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Temps de lecture estimé : 28 mn
29/02/04
Résumé:  Luigi s'était laissé aller à des confidences sur sa vie sexuelle...
Critères:  fhh hbi couplus extraoffre collègues grosseins photofilm hmast fellation cunnilingu pénétratio fdanus fsodo
Auteur : Dan Cho      
La femme de Luigi



Je ne connaissais pas Luigi depuis très longtemps mais le contact était vite passé entre nous. Nous avions pris l’habitude de nous retrouver certain midi pour déjeuner ensemble et parler de tout et de rien. Pourtant les sujets favoris tournaient souvent autour de l’érotisme et rapidement, Luigi s’était laissé aller à des confidences sur sa vie sexuelle. Moi je l’écoutais avec beaucoup d’attention et éprouvais une certaine excitation à l’évocation de ces révélations, sans doute mon petit côté voyeur.

Mais les choses en restaient là et je me contentais d’écouter les facéties de mon ami et de sa femme Nadine que je n’avais d’ailleurs jamais vue. Un jour ils avaient fait l’amour dans la voiture sur un parking d’autoroute, une autre fois, il lui avait demandé de l’attacher aux barreaux du lit, une autre fois encore ils s’étaient mutuellement photographiés avec leur appareil numérique.


Mais ce jeudi là, Luigi avait été plus loin.



Luigi me tendit une première photo où sa femme apparaissait en veste et tailleur noirs, bas et escarpin de même couleur. Les cheveux, châtains clairs presque blond, relevés en chignon, rehaussaient un visage ovale souriant éclairé par de grands yeux sombres.



On reconnaissait de dos la même femme avec les mêmes vêtements, sauf qu’il manquait la jupe. Les mains posées sur les hanches relevaient suffisamment les pans de la veste pour découvrir deux fesses bien pleines d’où émergeait à peine le petit triangle rouge d’un string.

Je regardais Luigi avec surprise bien qu’un peu émoustillé par ce qu’il me montrait.



Cette fois la blondinette était de face, les pans de la veste largement tenus ouvert par les mains toujours sur les hanches. Elle dévoilait une volumineuse poitrine qu’un soutien-gorge rouge trop petit tentait de dissimuler comme il pouvait. Le ventre semblait assez plat et l’entre cuisse laissait apparaître la partie pile du string rouge aperçu sur la photo précédente.

Je n’avais pas encore relevé les yeux, qu’il me tendait déjà un nouveau rectangle blanc.

Cette fois, la femme tenait les pans de la veste entre ses doigts et exhibait deux somptueux seins nus d’où pointaient des tétons saillants, surplombant de larges auréoles claires.



Nous terminions nos cafés et c’était déjà leur de retourner bosser.



Cette histoire m’avait complètement retourné l’esprit et je n’avais cessé d’y penser malgré moi. Le mardi midi, nous retrouvions dans notre petit troquet habituel.

Après les entrées, je n’y tenais plus, j’avais envie de voir la suite des photos.



C’était bien la suite de la semaine précédente. Toujours avec la veste noire sur le dos, la femme se tenait légèrement penché, les doigts crochetés de chaque côté du string qui avait roulé en boule en haut des cuisses. On apercevait un petit triangle sombre peu fourni d’où émergeaient deux grandes lèvres brunes.

En relevant les yeux, j’aperçut Luigi qui me scrutait avec attention.



Un peu gêné, je dus admettre d’un petit oui timide.



Cette fois le string entravait les chevilles légèrement écartées, tandis que la femme, bien cambrée, écartait largement les pans de la veste pour exhiber sa nudité.

De savoir que cette femme sur la photo était sa propre épouse, la rendait bien plus excitante qu’une simple inconnue de magasine.

J’avais du mal à détacher mes yeux de cette image et tendais machinalement la main pour admirer la suivante.

Cette fois le string avait complètement disparu. Le bas de la veste maintenu en arrière par la main droite posée sur la hanche, l’épouse exhibitionniste avait posé un pied sur le bord du canapé, les genoux bien écartés et la main gauche plaquée sur son sexe, les doigts bien en éventail. En y regardant de plus près, il me semblait que le majeur disparaissait entre les grandes lèvres.



