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Temps de lecture estimé : 30 mn
29/02/04
Résumé:  Histoire de la réalisation d'un fantasme d'un couple illégitime dans un Club Echangiste
Critères:  fh 2couples couplus extracon hotel boitenuit douche telnet fmast hmast intermast entreseins fellation cunnilingu 69 pénétratio échange jeu -boitenuit
Auteur : Adsec et Angelina  (Homme 28 ans et Femme 30 ans)      
Le Grand Saut



Ca y est, nous y sommes presque. Mon cœur palpite à 200 à l’heure, quasiment aussi vite que le TGV dans lequel je suis et qui m’emmène vers où ? L’inconnu, la volupté, le désir, l’extase ? Je n’en sais rien, et c’est cela qui rend les choses encore plus excitantes. Je repense à Christelle, ma très chère amie. C’est dingue, quand je pense qu’il y a deux mois, nous ne nous connaissions pas et là, nous nous apprêtons à faire "le grand saut", ensemble !!


J’ai connu Christelle sur le net il y a quelques semaines. Tout de suite, le courant est passé entre nous. Nous partagions beaucoup de choses : l’âge, une expérience de couple similaire, heureuse, une enfant adorable chacun, un époux/une épouse amoureux/se, une petite vie bien réglée et qui n’avait pas de raison de changer. Et c’est justement là que la bas blesse, car ni moi ni Christelle ne pouvions nous satisfaire de cette routine, quand bien même elle était heureuse. Nous avions besoin de plus, nous étions très cérébraux et nos premières discussions sur le net alternaient discussions sérieuses sur notre vie de couple et discussions libertines sur nos fantasmes. Nous étions très vite devenus intimes, confidents, nous nous racontions tout, sans tabou ni limite, et cela nous excitait beaucoup de voir que nous partagions les mêmes désirs. C’est alors tout naturellement que nous est venu l’envie de passer à l’acte, de faire le "grand saut", mais pas n’importe comment, un vrai grand saut !


Elle habitait dans le sud de la France et moi à Paris. Nous ne nous étions jamais rencontrés physiquement même si nous nous connaissions par cœur et avions échangé des tas de photos, sages au début puis plus intimes, par le net. Pour notre grand saut, nous avions décidé de nous rejoindre à mi-chemin, à Lyon. Cela avait été possible grâce à un concours de circonstance incroyable : nos conjoints respectifs passaient en même temps quelques jours de vacances chez leurs parents avec les enfants, et il avait été aisé pour nous deux de trouver des excuses pour ne pas y aller. Je repensais à tout cela dans le TGV qui filait vers Lyon. Dans quelques heures, nous y serions. Et avant, je vais la rencontrer, pour de vrai. Comment réagira-t-elle ? L’inconnu, là aussi. Et après, la soirée que nous avions prévue dans ce club échangiste, comment se passera-t-elle ? Serions-nous dégoûtés, excités, blasés ? L’amour pluriel correspondait à un fantasme pour chacun de nous deux mais ni elle ni moi n’étions passé à l’acte. Et là, dans quelques heures, j’y serai, avec l’inconnue" la plus charmante que je connaisse, Christelle.


Mon TGV arrive enfin en gare de la Part Dieu. Le tien, Christelle, a dû arriver quelques minutes auparavant et nous avions convenu de nous retrouver au bout du quai n°1. C’est donc le cœur battant la chamade que je m’y dirige. De très loin je remarque qu’il n’y a pas de train à ce quai. Il est donc désert. Je marque un temps d’arrêt et regarde de loin, mais ne remarque personne qui te ressemble. Je me lance donc et atteint le bout de ce fameux quai n°1. Personne. Pas toi. Je suis confiant mais ne peux réprimer un petit stress. J’entends alors soudain une voix derrière moi "Jérôme ?".


Je me retourne en un éclair. Tu es là, à deux mètres de moi. Je suis époustouflé, tu es rayonnante. Je m’approche de toi, un large sourire aux lèvres. J’ai l’impression de marcher sur du coton. Tu me souris largement et je sens que tu es dans le même état que moi. Je me penche vers toi pour te faire une bise pudique, en disant maladroitement "Christelle ?" Ma joue s’approche de ta joue et là je reste scotché. Les effluves de ton parfum parviennent à moi et m’ensorcellent. Et surtout, plus que tout, je sens la chaleur de ton corps s’échapper de ton cou et me réchauffer le cœur. Nos corps se rapprochent imperceptiblement et finissent fatalement par entrer en contact.

Tu serres tes bras derrière mon dos et plaque ainsi ta poitrine contre mon torse. C’est divin. Je sens ta chaleur diffuser en moi et je peux même sentir les deux petites pointes de tes tétons à travers ma chemise. Je suis aux anges et dépose un doux baiser dans ton cou, juste en dessous du lobe de ton oreille, et je te murmure à l’oreille : "tu es sublime", tout simplement.


Nous savons quelle est la prochaine étape, nous avons tant préparé cette rencontre : passer à l’hôtel que tu as réservé pour se changer. Je te suis, tendre et complice……



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Durant tout le trajet qui m’emmenait directement dans un monde totalement inconnu, mon cœur jouait à la montagne Russe !! J’avais peur et en même temps j’étais follement excitée à l’idée de le rencontrer enfin, et de faire le «grand saut » avec LUI !!

LUI c’est Jérôme !! Et rien que le fait de prononcer son prénom je me sentais totalement électrisée. Dés nos premières conversations via la Net je sentis tout de suite un très bon feeling passé entre nous, c’était exaltant. Je n’avais qu’une hâte, c’était d’enfin pouvoir le rencontrer réellement, et surtout c’était avec Jérôme que ce fantasme je voulais le réaliser, car lui et moi étions dans le même état d’esprit à ce sujet. Nous avions très envie de passer le cap mais très peur en même temps. Je me souviens très bien lors de nos connections communes sur le Net, nos commentaires sur les sites de Club Echangiste. Mais ma relation avec Jérôme allé au-delà de ça. Nous avons appris à nous connaître via nos machines et croyez moi ou non, mais le net sa désinhibe totalement et on arrive mieux à se « lâcher » et à se connaître plus intimement par écran interposé ! J’avais eu la chance de tomber sur un homme très bien, il est vrai….


