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Temps de lecture estimé : 6 mn
02/03/04
Résumé:  J'étais marié depuis peu avec Josiane quand eut lieu l'histoire (vraie) que je raconte.
Critères:  fh couple pénétratio fouetfesse humour
Auteur : André 0      
Une drôle de maladie !



J’étais marié depuis peu avec Josiane quand eut lieu l’histoire (vraie) que je raconte. Elle venait d’avoir 20 ans, j’en avais 12 de plus et cette différence d’âge lui avait sans doute permis de s’en remettre à moi comme à quelqu’un en qui elle pouvait avoir confiance dans la vie. Avec ses longs cheveux châtains le plus souvent noués en queue de cheval, ses yeux gris-vert, de taille moyenne avec son mètre soixante, sa minceur (45 ou 46kg), de petits seins ronds couronnés de petits tétons roses qui n’avaient guère besoin de soutien-gorge pour rester bien fermes, elle avait plus l’air d’une adolescente que d’une femme mariée. Je la taquinais souvent en disant qu’en sortant avec elle, j’avais toujours peur de me faire arrêter pour détournement de mineure!… Elle avait aussi un petit cul rond et dur absolument magnifique, et c’était un plaisir de regarder comment ses fesses bougeaient en marchant. En plus, elle savait s’habiller de façon fort féminine ce qui mettait sa joliesse en valeur.


Je l’avais rencontrée deux ans plus tôt un soir à dîner chez des amis. Elle était venue seule, en bus, et je l’avais raccompagnée chez elle. Nous avions sympathisé, nous nous étions revus, bref, une histoire classique pour ne pas dire banale. Si cela peut surprendre de nos jours où plus que jadis, il est rare qu’une fille soit encore pucelle après 15 ans et parfois même bien plus jeune, Josiane était alors toujours vierge, ce qui ne veut pas dire qu’elle n’avait pas eu quelques flirts. Mais elle s’était toujours refusée à sauter le pas jusque là, n’ayant sans doute pas assez confiance dans ses petits amis du moment. Elle n’eut pas la même réserve avec moi et dès notre quatrième sortie en amoureux, j’ai pu l’amener dans mon appartement, découvrir et admirer son corps et la faire femme (comme on dit!).


Par chance, Josiane avait fort bien développé sa sensualité naturelle en se masturbant régulièrement dès le début de son adolescence. Elle devint très vite une amoureuse ardente, prête à tous les jeux de l’amour et avide d’en connaître tous les aspects, tout en restant encore naïve à bien des égards. Elle comprit que je lui interdise les collants, ces tue-l’amour!, et que j’exige que sa chatte soit dorénavant et toujours parfaitement épilée, certes pour qu’elle paraisse plus nue mais surtout pour que je ne risque pas de me retrouver avec des poils dans la bouche, ce que je ne supporte pas. Je découvris très vite que son anus était beaucoup plus sensible que chez la plupart des femmes : c’est pourquoi c’était un plaisir que de la voir à plat ventre, exhibant son œillet rose de jeune fille palpitant sous mes caresses en gémissant. Ce fut peu après notre mariage que je lui pris ce dernier pucelage, pour notre plus grande satisfaction mutuelle.


Mais évidemment, de tels jeux répétés presque quotidiennement nécessitaient un moyen de contraception. Elle n’en avait jamais eu besoin jusqu’alors. En face de chez moi habitait un ami médecin avec qui je jouais au tennis presque tous les samedis, et dont sa femme Laurence, excellente cuisinière, avait eu souvent pitié du célibataire que j’avais été en l’invitant à dîner. C’est donc naturellement à lui que j’ai adressé Josiane pour qu’il lui prescrive la "pilule".


Hélas, malgré les essais de plusieurs "marques", et bien que ce soit très peu fréquent, il s’avéra que Josiane appartenait à cette minuscule minorité de femmes qui ne supportent pas la pilule. Elle avait notamment des nausées insupportables. Pierre, mon ami médecin, conseilla alors le stérilet, qui convenablement disposé au fond de son vagin ne nécessiterait qu’une visite de contrôle tous les six mois. Ainsi fut fait, avec une parfaite efficacité puisque Josiane ne tomba pas enceinte, et j’ajoute qu’en la baisant, je ne me serais jamais rendu compte de la présence d’un corps étranger à l’orée de son utérus si je ne l’avais pas su.


