n° 07155 | Fiche technique | 22571 caractères | 22571 3877 Temps de lecture estimé : 16 mn |
02/03/04 |
Résumé: Une femme mûre tombe amoureuse d'un camarade de son fils, joueur de rugby | ||||
Critères: fh fplusag jeunes extracon grosseins voir intermast fellation préservati pénétratio | ||||
Auteur : Bcbg |
Mathieu est le deuxième garçon de Françoise, l’aîné Jean poursuivant des études supérieures à Paris.
Il fait partie de l’équipe de rugby locale.
C’est un jeune de dix-sept ans, sportif, plein de vitalité et taillé pour pratiquer ce type de sport. Indépendant, il est rare qu’il sorte ou invite des camarades chez lui.
Sa mère en est assez fière. Françoise est une belle plante de quarante sept ans. Son visage, déjà marqué par quelques rides, est éclairé en permanence par un sourire joviale et deux yeux verts pétillants et malicieux. Ses longs cheveux de couleur châtain clair sont coiffés en chignon, ce qui met en valeur son visage ovale à la peau blanche. Ses formes pleines sont agréablement réparties grâce à ses un mètre soixante quinze. Elle possède une poitrine lourde mais encore ferme en dépit de ses deux grossesses. Françoise est issue d’une famille bourgeoise de Neuilly, ce qui explique son style classique, tant vestimentaire que pour ce qui concerne ses principes et ses manières pouvant être qualifiées de prudes. Elle s’occupe comme elle peut chez elle et fréquente des amies bénévoles comme elle pour une association d’animation au profit de la maison de retraite de la commune. Elle fait également partie d’un club de gymnastique.
Ils habitent avec son mari et son fils dans une maison d’un quartier calme dans une banlieue chic de Paris.
Son mari, Pierre, est médecin, passionné par son travail et consacre beaucoup de temps à cette vocation. Cela a toujours un peu empêché leur couple de s’épanouir, au grand regret de Françoise qui, pourtant, n’a jamais cessé de l’aimer. Leur vie est tranquille.
Elle n’est jamais allée chercher son fils au stade. Les horaires ont changé exceptionnellement à cause de travaux de voirie.
Un peu avant dix-sept heures, Françoise enfile une veste légère et courte sur son chemisier blanc et chausse une paire de mocassins en cuir de couleur fauve. Elle porte une jupe droite noire en laine qui galbe ses cuisses musclées.
Le temps de monter dans sa Twingo et de démarrer elle arrive quinze minutes plus tard à proximité du stade et se gare sur le parking. Il est situé à la limite de leur commune et Françoise se rend soudain compte que le quartier ne semble pas être aussi côté que le leur.
C’est un petit stade et elle ne met guère de temps à trouver l’entrée. Le portail passé, elle se met instinctivement à la recherche du bâtiment consacré aux vestiaires car plus personnes n’évolue sur le terrain. Elle le localise rapidement.
En s’approchant de l’entrée, elle entend des voix étouffées et parvient au bout d’un moment à en situer la provenance. Un vasistas à demi-ouvert, au pied du bâtiment, est éclairé par une lumière blafarde. Des filets de vapeur s’échappent de l’ouverture. Poussée par la curiosité, Françoise s’approche discrètement. Une vue plongeante lui permet de découvrir un local de douches collectives. Mais ce qu’elle peut observer lui coupe littéralement la respiration. Des joueurs de l’équipe de rugby, une dizaine environ, sont dans le local. Françoise a les yeux rivés sur les corps nus, virils et musclés des jeunes mâles. Certains sont massifs, sûrement les piliers, d’autres sont plus grands et plus fins. Les corps sont poilus ou lisses mais tous portent des traces de crampons, ce qui leur donne un aspect encore plus bestial. De sa place, Françoise peut voir les joueurs, recouverts de mousse de savon, en train de se délasser sous les jets d’eau ou alors s’essuyer. Les mouvements font saillir les muscles. Françoise reste médusée. Ses yeux courent d’un corps à l’autre. Mais surtout, et c’est ce qui explique la bouffée de chaleur qui l’envahit, elle peut admirer leurs sexes. Les queues sont soit courtes, épaisses ou bien longues et fines. Elles reposent sur des bourses rondes et poilues ou bien presque imberbes. Les glands décalottés sont rouges sous l’effet de la chaleur et des piqûres provoquées par les jets d’eau et les frictions. Quelques adolescents chahutent et se poursuivent animant les queues qui se balancent dans tous les sens. Françoise les trouve beaux. Son cœur bat de plus en plus vite et sa respiration s’accélère. Elle ne peut s’empêcher de serrer les cuisses pour tenter d’apaiser l’incendie qui met le feu à l’endroit le plus intime de son corps. Des pensées qui l’auraient faite fuir peu de temps auparavant commencent à lui traverser l’esprit.