Le photographe avait zoomé ou s’était rapproché car l’image était cadrée entre le bas des seins et le haut des cuisses. La main sur le sexe avait pivoté en avant et l’on apercevait clairement le majeur disparaître dans la fente.



Sur cette photo, madame s’était retournée, carrément penchée en avant, les jambes bien écartées, on n’apercevait plus que son postérieur dodu et cambré à souhait. Entre les cuisses émergeait une vulve rose que l’on devinait pénétrée par un doigt.



Le reste du repas fut un peu moins chaud, heureusement, car j’aurais sans doute dû retourner au boulot en boitant sinon.

Mais le rendez-vous était pris pour le jeudi soir suivant.



Le jeudi soir j’étais arrivé un peu en avance et patientais gentiment à la table qui nous avait été réservée, quand j’aperçut mon ami et sa femme se présenter au maître d’hôtel qui par un geste discret me désignait. Le couple s’approchait rapidement de moi.

Nadine, vêtue d’un long manteau noir, me semblait plus grande que sur les photos. Ses cheveux, remontés en chignon, un maquillage discret soulignant ses yeux sombres donnaient à son visage un côté à la fois sévère et sensuel. Arrivés à la table, Luigi me présenta officiellement son épouse que je m’empressais d’accueillir d’un baise main très conventionnel.

Nadine est une femme assez grande que je qualifierais de potelée sans être ronde. Des formes généreuses, des hanches larges et surtout des seins orgueilleux qu’elle n’hésite pas à mettre en valeur par un décolleté à la limite de la provocation. Le reste de sa robe, que je découvre tandis qu’elle se défait de son manteau, est plutôt sage, couvrant les cuisses à 10 cm au-dessus du genou, juste assez pour ne pas faire mémère.

Une coupe de champagne en guise d’apéritif permet de faire rapidement connaissance et les ¾ du repas se déroule dans une atmosphère sereine et sympathique. Jusqu’au moment où Luigi nous abandonne, prétextant une envie pressante.



Difficile de dire ce qu’il en était réellement, mais le retour de Luigi m’interdit de poursuivre plus avant. Toutefois, son attitude n’avait pas changé et Nadine resta souriante tout le reste de la soirée. Tandis que je payais l’addition, elle interpella son époux.



En rivant mon regard dans le sien je lui répondis:



Luigi ne se fit pas prier et tandis que j’aidais la belle à enfiler son manteau, elle tourna son joli minois vers moi et me gratifia d’un sourire de bonne augure.

Nous étions à peine sur le bord de la route que la grosse voiture se gara devant nous.



Visiblement elle avait décidé de prendre les choses en mains sans demander l’avis du mari complaisant.

Alors que je lui tenais la porte ouverte, son visage passa si près du mien que je pus humer son parfum sucré et tandis qu’elle s’asseyait, elle laissa courir son indexe sur ma main. Au moins les choses étaient claires et la soirée s’annonçait du mieux possible.

Alors que je prenais place à ces cotés, je constatais que sa robe était remontée haut sur ses cuisses gainées de noir, laissant deviner le bas d’un porte-jarretelles.

Luigi conduisait souplement, se démenant dans le dédale des rues parisiennes, tout en surveillant discrètement dans son rétroviseur l’évolution de la situation.

Nadine avait déposé sa main bien à plat entre elle et moi et c’est presque tremblant que j’osais poser la mienne dessus. Elle se contenta d’un sourire et déclara:



En guise de réponse, je me contentais de passer un bras autour de ses épaules, et elle vint se blottir contre moi immédiatement. Luigi fit semblant de ne s’apercevoir de rien.



Notre étreinte se poursuivait tandis que le mari, toujours silencieux, se concentrait sur sa route. Je sentais sa grosse poitrine s’écraser contre moi et ne pus m’empêcher de caresser un de ces merveilleux seins. Sous mes doigts, je devinais une chair souple et ferme où se dressait déjà une pointe saillante. Nos langues entremêlées, Nadine se faisait chatte se lovant contre moi pendant que je prenais un réel plaisir à cajoler son sein, le prendre à pleine main pour revenir d’un doigt inquisiteur glisser dans son décolleté.

