquiesce en s’enfilant sa deuxième bouteille. Elle est souriante, vindicative, taquine, agacée, marrante. Malevitch vient nous tenir compagnie un quart d’heure. Puis c’est son copain, Antoine, qui l’irrite particulièrement notamment depuis son exposé de vingt minutes au téléphone tout à l’heure sur la nouvelle Golf, quand Viviane aurait aimé être consolée d’un examen récemment raté. Elle s’autorise une confidence : pour la bagatelle, il ira se faire voir la prochaine fois qu’ils se verront, il n’aura qu’à se branler (elle a dit « masturber ») devant Auto-Journal. Quand je l’interroge sur la moue qu’elle fait à cet aveu, elle pousse jusqu’à reconnaître qu’elle en sera la première punie, elle n’a pas fait l’amour depuis deux mois, et deux mois, c’est long. Elle fait diversion en me demandant si j’ai une copine. Non, pas actuellement. La conversation se poursuit, mes yeux qui s’efforcent de rester concentrés sur les siens sont parfois distraits par le reliefs de ses pointes de seins sous le tee-shirt. Intéressant jusqu’alors, je deviens semble-t-il d’essence divine lorsque, alors qu’elle m’interroge sur les raisons de mon modeste emploi actuel, je lui explique que je me suis posé là provisoirement au retour d’un périple de six mois, un break, qui m’a mené certes pas à Buenos-Aires, ni au japon, mais en Inde où j’ai notamment vu le Taj Mahal. Cette évocation, la bière, les épices ? Ces yeux brillent.


Le dîner terminé, on part se balader dans le quartier. «Je suis un peu pompette », me dit-elle. On marche longtemps, au hasard. À un moment donné, elle s’accroche à mon bras et ne le lâche plus. Je ne sais pas pourquoi, mais je sais qu’on ne va pas se quitter ce soir. Et en effet, on se retrouve chez elle, d’où nous nous étions incidemment rapprochés, devant un thé. Je déteste le thé. C’est une petite chambre de bonne, le chat a fait son office de tornade blanche, c’est le bordel, elle a une bibliothèque pleine de bouquins, romans, histoire de l’art, ouvrages de photos.