Elle se reprend brusquement en se traitant de folle et s’écarte du vasistas car des pas se font entendre. Son fils Mathieu, sûrement sorti du local des douches avant son arrivée, sort du bâtiment. Il tombe nez à nez avec sa mère.
Des membres de l’équipe sortent à leur tour. Mathieu leur présente sa mère et discute un instant avec eux. Françoise les reconnaît et une angoisse la saisit furtivement. Le vasistas est trop étroit. Il est pratiquement impossible qu’ils l’aient vue. Elle les dévisage discrètement.
Les jeunes lui lance de temps en temps un regard timide mais appuyé. Son instinct de femme lui signale qu’elle ne leur est pas indifférente et elle remarque rapidement que leur attention furtive se porte sur les endroits les plus intimes de son corps. Légèrement en retrait, l’un d’entre eux, à la corpulence massive et au visage de brute semble différent. Leur regard se rencontre un court moment et le rugbymen la fixe, presque de manière effrontée. Se sentant rougir, elle baisse les yeux et dit à son fils qu’elle l’attend dans la voiture et s’éloigne. Une fois dans l’habitacle, Françoise souffle profondément. Son fils arrive à son tour quelques minutes après. Elle démarre le moteur et commence à rouler.
Elle fut distraite pour tout le reste de la soirée, faisant même tomber une assiette en mettant la table. Des flashes traversent son esprit régulièrement sans qu’elle puisse les chasser. Elle se voit dans le local des douches, entièrement nue. La vapeur lui permet juste de distinguer les silhouettes des rugbymen, nus et ruisselants qui s’avancent vers elle en l’entourant. Leurs sexes sont raides, les glands dressés et écarlates et les couilles remontées. Des mains se tendent vers elle et parcourent son corps d’une multitude de caresses. Des paumes malaxent ses seins, son ventre ou l’intérieur de ses cuisses et des doigts s’introduisent dans les endroits les plus intimes. Des gémissements et des voix sourdes accompagnent ces agissements. Les flashes s’arrêtent subitement mais reviennent régulièrement, la harcelant.
Françoise se couche et parvient difficilement à s’endormir.
La journée du lendemain est un véritable enfer pour la mère de famille. Son esprit et ses pensées deviennent incontrôlables et les mêmes images reviennent en permanence.
Le surlendemain, elle se sent abandonnée dans sa maison vide. Elle regarde sa montre toutes les cinq minutes et se rend compte qu’une seule chose lui importe ; retourner au stade. Pour y faire quoi ? Elle ne le sait pas. C’est son instinct de femme qui commande.
Il est seize heures lorsqu’elle entre dans sa chambre et se déshabille. Elle regarde son corps charpenté dans la glace fixée au-dessus de sa coiffeuse. En dépit de ses formes épaisses, il est proportionné et ferme.
Après une toilette dans la salle de bain, elle choisit ses vêtements. Elle étale plusieurs ensembles sur son lit et opte pour un tailleur rouge en lainage et un chemisier en soie blanc. Elle choisit une culotte et un porte-jarretelles également en soie de couleur rose pâle et des bas gris à couture.
