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n° 07144Fiche technique47139 caractères47139
Temps de lecture estimé : 27 mn
29/02/04
Résumé:  En entendant la sonnette d'entrée, elle sursaute. Il est à peine neuf heures et elle se demande qui vient la déranger un samedi matin de si bonne heure..
Critères:  fh fplusag fmast intermast fellation cunnilingu fgode pénétratio fdanus fsodo
Auteur : Christian 4            Envoi mini-message
Sylvie


Sylvie, à quarante ans, est ce qu’on peut appeler un joli brin de femme. Malgré tout, une vie conjugale pas toujours très rose et un divorce difficile ont largement entamé sa confiance en elle et, depuis trois ans, elle n’a pratiquement connu aucun homme.

Oh, il y a bien eu un certain Jacques, commercial dans sa boîte, avec qui elle avait passé une soirée agréable. Mais celui-ci avait cru que le fait de dîner ensemble lui donnait des droits. Au moment de la déposer chez elle, l’avait presque agressée, déchirant son chemiser et elle n’avait dû son salut qu’à la menace de porter plainte.


Depuis, sa vie sentimentale ressemblait plus à un désert qu’à une plage à la mode !


En entendant la sonnette d’entrée, elle sursaute. Il est à peine neuf heures et elle se demande qui vient la déranger un samedi matin de si bonne heure. Par le judas, elle distingue un visage presque adolescent et demande à l’intrus la raison de sa présence :



Elle est très tentée de lui répondre qu’elle n’a besoin de rien. Pourtant elle n’en fait rien. "Après tout, il n’a pas l’air bien méchant et ça me passera un moment". Elle lui demande de patienter une seconde et lui ouvre :



Elle le fait s’asseoir au salon et il commence son baratin de vendeur. Sylvie ne prête guère attention à ce qu’il raconte. Elle le regarde et se demande quel âge il peut bien avoir. Pas plus de 25 ans visiblement.



Et voilà ! Prise en flagrant délit d’inattention ! Le jeune homme lui sourit, d’un sourire franc, et lui redemande ce qu’elle pense des livres présentés.



Le ton de sa voix la touche.



Elle abandonne le jeune homme le temps de préparer la cafetière. Seule dans la cuisine, elle se demande ce qu’il lui prend. Tout bêtement l’envie de passer un moment avec un garçon qui lui est sympathique, se dit-elle.

À son retour, elle sert le café. Ce faisant, elle se penche sur la table et ne peut empêcher d’offrir une vue sur la naissance de sa poitrine. Fred, qui, sans arrière-pensée, la regardait le servir, a bien du mal à détacher ses yeux de cette vision et sent le rouge lui monter aux joues.

Elle ne s’est aperçue de rien et s’installe dans le fauteuil, face à lui. Fred tente de détourner les yeux des genoux de son hôtesse mais a bien du mal. Sylvie se rend compte que son invité n’est pas très à l’aise mais est loin de se douter de la cause de son trouble. Désireuse de rompre le silence, elle lui demande :



À peine ces paroles prononcées, il les regrette. Cette femme, si sympa, qui lui sert un café, qui le réconforte, voilà qu’il fait preuve envers elle d’une indiscrétion à la limite de la goujaterie. Il rougit de plus belle, s’attendant à être mis dehors sans autre forme de procès.



Sylvie, qui s’amusait tout à l’heure du trouble du jeune homme, se sent à son tour envahie par des sentiments étranges. Elle aussi est émue par sa présence, par, il faut bien le dire, la beauté de son invité. Elle sent naître en elle des sensations qu’elle n’a plus connues depuis longtemps, mélange de joie, de bien-être et, surtout, d’un insidieux désir. À son tour, elle rosit et ne sait quelle attitude adopter. Le resservant, elle s’aperçoit qu’il regarde fixement son décolleté et, loin de l’offusquer, ce regard, au contraire, l’émeut. Se peut-il qu’un homme aussi jeune, aussi mignon s’intéresse à elle ?

Elle se rassied, ne sachant trop quoi dire. "Ma pauvre chérie, tu te fais des illusions". La petite voix est vite couverte par une autre : "Qu’attends-tu pour t’offrir un peu de plaisir ?".