Malgré ma vie de Provinciale très tranquille et somme toute heureuse. Je ne me satisfaisais pas du tout de mon statut de concubine. J’avais certes un mari aimant et un bout de choux adorable, (tout comme Jérôme), mais il me manquait la « petite étincelle » à ma vie, et j’eus la chance de la connaître en la personne de Jérôme. C’est fou les points communs que nous avions tous les deux. Nous avions irrémédiablement envie de pimenter notre vie amoureuse. De pouvoir goûter à ce plaisir totalement interdit, et de le faire ensemble lui et moi. Jérôme était quelqu’un d’infiniment cérébral et séduisant au pas possible, son physique ainsi que sa personnalité était loin de me laisser de glace, bien au contraire. Je sentais le feu en moi dés que nous correspondions via le Net. Et dire que je ne connaissais toujours pas à ce moment là le son de sa voie !! Vous allez me dire que c’est certainement bête, mais nous échangions seulement des « sms » via nos portables. On voulait tout découvrir de l’autre le jour où l’on se verrait enfin réellement…


Quand le train arriva en gare, c’est le cœur battant que j’en descendis. Je me mis quelques peu en retrait du quai. Je ne sentais plus mes jambes, j’avais l’impression que le sol allait se dérober sous mes pieds. Quelques instant plus tard, je le vis arriver au loin. Je l’aurai reconnu entre mille. J’allais enfin connaître ma « petite étincelle ». Je le regardais chercher et je m’avançai vers lui, il était de dos à ce moment là. Malgré la peur qui me taraudait le ventre, j arriva à prononcer son prénom. « Jérôme ? » et quand il se retourna et posa ses magnifiques yeux sur moi, je reçus comme une onde de choc. Je remarquais que lui aussi était tout autant intimidé que je ne l’étais ! Je pus enfin entendre le timbre de sa voie, un délice. Il me fit fébrilement la bise. Le contact de nos deux peaux nous électrisa lui et moi, de la tête au pied.


Je me collais alors instinctivement à lui et au contact de son superbe torse je sentis la pointe de mes seins se dressés, et quand je sentis ses lèvres rentrées en contact avec mon cou, ce fut encore plus terrible.


Je crois bien que de ma vie, un tel baisé dans le cou, ne m’avait procuré un tel effet ! Instinctivement je plongeai alors son regard dans le sien et c’est tout naturellement que nos lèvres sont rentrées en contact. Et quel contact !! C’était tout simplement enivrant. On se mordillait mutuellement les lèvres, chacun cherchant à entrouvrir la bouche de l’autre pour pouvoir enfin sentir nos langues et nos salives s’emmêlaient.

Nous n’arrivions plus à nous décoller l’un de l’autre, c’était purement et simplement fantastique.


Je sentais une chaleur intense me torturait le bas ventre et je sentais l’érection de Jérôme collé à moi. Notre souffle était court….


On finit par se dégageais de cette étreinte en se lançant un regard des plus complices. Et c’est à ce moment là que je l’entendis me dire « tu es superbe », je me sentais alors avec le feu aux joues. Je balbutiais un timide « merci, toi aussi.. »


Nous prîmes un taxi qui nous emmena dans l’hôtel que j’avais réservé, pas très loin du Club où nous devions passer notre 1ère soirée. Durant tout le trajet, on se tenait main dans la main et je sentais la douceur de ses doigts caressés ma main. J’avais décidément de plus en plus chaud.


Arrivée dans la chambre de l’hôtel nous déposions tous deux nos bagages. Un silence des plus sensuels envahissait la pièce. Ni lui, ni moi, n’osions dire un mot, seul nos yeux parlaient pour nous….Malgré l’intensité du moment, il fallait bien faire quelque chose. Je pris la parole en 1er :



A nouveau le silence résonna dans la chambre, mais quel magnifique silence !!

Je dévorais Jérôme du regard, la chaleur qui m’envahissait ne m’avait toujours pas quitté, bien au contraire…J’avais l’impression de vivre un rêve éveillé en étant dans cette chambre avec lui. Il avait une fantastique prestance. Je crois bien que je ne remercierais jamais assez le Net, de m’avoir fais connaître ma « petite étincelle » !


Le début de soirée allait bientôt commencer et je décidais donc de prendre une douche afin de me préparer pour une folle soirée en perspective. Je pris juste une serviette et mes affaires de toilettes et me rendis dans la salle de bain. Avec Jérôme, nous avions échaudé un plan pour ma tenue vestimentaire et c’est lui-même qui la choisirait, je trouvais ce petit jeu follement amusant.


La salle de bain de la chambre était véritablement spacieuse et j’avais le choix entre la baignoire ou bien la cabine de la douche. J’optais pour la deuxième solution. Je me dévêtis et passa sous la douche. Le contact de l’eau à même ma peau me procura un délicieux frisson et je sentais les gouttes d’eau très chaude glissait le long de mon corps. Je n’avais pas fermé la porte de la salle de bain…..


Je commençais à me savonner délicatement, n’osant pratiquement pas emmené ma main entre mes cuisses, tant mon excitation était intense. Je savais que Jérôme était dans la pièce à côté et j’espérais fortement au fond de moi-même qu’il vienne me rejoindre. J’étais dos à la porte et soudain je sentis une présence derrière moi…


Je fis mine de ne rien percevoir. J’entendis la porte de la cabine coulissait très lentement. Je crus à ce moment là que mon cœur allait sortir de ma poitrine. Je sentis Jérôme se collais derrière moi. Sa bouche posa un délicat baisé au niveau du lobe de mon oreille, ses mains alors se posèrent sur mes épaules et avec une infinie délicatesse il me retourna face à lui. J’étais parcouru de mille et un frisson. Ses doigts glissèrent en toute sensualité le long de mon dos pour parvenir et s’arrêter sur mes fesses qu’il saisit alors de ses magnifiques mains. Nos bouches se retrouvées à nouveau pour un baiser dès plus fougueux. Mes mains ne restaient pas inactives et à mon tour je parcourais ce corps que je désirais tant. Il me plaqua alors contre le fond de la cabine de la douche et sa bouche descendit très lentement. Ses mains emprisonnées mes seins avec une infinie douceur et sa bouche vint à leur rencontre. La pointe de mes seins était tellement tendue, que cela m’en faisait presque mal. Je sentis alors sa langue léchait mes tétons durcis par le désir et l’envie. C’était tout simplement merveilleux et délicieux. Je ne pouvais alors retenir quelques gémissements. Mon dieu que ce moment là était fort en intensité !