Pendant qu’elle se trouve devant son petit évier, me tournant le dos à remplir à nouveau sa bouilloire, je m’approche d’elle. J’aborde son long cou fin. Il est tiède, doux. Je l’embrasse, le caresse des lèvres et de la langue. Elle penche plus encore la tête. Mes mains se glissent sous son tee-shirt, son ventre est chaud. Ses seins sont fermes, je les effleure, les saisi, puis les malaxe. Elle pousse ses fesses vers mon bassin, contre mon sexe. Je mords son cou, elle pousse plus fort. Je saisi ses tétons entre mes doigts, les pince, tire doucement. Je sens à un moment sur mon avant bras une aisselle humide. Elle se libère et se tourne vers moi. Elle se mord la lèvre comme si elle avait gaffé, ce qui est loin d’être le cas, puis sans me regarder, elle ôte son tee-shirt. Elle a de jolis seins, aux pointes effectivement brunes. Je prends en bouche la peau granuleuse du téton gauche, elle gémit. Je tourne autour avec ma langue, l’aspire, le mordille. Viviane a saisi ma tête à deux mains et les promène dans mes cheveux. Je m’écarte un instant du sein, lui lève un bras et dirige ma bouche vers son aisselle. Une rosée de sueur la recouvre, que je lèche. Son goût est un mélange de salé et d’amertume. De la chair de poule se forme sur son bras. Je mordille son triceps, revient vers l’aisselle, puis le sein. Puis l’autre. Ses pointes sont épaisses, durcies, je les sens bien dans ma bouche, je les pince avec les lèvres, puis tire. Elle geint. J’entends un vague, timide «Oui». Je sens presque la chaleur qui émane de son bassin, quand à intervalles réguliers elle le pousse et le frotte contre moi. Je la tourne à nouveau. Elle a de très jolies épaules, un dos un peu noueux. Je la masse, la griffe. Je me suis collé contre ses fesses et en dépit de nos pantalons respectifs, je frotte ma bite contre son cul. Elle répond par des rotations, elle me tend son postérieur avec lequel elle appâte ma queue. Je suis raide, dur. Je lui demande «Tu me sens ? » et me contente d’un « Hummm » en réponse. Je mime maintenant la pénétration et, mon sexe emprisonné, donne des coups de boutoirs contre son cul. Je veux voir ce cul. Je veux le sentir. Je veux l’explorer, le mater. Je m’attaque au bouton et à la braguette de son pantalon. Puis, après m’être mis à genou, je baisse celui-ci doucement. Son cul, petit et très bien dessiné, m’apparaît. Elle porte, c’est un détail touchant, une modeste culotte en coton, dont la couture sous la fesse gauche est déchiré. La chaleur qui émane de son futal dès que celui-ci est baissé est presque palpable, tout comme une odeur musquée de sexe. Elle lève successivement ses pieds droit et gauche pour que je la débarrasse définitivement de son pantalon. Je lui indique par une légère pression à l’intérieur de jambes, d’écarter celles-ci. Son entrejambe est sous mon nez, engoncé dans la culotte. Quelques poils dépassent sur les côtés. Je passe doucement ma main sur sa vulve. Je sens Viviane frémir. Toujours à travers la culotte, je remonte vers sa raie des fesses, puis j’appuie légèrement sur son anus que je devine au toucher à travers le tissu. Je n’y tiens plus et finalement la culotte suit le pantalon. Son cul est là, chaud, quelques petits boutons parsèment ses fesses. Sa chatte châtain, naturelle mais pas excessivement fournie, est déjà très humide. Un filet de mouille s’égare entre les poils. Ma queue va mourir étouffée si je ne la libère pas, j’envoie valdinguer jean et slip. Viviane s’est légèrement tournée pendant l’opération et regarde mon chibre. Joueur, je le prends en main et commence à me branler en la regardant. Je crache sur mes doigts et étale la salive sur mon gland violacé. Elle reste immobile, comme fasciné par ce qu’elle voie. Après avoir donné quelques coups de bite sur ses fesses, je me rebaisse derrière elle, puis embrasse son cul. J’écarte les globes de chair, la vue sur sa raie, son petit trou et sa chatte baveuse est imprenable et superbe. Ma langue entreprend d’en tester le goût. Ses poils chatouillent mon nez pendant que je la lèche. Très vite et toujours aussi timidement, de petits «Oui oui » me parviennent de là-haut. Je lèche maintenant successivement sa chatte et son anus. J’ai crains un instant une réaction de refus sur cette dernière initiative mais ça ne semble pas être à l’ordre du jour. N’eut été le chat qui commence à me gonfler, à ronronner autour de mes mollets et à me sentir la bite, tout serait parfait. Je le renvoie d’un discret coup de pied à sa litière. L’anus de Viviane est doux, quelques tout petits poils le cernent. Je le tâte du majeur que j’ai humecté, il a une tendre élasticité. Mon doigt se fait plus hardi, s’enfonce légèrement. Son trou s’ouvre doucement, la moitié du doigt entre, puis la totalité. Je le fais aller et venir dans l’orifice. Viviane s’affale sur l’évier et geint. « Tu aimes ça ? « MMMMMMMMMMMmmmm, oui ». Le mmm est guttural, long, le oui minuscule. Je ressorts mon doigt, j’y reviendrai.


Je retourne Viviane et la fais asseoir sur le plan de travail à côté de l’évier. Je relève ses jambes. Elle se soutient, les bras en arrière. Sa chatte est ainsi totalement offerte, touffe de poils châtains, pubis gonflé, lèvres humides et brunâtres. «Tu sais que tu es très belle comme ça ? ». Je la trouve effectivement superbe, elle n’a pas l’air convaincu. «Regarde comme tu exhibes ta chatte pour moi ». Elle me sourit timidement. Je plonge vers son sexe. Je le suce. Je sens sa mouille sur mon visage, j’écarte grand ses lèvres, lèche l’intérieur. Viviane halète. Je la teste : «J’arrête ou tu veux encore ?». C’est presque un cri du cœur qui me répond «NON, continue, t’arrête pas ! ». « Alors dis moi que tu aimes te faire manger la chatte ». Je lui souris d’un air que je veux canaille, je ne suis pas sûr du résultat. Elle hésite. «Alors comme ça tu n’aimes pas ?». «Si j’aime alors tais-toi et lèche mon sexe ». C’est mignon, ce «mon sexe », plutôt que ma chatte ou ma moule. Je la bouffe, je la dévore. Elle dégouline.


