n° 07183 | Fiche technique | 9030 caractères | 9030Temps de lecture estimé : 6 mn | 07/03/04 |
Résumé: Au cours d'une partie, j'essaie la fellation. | ||||
Critères: fh ff grp exhib intermast fellation ecriv_f | ||||
Auteur : Tiphaine (Femme de 18 ans) |
Sophie a terminé l’accueil des invités et s’est placée dans la lumière. D’un geste preste, elle dégrafe le seul bouton de sa robe qui tombe à ses pieds. Son corps superbe apparaît. La main de Caroline exerce, sur ma cuisse, une légère pression me montrant qu’elle aussi, ne reste pas indifférente à la beauté de la jeune femme. Sophie sourit et dit : « Je pense que cette tenue est plus adaptée.. Pour la première fois, un couple féminin nous a rejoint ce soir. Vous les avez probablement remarquées. Elles sont jeunes, elles s’aiment et d’après ce que m’a dit Caroline, leur seul but est de découvrir le plaisir. Elles ont frappé à la bonne porte. Venez, les amours ! ».
Je viens à peine de réaliser qu’il s’agit de nous que, déjà, Caroline m’entraîne sous les applaudissements. Mon Amie arbore un sourire serein, je m’efforce de ne pas faire mauvaise figure. Sophie reprend : « Comme je vous l’ai dit, les filles, vous n’êtes obligées de rien du tout et vous faîtes ce qui vous plaît » Caroline lâche ma main pour avancer d’un pas et retirer prestement sa robe. Je suis éberluée. Les mains aux hanches, elle annonce tranquillement : « Je suis prête ». (Applaudissements). Sentant que j’ai du mal à décoincer, Sophie s’approche de moi, à me toucher de la pointe de ses seins magnifiques. Elle caresse doucement mes cheveux puis approche son visage du mien. Elle pose ses lèvres sur ma bouche. Je regarde Caroline, son regard pétille d’un évident plaisir. Vaincue, j’ouvre les lèvres pour embrasser cette femme dont les mains parcourent mon corps, relèvent progressivement ma robe dont elles me débarrassent sans mal. La douceur des gestes de la jeune femme a le pouvoir de me faire abandonner toute notion de pudeur. Mon cœur bat très fort, mais c’est surtout d’excitation. Je suis presque nue devant cette jeune femme et une vingtaine de personnes qui me regardent et je me sens bien. Sophie a entrepris de caresser ma poitrine de ses lèvres pendant que Caroline, derrière moi, fait glisser mon slip. Sophie m’abandonne, s’agenouille devant mon Grand Amour, achève de la dévêtir niche son nez dans la toison alors que sa langue cherche à s’immiscer entre les lèvres. Des deux mains, elle écarte doucement les fesses offrant à tous les regards émerveillés un peu plus du corps de ma Caroline qui se prête ostensiblement à la caresse.
Sophie s’est écartée de nous, je pense que nous allons regagner nos places mais Caroline en a décidé autrement. Elle s’avance vers le public et tend la main à un homme d’une bonne trentaine d’années que notre prestation a mis dans un état d’excitation évident. Revenue près de moi, elle se met à genoux et commence à couvrir le sexe de petits baisers. Mon cœur se remet à battre, nous entrons dans le vif du sujet. Je pense à m’enfuir. La main de Caroline remonte le long de ma jambe à la recherche de ma main qu’elle serre aussitôt. De l’autre, elle a saisi le membre dressé, alors que sa langue glisse le long de la colonne de chair. Ses lèvres s’arrondissent sur le bout du gland, elle serre ma main très fort, alors que le sexe s’enfonce inexorablement dans sa bouche, elle le laisse ressortir entre ses lèvres serrées pour l’engloutir à nouveau. Je suis fascinée par la beauté du spectacle et ne songe plus à fuir. Je devrais crier, tirer Caroline vers moi. Au contraire, je souhaite qu’elle continue sa caresse et je l’envie. Je me surprends à ouvrir la bouche à chaque pénétration alors que la main de Caroline me tire vers le bas. Je sens en moi une envie de la rejoindre mais je suis paralysée. Pourtant, je ne ressens aucun dégoût, le visage de Caroline exprime un évident plaisir. Elle tourne vers moi un regard suppliant et lorsque sa main me tire encore, je me laisse tomber à genoux. Je sais que j’ai atteint le point de non-retour alors que je perçois, dans la salle un murmure de satisfaction. Caroline continue encore sa caresse un moment, me lâche la main pour me prendre l’épaule, puis, elle dirige le sexe vers mon visage. Je la regarde, elle sourit en exerçant une douce pression sur mon épaule. Je résiste, elle n’insiste pas, me caresse les cheveux puis reprend sa pression plus doucement