Tout en continuant à mordiller la pointe de mes seins, je sentis sa main se faire beaucoup plus coquine et descendre plus bas. Je coulais littéralement et j’avais qu’une envie, c’était de sentir ces doigts venir caresser ma fente très humide, pour ne pas dire trempée. J’écartais ostensiblement les cuisses pour lui faciliter le passage et enfin je sentis ces doigts caressaient ma chatte ruisselante. Mes gémissements se faisaient alors de plus en plus bruyant. Ce du l’exciter encore plus car à ce moment la je sentis son visage descendre et s’enfouir entre mes cuisses. Sa main continuait ses folles caresses et sa langue vint accompagner ses mouvements. J’étais dans un état d’extase affolant, ne retenant plus maintenant mes gémissements qui s’étaient peu à peu transformer en « oui » et en « encore » très bruyant. Sa langue se jouait de mon clitoris terriblement gonflé et trois de ces doigts avaient investi ma grotte inondée. Il savait y faire, y a pas à dire. Je fus alors pris par de violent spasme et un orgasme d’une extrême intensité m’électrisa entièrement. Il venait de me faire follement jouir….


Jérôme était dans un état de terrible excitation et sa queue bandait au maximum. Je lui mordillais alors les lèvres et le remercia pour le plaisir dont il venait de me gratifier. Et tout en continuant de dévorer ces douces lèvres, je saisis dans ma main sa queue et commença par de léger va-et-vient. J’accélérai peu à peu la cadence tout en faisant glisser ma langue le long de son torse. Arrivait à « l’objet » de mes fervents désirs, je sortis ma langue, la faisant glisser le long de son bâton de chair extrêmement tendue. (Je dois vous avouer que la fellation, j’adore ça et quand je la pratique j’y mets toute mon envie ainsi que tout mon désir). Je montais et descendais ma langue et je ne pus m’empêcher de laper ses couilles avec une folle envie. Je les faisais rouler dans mes mains et les lapais de temps à autre. Les râles de Jérôme m’incitaient d’autant plus à continuer. C’est alors que j’avala sa queue au plus profond de ma gorge et commença à le pomper avec avidité. Je sentais à nouveau la chaleur m’envahir tant ses gémissements résonnaient comme une magnifique musique à mes oreilles. J’accélérais bien plus la cadence et je sentais ses mains s’enfoncés dans mes cheveux. Je me délectais de son bâton de chair. L’intensité de ses râles se firent alors nettement plus fort, signe imminent de sa jouissance. Je refermai alors ma bouche pour le sentir exploser au fond de mon palais. Son nectar avait un goût que j’adorais, doux et fort à la fois. Je le regarda alors droit dans les yeux et passa sensuellement ma langue sur me lèvres……



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Notre première rencontre physique se passa comme dans un rêve et comme je l’avais pressenti. Même si l’hôtel que nous avion réservé était officiellement pour se changer, je connaissais trop bien ma Christelle (et mon désir pour elle) pour savoir que cela n’allait pas s’arrêter là. Et ce qui devait arriver arriva. Quand elle me dit qu’elle allait prendre une douche, je n’ai pas hésité très longtemps et l’ai rejointe, me précipitant sur son corps tant désiré que j’ai goûté et léché de haut en bas pour la première fois. C’était exquis. Puis, Christelle s’est divinement occupé de moi en me faisant une fellation du tonnerre. Je n’ai pu résister bien longtemps et ai joui rapidement dans sa bouche si accueillante. Le regard qu’elle m’a jeté en se léchant les babines en disait long sur notre désir commun et nous étions tous deux persuadés que ce n’était que le début d’une folle nuit d’ébats ?


Après la fellation, j’ai relevé Christelle et l’ai embrassée bien chastement en serrant son corps contre le mien. J’ai ensuite pris du gel douche parfumé que j’ai généreusement étalé sur mes paumes, je suis passé derrière Christelle sous la douche et ai commencé à la savonner, une main sur les fesses, l’autre sur les seins. Nous étions là pour nous laver avant les choses sérieuses, quand même ! Tout en nous savonnant mutuellement, Christelle et moi restions silencieux mais ne pouvions nous empêcher de sourire et de parfois rire un peu. C’était génial. Je me collais contre le dos de mon amante et plaquais mon sexe contre ses fesses. J’adore ce contact. Mes deux mains vinrent s’occuper plus sérieusement de ses seins dont je ne tardais pas à voir rendurcir les pointes. Christelle se laissait aller sous mes caresses et ondulait de ses fesses savonnées, me massant tendrement la verge. Après la fellation d’enfer qu’elle m’avait faite, je ne pensais pas pouvoir rebander si rapidement. Que nenni ! La sensualité et la douceur de son postérieur m’ont vite revigoré, et elle l’a sentie. D’un accord implicite, nous nous sommes pourtant arrêtés là, nous promettant de continuer l’expérience dans la piscine à bulle du club où l’on devait passer la soirée. Nous nous sommes rincés et séchés et sommes revenus dans la chambre.


J’ai alors pris la parole : "Christelle, ce soir, c’est moi qui vais choisir comment tu t’habilles, montre moi ce que tu as apporté". Christelle a alors étalé sur le lit tout un tas de vêtements les plus affriolants les uns que les autres. J’ai commencé par lui choisir une paire de bas noirs avec un adorable porte-jarretelles, noir également, et un soutien-gorge assorti. Il faut dire que Christelle a une poitrine absolument somptueuse. Certains hommes préfèrent les seins nus sous le chemisier mais moi, je trouve que c’est beaucoup plus érotique dans un joli soutien-gorge. J’ai ensuite choisi une minijupe en cuir noir et un très joli chemisier en satin rouge, que j’ai moi-même boutonné en laissant les deux boutons du haut ouverts ce qui, vu la taille de la poitrine de ma chérie, était hautement coquin et provocateur ! Avant d’enfiler sa minijupe, Christelle m’a interrogé du regard du style "tu n’oublie pas quelque chose ?". J’ai répondu "le club n’est qu’à quelques minutes à pied et je suis sûr que tu apprécieras de sentir l’air frais sur ton sexe surchauffé". Pas de culotte, donc !