Face à elle, Fred non plus ne sait quelle attitude adopter. Comme il aimerait se lever, la prendre dans ses bras et l’étreindre longuement ! Comme il aimerait découvrir son corps, le caresser, l’embrasser !


Un long silence s’installe et Fred, pensant sans doute qu’elle estime que leur entrevue a assez duré, se lève et range ses livres.


"Ne le laisse pas partir ! Dis-lui qu’il te plait, que tu as envie de lui". "Résiste ! Il pourrait être ton fils !". Toujours cette satanée voix !



Il se dirige vers la porte, lentement. Sylvie se lève. L’espace d’un instant, le temps semble suspendu ; ils sont là, face à face, n’osant bouger. La respiration de Sylvie s’est sensiblement accélérée, de même que celle de son invité. Ils se regardent droit dans les yeux, se sourient, puis, soudain, Fred lui prend la main.



Elle se penche vers lui et pose les lèvres sur les siennes, furtivement, presque craintive. Lorsqu’ils se séparent, Sylvie craint la réaction de Fred, ne voulant surtout pas passer pour une femme facile. Pourtant, elle ne fait rien pour le repousser quand il pose sa valise et l’enlace. À nouveau, leurs bouches se joignent mais, cette fois, il force ses lèvres pour un baiser plus profond. Elle n’hésite pas, lui offre ce qu’il désire et, elle le reconnaît, ce dont elle a aussi très envie. Leur étreinte est fougueuse, presque sauvage. Les mains de Fred, sur ses hanches et son dos, lui donnent des frissons, lui font redécouvrir des sensations presque oubliées. À son tour, elle parcourt des doigts le torse du jeune homme.

S’enhardissant, Fred empaume un sein, qu’il devine ferme, et le caresse doucement. Au contact de cette main sur sa poitrine, Sylvie devine que plus rien ne les arrêtera. Elle en a trop envie ! Elle sent son téton grossir sous la caresse et n’ignore pas qu’il s’en est aperçu. De l’autre main, Fred, descend caresser une cuisse dont il apprécie la douceur de la peau. Lentement, il remonte, entraînant le bas de la jupe, sans que Sylvie ne fasse rien pour l’arrêter. Il atteint bientôt l’élastique du slip dont il suit la limite jusqu’à la fesse qu’il masse avec la même tendresse.


Le prenant par la main, Sylvie l’entraîne, après avoir verrouiller la porte d’entrée, vers sa chambre. Alors qu’elle est sur le point d’ôter sa jupe, il l’arrête :



Il s’agenouille à ses côtés, se penche et l’embrasse une nouvelle fois, tendrement. Puis il descend jusqu’aux pieds qu’il déchausse avant de les embrasser, insinuant la langue entre les orteils, faisant frémir Sylvie. Il remonte ensuite sur les mollets, caressant l’un, embrassant l’autre.

Sylvie, appuyée sur les coudes, le regarde faire, surprise de rencontrer chez un homme aussi jeune autant de patience, de retenue. Elle aime le contact de ses doigts et de sa bouche sur ses jambes et, maintenant sur ses cuisses qu’il dévoile au fur et à mesure de sa progression.

Fred, avec toujours la même passion, poursuit sa lente remontée. Levant les yeux, il aperçoit le léger tissu blanc. Il y arrive et, seulement, dégrafe la jupe et la fait glisser. Puis, toujours si peu pressé, entreprend de lui ôter son chemisier. Un à un il ôte les boutons, embrassant chaque parcelle de peau dévoilée.

Après de longues minutes, Sylvie n’est plus vêtue que de son soutien-gorge et son slip. Fred se relève un peu, admirant son corps dans son intégralité. Un nouveau baiser puis il la fait asseoir, passe une main dans son dos et dégrafe le soutien-gorge, dévoilant une poitrine comme il l’imaginait, importante sans être imposante, ferme, aux tétons sombres et dressés. Il la fait se rallonger et s’occupe de ses seins, leur offrant baisers, caresses, faisant frissonner et gémir celle qui est désormais sa maîtresse.

Sans cesser ses caresses, son autre main descend sur le ventre, atteignant l’élastique du slip. De la paume, il masse le renflement du pubis puis, toujours lentement, descend vers la fente, découvrant la moiteur du tissu.