La jeune femme frottait ses jambes l’une contre l’autre faisant remonter encore un peu plus le tissus de la robe. Presque à regret, je délaissais l’orgueilleuse mamelle pour poser ma dextre sur l’une de ses cuisses découvertes. Un léger frissonnement de la belle et elle décolla sa bouche de la mienne, rejetant sa tête en arrière. Son souffle se faisait plus court tandis que ma main caressait l’intérieur des cuisses, passant du nylon électrisant au soyeux de sa peau nue.

Soudain un coup de frein brutal nous projeta en avant.



Nadine avait ouvert délicatement ses cuisses, fermés ses yeux et semblait vouloir profiter intensément de la caresse que je lui prodiguais. Je sentais sous mes doigts le renflement de son sexe gonflé qui détrempait peu à peu le tissu du sous-vêtement.

Depuis un moment déjà, mon sexe cherchait un peu de place dans mon pantalon et la situation m’excitait au plus haut point. Ma bouche, abandonnée par celle de ma nouvelle maîtresse, s’était aventurée sur le cou et le haut des seins pigeonnants. Sa peau était douce et sucrée, ma langue la dégustait comme un dessert. J’avais envie de goûter son sein dans son entier, aussi m’autorisais-je à tirer sur le décolleté et le soutien-gorge, faisant saillir son sein rond et ferme. De ma main en coupe, je le soupesais le faisant remonter pour attirer le téton dressé vers ma bouche.

Nous étions arrêtés à un feu rouge et Luigi fit remarquer:



Du coin de l’œil je remarquais effectivement un jeune couple nous matant, les yeux exorbités, oubliant même de traverser. Discrètement, je leur adressais un petit sourire en présentant le sein que je tenais à pleine main. Puis, je revins suçoter le téton juste au moment où la voiture redémarrait.

Au creux de mon oreille j’entendis la voix de Nadine:



Mes doigts s’envolèrent à nouveau vers sa grotte humide et glissèrent directement entre l’étoffe et les lèvres gonflées de son sexe. Instantanément mon majeur fut accueillit par fente trempée et remonta à la découverte du petit bouton turgescent.

Sa propriétaire se mit immédiatement à feuler, soupirant son plaisir en ondulant du bassin.



Hypocrite, le mari demanda:



Humble et obéissant, je me penchais en avant pour débarrasser la belle de son slip devenu gênant. Se faisant, et tandis que dégageais l’élastique des ses talons, Nadine ouvrit largement ses cuisses et plaquant une main sur ma tête, m’attira vers sa chatte brillante de désir.

Sa robe remontée au niveau du nombril, je déposais un tendre baiser sur la vulve en feu. Un cri retenu me fit comprendre à quel point le plaisir montait eu creux de ses reins.

Des coups frappés au carreau nous firent sursauter.



De nouveau arrêté à un feu, nous n’avions pas repérer deux types penchés vers nous.

Sans se démonter, Nadine rétorqua en se caressant le sein:



Luigi repartit sans attendre le feu vert au risque de provoquer un accident.



De fait, deux minutes après la voiture stoppa et le moteur se tut.



A regret, je me séparais de ma douce voisine qui sortait déjà du véhicule.



Je ramassais le string qui traînait sur le planché:





(… à suivre…)




Je suivais des yeux le déhanchement de Nadine me disant que sous son manteau elle était pratiquement nue et que sa culotte était bien au chaud dans ma poche. Elle devait sentir l’air frais s’infiltrer sous sa robe et venir émoustiller son entrecuisse.

Luigi tenait la porte du hall pour nous laisser passer. Au passage il me fit un clin d’œil plein de sous-entendus.

L’ascenseur arriva rapidement et de nouveau, Luigi joua les portiers de service. À peine à l’intérieur, Nadine se colla de dos contre moi fixant son mari dans les yeux. Elle se saisit de mes mains et la plaqua contre son opulente poitrine.



Immédiatement, je passais une main dans le décolleté, glissais sous le soutien-gorge et extirpais un sein magnifique au téton aussi raide que ma queue. Nadine se frottait les fesses impudiquement contre mon sexe qui ne cessait de gonfler.

D’elle même, elle fit jaillir son autre sein, s’exposant ainsi dépoitraillée au regard condescendant de son époux.



Un silence gêné régna dans la cabine d’ascenseur jusqu’au moment où le gling nous informa que nous étions arrivés au bon étage.