Je me suis alors habillé, assez classiquement. Pantalon de toile et chemise de lin, de quoi être à l’aise. Il était 21h00. Christelle m’a demandé, impatiente "on y va ?". Je l’ai regardé en souriant et ai dit "avant, j’ai un petit cadeau pour toi, puce" et j’ai sorti une petite boîte entourée d’un papier cadeau. Intriguée et très excitée, Christelle s’est jetée sur le cadeau en piaffant d’impatience. Et quand elle a ouvert la boîte, j’ai pu lire dans ses yeux une immense excitation mêlée d’un peu d’appréhension. Des boules de geisha ! Je me suis alors agenouillé devant elle et lui ai demandé de me passer ces boules. Elle s’est exécutée. J’ai mis les boules dans ma bouche et les ai sucées puis les ai reprise e n main et ai passé ma main sous sa jupe. Je faisais rouler les boules le long de ses cuisses sous la jupe et sentais l’excitation de Christelle monter. Elle ne pouvait plus tenir en place et, d’où j’étais, je sentais même des vapeurs de son intimité. Délicieux ! J’ai alors abrégé son supplice, si je puis dire et suis remonté avec les boules de Geisha vers son intimité. Elle était littéralement ruisselante ! J’ai alors introduit les deux boules, l’une après l’autre, dans sa grotte d’amour. Christelle gémissait ! Je lui ai alors dit "j’aimerais que tu les gardes ? Maintenant, nous pouvons y aller ?"



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Mon Jérôme m’épatait et me rendait folle de désir. Jamais l’appel de la chair n’avait été aussi fort. J’avais l’impression d’être devenue une boulimique du sexe sur toutes les coutures !! Si nous n’étions pas sortis de la salle de bain je crois bien que nous y serions encore.


J’avais adoré faire l’amour avec Jérôme, il était doux et passionné en même tant, un savant mélange de sensualité et d’érotisme. Un homme qui était fortement à mon goût et dans tous les sens du terme !


Je ne fus nullement surprise du choix vestimentaire de mon doux amant pour la soirée. Il me voulait sensuelle et désirable et j’avais tout spécialement acheté pour l’occasion diverse tenue, un peu plus frivole que je ne m’habillais en temps normal. Mon dieu si mon cher et tendre me surprenait vêtu de la sorte, je vois de là sa tête et la réflexion qui va avec !!


Je dois tout de même avouer que je me sentais terriblement bizarre et en même temps très excitée par la tenue que je portais, d’autant plus que mon « chéri » n’avait pas voulu que je mette de culotte, string, tanga ou brésilien. Mais toujours est-il que de savoir que Jérôme savait que je ne portais rien en dessous, sauf bas, porte-jarretelles et soutien-gorge m’excitaient au plus haut point.


C’est avec curiosité que je le vis à la recherche de quelque chose dans son sac. Et à ma grande surprise et étonnement il me tendit une jolie petite boîte entourée d’un joli papier cadeau. Décidément il était adorable.



J’ôtais fébrilement le papier cadeau et ouvris la boîte. Je n’en crue pas mes yeux !! C’était des boules de Geisha !! Il me connaissait très bien mon chéri car j’eus le flash de notre conversation à ce sujet via nos ordinateurs. Je lui avais expliqué que je désirais fortement en faire l’acquisition un jour, et là il me les offrait. J’étais sciée !!


Je sautais comme une puce tant mon excitation était grande, mais j’avais peur aussi. Que d’émotions !!


Il les enleva dés lors de leur écrin et les porta à sa bouche. Moi je sentais l’antre de mes cuisses devenir mouillé. Il les fit alors rouler contre mon puits d’amour, je gémissais, tellement je ressentais les décharges du plaisir m’envahir. Quelle fabuleuse sensation !


Et enfin il les enfonça dans mon intimité. Je n’osais pas bougeais. J’étais totalement électrifiée. Puis quand mon « Jérôme chéri » me demanda de les garder et de partir, j’acceptais tout naturellement. Nous marchions main dans la main et je peux vous assurer qu’a chaque montée et descente d’escalier que nous rencontrions en chemin, j’étais prise par de terrible vibration. J’avais carrément le feu aux fesses, si j’ose m’exprimer ainsi.


Et enfin nous voilà arriver devant l’établissement qui allait peut-être assouvir nos fantasmes à tous les deux. Nous étions nerveux autant l’un que l’autre, mais nous ne reculerions pas. Nos mains se serrèrent très fort. Et en parfait gentleman il déposa un baisé sur mes lèvres en me chuchotant « ça va aller ».


Un homme, où je dirais plutôt une montagne nous ouvrit l’accès des lieux. Nous étions époustouflés par la beauté et la grandeur des lieux. Nos cœurs battaient en retraite, enfin nous y étions. Un charmant serveur nous conduisit à la table du restaurant que nous avions réservé.


Durant tout le repas nous observions les gens qui se trouvaient autour de nous et constat fait qu’il y en avait pour tous les goûts en matière d’âge. Ça allait du « minet » de 20 ans à l’homme approchant plutôt la soixantaine. Pour ce qui est de la gente féminine, c’était exactement la même chose.


Mon très cher complice et moi discutions de choses et d’autres durant toute la durée du repas. L’ambiance était exaltante. Une musique jazz résonnait en fond sonore. Puis nous allâmes prendre notre café sur une des banquettes qui entouraient la piste de danse. Pour le moment c’était encore calme. Mes boules de Geisha me faisaient toujours autant d’effet dés que je croisais et décroisais mes jambes. Je me lovais alors contre mon tendre chéri et nous nous embrasâmes en toute sensualité.