Les gémissements de Sylvie s’amplifient. Elle écarte plus franchement les jambes, livrant son intimité aux doigts de Fred.

Enfin, il se décide et baisse le sous-vêtement, mettant nue sa compagne. Sa bouche délaisse alors la poitrine, son regard se porte sur cette fente, recouverte d’une toison brune soigneusement taillée. Il l’embrasse doucement, retardant au maximum le contact avec les zones trop sensibles.

Sylvie ne tient plus. Elle a envie de caresses plus appuyées, envie qu’il la lèche, que sa langue la fouille, la pénètre. Elle relève les jambes, les écartes au maximum, s’offrant totalement :



Alors, Fred écarte délicatement les lèvres, sa langue titille le bouton déjà saillant puis descend et explore la fente offerte.



Sylvie savoure les baisers de son amant, ses coups de langue sur son clito, ses intrusions dans sa grotte. Elle n’a pas connu un tel bonheur depuis si longtemps qu’elle ne retient pas ses gémissements, ses petits cris qu’elle pousse parfois quand il appuie sur son bouton.


Fred déguste ce coquillage, humant son odeur, buvant sa liqueur. Ses mains remontent et il caresse les seins, tirant doucement sur les bouts, caressant les aréoles. Sa langue va du bouton à sa l’entrée du vagin, s’y enfonce, en ressort pour aller goûter, plus bas, le petit anneau fripé.


Sylvie découvre, surprise, ses baisers sur son cul. Jamais son mari ne l’a embrassée à cet endroit, jamais il ne l’a même caressée là. Elle a l’impression que son sexe s’est transformé en volcan, ruisselant de lave.

Elle sent monter en elle une vague de plaisir. Elle agrippe la tête de son amant, la plaque contre son sexe.



La suite de sa phrase se perd dans un long cri et elle jouit, longuement, abreuvant copieusement son amant qui se régale de son jus, la langue enfoncée dans son vagin, dégustant le fruit de son orgasme.

Il se relève enfin et l’enveloppe d’un regard mêlé de tendresse et d’excitation. Les yeux fermés, les narines pincées, elle savoure son orgasme. Il reste ainsi de longues minutes, les yeux sur elle, admirant son corps, la laissant revenir lentement à elle.


Ouvrant les yeux, elle le voit qui la regarde et lui sourit. Elle attire son visage sur elle et lui offre sa bouche pour un baiser des plus tendres.



Elle le force à s’allonger et, à son tour, lui ôte ses vêtements. Elle lui caresse le torse et le ventre, presque surprise de le découvrir aussi musclé. Vient ensuite le pantalon sous lequel elle distingue une bosse conséquente. Elle prend son temps, comme lui auparavant, désireuse de retarder le moment où elle découvrira ce sexe que, déjà, elle espère en elle.

Enfin, elle baisse le caleçon et ne peut réprimer un petit cri de surprise, en découvrant une verge longue et épaisse, au gland foncé. Elle n’a connu que très peu d’hommes dans sa vie et aucun n’était aussi bien pourvu.

Tendrement, elle le caresse, du bout des doigts, comme si elle voulait apprivoiser cette tige palpitante.

Elle se penche alors et embrasse la hampe, lui donnant de légers coups de langue, la léchant sur toute sa longueur. Puis elle se concentre sur le gland, dégustant une goutte qui perle et, enfin, le fait lentement coulisser entre ses lèvres. Vu sa taille, elle ne parvient pas à l’avaler en entier et doit ouvrir la bouche au maximum pour le prendre. Elle s’applique pourtant, à la fois pour lui offrir le maximum de plaisir mais aussi parce qu’elle apprécie de le sentir en elle, parce qu’elle aime son goût. Ses mains caressent les deux boules, gorgées de semence.


Fred savoure cette fellation, ses gémissements encouragent Sylvie qui le prend le plus loin possible, ne s’arrêtant qu’à la limite du haut de cœur. Ses mains retrouvent le dos de sa maîtresse qu’il caresse, descendent sur les fesses qu’il masse, insinuant parfois un doigt dans la raie, l’appuyant contre la rondelle. Bien qu’étonnée de l’attirance de son amant pour cette partie de son intimité, elle apprécie ses caresses et tend les fesses. Fred l’attire au-dessus de lui et peut ainsi admirer de plus près cette fente et ce cul qui le ravissent. Écartant les deux globes, il embrasse le petit œillet puis du bout de la langue, en force l’entrée, faisant presque sursauter Sylvie et goûtant sa saveur une peu forte, épicée.