Une fois vêtue de sa lingerie, elle se regarde dans la glace et une bouffée de honte la submerge. Non, ce n’est pas possible, cette femme ne peut pas être la mère de famille rangée qu’elle a toujours été !
Elle est sur le point d’arracher le peu de tissu qui recouvre son corps mais une force incontrôlable l’en empêche.
Elle vérifie ensuite son maquillage et se demande si les rides qui marquent son visage ne sont pas trop visibles. Et puis tant pis, ils l’ont dit eux-mêmes, elle est encore belle.
Une fois habillée, elle chausse une paire de mocassins à boucle, enfile une surveste et sort pour rejoindre son véhicule après avoir glissé un paquet de préservatifs dans la poche de cette dernière.
Une fois installée dans sa voiture, elle reste immobile et pensive.
Qu’allait-elle faire une fois sur place ? Pourquoi avoir pris ce paquet de capotes ? Cela n’avait aucun sens.
Balayant cette pensée défaitiste, elle démarre le moteur et se retrouve rapidement sur la route du stade.
Arrivée sur le parking du complexe sportif, elle se regarde dans le miroir du pare-soleil et remarque qu’une mèche s’est détachée de son chignon et barre son front. Elle décide de la laisser.
Possédée par l’angoisse et une envie irrésistible de trouver ce qu’elle est venue chercher, elle descend, ferme soigneusement la porte et regarde un instant la lumière blafarde qui illumine ce fameux vasistas.
Elle remarque que quelques mobylettes et vélos sont encore présents sur le parking réservé aux joueurs. Elle en conclut qu’ils ne doivent pas être très nombreux.
Elle entre dans le stade et s’approche discrètement du vasistas. Les rugbymen sont quatre, sous la douche, en train de se laver. Elle reconnaît rapidement les copains de son fils qui l’on discrètement regardée sous toutes les coutures la dernière fois. Pitbull en fait partie.
Les jeunes mâles chahutent et elle entend leurs voix et éclats de rire.
Elle se délecte de nouveau à la vue de ce spectacle. Pitbull est le plus costaud, un véritable bœuf. Peu à peu, la même sensation commence à s’emparer de son corps. Le stade est silencieux et désert. Parvenant de moins en moins à de maîtriser, Françoise se glisse dans le vestiaire. Il est équipé de bancs et d’une table longue ainsi que de quelques tabourets. Un néon diffuse une lumière crue. Sur les portemanteaux fixés au-dessus des bancs, des vêtements sont accrochés. Une odeur composée d’un mélange de savon et de sueur de mâle règne. Françoise remarque une porte dans le fond du local, sans étiquette.
Les éclats de voix sont plus proches et elle peut maintenant entendre distinctement les propos des joueurs ainsi que les bruits des douches.
Un vent de panique s’empare d’elle lorsque elle entend un jeune lancer aux autres :
Françoise, morte de honte et horrifiée par ce qu’elle vient d’entendre est sur le point de s’enfuir lorsqu’elle entend la porte donnant accès aux douches s’ouvrir. Pétrifiée par la peur, elle a les yeux fixés sur Pitbull qui ne l’a pas tout de suite remarquée. La porte se referme et Pitbull pénètre dans la pièce. Une serviette entoure sa taille et quelques gouttes de sueur coule sur son visage et son torse. Il s’immobilise à la vue de Françoise, les yeux rivés sur la femme, la bouche bée.
La mère de son camarade est figée.
Au bout d’un moment, Pitbull lui demande d’une voix inquiète :
Pitbull commence à comprendre et rougit légèrement lorsque Françoise esquisse un sourire timide.
Son regard se promène sur le corps de la femme et tout particulièrement sur les jambes galbées et gainées du tissu soyeux des bas ainsi que sur les cuisses mises en valeur par la jupe de son tailleur.