La digestion passée, nous nous rendîmes dans le fameux bain à bulle. Mais avant cela je passais dans les vestiaires pour me déshabiller et ôter mes boules de geisha. J’étais littéralement trempée…


Je rejoins mon chéri dans le bain alors que déjà un couple d’une quarantaine d’année était en train de s’étreindre. Je regardai Jérôme qui avait les yeux rivés sur la scène. C’était totalement irréaliste à mes yeux je me retrouvais en tenue d’Eve dans ce lieu regardant cette fois réellement ce que je n’avais que vu via les sites Internet et ce que me faisait croire mon imagination. C’était nettement plus troublant d’assister à cela en réel. J’étais totalement paniquée en ce moment là. Mon chéri du le comprendre et il sortit immédiatement du bain pour me prendre dans ses bras, je tremblais partout !!


Il me rassura en me serrant très fort dans ses bras et m’emmena avec lui dans le bain à bulle. Je n’arrivais pas à détacher mon regard de ce couple. Mon tendre chéri m’attira alors a lui. Il était dans un des coins du bain, et je posais mon dos contre son torse. Il m’entoura de ses bras et en profita pour caresser délicieusement ma poitrine. Mon cœur battait la chamade. J’étais prise dans un tourment d’émotions quasi incontrôlable.


Le couple passait par toutes les positions et c’était terriblement excitant à voir. Sans m’en rendre compte, j’écartais les cuisses et c’est alors que je sentis la main de mon Jérôme chéri me caressais. C’était terriblement bon de sentir sa main me caressait tout en étant dans l’eau. Je retournais mon visage face au sien et dévora ses lèvres. Un baiser très fusionnel nous unissait et ses mains accentuaient leurs caresses. Je sentis un, deux puis trois droits transpercer ma grotte ruisselante et je gémissais de plus en plus bruyamment ce qui eu pour effet d’arrêter les ébats du couple d’à côté et c’est maintenant eux qui nous regardaient.


J’étais encore plus excitée et mon chéri aussi, car je sentais sa queue extrêmement bandée le long de ma cuisse. C’est alors que le couple nous interpellèrent :



Un simple regard entre mon chéri et moi et nous acquissions de la tête. Le couple parti alors en premier. Ça y est, nous allons certainement faire « le grand saut »….



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Tout allait très vite. Le chemin jusqu’au club s’était passé en un éclair et nous avions été mis dans le bain très très vite. Dans le bain est l’expression juste car en moins d’une demi-heure, je me retrouvais nu dans le bain à bulle, ma chérie, nue également, contre moi. Je lui caressais ses seins que j’adore et ma main s’aventurait dans sa fente. Elle ne tarda pas à gémir et, par la même occasion, à sentir mon érection contre son dos. Mais ce qui était le plus épatant c’est qu’un autre couple, nu lui aussi, nous regardait attentivement de l’autre côté du bain. L’homme, une quarantaine d’année, était vraiment beau, bien musclé et bronzé, les cheveux poivre-gris. Son membre que j’apercevais à travers l’eau me semblait de bonne taille. Sa femme était beaucoup plus petite (j’aurais dit 1m50) et sûrement un peu plus jeune (35 ans). C’était une jolie blonde, toute fine (voire maigre) avec deux tous petits seins dardés en forme de poire et de très longs cheveux qui lui tombaient jusqu’aux fesses (que je ne pouvais voir, malheureusement).


C’est alors que l’homme prit la parole, nous interrompant. "Vous ne voudriez pas venir nous rejoindre dans l’alcôve à côté?". Christelle se retourna et m’interrogea du regard mais ce n’était pas la peine, nous étions sur la même longueur d’ondes. Nous avons acquiescé d’un même hochement de tête. Le couple s’est alors levé et est sorti de la piscine et j’ai pu admirer les adorables petites fesses de la blonde, cependant que Christelle ne se gênait pas pour mater les fesses musclées de l’homme. Nous sommes sortis à leur suite, ruisselant et avons commencé à nous essuyer avec des serviettes que nous avions empruntées à l’entrée. Nous sommes ensuite entrés dans l’alcôve. Le couple était là et nous attendait, au moins aussi excités que nous. L’homme pris la parole "Je m’appelle Patrick et voici mon amante Nathalie". Je lui répondis "Jérôme et Christelle, nous sommes débutants". À ces mots, Nathalie ne pu dissimuler un soupire de soulagement "nous aussi, dit-elle ? Que fait-on". L’ambiance était électrique et chacun observait les trois autres, tous très excités. Le sexe de Patrick et le mien au garde à vous devant deux si désirables femmes.


C’est alors que j’eus une idée. "Et si on commençait par un jeu, pour faire connaissance ?". Je sentis trois paires d’yeux converger vers moi et poursuivis en leur expliquant les règles rudimentaires que j’improvisais à toute allure (en fait, je ne les improvisais pas complètement car j’y avais déjà réfléchis). C’est très simple, dis-je en sortant un dé à 6 faces que j’avais apporté. "Chacun de nous joue à tour de rôle et est l’attaquant et lance le dé pour connaître son moyen d’attaque : 1-2 les mains, 3-4 la bouche, 5-6 le sexe. Il lance alors un second dé pour déterminer sa cible et la partie de sa cible qu’il attaque : 1- le corps de sa/son partenaire (sauf visage et sexe), 2- le visage de sa/son partenaire (dont la bouche) et 3-le sexe ou les fesses de sa/son partenaire ; et 4- le corps de l’autre partenaire (sauf visage et sexe), 5- le visage de l’autre partenaire (dont la bouche) et 6-le sexe ou les fesses de l’autre partenaire. Attaquant et défenseur ont alors 1 minute pour exécuter la figure imposée. Par exemple, si je joue et tire un 2 en attaque et un 1 en défense, je pourrais à loisir pétrir les seins de Christelle pendant une minute ? Si Christelle alors tire un 3 en attaque et un 6 en défense, Patrick aura le plaisir de connaître les talents de Christelle en matière de fellation !". Tout le monde trouva cela fort excitant. Nathalie demanda "qui commence ?" Et je lui répondis "eh bien puisque tu poses la question, c’est toi ! Et nous tournerons ensuite dans le sens des aiguilles d’une montre : moi, Christelle, puis Patrick".