Sylvie poursuit un peu sa fellation mais a trop envie de se sentir par cette barre de chair. Elle le lâche et vient s’installer sur lui. Le regardant dans les yeux, elle saisit le membre et le guide à l’entrée de son sexe. Puis, lentement, elle descend, la bouche ouverte, comme si elle faisait un effort pour le recevoir. Elle savoure chaque minute de cette pénétration, chaque centimètre de cette queue qui la pourfend. Il y a si longtemps qu’elle n’a pas connu de tels moments !


Fred, lui, a posé les mains sur les hanches qu’il caresse. Comme elle, il savoure le lent cheminement de son sexe dans le fourreau chaud et humide. Son membre est serré et épouse à la perfection les parois intimes.



Quand, enfin, leurs corps se joignent, Sylvie reste immobile, savourant le moment présent, jouissant de se sentir ainsi emplie. Puis, toujours lentement, elle remonte, le faisant presque entièrement ressortir, avant de s’empaler dans un long râle jusqu’à la racine.

Commence alors une longue séance de va-et-vient, Sylvie variant le rythme de ses aller et retour, les seins ballottant, le corps en nage, se donnant à fond à son amant.


Fred, sentant son plaisir imminent, la prévient :



Il sent le sperme monter le long de son sexe puis ses jets fuser dans l’intimité de Sylvie.



Sylvie, pour la seconde fois, parvient aux cimes du plaisir, jouissant en même temps que son amant.

Elle s’affale contre son torse, trouve sa bouche pour un nouveau baiser, puis ils restent de longues minutes ainsi, reprenant leur souffle, savourant leur plaisir.


Sylvie se relève enfin et lui demande s’il a soif :



Elle file chercher une bouteille de jus d’orange. Resté seul, Fred repense aux moments qu’il vient de vivre. Si on lui avait prédit, ce matin, ce qui allait se passer, il ne l’aurait jamais cru !

Sylvie le rejoint et, une nouvelle fois, il admire son corps nu, ses seins hauts et fermes, ses cuisses fuselées.



Elle s’assied à ses côtés et ils boivent tranquillement, le dos appuyé contre le mur.



Ils éclatent tous les deux d’un rire joyeux. Reposant leur verre, c’est tout naturellement qu’ils se retrouvent l’un contre l’autre. Fred lui caresse à nouveau les fesses et elle ne peut s’empêcher de lui demander :



Elle s’installe, lui offrant son fessier. Il reste quelques instants à la regarder puis reprends ses massages sur les fesses. Enfin, il les écarte, dévoilant l’œillet qu’il caresse doucement avant de remplacer ses doigts par sa langue.

Sylvie frissonne sous les caresses.. Elle sent la langue forcer à nouveau son anus et s’y introduire. Une sensation étrange s’empare d’elle, mélange de désir et de honte. Une chaleur envahit à nouveau son sexe.

Sous elle, Fred, du bout de la langue, assouplit le muscle. Se retirant, il y pose un doigt qui pénètre aisément et le fait aller et venir, doucement, pour ne pas la brusquer. Son autre main retrouve la fente et la flatte, heureux de la trouver trempée. Il retire le doigt des fesses, écarte le sexe de Sylvie et y donne quelques coups de langue qui la font gémir. La pénétrant de deux doigts, il fait quelques va-et-vient puis les retire et les pose à nouveau contre l’anneau sombre. Il pousse un peu et reprend lentement possession du cul vierge.



Tout en allant et venant par derrière, de l’autre main il trouve le bouton qu’il agace. Les gémissements de Sylvie résonnent à nouveau et son corps est secoué de spasmes. Sous ses yeux, le sexe de son amant retrouve rapidement une taille et une raideur qui l’attire comme un aimant, baissant la tête, elle embrasse cette tige, source de tant de bonheur, puis sa bouche se dirige vers les couilles, à peine poilues, à qui elle offre les mêmes baisers. Passant les mains sous les cuisses de son amant, elle se retrouve par hasard un doigt appuyé sur la rondelle. En n’ose aller plus loin mais constate qu’il ne se dérobe pas. Doucement, elle caresse le tour de l’anneau puis, comme il le lui fait, son majeur appuie un peu et le pénètre.



