n° 07171 | Fiche technique | 16303 caractères | 16303Temps de lecture estimé : 11 mn | 03/03/04 |
Résumé: Plus "ma vie" que "sexuelle", c'est l'histoire d'une rencontre de hasard qui est devenue harmonie ! | ||||
Critères: fh couple amour fellation cunnilingu fsodo champagne glaçon init | ||||
Auteur : Abribus (Récits divers & variés) Envoi mini-message |
Bonjour, je me présente : Alexandre, 28 ans, vivant en couple depuis 18 mois avec Caroline, 25 ans, qui est ma compagne depuis 3 ans ½ et, je l’espère, pour la vie…
L’histoire qui suit est celle de notre rencontre.
J’avais donc 25 ans et je commençais sérieusement à m’inquiéter ; puceau, à cet âge, ça n’est pas une catastrophe quand on y pense a posteriori mais sur le moment c’est vraiment un gros problème, si vous êtes ou avez été dans mon cas vous voyez ce que je veux dire !
C’était d’autant plus frustrant que j’étais depuis mon plus jeune âge adepte de littérature érotique Que celle-ci soit de plus ou moins bonne qualité, la lecture d’une scène de sexe, que ce soit chez Sade, SAS, Grainville, Louÿs ou bien d’autres a toujours été pour moi beaucoup plus excitant que les photos érotiques de blondes (ou brunes) siliconées (ou non) ouvrant aimablement leur jambes au regard de collégien boutonneux comme celui que je fus (quoi que cité bouton j’ai eu de la chance)… comme vous sans doute Messieurs ! Mesdemoiselles, ne soyez point désolées : nous sommes ainsi faits…
Mon éducation sexuelle fut donc essentiellement littéraire et très peu photo ou cinématographique : pas Canal+ à la maison, la télévision très bien surveillée par mes parents (je ne pouvais que rarement jeter un coup d’œil sur M6 le dimanche soir), Internet qui n’avait pas encore fait son apparition et des magazines où finalement je tachais plus les pages des médiocres histoires érotiques que celles des jeunes filles évoquées plus haut. À 25 ans, quand on a beaucoup lu, beaucoup fantasmé, mais à peine embrassé et touché un sein, je vous assure que les questions trottent dans la tête… les origines du mal sont connues : une grande timidité qui m’a fait louper bien des occasions… jeunes puceaux qui me lisez, croyez-moi : mieux vaut risquer se prendre 10 râteaux et séduire à la 11ème tentative que ne rien faire les 10 fois et la 11ème fois non plus d’ailleurs ! Les questions, elles, sont variables : et si j’étais homo (pourquoi pas, mais déjà que je ne peux pas draguer une fille alors draguer un mec dans ma petite ville de province où tout se sait…), et si je devenais prêtre (si, je vous assure, j’y ai pensé !), etc.
Arrivent donc mes 25 ans, et le mariage d’un des mes amis, Luc, avec Julie. Autant que je vous l’avoue tout de suite, j’étais très amoureux de Julie et ce mariage ne me plaisait pas vraiment… un vague espoir qu’elle le plaque m’avait toujours animé, et comme elle était devenue assez proche, qui sait… il faut que je vous dise que, si j’avais beaucoup de mal avec les filles, il suffisait que je les sache inaccessible pour savoir leur parler, les faire rire, bref les draguotter… l’absence d’enjeu me facilitait les choses et me rendait encore plus furieux de ne parvenir à rien avec les filles qui m’attiraient. J’allais donc au mariage avec une ferme intention : me bourrer la gueule. Ça faisait belle lurette que je ne partais plus au soirée, plein de bonnes intentions, en me disant ce soir j’oserai… j’avais maintenant des objectifs moins ambitieux mais que je savais pouvoir atteindre sans trop de mal.