Enthousiaste, elle se jeta sur mon dé et le lança. "J’ai fait 4 ? La bouche mmmmm". Elle relança le dé pour connaître sa cible et le dé s’immobilisa sur la face 4 également. Elle m’interrogea du regard "c’est mon corps" lui dis-je, me mettant à genou. Timide, elle s’avança vers moi et s’agenouilla en face de moi. Elle pencha alors sa tête vers mon buste et ses longs cheveux virent me caresser le bas ventre d’une manière exquise. Je sentais son doux parfum et étais très excité. Je ne pus réprimer un gémissement quand elle posa sa langue sur mes tétons et commença à les sucer goulûment et les aspirer. C’était délicieux et une très bonne entrée en matière ! Patrick et Christelle nous regardaient avec avidité, chacun se caressant tout doucement.


Au bout d’un temps trop court qui devait faire une minute, Nathalie arrêta ses léchouilles. C’était à moi de jouer ! Je tirai un 3, le sexe, puis un 4. Je me levais alors et m’approcha de ma chérie. Elle était ma cible et je savais comment je voulais en profiter ! Je lui demandais de se coucher sur le dos et m’agenouilla par-dessus-elle, le sexe au niveau de son ventre. Elle tendit les mains pour l’attraper mais je l’en empêchai "on ne triche pas, mon amour". Je pris mon sexe bandé en main et le plongea vers le ventre de Christelle et commença à faire rouler mon gland surchauffé autour de son nombril, ce qui me procurait de merveilleuses sensations. Je remontais alors lentement ma verge entre ses deux seins. Comprenant mon désir, Christelle prit dans ses mains ses seins voluptueux et les plaqua l’un contre l’autre, enserrant mon sexe dans une adorable prison. Je commençais alors de lents va-et-vient. Nathalie se mit à gémir, elle se caressait abondamment. Et je sentais Patrick piaffer d’impatience, son sexe ayant pris une taille impressionnante ! Je dus me retenir énormément pour ne pas jouir sur le visage de ma chérie, tellement le contact de ses seins m’excitait. Mais au bout d’une minute, je me retirai. "A toi de jouer, Christelle ?"



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Le jeu proposé par mon chéri ne fit que rendre la tension sexuelle encore plus palpable. C’était à mon tour de lancer les dés et j’avoue que j’avais une immense peur. Malgré les envies qui me taraudaient le bas ventre, je fus prise de panique, presque prête à m’enfuir de cet endroit. Puis je me ravisais, décidant de ne pas écouter ma conscience mais seulement mon plaisir. À mon grand désespoir je fis un 6 !! Aïe le sexe !!! Mon cœur battait la chamade, pourvu que je fasse un 3 priais-je au fond de moi. Aïe encore un 6 !! J’en connaissais un qui avait le visage radieux….Patrick !!


Il vint alors se placer entre mes jambes, son sexe bandé entre les mains et commença à caresser ma fente très humide. Je ressentis alors une vague émotionnelle des plus intenses. J’allais pour la 1ère fois de ma vie me faire pénétrer, et ce devant la femme de celui-ci et de mon chéri !! C’était effectivement une sensation plaisante, mais étrange en même temps. Il ne mit pas très longtemps à envahir l’antre de ma féminité. Chaque coup de butoir me faisant soulever les hanches. Dans ma tête je sentais un carambolage de diverses émotions. Le plaisir et la honte en même temps, et je dois avouer que le mélange des deux ne firent qu’accentuer mon exaltation. J’étais totalement trempé et je ressentais les assauts de Patrick avec beaucoup plus d’intensité. Je décidais alors de n’écouter que mes sens et me laisser totalement aller. Je ne retenais plus mes gémissements, Patrick non plus d’ailleurs ! Quand la minute prit fin, j’encerclai inconsciemment la taille de mon partenaire de mes jambes, n’ayant pas envie qu’il s’arrête tant mon plaisir était lancinant, mes mon chéri me tapota la cuisse et en bonne joueuse j’enlevais mes jambes de Patrick ! Mon chéri me défiant alors du regard me lança alors :



Je crus percevoir une pointe de jalousie dans le ton qu’il avait employé, ce qui me fit le plus grand plaisir. C’était maintenant à Patrick de lancer les dés. Il fit un 4, la bouche, et au fond de moi je croisais les doigts pour que cela soit à nouveau moi, tellement le feu était présent en moi. Et comme la chance était présente avec moi, Patrick tira un 6 !! Je ne vous explique même ma joie… et la tête de nos deux partenaires !! Je fis un clin d’œil à mon chéri, car à vrai

Dire c’est des deux celui que je désirais le plus.


Patrick immisça son visage entre mes cuisses et commença par laper très doucement mon puits d’amour qui ressemblait bien plus aux chutes du Niagara qu’à un puits ! Je haletais avec une force incroyable.. Mon chéri n’y tenant plus se jeta avec gourmandise sur mes lèvres, et c’est avec une folle ferveur que je lui rendis son baisé. Patrick accéléra alors la cadence, suçant mon bouton avec encore plus d’ardeur. J’avais l’impression que cette séance venait de me faire découvrir le côté « Chienne » de ma personnalité… J’attrapais alors le sexe de mon chéri et l’englouti le plus loin possible au fond de ma gorge. Je dégustais goulûment son bâton de chair, et entendre ses gémissements ne firent qu’accentuer ma caresse buccale. Je sentais qu’à ce rythme mon chéri et moi allions pas tarder à crier notre jouissance, surtout que Patrick avait maintenant rentrais sa langue dans le fond de mon intimité et me procurait de délicieuses sensations.



Nathalie quant à elle observait la scène en retrait, tout en se caressant et Patrick lui dit alors de s’approcher au moment crucial de ma presque jouissance. Il bandait tellement fort, qu’il écarta les cuisses de sa partenaire et s’introduit en elle comme dans du beurre. Je le voyais la pénétrer avec toute sa force et elle ne se retenait nullement pour crier son plaisir. Etant moi-même dans un état d’excitation indescriptible, j’aventurais ma main sur ma fente, mais mon chéri me l’interdit en l’enserrant de sa main. Il sortit alors de ma bouche et me fit mettre à quatre pattes, et là, je sentis son pieu rentré en moi, mon dieu que c’était bon, je le sentais rentrer et venir en moi tel un volcan et je pouvais sentir ses bourses, tapaient contre mes fesses. Hummm !!