Ils s’observent quelques instants. Ce n’est plus un pilier viril mais un jeune homme intimidé, en admiration devant quelque chose qui semble venir tout droit du ciel.
Ce qu’ils lisent dans leurs pupilles respectives est plus équivoque que n’importe quelle parole.
Pitbull s’avance ensuite vers elle et tend une main hésitante l’invitant à se lever.
Françoise répond à l’invitation et se trouve maintenant face au pilier. Leurs corps se touchent presque et Françoise peut sentir la respiration accélérée du joueur.
Son sang ne fait qu’un tour.
Ils se regardent sans rien dire mais dans un silence qui laisse transpirer leur envie de se coller l’un à l’autre. Pitbull ne semble pas plus rassuré qu’elle.
Il range rapidement ses affaires dans un sac de sport et chausse une paire de claquette.
Il se dirige ensuite vers la porte du fond et l’ouvre avec un passe.
Françoise ne sait que faire. Elle se dirige néanmoins vers la porte.
Il actionne un interrupteur et une lumière blafarde éclaire la pièce envahie d’équipements et d’outils.
Une fois la porte refermée, ils se retrouvent de nouveau face à face.
Le sifflement de leur respiration est le seul bruit qui brise le silence pesant du local.
Leur poitrine se touche.
Frank a un léger mouvement de recul.
Françoise s’approche encore un peu plus de son torse puissant et pose ses mains sur ses épaules. Il est costaud mais pas beaucoup plus grand qu’elle.
Ses seins sont maintenant appuyés sur la poitrine de Franck et une vague de chaleur encore plus puissante la paralyse lorsqu’elle sent une pointe dure pointée contre son bas-ventre.
Elle avance la tête pour déposer un baiser rapide et timide sur la joue du joueur.
Le jeune homme trésaille et pose ensuite ses mains sur les hanches pleines.
Ils n’ont pas cessé de se regarder.
Franck remonte ses mains pour caresser le dos de la mère de famille et pose ses lèvres sur le front au parfum léger pour y déposer un baiser humide.
Françoise est sur le point de chanceler et se sert encore plus fort contre le rugbyman.
Elle ferme légèrement les yeux et entre ouvre les lèvres qu’elle avance comme une invitation.
Dans un souffle où se mêlent excitation et désir, Franck appuie sa bouche sur les lèvres offertes et une langue épaisse et animée s’enroule immédiatement autour de celle de Françoise.
Ses mains larges descendent doucement le long du dos de la mère de Mathieu pour se poser sur le postérieur qu’il commence à caresser avec attention.
La jupe du tailleur est ensuite retroussée et les paumes brûlantes passent en revue les cuisses blanches et douces.
Leur étreinte dure un moment puis Françoise s’écarte du garçon et dépose une série de baisers sur la poitrine musclée en s’attardant sur les mamelons pour les mordre délicatement. Ses mains caressent et griffent doucement le dos épais et ferme.
Les mains du pilier ont défait le chignon de Françoise et ses cheveux roulent sur ses épaules en cascade. Franck gémit doucement en refermant ses doigts sur la nuque fine de sa partenaire.
Françoise a poursuivi son parcours jusqu’à l’abdomen de Franck et est maintenant accroupie, le visage face à la bosse tendue que présente la serviette de bain.
Elle lève un visage innocent vers Franck qui reste immobile, les mains de ce dernier caressant maintenant tendrement le crâne de Françoise.
Elle parvient à défaire le nœud qui maintient la serviette. Le linge tombe d’un coup.
Un sexe court et plutôt épais se détend au milieu d’un pubis fourni et sombre. Deux couilles pleines sont remontées.
Franck esquisse le geste de cacher avec ses mains ses parties intimes mais le regard rassurant de Françoise et un sourire plein de tendresse l’en dissuade.
Elle saisit la verge au milieu avec deux doigts. Le souffle de Franck s’accélère.
Le sexe sent le savon.
Peu habituée à ce genre de caresse, Françoise tire la peau vers l’arrière délicatement pour laisser apparaître un gland rond et large gorgé de sang. La tige se cabre un peu plus.