Ce fut lors de la visite semestrielle de routine peu après notre mariage que Pierre, en vérifiant la pose de son stérilet, constata que Josiane avait un début de "pertes blanches", ce que le corps médical préfère désigner du nom plus savant de leucorrhée. Il lui prescrivit en conséquence d’une part des ovules à mettre à raison d’un chaque soir dans son vagin, et d’autre part, pendant une quinzaine de jours au moins, de s’abstenir de porter tout vêtement tel culotte, slip, collant, pantalon, bref tout ce qui l’empêcherait d’être "cul nu" sous ses robes ou jupes. Selon Pierre, cette deuxième partie du traitement en laissant à l’air libre les parties génitales est de loin la plus efficace!, mais ne convient pas trop aux pharmaciens… alors que nombre d’hommes seraient prêts à l’approuver…


J’avais la chance d’avoir mon bureau proche de mon appartement, ce qui me permettait de rentrer déjeuner. Fréquemment, le moment de relaxe en buvant le café s’accompagnait d’une envie pour nous deux de faire l’amour, nos soirées n’y suffisant pas. Que selon ma suggestion, Josiane s’offre impudique sur le canapé du salon ou qu’elle se dispose devant à quatre pattes pour que je la prenne en levrette, c’était de toutes façons un vrai moment de plaisir même s’il était plus court que ce que nous aurions souhaité. C’est ainsi que les choses se passèrent le lendemain de sa visite médicale chez Pierre et donc premier jour de son traitement.


Mais avant de regagner mon bureau, un passage par la salle de bains s’imposait pour éviter que je ne sente par trop le stupre! Je m’apprêtais à laver ma queue luisante de sperme et mouille lorsque, oh horreur !!!, je constate sur mon gland encore gonflé et violacé une énorme pustule… Que s’était-il passé? Ma bite supporte-t-elle mal la leucorrhée de mon épouse? ou bien réagit-elle brutalement à l’action antifongique de son médicament? Avec précaution, du bout d’un ongle, je suis allé toucher délicatement cette pustule pour voir comment elle réagissait et si elle était douloureuse.


C’est alors que j’ai compris l’origine et la cause de cette excroissance qui m’avait inquiété et que je suis parti dans un fou-rire homérique tout en pestant devant l’incroyable naïveté de Josiane : elle avait tout simplement introduit la veille au soir dans son vagin l’ovule avec les deux demi-coquilles en plastique qui l’emballaient!!! Et comme je venais de la ramoner avec beaucoup de vigueur avant de décharger dans son con encore bien étroit de presque jeune fille, l’une de ces demi-coquilles avait fait ventouse….


J’ai retiré le "corps du délit", j’ai passé un bref "savon" à Josiane, et j’ai vite rejoint mon bureau, quasiment en retard du fait de cet incident.


Le samedi suivant, nous étions invités à prendre l’apéritif chez Pierre et Laurence. Je leur ai raconté la mésaventure que nous avions eue trois jours plus tôt, à eux qui étaient pratiquement les seuls à qui je pouvais la dire et eux à la comprendre. Ils ont effectivement beaucoup ri, quand même étonnés devant tant de naïveté chez Josiane. Pierre m’a fait alors une réflexion comme "Lui as-tu donné la fessée qu’elle méritait pour t’avoir inquiété?". J’ai répondu "Non mais c’est une bonne idée!". Et tandis qu’ils continuaient d’en rire, en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, j’ai attrapé Josiane par la taille, je l’ai couchée en travers de mes genoux, et lui ayant remonté sa robe jusqu’à la taille, j’ai fait rosir son joli cul nu par quelques claques bien sonores…


Je ne sais pas de quoi Josiane eut le plus honte, du rire inextinguible de nos amis ou d’avoir été fessée devant eux. Mais ce que je sais, c’est que non seulement bien sur, elle n’a jamais recommencé cette bêtise, mais surtout elle a été très attentive par la suite à bien lire les modes d’emploi et à questionner quand elle avait un doute!