Décidément, elle en a des choses à découvrir ! Son doigt poursuit alors sa progression et elle est un peu étonnée de ne pas rencontrer plus de résistance.


Rapidement, Sylvie ne parvient plus à se concentrer sur ses caresses, tant celles de Fred la font devenir folle. Elle délaisse la tige de son amant et se focalise sur son propre plaisir.



Heureux du plaisir qu’il lui offre, Fred accentue ses caresses. L’index dans le petit trou et le pouce dans le vagin vont et viennent de plus en plus vite tandis que sa langue lèche la fente et agace le bouton.

Ses gémissements s’amplifient, son corps est comme traversé par des décharges électriques puis, soudain, elle pousse un cri rauque, se cambre et jouit.


Après quelques minutes, elle s’empare à nouveau du sexe toujours tendu de son amant et reprend ses caresses et baisers, l’avalant le plus loin qu’elle peut.

Elle change de position et s’installe entre les cuisses de son amant, comme si elle désirait lui offrir le spectacle de sa fellation.

Fred, un peu voyeur, ne la quitte pas des yeux, admirant ses lèvres arrondies sur son sexe, ses joues déformées par sa présence.

Elle lève parfois les yeux vers lui et il lit dans son regard un mélange d’excitation et de bonheur. Elle le lâche une fraction de seconde et lui dit :



Elle reprend ses baisers et introduit à nouveau le majeur entre les fesses de Fred qui a bien du mal à se retenir.



Elle qui n’a jamais été, avec son mari, une fervente adepte de la fellation se surprend à aimer sucer ce membre, à attendre la jouissance de son amant pour enfin goûter son sperme. Son doigt va-et-vient dans le cul de Fred au même rythme de sa bouche sur sa queue. Deuxième découverte pour elle qui, après avoir apprécié les caresses de Fred, prend plaisir à lui caresser à son tour cet endroit, qu’elle considérait, jusqu’à tout à l’heure, comme dégoûtant et tout sauf érotique.



Ses jets fusent, s’écrasant contre le palais de Sylvie qui, un peu surprise par l’abondance de son éjaculation, serre les lèvres afin de ne pas en laisser échapper une seule goutte. Elle s’aperçoit que, contrairement à ses craintes, le goût, légèrement salé, est loin d’être désagréable. Elle garde le membre, ne se décidant à le lâcher qu’en constatant qu’il perd sa vigueur.


Quand elle relève la tête, Fred la regarde en souriant :



Ils échangent un nouveau baiser, particulièrement tendre, et restent blottis l’un contre l’autre de longues minutes.




Fred ne lui répond pas, n’osant croire qu’elle pense exactement comme lui. Sylvie se méprend sur son silence et, d’une voix d’où pointe une certaine inquiétude, lui dit :



Un léger silence puis Sylvie propose à son jeune amant de rester déjeuner avec elle.



Resté seul sur le lit, Fred n’ose croire à ce qu’il lui arrive. Cette femme, qu’il ne connaissait il y a encore deux heures, lui inspire des sentiments étranges. Certes, elle est belle, elle lui a fait l’amour comme peu de femmes l’avaient fait avant elle mais, surtout, il a l’impression d’avoir trouvé en elle LA femme qu’il espérait rencontrer. "Mon pauvre Fred, ne t’emballe pas ! Elle s’est offert un moment de volupté mais ça n’ira pas plus loin." Sans doute, pense t-il, cette petite voix a t-elle raison, mais, au plus profond de lui-même, le secret espoir qu’il vit le début d’une belle aventure ne le quitte pas.


Elle revient, nue, superbe, s’assied au bord du lit :



Il tend la main vers elle, la pose sur une cuisse qui ne se dérobe pas, remonte vers la fourche qu’il effleure doucement.



Presque à regret, il se lève et se dirige vers la salle de bains.