Les familles des mariés ne lésinaient pas, et mon objectif fut me semblait assez facile à atteindre vu que j’étais déjà bien entamé à la fin du cocktail et de la bouteille de champagne que j’y avais descendu. La déshinibition était bien entamée aussi, et j’avais même réussi à entamer la conversation avec Beatriz, jeune et jolie espagnole amie de la mariée qui était bien à mon goût (et qui devait repartir dès le lendemain : encore une fois, l’absence d’enjeu – car tirer un coup un soir n’était pas un enjeu, j’étais non seulement timide mais naïf et fleur bleue – me facilitait les choses) et qui aurait du théoriquement se trouver à mes côtés à table… sauf que je n’avais pas du être léger, ou alors elle avait trouvé mieux car un changement de dernière minute se produisit et je me retrouvai à côté de… Caroline.
Caroline est la nièce de la mariée, elle a alors 20 ans et le moins qu’on puisse dire est que je ne l’ai pas remarqué jusque là. Je ne suis qu’un homme, et cette fille grassouillette et joufflue, aux grosses lunettes, forcément avec mon cerveau primaire elle était transparente. Transparent même son immense sourire qui aujourd’hui me fait craquer plus que tout. Mais j’anticipe…
Je ne suis donc pas ravi de ma nouvelle voisine ; elle, de son côté déteste Luc, le marié, (je le saurais après) et la balance penche en ma défaveur quand elle apprend que je suis un de ses amis. Ajoutez à cela que, tout à mon ivresse, je la bassine avec mon coup de foudre pour Beatriz comme le dernier des goujats et vous comprendrez qu’on n’était pas vraiment bien parti…
Mais bon, je suis d’humeur joueuse et je décide d’animer un peu la soirée : faire boire une gamine de vingt ans, une riche idée, très subtile… j’ignorais que je me piégeais moi-même ! Elle boit, je bois et finalement nous finissons par bien nous entendre. Nos conversations enflammées d’ivrognes dont le reste de la table est exclu d’office réparent le mauvais départ. Je n’ai objectivement aucune idée sur Caroline : elle ne me plait pas, elle n’est pas de la ville, ses parents sont dans la salle. C’est juste une fille avec qui j’apprécie de discuter, puis de danser, et on rediscute, et elle va aux toilettes… je ne me souviens absolument plus ce qui s’est passé (j’ai du frôler le coma éthylique ce soir-là), mais selon toute vraisemblance je l’ai suivi et, à son retour, nous nous sommes embrassés. Ça paraît beau, comme ça, mais ça n’a pas du l’être vraiment, je crois que dans le genre bourrin j’ai été un champion ce soir-là. Heureusement qu’elle était dans le même état !
Voici la situation : à ma gauche, la tente ; à ma droite, les toilettes montées pour l’occasion ; devant le jardin qui se prolonge par un petit bois. Le baiser a du nous dessaouler un peu, en tous cas lorsque nous recommençons c’est un peu plus civilisé pour elle comme pour moi, et nous devenons presque romantique, nous prenant la main pour gagner un endroit plus discret : le petit bois évoqué plus haut. Nous sommes en août, le temps est beau et la fraîcheur de la nuit ne nous gêne pas. Caroline le dos contre un arbre, moi contre elle, je l’embrasse et la caresse… elle accepte tout, je peux caresser ses seins sous sa chemise, glisser une main dans sa culotte… je crois que c’est à ce moment que j’ai réalisé que mon heure était venue, que celle que je tenais dans mes bras n’était peut-être pas le canon que j’avais idéalisé, mais qu’elle était consentante… et qu’il ne fallait pas que je la lâche ! Instinct animal, sans aucun doute, qui me faisait minimiser les difficultés (dont la moindre n’était pas la présence de ses parents… son père n’avait déjà pas apprécié notre attitude pendant le repas, et je ne le voyais pas laisser partir sa fille, en voiture qui plus est, avec un mec tel que moi ces soir-là - et qui lui donnerait tort ?) ; j’étais comme mon sexe, tendu vers un seul objectif, et prêt à le réaliser à tout prix… enfin presque, quand elle se refusa à moi après que je l’eux couché dans la mousse (euh, en fait il y avait des ronces aussi) je sus me tenir ! Peut-être fut-ce sa promesse de se débrouiller pour venir chez moi (encore un miracle, l’absence de mes parents) qui me fit éviter le pire. Je ne crois pas que je l’aurais violé, j’en suis sûr même mais il y a tant de choses que je n’aurais jamais pensé faire et que j’ai fait ces soir-là… comme conduire ma voiture une dizaine de kilomètres dans un état alcoolique avancé, qui plus est avec une passagère, ce dont encore aujourd’hui j’ai honte.