Nous sortîmes tous les trois et nous dirigeâmes vers la porte de leur domicile, Nadine ayant pris soin de bien laisser sa poitrine en vu.

A peine à l’intérieur, la belle se débarrassa de son manteau, me saisit la tête qu’elle dirigea vers son torse plaquant mon visage entre ses deux belles mamelles.



Me dégageant à regret de cet oreiller douillet, je m’aventurais à émettre une subjection.



Luigi resta un instant sans bouger, visiblement interloqué par la demande.



Visiblement , elle avait envie d’humilier son conjoint, de le soumettre et le rabaisser au rôle de laquais.

Personnellement, cette idée ne me déplaisait pas non plus.

Presque à regret, nous vîmes Luigi se débarrasser de ses vêtements, les plier sagement sur une chaise et se diriger, la queue pendante, vers la cuisine.

En son absence, la blonde grassouillette m’attira vers le canapé.



Je la contournais et faisais descendre la fermeture éclair. Aussitôt la robe s’évanouit à ses pieds, découvrant ses fesses galbées et le porte-jarretelles noir qui lui cintrait les hanches.

Je ne résistais pas à la tentation de palper cet arrière train tendu et cambré.



Je baissais les yeux pour admirer sa petite fente glabre surplombée d’une toison rase en triangle. Sur les lèvres gonflées perlaient quelques gouttes de rosée intime.



Ma main, posée sur son mont de venus, ressentait ses vibrations intimes et les frissonnements de ses reins. Mon majeur inquisiteur redécouvrait le creux de son sexe trempé, s’y engagea d’une bonne phalange avant de remonter agacer le petit bouton turgescent. Sous la caresse, la belle se cambra, laissant échapper un long soupir de bonheur.



Je m’allongeais sur le canapé, attirant ma partenaire vers moi, l’invitant à m’enjamber, une cuisse de chaque côté de mon visage. J’ai toujours adoré cette position où l’on peut tout à la fois, bouffer la chatte bien ouverte, palper sans retenu le cul de la belle et admirer le ballottement des seins.

La bouche grande ouverte, je pénétrais son sillon de toute ma langue, remontais titiller le clitoris en feu, aspirais le jus épais qu’elle diffusait.



Sans attendre ma réponse, elle déversa un peu du nectar sur son ventre qui, suivant les courbes, coula jusqu’à son sexe puis dans ma bouche. C’est une sensation divine de chaud et froid, de sucré salé, de plaisirs incompatibles.

Toujours plus excitée, elle frottait sa vulve de plus en plus fort sur mon visage, me posant parfois quelques petit problème de respiration.

C’est dans cet état que j’essayais de demander.



Je sentis des mains fricoter ma ceinture, ouvrir la braguette puis tirer sur le tissu. Je l’aidais de mon mieux à me défaire.



Je soulevais légèrement le bassin pour faciliter la manœuvre et sentis rapidement mes organes génitaux se libérer de toute contrainte.



A contre cœur Luigi s’empara de ma verge, d’abord timidement, entre deux doigts, puis la saisit au creux de sa dextre pour entamer de longs mouvements glissants.

Pendant que je me faisait tranquillement masturber par les mains masculines qui prenaient de plus en plus d’assurance, je me régalais de la vulve ouverte et offerte comme un plateau de fruit de mer. C’est encore meilleurs que des huîtres fraîches.

Mais pour ne pas laisser mes mains inactives, j’avais pris l’initiative de palper le dodu fessier, écartant les globes afin de bien dégager l’œillet brun à la vue de mon ami ( vu ce qu’il me faisait je lui devais bien cela) n’hésitant pas à laisser courir ça et la un doigt dans le sillon, insistant plus longuement sur le petit trou écartelé.

Comme la belle ne portait pas réclamation, je me sentis autoriser à poursuivre plus avant mon exploration. Une fesse dans chaque main, je forçais ( mais si peu ) l’étroit conduit de mon majeur qui y disparu rapidement.

C’est dans cette position, un doigt profondément ancré dans son petit trou, que j’entendis ma pulpeuse partenaire se mettre à beugler comme pour faire participer le voisinage.



Tout le bassin contracté et projeté en avant, elle me tenait le visage plaqué contre son ventre secoué de soubresauts. Reprendre un peu d’air devenait un véritable exploit, mais je me concentrais pour ne pas gâcher un tel moment.