Sylvie, à son tour, réfléchit à ce qui vient de se passer. Elle s’est offerte à ce quasi inconnu comme jamais elle ne l’avait fait auparavant, lui offrant ce qu’elle n’avait jamais offert et, plutôt que se sentir honteuse de sa conduite, elle en est heureuse et même fière. Elle n’a pas été aussi bien depuis longtemps. Se peut-il que cela dure ?

Elle a conscience qu’elle ne connaît Fred que depuis deux, trois heures au plus, mais, tout au fond d’elle, elle a l’étrange impression qu’il est celui qu’elle attendait depuis si longtemps. Pourtant, une voix intérieure la prévient de ne pas se réjouir trop vite "Tu as vu son âge ? Mignon, comme il est, ce ne sont pas les occasions qui doivent lui manquer…".

Doit-elle considérer qu’elle a tout simplement passé un moment ô combien merveilleux mais sans lendemain ou espérer une histoire plus sincère ?


Le retour de Fred interrompt le fil de ses pensées. À son tour, elle le regarde, le trouvant vraiment très bel homme. Il s’avance vers elle et elle se rend compte alors qu’elle est toujours en tenue d’Ève. Absorbée dans sa réflexion, elle en a oublié de s’habiller ! Il lui tend la main, la fait se lever et ils se retrouvent enlacés au milieu de la chambre. Un baiser les unit et Sylvie sent contre elle la virilité de Fred retrouver rapidement toute sa vigueur.



Il passe les mains sous ses fesses et lui dit :



Il la soulève, avec une facilité qui la surprend, puis la fait redescendre, s’empalant sur son mât dressé. Elle gémit, heureuse de le sentir à nouveau en elle. Ses bras autour du cou de Fred, elle enfouit son visage dans son cou et se laisse aller.

Il la fait aller et venir sur elle comme si elle ne pesait rien. Contrairement à bien des femmes, elle ne se trouve pas trop grosse mais jamais elle n’aurait imaginé qu’on lui fasse l’amour de cette façon. Ses gémissements vont crescendo, rythmant les va-et-vient.



Elle est surprise d’être une nouvelle fois si proche du plaisir. Elle qui, jusqu’alors, s’estimait comblée quand elle parvenait une fois à l’orgasme, sent qu’elle va sans tarder connaître pour la troisième fois le nirvana. Rapidement, ses gémissements se transforment en petits cris puis, soudain, elle jouit, criant son plaisir, comprimant la verge de son amant de ses muscles intimes.


Fred, doucement, la repose sur le lit puis reprend possession de sa chatte. Il lui fait l’amour d’une façon très tendre, restant parfois immobile au fond d’elle, lui caressant la poitrine, le ventre, le front.

Il parvient à se retenir un long moment puis le plaisir le gagne. Il accélère un peu la fréquence de ses coups de reins et, dans un râle, se vide une nouvelle en elle.


Après une nouvelle pause, ils s’habillent enfin.



Dans la rue, Fred passe un bras autour de sa taille et ils marchent, tendrement enlacés.



Il passent un très agréable repas, en profitant pour faire plus ample connaissance. Fred apprend ainsi que Sylvie est seule depuis près de 5 ans et lui confie que, de son côté, avec avoir vécu deux ans avec une femme, cela fait 6 mois qu’il est célibataire et "libre comme l’air".



Elle se penche par dessus la table et dépose un léger bisou sur le coin de ses lèvres. Un large sourire éclaire son visage, comme une fillette à qui on viendrait d’offrir une poupée.



Fred est plus troublé qu’il ne vient le laisser paraître. Lui, jeune mec de 25 ans à qui on demande de jouer un rôle d’initiateur. Depuis ce matin, il va de surprise en surprise.



Ils terminent leur repas, Sylvie quelque peu fébrile, à la fois impatiente et un peu anxieuse de connaître le programme de son amant.