Nos deux couples étaient alors dans la même position et le fait de nous regarder ne faisait que décupler notre plaisir. Nous eûmes un orgasme quasi en même temps, je sentais les contractions de mon vagin et le nectar de mon chéri coulé à l’intérieur de mon intimité et le long de mes cuisses. C’était sensationnel.


Nous étions tous les 4 alors allongés essayant de reprendre nos esprits.. Mais quelques minutes plus tard une sensation inconnue jusqu’à maintenant me parcouru le corps, je sentais les mains de Nathalie me caresser la poitrine……….



Cette première jouissance (en fait la deuxième de la soirée) est sublime. Enfin j’ai pu goûter les délices de la grotte d’amour de ma chérie, si longtemps désirée. J’ai pu sentir de mon gland surgonflé de plaisirs les moindres recoins de son intimité et la sentir se cambrer de plaisir à chacun de mes coups de buttoir, pour enfin finir en apothéose : une jouissance commune et très forte ! Absolument divin. Me voici donc groggy, retiré de Christelle, en train de reprendre mon souffle dans une demi érection, quand je vois Nathalie avancer une main hésitante sur la poitrine accueillante de Christelle, encore toute haletante du plaisir que nous avons pris ensemble. Christelle sursaute et jette un regard à Nathalie, et à moi. Je sais que la bisexualité est l’un des fantasmes de ma chère Christelle, mais qu’elle n’a jamais eu l’occasion de franchir le pas. Je la sens tendue et un peu apeurée. Aussi, je me rapproche d’elle, et plonge ma langue dans sa bouche dans un baiser fougueux, après lui avoir murmuré à l’oreille "tout va bien ma chérie, laisse toi aller, tu es superbe ?"


Enhardie, Nathalie s’avança un peu plus et commença à caresser les deux seins de Christelle à pleine main, tout en faisant rouler ses tétons entre ses doigts. Je sentis à travers mon baiser Christelle se raidir un peu puis, très rapidement se laisser aller et même commencer à pousser des petits grognements de plaisir, excitée qu’elle était par les caresses expertes féminines de Nathalie. Nathalie se pencha alors sur le corps offert de Christelle, ce qui eut pour effet de lui balayer le corps de ses longs cheveux blonds. Sensation exquise qui arracha un cri de plaisir à ma chérie. La sentant assez en confiance, je décidai de la laisser et stoppa mon baiser. Christelle put alors à loisir voir la tête de Nathalie s’enfouir entre ses seins et commencer à les lui lécher de toute part, tandis que la main de Nathalie lui caressait le ventre et descendait lentement vers sa toison.


Les gémissements féminins emplissaient la pièce et ne tardèrent pas à nous redonner, Patrick et moi, une certaine vigueur. Toutefois nous restions spectateurs mais je lorgnais de côté le sexe de Patrick qui reprenait une belle dimension. Patrick du s’en apercevoir car il me lança un regard interrogateur et me sourit, comme pour me dire "vas-y". Je ne bougeais toutefois pas, pas encore prêt.


Pendant ce temps, la langue de Nathalie remontait dans le cou de Christelle et nos deux amies s’embrassèrent fougueusement, leurs langues se livrant un combat sans pitié, à qui donnerait plus de plaisir à l’autre. Nathalie en profita pour enjamber et venir s’allonger sur Christelle. Leurs seins entrèrent en contact, provoquant une nouvelle vague de plaisir inédite dans le corps de ma chérie. Instinctivement, se laissant aller, elle écarta les jambes. Nathalie ne se fit pas alors prier pour venir plaquer sa toison contre celle de Christelle. Christelle, en confiance, croisa ses jambes par-dessus les fesses de Nathalie. Toutes deux s’embrassaient toujours à pleine langue. Nathalie entama alors un mouvement de va-et-vient ayant pour effet de faire rouler leurs lèvres intimes et leurs clitoris les uns contre les autres. Les gémissements étouffés s’amplifiaient. Nathalie arrêta alors son baiser et ne pu s’empêcher de crier son plaisir "oh ouiiiiiiii, continue ma chérie, tu es bonne, j’aime ton corps, fais moi jouir, fais nous jouir ahhhhhhhh". À ces mots crus, Christelle s’abandonna complètement et jouit de concert avec Nathalie. Nathalie s’écroula sur le corps de ma chérie, haletante, mais heureuse….



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Je venais de vivre ma 1ère expérience bisexuelle. Un tas de sentiment s’entrechoqué dans mon esprit. Entre honte et plaisir, je ne serai pas le définir. Mais en tout état de fait je venais de prendre un plaisir mirifique.


Jérôme et moi, abandonnèrent un instant le couple pour se rendre sous la douche. Pour éviter toute nouvelle rencontre, nous choisissons une cabine douche fermant à clé. Une fois à l’intérieur, je me lovais dans les bras de mon chéri et me mis à pleurer. Il me serra fort contre lui. Je venais de vivre de fortes émotions, mais ma lucidité me fit prendre conscience de mon acte. Mon chéri compris ce que je pouvais ressentir et me proposa de retourner à l’hôtel si je le désirai et que nous reviendrions le lendemain soir. Egoïstement, j’aurai pu accepter son offre, mais je ne pouvais le faire, car mon chéri n’avait réalisé qu’une partie de ce « grand saut »….


L’eau qui coulait le long de nous, nous fit le plus grand bien. Nos mains ne pouvant s’empêcher de nous toucher. Je plaquai alors mon chéri contre le fond du bac et mordilla ses lèvres et sa langue. Ma main s’aventura entre ses cuisses et je caressais son sexe gonflé à nouveau de désir. Je prenais un plaisir immense de pouvoir ainsi le toucher, mais notre petite séance fut interrompue, on venait de taper à la porte de la cabine.