Le mari devait être dans tout ses émois car il en oubliait sa mission, se contentant de serrer mon sexe par mouvements spasmodiques.

Enfin Nadine repris peu à peu ses esprits, relâchant progressivement son étau de ma nuque, me permettant de récupérer un peu d’oxygène.

Du coup, je désengageais mon doigt de son étroit fourreau, lui laissant le temps de récupérer un peu.

Les yeux marqués, elle se dégagea pour venir s’agenouiller à côté de moi et souffler à mon oreille.



J’avoue franchement que ce n’était pas tout à fait ce que j’avais compris.



A contre cœur, je vis mon ami se mettre à genoux, tenir mon sexe droit dans sa main et donner quelques petits coups de langue sur mon gland. Finalement ce n’était pas désagréable.



Soumis, l’époux ouvrit la bouche et goba sans grande conviction le dard que je lui offrais.



Vaincu, Luigi s’exécuta, fit coulisser la peau entre ses lèvres serrées, aspira mon gland lors de ses remontés, prit même l’initiative de me palper les testicules en même temps.

Je ne saurais dire si c’est par goût du travail bien fait ou si c’est parce qu’il commençait à y prendre plaisir, mais la fellation prenait une tournure des plus efficace, tant et si bien, que je sentais la sève monter rapidement au creux de mes reins. Comme j’en faisais la remarque, il se désengagea laissant à sa main le soin de reprendre la relève.



La salope tenait sa revanche et ne voulait rien épargner à son mari, qui replongea son visage et engloutit de nouveau mon sexe.

La situation était telle que je ne pu me retenir plus longtemps et laissait ma semence exploser en long jets au fond de sa gorge.

Victime d’un haut le cœur, Luigi tenta de se dégager, mais l’épouse veillait.



Dominé, Luigi obtempéra et dû avaler tout le sperme que je lui léguais.



Décidément, elle ne lui laisserait rien passer.




…à suivre




Lorsque Luigi eut terminé de me nettoyer, je me redressais pour m’asseoir de manière plus conventionnelle sur le canapé. Aussitôt la belle vint me rejoindre et se blottit contre moi.



Tandis qu’il nous servait, je regardais son sexe tendu. Visiblement, il avait trouvé matière à s’exciter aussi en prenant ma queue dans sa bouche.

En prenant la coupe qu’il me tendait, j’en profitais pour saisir son pénis à pleine main et lui prodiguer 2 ou 3 aller retour, histoire de bien m’assurer de sa fermeté.



Ne sachant trop quoi répondre, il se contenta de sourire les joues empourprées.



Luigi retint un cri étouffé sous la brusque caresse et se cambra, le ventre en avant .

Tout en me tripotant distraitement, je la regardais s’activer avec méthode et application sur la colonne de chair qui par moment disparaissait pratiquement entièrement.



Tenant le sexe dans sa main, elle faisait de rapides aller-retours comme pour se débarrasser plus vite d’une corvée.

Le souffle de plus en plus court de mon ami laissait présumer une fin rapide. Machiavélique, je prévins l’épouse.



A peine arrivée dans la chambre, elle se lova contre moi, m’enserrant de ses bras, frottant son bassin contre mon sexe encore mou et me susurra à l’oreille



Un petit bruit de verre me permis de constater que Luigi était dans l’encadrement de la porte, coupes et bouteille entre les mains et la queue bien raide.

Je commençais par masser tendrement le pied de la belle, l’embrassant ça et là, suçant le gros orteil. Puis je remontais doucement le long de la jambe, frictionnant doucement les mollets, déposant un baiser sur un genou puis sur l’autre.

Tout en poursuivant mon ascension, je surveillais mon ami, qui s’étant débarrassé des verres, se masturbait négligemment sans louper une miette de la scène qui se déroulait sous ses yeux écarquillés.

J’effectuais à présent un massage décontractant des cuisses épaisses, usant de mes pouces pour détendre les muscles. Plus je remontais, plus je constatais de légers mouvement du bassin, marquant ainsi son assentiment.

Alors que j’arrivais au niveau de l’aine, Nadine ouvrit légèrement les cuisses pour faciliter la caresse.