Enfin bref, ce qui est fait est fait… elle avait réussi et nous nous sommes éclipsés… directions chez moi. Même si nous nous roulons des pelles langoureuses à chaque feu rouge (que je respecte scrupuleusement), de mon côté la gêne remonte. Heureusement, si j’allais vers l’inconnu Caroline était plus sereine et son attitude me détendait un peu. Arrivé chez moi, je n’osais cependant pas me jeter sur elle, regrettant un peu ma bestialité ! je me demande même si, si elle n’avait pas pris les choses en main, je ne serai pas encore puceau à l’heure qu’il est !
C’est donc elle qui m’invite à lui montrer ma chambre ; elle se couche sur mon lit, je viens près d’elle, l’embrasse, la déshabille. C’est la première fois que je tiens une femme entièrement nue entre mes bras : alors que je ne croyais aimer que les maigres, je découvre les joies des rondeurs. Oui, elle a vraiment de grosses fesses, mais quel plaisir de les malaxer ; enfouir ma tête pour le première fois entre ses jolis seins biens ronds, sucer ses tétons. Elle aussi me déshabille et pour la première fois je me retrouve nu devant une femme autre que ma mère ou ma sœur, sauf que celles-ci ne m’ont pas vu depuis bien des années. Moi si pudique, je n’aurais jamais cru pouvoir me mettre nue devant une inconnue rencontrée quelques heures auparavant ! Mon excitation est à son comble… mais ne se traduit pas au niveau de mon bas ventre où toute velléité d’érection s’est fait la malle ! Où est passée la belle gaule de tout à l’heure ? Trace, alcool ? Mon angoisse de louper une fois de plus une occasion de connaître enfin le plaisir à deux n’améliore certainement pas les choses… Caroline est adorable, alors que je m’énerve elle fait tout pour améliorer les choses, me prenant dans sa bouche sans grand résultat, faisant couler un bain que nous partageons… et finalement je peux enfin la pénétrer, après des préliminaires dont la longueur devrait figurer au livre des records ! Je ne sais pas pour vous, mais pour moi ce fut hésitant : l’ouverture n’est pas si facile à trouver, surtout mort de trouille comme je l’étais ; sans que je lui dise, Caroline a bien compris qu’avec ses 5 ans de moins sa maturité sexuelle est plus aboutie que la mienne ! Mais nous y sommes enfin et c’est le bonheur pour moi, pour elle je ne crois pas que ce fut inoubliable. Nous avons fait l’amour 3 fois cette nuit-là… 25 ans d’abstinence, il fallait bien que je rattrape ça.
Nous n’aurions jamais du nous revoir, c’est le genre d’histoire glauque ou chacun en général est heureux de ne pas revoir l’autre un peu honteux de son comportement… Mais Caroline m’a rappelé… et j’ai accepté qu’on se revoie. De mon côté, l’envie bien sûr de goûter à nouveau aux joies du sexe… pour elle je ne sais pas, peut-être la même chose ?
Notre seconde rencontre fut tout sauf romantique : j’étais là pour baiser (tellement excité que j’avais dû me branler dans les toilettes du train avant l’arrivée à V.) et elle ne disait pas non. À son tour elle m’a conduit chez elle, mais je n’ai pas pu attendre : j’ai commencé à la caresser dans la voiture et une fois arrêtée devant chez elle m’a pris dans sa bouche jusqu’à ce que j’éjacule sans pouvoir me retenir. Le reste de la nuit et du week-end ont été torrides, nous n’avons pas arrêté de faire l’amour. Bien décidé à expérimenter, je lui ai léché la chatte et a ma grande fierté et réussi à la faire crier. Plus tard, dans un cinéma, nous nous sommes conduits comme des singes en rut : ma main dans sa culotte, la mienne dans mon boxer nous essayions de nous faire jouir mutuellement !