Et Patrick se jeta avec férocité sur ma bouche. Je ne pouvais protester tant il se collait à moi. De son côté, Nathalie dégustait le bâton de chair de mon chéri qui ne tarda pas à gémir à nouveau. Patrick me fit alors descendre et je m’appliquais alors dans une fellation dés plus torrides, n’oubliant aucun endroit sensible. Je pouvais scruter le regard de mon chéri, qui regardait, les yeux quelques peu hagard (par le plaisir que Nathalie lui procurait), le sexe de Patrick, rentrait et sortir de ma bouche.



Je connaissais le fantasme de mon chéri au sujet de la fellation et le fait qu’il voulait essayer quand l’occasion se présenterait. Je le regardai alors et saisissant sa main, je l’emmenai à moi. Nathalie et Patrick ayant compris la manœuvre. Je lui murmurai à l’oreille « laisse toi aller, prend ton plaisir ». Il plaça alors son visage entre les jambes de Patrick, attrapa le sexe bandé de celui-ci dans sa main, et entrepris de goûter à ce plaisir qui le titiller tant. Je crois bien que si à ce moment là, j’avais été lucide, cela m’aurait dérangé, mais étant dans un état quasi second et surtout voyant mon chéri réalisé un de ses fantasmes, je trouvais cela exaltant. Nos deux « hommes » prenaient un plaisir des plus forts.


Mon chéri tout en dégustant le méat de Patrick, faisait aller et venir sa main sur son pieu tendu. Je me mis à me caresser à la vue de cette scène, et c’est alors que Nathalie, n’y tenant plus, vint entreprendre de poser son visage entre mes cuisses et commença à lécher ma féminité. Je fus prise de palpitations, tant le plaisir était présent. Je sentais sa langue me fouiller au plus profond de mon être. Je ne voulais pas que cela s’arrête tant la chaleur avait pris possession de mon corps. La sentant elle aussi dans un état d’excitation farouche, je m allongea alors à même le sol, et nous prenions position pour un 69 diabolique. Je pouvais alors la déguster à mon tour, elle était totalement inondée. Nous gémissions de concert, chacune voulant que l’autre prennes tout autant de plaisir.


L’orgasme prit alors possession de nos êtres, et nous criions alors notre plaisir. Je me retournais alors vers mon chéri, qui à son tour fut pris de spasmes orgasmiques, tout comme son partenaire. Nos deux hommes se caressant mutuellement le sexe de leur main.


Avions-nous franchis les limites de notre fantasme ou alors n’était-ce que le début ?



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Tout comme Christelle quelques minutes auparavant, je venais de vivre ma première expérience bisexuelle. Et j’en tirai un mélange de honte et d’excitation. Je masturbais maintenant délicatement Patrick pendant que lui faisait de même avec mon sexe et nous nous délections du spectacle de nos chéries, jouissant à terre en position 69. Je regardais tout spécialement Christelle, en dessous, dont la langue allait et venait entre les lèvres de Nathalie, allongée sur elle. La position de levrette de Nathalie m’excitait au plus au point. N’y tenant plus, je m’agenouillai près du visage de Christelle. Celle-ci, ravie, ne pu s’empêcher de happer mon sexe de sa bouche goulue mais elle comprit bien vite ce que je voulais et présenta mon gland à l’entrée du sexe de Nathalie, ultra humide de mouille et de salive de ma chérie. Je donnai un coup de rein et m’enfonça sans problème dans cette intimité accueillante. Nathalie gémit violemment. Je me retirai et entra à nouveau mon sexe dans la bouche de ma chérie. Celle-ci se mit soudain à crier et je compris, en voyant Patrick en face de moi, qu’il avait lui aussi prit possession du sexe de Christelle et alternait entre son intimité et la bouche de Nathalie. Ce manège des plus excitants continua quelques instants : je passai du sexe de Nathalie à la bouche de Christelle pendant que Patrick faisait le contraire ; et, malgré mes multiples jouissances déjà ce soir, je sentais le plaisir revenir. Christelle le sentit aussi aux palpitations de ma verge, si bien qu’elle bloqua mon sexe dans sa bouche et se mit à le sucer goulûment comme elle en a le secret. Je n’y tins plus et me répandis en elle dans un râle de plaisir profond. Ce fut magnifique car mes trois autres compères jouirent de concert ! C’était trop beau. Nous étions épuisés.


Après nous être une nouvelle fois lavés (sérieusement, ce coup-ci), nous nous sommes retrouvés autour d’un cocktail et avons sympathisé avec nos nouveaux amis, et échangé nos adresses e-mail. Nous avons appris qu’eux aussi étaient un couple illégitime et nous sommes promis de revivre un jour une si jolie expérience.


Nous sommes alors rentrés à notre hôtel, Christelle et moi, bras dessus bras dessous, comme deux amoureux groggy par le plaisir. Dans l’ascenseur qui nous emmenait vers notre chambre, j’ai regardé Christelle et l’ai trouvé encore plus désirable "tu as été formidable ma chérie, merci beaucoup". Sitôt rentrée dans notre chambre, Christelle s’est déshabillé et écroulé sur le lit, épuisée. J’en ai fait de même et me suis allongé à côté d’elle. Nous nous sommes alors embrassés très tendrement pour nous souhaiter bonne nuit. Incorrigible, je n’ai pu m’empêcher de goûter une dernière fois à la douceur de ses seins et me suis mis à les caresser. J’ai alors senti comme par enchantement mon sexe se rendurcir, je n’y croyais pas mais le désir que j’avais pour cette femme me faisait dépasser mes limites physiques. Ne voulant pas laisser passer une si jolie occasion, je me suis relevé et ai présenté mon sexe en érection près du bas-ventre de ma chérie, qui a écarté les jambes sans dire un mot mais en souriant largement. Je suis alors entré en elle et lui ai fait l’amour dans la position du missionnaire, tout en l’embrassant et lui léchant les seins et en entrant profondément en elle à chaque coup de reins. Nous avons jouis une dernière fois et sommes tombés dans les bras de Morphée encore enlacés.




  • — FIN -



Quel plaisir d’écrire un texte à 4 mains ! Merci Jérôme pour ces fabuleux moments, je conseille à tous d’en faire l’expérience….