Ils quittent l’établissement peu après et Fred, la tenant toujours par la taille, emmène Sylvie vers un quartier qu’elle connaît de réputation. Ils arrivent rapidement devant un sex-shop et, sans l’ombre d’une hésitation, Fred y pénètre, l’entraînant à sa suite. À l’intérieur, elle découvre, ébahie, les rayons où s’étalent revues, livres et cassettes vidéos porno. Seul le vendeur est présent et, quelque part, cela la rassure. Fred jette un œil distrait aux rayons puis se dirige, la tenant toujours par la main, vers une étagère où trônent divers gadgets. Lui montrant un godemiché, il lui demande :



Fred opte pour un modèle qui reproduit à la perfection un sexe en érection. Il règle son achat sous l’œil gourmand du vendeur et ils quittent l’endroit. Sachant visiblement où il va, il entraîne Sylvie vers un autre commerce qui affiche à sa devanture de la lingerie féminine qu’on ne trouve pas partout. Là, il lui offre une parure ainsi qu’une nuisette.



De retour chez elle, elle prépare le café, le laissant seul au salon. À son retour, il a déballé les sous-vêtements ainsi que le gode qu’il a posé debout sur la table basse. Il la regarde en souriant et elle s’assied à ses côtés. Ils boivent lentement leur tasse, la main de Fred sur la cuisse de Sylvie, la caressant très sagement.



Sa main, malgré l’envie qu’à Sylvie de caresses plus précises, reste nonchalamment posée sur sa jambe, la caressant presque mécaniquement. Doucement, elle écarte les cuisses, l’invitant à venir plus haut, à se rapprocher de son intimité qui, elle le sent, est déjà moite. "Ma pauvre fille, tu te conduis comme la dernière des catins !". Qu’importe ce que raconte cette voix, elle a encore envie, presque besoin de se sentir désirée, aimée et puis, après tout, si elle doit pour cela se comporter comme une salope, d’accord ! La séance de ce matin la fait encore frémir de plaisir et elle n’a qu’une hâte, en retrouver l’émotion, la jouissance.

La voix de son amant la rappelle à la réalité :



Alors, là ! Elle ne s’attendait pas du tout à ce genre de question et met quelques instants avant de réagir.



Elle sent le rose monter à ses joues. Il lui arrive, parfois, de se flatter la fente, mais, elle ne sait pas pourquoi, en parler a quelque chose de tabou.



Il se lève et, lui prenant la main, la fait mettre debout, face à lui. Il la débarrasse de ses vêtements et la fais rasseoir dans le canapé. La regardant, il lui dit :



Timidement, elle pose une main sur son bas-ventre et flatte son intimité.



Elle se sent comme une poupée qu’on manipule et pourtant elle obéit, s’offrant au regard de Fred. Lentement, ses doigts parcourent sa fente, qu’elle découvre, comme elle s’en doutait, déjà bien humide. Elle effleure son bouton et ne peut retenir un léger soupir.



Comme un automate, elle fait ce qu’il lui dit et masse sa poitrine, faisant durcir et s’ériger les tétons. Plus bas, elle enfonce un doigt dans sa grotte et lui imprime un lent mouvement de va-et-vient qui la fait gémir un peu plus.



Jamais elle n’a fait cela ! Pourtant, presque malgré elle, elle porte son doigt à la bouche et le suce. Elle le garde entre ses lèvres, se surprenant à en trouver le goût agréable, puis reprend ses caresses, se masturbant maintenant plus franchement, uniquement concentrée sur son plaisir.



Elle le regarde :



Elle sort son doigt de la chatte et le dirige vers son petit trou. Elle en caresse un peu le pourtour, se rapprochant lentement du centre puis, fixant son amant, enfonce son doigt dans son cul et le fait aller et venir.


Fred s’empare alors du gode, met le moteur en marche, au ralenti et, s’approchant d’elle, le passe sur ses seins.

Sylvie découvre alors des sensations nouvelles, les légères vibrations sur ses tétons sont autant de décharges électriques.

Il le lui met dans la main et, tout naturellement, elle prend la relève, le passant et repassant sur sa poitrine.

Son excitation est à son comble. Elle ne trouve même plus étrange de se donner ainsi en spectacle, se massant les seins avec un gode en s’enculant d’un doigt. Toute à son plaisir, elle descend le gode sur son ventre et atteinte assez rapidement sa chatte. Là, elle passe et repasse l’engin sur sa fente, gémissant désormais sans discontinuer. Puis elle le présente à l’entrée de sa grotte et, lentement, se l’enfonce, dans un long râle.

Fred ne quitte pas des yeux sa chatte aux lèvres écartelées qui avale l’engin. Il est lui aussi très excité mais se retient de la toucher, se contentant d’un rôle de voyeur que par ailleurs il adore.

Sylvie a maintenant le faux membre totalement fiché dans sa chatte. Elle le lâche, permettant à son amant d’admirer la scène puis entreprend de lents va-et-vient, un doigt toujours dans son cul.



Elle n’avait pas besoin de ce conseil mais l’entendre semble l’exciter un peu plus. Les va-et-vient du gode sont de plus en plus rapides, les yeux mi-clos, elle savoure cette pénétration.

Les gémissements s’amplifient, se transforment en petits cris puis soudain, son corps s’arque, elle laisse le gode entièrement enfoncé dans sa chatte et, dans un dernier cri, parvient à l’orgasme.

Pendant quelques minutes elle reste inerte, les yeux fermés, savourant sa jouissance. Fred la regarde, l’admire, la trouvant d’une beauté exquise.

Enfin, elle rouvre les yeux, le regarde en souriant et dit :



Elle l’attire contre elle et l’embrasse, passionnément, comme le remerciant de cet orgasme pour lequel, pourtant, il n’est pour rien.

Elle retire lentement l’objet de sa chatte, le regarde presque curieusement avant de le reposer sur la table. Puis, se tournant vers Fred, elle entreprend de le mettre nu à son tour. Constatant son érection, elle le chevauche et, sans autre forme de procès, s’empale sur lui, l’accueillant dans sa grotte toute chaude et trempée.



Les deux amants restent immobiles, savourant le plaisir de ne faire qu’un. Puis Sylvie, doucement, bouge sur le sexe de Fred, décrivant de petits cercles avec son bassin, comme pour mieux le sentir.

Lui pose les mains sur ses fesses et les masse, se rapprochant bientôt de l’œillet qu’il agace d’un doigt. Sylvie ne refuse pas cette caresse, bien au contraire, elle tend les fesses. Rapidement, Fred joint un second doigt qui pénètre sans trop de difficulté l’anus encore vierge.

Un peu surprise de la facilité avec laquelle il a pris possession de son cul, pourtant guère habitué, Sylvie a envie de tenter d’aller encore plus loin.



Il obtempère et, au même moment, Sylvie se relève un peu, faisant sortir son sexe de sa chatte, l’empoigne et le dirige sur son petit trou. Elle descend un peu, son visage se crispe légèrement lorsque le gland franchit l’étroit passage. Elle s’immobilise, comme pour se donner le temps de s’habituer, puis poursuit sa descente.

Fred est aux anges. Son sexe est serré à l’extrême et la progression, lente, est fabuleuse. Jamais il n’aurait pensé parvenir si vite à lui faire accepter la sodomie.

Sylvie, parfois grimaçante, parvient peu à peu à avaler le membre en entier et, après quelques minutes, ses fesses touchent les cuisses de son amant. Elle reste immobile un bon moment, se penche sur son amant pour un baiser, à la fois tendre et fougueux.



Doucement, elle remonte le long de la colonne avant de s’empaler à nouveau jusqu’à la racine. La douleur fait peu à peu place au plaisir et elle va-et-vient sur le membre de plus en plus rapidement, gémissant sous la pénétration.

Fred sent qu’il ne pourra se retenir bien longtemps. Il empaume les seins et les caresses, étirant les tétons, les pinçant parfois, faisant gémir sa maîtresse.



Dans un cri, il éclate, ses jets fusent, arrosant copieusement les reins de Sylvie. Malgré son éjaculation, il reste parfaitement dur et Sylvie profite encore quelques instants de sa vigueur. Enfin, il perd de sa superbe et est éjecté du délicieux fourreau.

Sylvie se relève lentement, du sperme lui coulant sur la cuisse.



Sylvie file dans la salle de bains. Elle y est rejointe par Fred qui, s’emparant du gel douche, s’emploie à lui savonner le dos, la massant avec tendresse, des épaules aux fesses.



Elle se retourne et leurs regards se croisent. À cet instant, pour eux, le monde peut bien s’écrouler. Ils savent qu’ils viennent de rencontrer l’Amour, avec un grand A.