Et nous sommes restés ensemble depuis ce temps là, la sexualité forcenée des débuts a laissé la place à la tendresse et à l’amour, ce qui ne nous empêche pas de temps en temps de nous rejouer ces scènes sauvages !
Caroline aime particulièrement la levrette, alors que bizarrement j’ai attendu de longues semaines avant d’oser lui demander : j’avais peu de la choquer, et puis, sans doute, son gros cul que j’aime tant maintenant m’intimidait. Maintenant c’est comme ça qu’elle hurle le plus !
Mais nous essayions de varier les plaisirs, les positions, les lieux… Pour moi j’essaie que chaque fois que nous faisons l’amour ce soit différent, ne serait-ce que par un petit détail…
J’aime être tendre et la serrer fort, mes jambes sur ses jambes, en faisant de petits mouvements…
J’aime la pénétrer le plus profondément possible en profitant de sa souplesse pour replier complètement ses jambes sur ses jambes…
J’aime la pénétrer violemment en heurtant nos pubis l’un contre l’autre, en lui tenant les mains ou en la bâillonnant ou encore, parfois, en l’attachant…
J’aime quand elle me chevauche et que c’est elle qui décide ce qui est le mieux pour elle…
J’aime quand elle est en levrette et que mon bassin vient heurter ses fesses pendant que je la tiens aux hanches avant de m’écrouler sur elle, anéanti par le plaisir…
J’aime m’arrêter quand elle est au bord de la jouissance…
J’aime lécher son sexe et la sentir à ma merci ; j’aime la faire hurler en lui mettant un doigt dans le vagin que viens rejoindre un autre dans l’anus, voir parfois un glaçon…
J’aime quand elle me suce même si je ne la trouve pas experte en la matière.
Nous avons fait l’amour dans une voiture, dans l’entrée cochère de mon immeuble, dans la nature, face à la mer, dans l’escalier ; nous avons fait l’amour alors que d’autres dormaient à quelques mètres ; nous nous sommes faits surprendre en faisant l’amour (et ce n’est pas drôle) ! Je lui ai léché le minou sur lequel j’avais auparavant renversé du champagne… nous avons fait l’amour devant la fenêtre ouverte… elle m’a sucé dans un jardin public désert.
Je l’ai sodomisé aussi et elle a rarement autant hurlé… je n’aurais jamais cru qu’elle accepterait en fait ce jour là où elle avait ses règles et où je n’en pouvais plus. Bizarrement je ne lui ai pas fait mal la première fois… mais après, lorsque nous avons recommencé une fois sur deux elle a eu mal alors je n’ose plus le faire car je ne supporte pas l’idée de lui faire mal ! C’est une pratique qui m’excite et me dégoûte à la fois, c’est un pur fantasme en fait…
J’ai trompé Caroline une fois. Je ne voulais pas connaître qu’une seule femme, je crois, et ça a failli tout casser. J’ai couché avec Sandra une fois et je n’en garde pas un souvenir transcendant… a l’exception de son talent de fellatrice que Caroline est loin d’égaler, cette expérience ne m’a rien apporté de vraiment intéressant ! Sandra m’excitait beaucoup, sans doute par sa différence (petit, maigre, très brune) : mais elle m’a permis de mieux apprécier Caroline et ses rondeurs généreuses que j’aime de plus en plus. Oh certes c’est moins joli à regarder à la plage qu’un joli petit cul, mais au lit quel bonheur d’avoir de quoi se remplir la main !
Voilà, c’était notre histoire ! Un peu soft peut-être pour Revebébé : pas de sexe géant, de voisine nymphomane, de fantasme échangiste. Un peu triste peut-être comme vie sexuelle pour ceux qui ne jurent que par la quantité !
Oh, je ne dis pas que je n’aurais pas aimé expérimenter plus… mais pour l’instant je sais que je peux me faire plaisir et faire plaisir quand je veux, qu’elle sait ce que j’aime et que je sais ce qu’elle aime. Je peux aller la voir dans son bureau et me retrouver dans 5 minutes en train de la pénétrer violemment sur la table… elle peut se glisser sous mon bureau pendant que j’écris et me prendre dans sa bouche… d’ailleurs elle le fait… je vais être obligé de vous laisser…
Vive l’amour à 2 !