Je la descend ensuite de là et la tire vers le clic-clac. Je m’y assieds, la queue droite et fière. Elle s’en empare aussitôt. Elle commence à me sucer. C’est maladroit, mais agréable. Elle salive beaucoup, ma bite est vite trempé, elle pompe, branle. Je lui doigte la chatte pendant ce temps. Je lui demande de bien me décalotter et de passer sa langue longuement sur mon gland, ce qu’elle fait avec cette fois une technique irréprochable. Au point que je me sens venir. Je le lui signale mais elle ne s’interrompt pas. La coquine, surprenante, va m’avoir… Elle m’a. Mon sperme gicle dans sa bouche, elle continue de sucer. Elle continue tant et si bien qu’elle me maintient dans une forme peut-être pas optimale mais honorable.


Je lui retire son jouet et la fait asseoir sur le canapé. Je me délecte à nouveau de sa chatte, doigtant, léchant, branlant. J’entre 4 doigts dans cette grotte humide, son sexe est écarté largement, elle gémit. «On va baiser, tu veux ? ». «Oui, prends ma chatte ». Ha, elle a dit ma chatte, elle se lâche. J’entre ma queue. Je ne me lasse pas de cette sensation, physique de sentir mon sexe s’enfoncer dans cette moiteur, et intellectuelle de posséder un corps jusqu’alors uniquement social. Je la pilonne d’abord doucement puis plus fort. Elle me regarde maintenant dans les yeux. Ces seins se balancent au rythme de notre joute. Je l’embrasse, un baiser d’abord doux puis agressif, mordillant, elle répond elle aussi en enserrant ma langue, mes lèvres, entre ses dents, elle serre, relâche, attaque à nouveau, passe une langue baveuse sur ma bouche, ma joue, me mord l’oreille. «J’aime ça, j’aime faire l’amour», y murmure-t-elle.


Je ressorts de sa cramouille. Je relève largement ses jambes, libérant ainsi l’accès de ma bite à son petit trou. Je me présente à l’entrée, en l’observant, guettant un rejet. Mais elle a compris, se cale bien et ferme les yeux. Ma bite humide de sa mouille enfonce doucement son anus. Elle fait une légère grimace, puis soupire. Mais ma queue entre progressivement, son trou l’accueille souplement. La pression autour de mon sexe est à la fois ferme et élastique. Petit à petit, j’augmente le pilonnage de son petit trou. Je me régale dans le même temps de la vue de sa chatte, qu’elle ne tarde pas à caresser. D’abord doucement puis sa main se fait presque agressive et brutale sur son clito. Elle se branle avec énergie. C’est maintenant une litanie de «oui» qui scande sa sodomie et sa branlette. Ses cheveux défaits encadrent ses joues rouges, je l’encule, elle se mord les lèvres. «Tu sens cette bite dans ton cul, qui te défonce le petit trou, tu sens comme je t’encule, je branle ton cul, branle bien ta chatte, tu vas jouir par les deux trous ». Au milieu des «Oui » qui me répondent, je saisi dans un souffle «Encule-moi », puis «Viens dans mon cul ». Je mouille mes doigts à la source de sa chatte et les lui donne à lécher. Cette dernière caresse est le coup de grasse. J’éjacule entre ces fesses pendant que sa langue glisse entre mes doigts. Sa masturbation lui donne une jouissance forte immédiatement près. On s’écroule l’un sur l’autre. La petite pièce sent le foutre, la mouille, la sueur. On se léche mutuellement le visage, les yeux, le cou, la bouche, avant de sombrer dans une douce torpeur.


Plus tard dans la nuit, le foutu chat griffe mes pieds qui dépassent du clic-clac. Mon cri réveille sa maîtresse. Puisqu’on en est là, je lui bouffe à nouveau le cul et la chatte, elle me suce et me fait jouir sur son joli visage. On vire le chat et on se rendort, elle avant moi. Son ronronnement est doux. Il fait jour en Inde.