Je me saisissais à deux mains du haut d’une cuisse, évitant soigneusement de toucher sa petite chatte offerte, pour m’intéresser plus précisément à sa fesse.

Consentante, la belle se déhancha quelque peu pour me laisser accès à la zone convoité. Je malaxais alors à pleine main cette fesse dodue et ferme tout en laissant mon autre main s’aventurer dans le sillon culier. Après quelques instants, l’épouse infidèle trouvant sans doute à son goût la caresse, opéra un demi tour m’offrant ainsi la partie pile de son anatomie. Elle s’installa confortablement, les bras sous la tête et les cuisses écartées et les yeux fermés.

J’ai toujours eu un faible pour les culs rebondis et celui là l’était particulièrement.

Une fesse dans chaque main, je m’appliquais à les masser tout en les écartant pour profiter de la vue de son petit œillet brun.


Tandis que mes pouces se rapprochaient inexorablement de son petit trou, elle ondulait de plus en plus, fuyant nullement la caresse. Encouragé, je m’enhardis jusqu’à atteindre mon objectif et lui palper l’anus.

Les petits "Hum" qu’elle émettait m’incitèrent à poursuivre dans cette voie. Plaçant ma main en crochet, je laissais mon index s’infiltrer dans sa fente humide, tandis que mon pouce forçait l’entrée de ses reins. Puis remontant mon index, je le laissais glisser entre les fesses pour en lubrifier l’entrée. De nouveau mon pouce reprenait sa progression jusqu’à ce que la première phalange disparaisse. Après plusieurs aller retour de ce type, je pouvais introduire ses deux trous de mes deux doigts sans difficulté. L’index dans le vagin coulissait avec un facilité étonnante, dégoulinant de cyprine tandis que la belle roulait de plus en plus des hanches, relevant légèrement le bassin, m’offrant sans restriction toute son intimité.

Mon sexe avait repris toute sa verdeur et j’avais alors très envie de m’en servir. Plaçant mes genoux entre ses cuisses, je la forçais à s’écarter encore plus, puis je m’allongeais sur elle, la queue entre ses fesses. Instinctivement, elle se redressa, remontant ainsi son joli petit cul. M’aidant d’une main, je lui pénétrais la matrice d’une seule poussée, accueillit par un "ouiiii" langoureux des plus encourageant.

Je me redressais alors sur les genoux, la saisissant par les hanches pour l’attirer vers moi. Aussitôt, elle réagit en se mettant à quatre pattes, les seins ballottant sous elle, les fesses biens cambrées. Je la ramonais à grands coups de reins tout en écartant ses fesses de mes pouces pour me régaler de la vue de son anus.

Luigi, que j’avais presque oublié, intervint à ce moment.



Je redoublais d’effort, sentant mon bassin claquer contre ses fesses à chaque poussée. Mais tandis que la belle criait son plaisir, une autre idée m’assaillait. Me dégageant brutalement, je présentais mon sexe à l’entrée de ses reins.

Nadine cessa immédiatement tout mouvement, se concentrant sur la pression qui s’exerçait sur son anus écartelé.



Mais je me sentais trop bien parti et poursuivais mon effort. Rapidement je vis mon gland disparaître entre les deux belles fesses. Les mains bien crochetées sur ses hanches grassouillettes j’exerçais une poussée lente mais constante et admirait ma queue disparaître de plus en plus dans cet étroit fourreau.



Trop concentrée pour répondre, la belle se contentait de feulements, les doigts crispés sur les draps.

Souhaitant lui laisser le temps de s’habituer à moi, je marquais des pauses, permettant aux chairs meurtris de se relâcher. Puis, me dégageant un peu, je reprenais ma poussée pour gagner quelques centimètres. Quand enfin mes cuisses arrivèrent en buté contres ses fesses, je pris le temps de savourer les contractions du sphincter sur mon sexe.



Je restais ainsi fiché en elle, sentant le sang taper dans mes tempes, le pouls à 150. J’avais vraiment du mal à réaliser que je lui avais totalement investi le fondement. Je me contentais de caresser ses deux somptueux globes de chair écartelés par ma verge. J’admirais avec extase ce petit trou distendu qui compressais délicieusement mon sexe tendu à faire mal. Ne pas trop penser, me concentrer pour me retenir mon plaisir au maximum.