Elle arrondit la bouche, sort le bout de sa langue qu’elle promène sur la crête du gland et fait ensuite glisser le bâton de chair entre ses lèvres.
Françoise fait coulisser doucement la bite dure comme de l’acier.
Elle glisse une main entre les cuisses de son partenaire et referme progressivement les doigts sur les bourses bouillantes.
Franck a les mâchoires crispées afin d’éviter de hurler.
Au bout de quelques allers et retours et sentant les cuisses du sportif trembler de plus en plus, Françoise extirpe le sexe luisant qu’elle agace de nouveau sur toute la longueur avec la langue en s’attardant sur le méat. Après l’avoir sucé de longues minutes, elle dépose un baiser sur le bas ventre et se relève doucement.
Franck a du mal à retrouver son souffle.
Il la regarde dans les yeux.
Franck lui sourit et la serre dans ses bras.
Après cette étreinte, Françoise le repousse doucement et se dirige vers un mur non encombré pour s’y adosser. Tout en regardant Franck, elle retrousse sa jupe et écarte légèrement les jambes pour éviter qu’elle retombe.
Franck s’approche doucement et glisse une de ses mains entre les cuisses de la femme offerte pour la plaquer sur le mont de Vénus bouillant.
Franck a ouvert le chemisier de l’autre main afin de masser un des seins lourds.
Ne tenant plus, il pose sa bouche humide dans le cou à la peau douce qu’il picore avec application.
Cette dernière serre le cou du garçon de ses bras et lui glisse dans l’oreille d’une voix
fluette :
Franck s’écarte et s’empare du slip qu’il fait glisser le long des jambes de Françoise pour le poser sur le sol. La femme enlève sa veste après avoir pris un préservatif dans la poche, et la laisse également tomber à terre.
Franck déroule la protection sur la hampe tendue.
Il saisit ensuite Françoise par les hanches et la soulève. Cette dernière est étonnée de la force de l’individu et prend appuie sur ses épaules avant de nouer ses cuisses autour de la taille de ce dernier.
Le garçon la fait glisser lentement jusqu’à ce que la vulve touche le gland qui pénètre progressivement dans le fourreau soyeux.
Françoise griffe les épaules du rugbyman et se mord les lèvres afin d’éviter de hurler, les yeux grands ouverts.
La queue est maintenant complètement enfoncée et solidaire du conduit intime de Françoise.
Parvenant tout juste à se contenir, Franck, les jambes légèrement fléchies, parvient à faire glisser ses bras sous les genoux de Françoise et la fait ensuite monter et descendre sur un rythme régulier le long de son torse.
Au bord de l’évanouissement, Françoise enserre la nuque de son amant et plante ses dents dans le cou de taureau.
Franck sent l’explosion proche et accélère les mouvements. Françoise gémit de plus en plus fort et les cris étouffés rythment le coulissement imposé par les reins du jeune homme.
Franck s’immobilise tout à coup, pousse une longue plainte sourde en même temps que sa maîtresse qui sent le préservatif gonfler et se remplir des jets puissants et bouillants.
Ce n’est qu’après un long moment que les deux complices, abrutis, retrouvent leur esprit et se regardent en souriant.
Françoise, après avoir été déposée délicatement sur le sol, rectifie ensuite rapidement sa tenue alors que Franck s’habille de son côté.
Avant de partir, elle passe de nouveau le dos de sa main sur la joue du jeune homme.
Elle posa ses lèvres sur la joue du joueur et tourna les talons le cœur encore battant.
J’espère que ce récit plaira autant que me deux dernières histoires ; "Anne-Claire et les éboueurs" et "Le relais routier". Si, parmi les lecteurs, certains désirent que je rédige des histoires à partir de scénarios qu’ils affectionnent et que nous apprécions de manière partagée, il suffit qu’ils le préciser dans leur commentaire. À bientôt !