encore. Je me laisse aller jusqu’à ce que mes lèvres entrent en contact avec le gland. Je ne peux plus reculer, mes lèvres s’entrouvrent et ma langue vient l’effleurer. Le contact est agréable, je m’enhardis à lécher plus intensément. Une irrésistible envie monte en moi. Mes lèvres enserrent doucement le gland. Je jette un regard vers Caroline, elle est aux anges, elle lâche le membre que mes doigts viennent aussitôt saisir doucement. Je ressens une impression extraordinaire alors que la colonne coulisse entre mes lèvres pour peu à peu envahir ma bouche. Celle de Caroline, que je ne quitte pas des yeux, s’est ouverte. Elle vit pleinement cet instant. De la langue, je presse le membre contre mon palais, c’est fabuleux ! A regret, je laisse ressortir le sexe pour le caresser de ma langue qui tourbillonne autour du gland. Ma bouche est impatiente de recevoir encore cet objet de délice, que je fais pénétrer moins profondément afin que ma langue soit plus libre et puisse caresser intensément. Ma main exerce des mouvements de va-et-vient qui donnent vie, dans ma bouche , au gland qui, chaque fois, s’élance pour glisser sur mon palais ravi. Hier encore, j’aurais arboré une grimace de dégoût à l’évocation d’une telle caresse. À présent, je voudrais qu’elle ne s’arrête jamais. Je regarde Caroline, elle est en adoration. Je m’aperçois que les invités se sont levés pour former un cercle autour de nous, je ne ressens aucune gêne, aucune pudeur, bien au contraire. Je suis fière, je me sens bien. Une merveilleuse volupté envahit mon corps qui est parcouru de délicieux frissons. Ma Caroline m’a offert un merveilleux cadeau et elle est près de moi, heureuse.
Bien décidée à mener cette caresse à son terme, j’imprime des mouvements de va-et-vient dans le fourreau que je constitue le plus étroit possible. L’homme ne bouge pas, il me laisse décider de l’intensité de ma caresse. J’accélère mes mouvements, ouvre les jambes pour me caresser intensément. Caroline a de nouveau ouvert la bouche, elle sait que, dans un instant, se produira l’inévitable explosion. L’homme au-dessus de moi émet des gémissements qui s’amplifient pour se transformer en un râle alors qu’un jet puissant frappe mon palais. La sensation est indescriptible. Caroline grimace, peut-être de plaisir. À plusieurs reprises, d’autres jets viennent se répandre et je crispe ma main sur mon sexe que mes doigts fouillent fébrilement. Je me recule alors qu’une puissante onde de plaisir envahit mon corps. Je me tourne vers Caroline, j’ouvre la bouche comme pour lui faire admirer la récompense que je viens de recevoir. À ce moment, l’onde de plaisir explose dans mon corps et je hurle mon bonheur… De ma bouche ouverte s’échappe un peu de sperme, je jette la tête en arrière pour laisser délicieusement glisser dans ma gorge le fruit de la jouissance. (Applaudissements nourris).
L’homme n’a pas bougé. Devant mon visage, le pénis perd peu à peu de sa vigueur mais est encore dressé. Je remercie en l’embrassant et je l’absorbe un instant pour ressentir encore une exquise volupté. L’homme me remercie d’un sourire, je me laisse tomber en arrière pour m’allonger sur la moquette. Je m’aperçois que mes cuisses sont grandes ouvertes, offrant aux invités la vue de mon intimité. Je ne ferme pas les cuisses, mon impudeur me procure un plaisir indéfinissable. Caroline se jette sur moi pour m’embrasser et lécher le sperme échappé sur mon menton. Elle m’embrasse à nouveau puis me regarde avec ce regard intense qu’elle affiche souvent pour ma plus grande joie. Elle m’aime.
Du groupe qui n’a pas bougé s’élève une voix féminine : « Ne dites pas que c’est la première fois ». Caroline se redresse, regarde la femme pour répondre : « Eh si ! Pourtant », avant de se placer à genoux face aux invités : « Et si j’essayais de rivaliser ! ». Un homme se précipite.
Comme elle est belle, ma Caroline. Dans un instant, à son tour, elle recevra l’exquise éjaculation. Elle s’active de plus en plus, puis ralentit soudain et ferme les yeux. L’instant d’après, elle se dirige vers moi, à genoux et place son visage au-dessus du mien. Je comprends et ouvre la bouche au moment où la semence commence à s’échapper de ses lèvres. Je reçois ce surplus de plaisir que je roule un moment dans ma bouche pour mieux l’imprégner. Caroline sourit, heureuse alors que je laisse très lentement le liquide glisser dans ma gorge. (Applaudissements)