Luigi s’était à présent allongé à côté de sa femme, l’embrassant sur les joues tout en jouant avec sa poitrine.



Je me dégageais lentement d’une bonne dizaine de centimètres pour me ré-enfoncer de nouveau en elle, avec beaucoup de facilité cette fois. J’entendis Sandrine émettre un petit sifflement aspiré entre ses lèvres marquant ainsi le plaisir qui commençait, semble t-il à monter en elle.

Nouveau recul puis nouvelle introduction, accueillit cette fois par "Hum" plus encourageant.



Luigi était parfais dans le rôle de coach , motivant et conseillant sa femme pour lui permettre de se décontracter au maximum et ainsi profiter au mieux du plaisir que j’espérais lui donner.

Je voyais disparaître le bras de Sandrine sous elle et ne doutais aucunement qu’elle suivait scrupuleusement les conseils avertis de son tendre époux. Je l’imaginais bien en train d’astiquer consciencieusement son petit bouton d’amour et peut-être même de s’enfoncer un doigt parfaitement huilé de son bonheur.

Tout en restant lent, j’avais entamé des mouvements réguliers, surveillant le rythme de sa respiration qui s’accélérait rapidement. Je pouvais à présent aller et venir librement en elle sans que son sphincter n’y voit à redire.



Je posais un pied à l’extérieur de ses jambes, laissant mon poids reposer sur un seul genoux, afin de pouvoir donner plus d’amplitude à mes coups de reins. On entendait dans la chambre, claquer mes cuisses sur les fesses de la belle qui poussait de plus en plus des gémissements de satisfaction.

Luigi se masturbait comme un fou, très excité de voir sa femme se faire prendre comme ça par un autre.



Je vis alors, durant un seconde, le trou béant de son anus, qui trop vite se refermait sous la contraction réflexe du sphincter.

Ma sortie fut accueillie par un grognement réprobateur.



Luigi ne se fit pas prier et se retrouva d’un bond, le sexe dans la main, devant l’entrée tant convoitée. Une seule poussée lui suffit pour investir la place laissée vacante.



Joignant le geste à la parole, de sa main libre elle attira mon sexe qu’elle enfourna profondément dans sa bouche gourmande.

Sandrine avait dû adopter une position acrobatique pour continuer à se masturber sauvagement, me sucer avidement tout en se faisant sodomiser profondément.



Elle me suçait avec une telle rage que j’avais l’impression qu’elle voulait m’arracher mon sexe. Mais surtout, je dû la calmer un peu pour ne pas exploser immédiatement dans sa bouche.

Elle se contenta alors de donner de grands coups de langue sur ma verge, tout en poussant des grognements de plus en plus puissant qui se transformèrent bientôt en cri de plaisir.

Soudain, je vis son visage se dégager de moi et sentis sa main comprimer mon sexe. La tête rejetée en arrière, la bouche ouverte et les yeux clos, elle laissa échapper un long râle d’agonie. Tout son corps sembla se tétaniser.

Instinctivement, Luigi se planta au fond de ses reins et ne bougea plus, respectant l’instant si éphémère de l’orgasme longtemps contenu.

L’épouse fidèle (finalement, elle prend son pied avec son mari) émit un bref "hum" accompagné d’un coup de rein tout aussi fugace, les doigts crispés sur son propre sexe ouvert et ruisselant.

Puis enfin un long soupir de satisfaction s’échappa de sa bouche et elle sembla reprendre son souffle.



A ce rythme, 15 secondes nous suffirent pour nous lâcher et exploser, qui dans son cul, qui dans sa bouche.

Je la vois encore, grognant de plaisir, avaler goulûment tout le jus que je pouvais lui donner, s’appliquant de la langue, à récupérer tout ce qui dans les premiers flots avait pu lui échapper.

Un concert à trois voix de râles et de soupirs, accompagnait cet instant incomparable où plus rien au monde ne compte que le bonheur du corps et ce sentiment indescriptible de l’aboutissement du plaisir partagé.

Enfin, nous nous écroulons sur le lit, sans un mot, abrutis de bien être, la tête vide et le bas-ventre repu.

Impossible de dire au bout de combien de temps, Sandrine laissa échapper: