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Temps de lecture estimé : 11 mn
27/02/04
Résumé:  Une minirobe sexy en vacances
Critères:  fh couplus grosseins fépilée vacances caférestau toilettes voir exhib pénétratio ecriv_f
Auteur : Béatrice38            Envoi mini-message

Série : Mes exhibs

Chapitre 05 / 07
Une petite minirobe blanche

Bonjour,

Voici la suite de mes petites exhibes lors de nos vacances à Marbella. ( voir précédente histoire)

Ayant passé l’après midi à la plage à me faire dorer, côté pile et côté face devant tous les plaisanciers, nous voilà de retour à l’hôtel. Bien sur Pierre, allumer comme un fou me prend dans toutes les positions que la morale réprouve pour mon plus grand plaisir.

Puis nous nous préparons pour une petite balade en soirée sur le port de plaisance. Pierre, me dit :



Je suis un peu étonnée, connaissant mon mari, qui aime toujours me faire porter des tenues pas possibles le soir en vacance. Me voilà avec une robe ample longue, malgré tout, décolletée, avec juste mon string ficelle entre les fesses, rien de plus normal pendant les vacances, pour déambuler sur le bord de mer de Marbella.

Nous grignotons au passage, quelques bricoles dans les fast food et buvons une sangria.

Mine de rien, Pierre, nous ramène vers la boutique où nous avions acheté mon string ficelle de bain si minimaliste. Les petits commerces restent ouvert très tard l’été sur la station balnéaire.



Ha, voilà où il voulait en venir ce diable de Pierre. Je le regarde dans les yeux. Il me fait un clin d’œil. Je lui renvoie ce clin d’œil complice. Nous entrons dans cette boutique. Le vendeur me reconnaît.



Le vendeur, me tend le modèle. Pour l’essayage, il faut que j’aille derrière son comptoir. Un peu spartiate comme cabine. Mais je ne vais pas faire ma mijaurée, j’ai passé l’après midi à montrer mes fesses et mes seins sur la plage.

Hoo, mais elle me moule comme une peau cette mini. Tu parles d’un tissu extensible, la taille c’est du 36. La coupe est très simple, c’est un tube, tenu par deux fines bretelles en haut. Ma poitrine déborde de partout. On voit mes auréoles au travers du tissu blanc en limite du décolleté qui plonge bien entre mes seins. Je la tire vers le bas. Hooo très très courte. J’insiste un peu elle descend encore en tendant le tissu, mais il faut que je fasse attention en haut sinon mes seins sortent. Je me redresse et sors de derrière le comptoir. Je vois aux yeux illuminés de mon Pierre que cette tenue lui plait ; pas de miroir pour me voir ? Elle me semble bien courte ; il va falloir que je surveille le niveau de ma mini en permanence à partir de maintenant.



Le vendeur espagnol qui ne dit rien écoute comme si rien était notre conversation.

Sans rien dire, ces yeux passent de mes seins, au haut d e mes cuisses, découverts. Le spectacle doit lui plaire, il me semble qu’il bande un peu. Son pantalon fait une bosse significative. Je comprends mieux les escarpins blancs à talons hauts, en effet mes jambes doivent être assez sympas comme cela.

Pierre paie, j’ai bien compris que je dois garder cette minirobe sur moi pour le reste de la soirée. Ce qui me gène un peu c’est que je ne me suis pas vue dans un miroir. Je crains toujours un peu.

Nous sortons de la boutique. Je commence à marcher

Hooo mais c’est vrai qu’elle est courte, et dès que je marche, je sens le tissu qui remonte. Je m’y attendais un peu, mais pas tant que cela. Il va falloir que je tire dessus tous les 10 mètres sinon mes fesses vont vite être visibles. Mon string ficelle ne cachant rien de derrière.


Nous continuons de déambuler sur le port, il y a pas mal de touriste comme nous. Je sens les regardes qui se posent sur moi. Mes seins ballottent un peu, en marchant, j’entends quelques réflexions en espagnole du style t’as vu comme elle montre ses seins cette garce, c’est sûrement une pute en vacance ( traduction approximative). Pierre est aux anges. Il me propose d’aller prendre un verre dans une de ces bodégas . Il y a de l’ambiance avec de la musique. Je me sens très gênée avec tous ces gens qui me regardent. Il y a une petite cour intérieure, avec de la vigne vierge qui grimpe le long des murs. L’endroit est très sympa, bien qu’il y ait beaucoup de monde, qui boit et qui danse en même temps. Pierre me prend une sangria au bar. Il me faut cela car je me sens de plus en plus dévisagée par les hommes dans ce lieu si surpeuplé.

Nous dansons un peu avec tout le monde. Je suis en permanence en train de tirer sur le bas de ma mini. Je ne lève pas les bras, de peur de laisser sortir toute ma poitrine. Mon diable de mari me sert encore une sangria. Il exagère, je vais être pompette. Il m’entoure dans ces bras en dansant. Il me dit à l’oreille :



( Tu parles le moindre motif de dentelle sur le triangle devant d e mon string apparaît. Ce doit être pareille derrière avec le petit triangle sur mes reins.



Je commence à passer entre les gens, me dirigeant vers l’étroit escalier. Je sens au passage des mains qui profitent de la situation. Comme si j’étais dans le métro aux heures de pointes.

Pierre me voit faire comme si je ne me rendais compte de rien. Je sens qu’il est excité derrière moi. Je commence à monter ces marches, deux hommes descendent en même temps. Ils sont les yeux plongés entre mes seins. Un petit sourire !! hooo je sens Pierre, qui me pelote les fesses sous ma mini ; Je ne peux pas l’en empêcher. Que vont penser ces deux types que je croise ? Le croisement est difficile avec ces deux messieurs. Ils en profitent pour frotter leurs torses sur mes seins sans que je puisse me défiler. Arriver en haut, nous suivons un couloir qui nous mène aux toilettes.



Nous entrons dans ces toilettes. Heureusement c’est propre, mais nous restons debout.



Humm quand il me parle comme cela c’est qu’il est excité et qu’il ne demande qu’à me prendre sans le moindre préambule. Le pire c’est que j’ai envie dans ces moments là qu’il me pénètre sans préavis. Je suis déjà tellement excitée par la situation. J’ôte mon string, et le mets dans sa poche.

Il a ouvert son pantalon et bande comme un âne,



Il me soulève un peu et me prend d’un coup. Ha quel bonheur, ce sexe qui me remplit.



C’est moi qui me masturbe sur sa colonne de chaire si dure. Je ne le laisse pas respirer . Il ne peut pas se retenir . haaa il explose en moi. Je retiens mon cri, je jouis aussi.



IL me caresse encore avec ces doigts, haa je suis encore ouverte trempée, il me caresse le clito, ha je vais encore jouir, ouii, ne t’arrêtes pas. ouiiiiiiii

La je n’arrive pas à retenir un cri. C’était trop bon.

S’il y a du monde derrière la porte ???

Je redescends ma minirobe sur mes fesses et mon minou nu. Je me suis essuyée, mais je sens ma chatte en feu, encore ouverte.

Je replace mes seins. Nous sortons des toilettes, je suis rouge de honte il y a trois hommes qui attendent ; ils ont un sourire narquois en me dévisageant.

Ce sont des espagnols, ils ont du remarquer que nous sommes des français. Ils pensent que nous ne comprenons pas. Et là les commentaires vont bon train :



Je ne sais plus comment me tenir, je continue de faire celle qui ne comprend pas, et me dirige dans le couloir, vers l’escalier qui redescende dans la salle. Pierre aussi, ne sourcille pas, en entendant ces commentaires. Il joue le touriste à fond. Je redescends l’escalier en tenant ma minijupe devant. Je ne peux tout de même pas montrer mon minou à tout le monde.

Arrivez dans la salle où tout le monde danse et boit, je sens que les regards sont encore plus perçant que tout à l’heure. Ils ont tous devinés que je suis nue maintenant sous cette robe. Le tissu étant si fin et si moulant, mon string tout à l’heure se voyait parfaitement.

Le patron de la bodéga, nous offre une sangria. Nous continuons de jouer les touristes qui ne parle pas la langue espagnole. Heureusement que nous restons debout, je suis en permanence en train de contrôler la hauteur de ma mini qui ne cesse de remonter. Les discussions vont bon train autour de nous. Pierre parle en Français avec deux trois hommes qui lui fond des compliments sur ma personne. Mais le discours en espagnole est tout autre. Ils me prennent tous pour une vraie putain. L’un d’eux pense que je suis une actrice de porno.

Pierre me murmure à l’oreille :



Je dois dire que dans ces cas là. Pierre n’insiste pas et me protège. C’est sûrement pour cela que j’ai confiance et que je vais si loin dans ce genre de circonstance. Nos amis d’un soir sont bien sur très malheureux de nous voir partir, et en sortant je leur laisse le dernier plaisir de me caresser les fesses. ( Hum comme je me sens garce dans ce rôle d’allumeuse)

Nous rejoignons notre hôtel en marchant sur le bord de la jetée. Il n’y a pas trop de monde il doit être 2 heures du matin. Pierre a sa main sur ma taille. Il y a des touristes sur des bateaux ancrés dans le port. Ma mini remonte. Je n’ai plus trop envie de la contrôler. ( La sangria sûrement ?)Les bonsoirs qui nous viennent des bateaux ne sont pas innocents. Hum Mon diable de mari, leur expose ma fesse droite. Hum le diable .

Arrivée à l’hôtel, le gardien de nuit me dévisage. Le pauvre garçon, lui qui va devoir passer la nuit tout seul. Nous poussons la porte de la chambre, hummmm Pierre m’a déjà remonté la robe sur les hanches. Je m’attends à ce qu’il me l’enlève complètement, mais non.



Nous sommes allongés sur le lit. Pierre en me caressant me parle à l’oreille.



Et là Pierre commence à m’expliquer le scénario infernal qu’il compte me faire exécuter. Je vois que cela le fait bander rien que de me raconter, et moi je suis de plus en plus tremper de m’imaginer.



Et la Pierre se met au sol, et me demande de me mettre debout pour simuler la scène.



Je regarde Pierre du coin de l’œil, il bande, le sexe tourner vers le ciel ; De me raconter cela, il est excité, hummm et moi je m’imagine le faisant. Je vais au-dessus de la tête de pierre ; j e me penche, sans le toucher ; son sexe est de plus en plus prêt de mon visage ; je ne peux résister, je le prends dans ma bouche. Mes seins sont sortis de ma robe, je sens ma robe sur mes fesses nues. Et Pierre qui commence à me traiter de garce. Je sens ces deux mains qui remontent sur mes jambes, mes fesses, il m’attire à sa tête.



Je suis en feu, ma chatte qui n’arrête pas de jouir, mon anus qui me décuple les sensations. Pierre me défonce comme jamais. haaaaa Il gicle au fond ouiii que c’est bon Ces spasmes qui me dilatent encore plus.

Je retombe, nous sommes éreintés. Il est encore en moi.



Et les trois derniers jours de vacances, j’ai suivi les instructions à la lettre pour revenir de la plage. À chaque fois la température est remontée en bord de mer dans les têtes de ces messieurs qui faisant semblant de faire la sieste sur le sable.

Comme quoi, une petite robe de rien du tout peut enflammer les esprits.


Bisous, à tous les lecteurs qui m’encouragent à me raconter, même si mon style n’est pas très académique.


Beatrice.38d@caramail.com