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n° 07187Fiche technique10599 caractères10599
Temps de lecture estimé : 7 mn
07/03/04
Résumé:  Le métro un jour de grève, deux hommes
Critères:  fhh inconnu train fsoumise odeurs fdanus fsodo ecriv_f
Auteur : Sylvie  (Femme brunette)      
Rame bondée


Dix sept heures trente, journée galère, grève des métros du RER, sauf quelques lignes. Et c’est jour là que je devais aller à Paris pour présenter ce logiciel, le rendez-vous avait été pris de longue date. Et déjà reculé de 2 fois. Il fallait que ça tombe aujourd’hui. Coup de chance « ils » état tous là et j’ai pu faire ma présentation qui finalement s’est bien déroulée.


Je me présente, je m’appelle Sylvie, j’ai 35 ans et je suis commerciale. J’ai les cheveux qui coulent sur les épaules, les yeux noisette. Je mesure 1m70 pour 63 kg. Ha oui je fais du 95 B. J’aime faire du sport et ma poitrine que vous, messieurs, trouvez en général attirante est parfois un handicape, c’est parfois un peu lourd.

Ce jour là je m’étais habillée avec un tailleur bleu foncé, jupe courte et veste. Il faisait chaud en ces journées de printemps.


Après le cours, dans une pièce climatisée, dehors, la cohue, le bruit, la pollution. J’hésite taxi ou métro. Je savais que « la « ligne que je devais prendre fonctionnait, comme le taxi bof…je descends dans la station…du monde, partout sur les quais, dans les escaliers, qui coure patiente s’énerve…Trois rames passent avant que je puisse, emportée par le mouvement de foule entrer dans le wagon. Je suis pressée contre un homme ( entre 30/40 ans) et…une autre personne qui me colle.


La rame s’ébroue, lourdement. Cahots…mouvement des corps aux virages, tantôt je suis pressée, tantôt on me presse. Chaleur…je prends conscience que « j’ai » quelque chose entre les fesses…enfin une chose qui se presse entre mes deux fesses. Je le sens d’autant mieux que ma jupe est légère. J’essaie de ne pas y penser…Cependant les pressions que je subis sont plus régulières que le ballottement de la rame. Mon vis à vis me regarde bizarrement. Les pressions que subis mon bassin se répercutent à mon voisin.



Je sue…Arrêt. Mouvement de foule, j’essaie de me dégager, c’est pire. J’ai écarté les jambes pour avoir un peu plus d’équilibre. Je suis plus offerte. La situation devient de gênante à bizarre. Une nouvelle fois les cahots et les pressions, plus fortes, de celui que j’ai dans le dos qui me colle de plus en plus.

Comble de la bizarrerie, je ressens une grosseur qui s’appuie sur mon pubis. Mon vis à vis ( qui ressemble un peu a Johnny Deep)



Je ne sais plus où me mettre.



Je regarde ailleurs. Je me sens entourée d’excités. Et toujours derrière ces pressions qui se répercutent



Cela m’est venu comme ça, spontanément. Je me sens devenir rouge de la tête aux pieds. Johnny Deep me regarde avec un sourire perfide. Je bafouille



……



Il me regarde fixement.



J’ai de plus en plus chaud…l’excitation me gagne…Je profite d’un mouvement de foule pour glisser ma main et la poser sur la protubérance….



Je suis dans un état second…la tram bouge…je suis maintenant bien excitée…le regard de Johnny Deep est intense….J’ai de l’espace, j’en profite pour écarter mes jambes…je sens que « derrière moi » une main se faufile sous ma jupe….Je sens des doigts qui me palpent…..Se glissent sous mon string…..je ferme les yeux et commence à…branler



Mon partenaire s’écarte un peu, j’entends une voix qui râle « mais arrêtez de pousser merde »



Tu parles….Je sens sa main proche de la mienne…et quelque chose de plus, chaude…dure…douce. Il a sortit sa queue…



Je suis autant disposée à la faire que je sens des doigts s’infiltrer sous l’élastique de mon string….une voix derrière qui me susurre



Je ferme les yeux…en sentant les doigts me caresser la vulve, gonflée….Un doigt, puis deux y glissent….Une pression sur mon petit trou….Mes jambes tremblent…..Deux hommes…le métro….une grève…..la chaleur…..Le sang me bat aux tempes….je branle de plus en plus fort



Derrière moi « t’es vraiment une salope, tu branles ce type ». La rame s’arrête…nous sommes collés, mouvement de foule, « mais laissez nous passer » . Nous sommes coincés contre le coin du wagon. Serrés. Nous ne bougeons plus…je sens dans la paume de la main, battre le sang qui alimente la verge.


La rame repart, les caresses aussi. Je me mords la lèvre, l’inconnu derrière moi à investit mon petit trou…avec un doigt. Je suis prise par-devant et derrière….C’est trop top. Mon inconnu me détend l’anus….Virage…..Johnny Deep me dit



Je le vois sourire



Il se penche alors au-dessus de mon épaule…dit quelque chose que j’ai du mal à entendre…je perçois « …encule…salope… ». Mouvement dans mon dos….doigts qui se retirent…..puis…quelque chose de plus gros…qui se presse sur mon petit trou…..Je suis affolée



Pour toute réponse Johnny m’embrasse, je serre toujours sa queue en main….je sens qu’une pression se fait plus forte sur mon petit trou…je gémis….ça pousse….encore…hummmmm…le gland, perce mon anus….nouvelle arrêt…..Re mouvement de foule….Nous restons soudés. Nouveau départ…balancement….Johnny cesse de m’embrasser…me regarde.



Je me serre contre le lui, ( façon de dire) Je sens l’autre queue m’investir…lentement profondément. Ma main serre de plus en plus la verge.



Cette sensation d’être prise par derrière…je la connais, mais jamais cela n’a été aussi fort, aussi doux, aussi violent….Lorsque je sens sa queue complètement enfoncée en moi….je ne bouge plus….l’instant est magique, suspendu. Je ne sais plus où je suis…puis, lentement avec de la douceur…de l’amour même les va-et-vient commencent. Je ne me rappelle pas avoir été sodomisée comme ça…Je pratique de temps en temps, mais comme ça…le lieu…la situation….c’est profond. J’embrasse « Johnny « avec passion rage" ….Tout en le branlant…..Une secousse plus forte et je sens la jouissance de cette queue qui m’encule….C’est trop rapide….Je branle plus fort Johnny, plus vite….Lui aussi s’épanche dans ma main….Je veux en profiter aussi….Je monte très haut…..Arrêt de la tram…..Nous ne bougeons pas….Je sens la queue « dégonfler » puis… sortir dans un ’ploc » de mon cul….j’ai la main poisseuse….Johnny garde les yeux fermées. Mon désir reste intact….je le branle encore



Mon « enculeur » je suppose que c’est lui. Me glisse un papier dans la poche de ma veste….Le train repart…nous ne bougeons toujours pas…l’odeur de foutre se mêle à nos sueurs….Je me sens frustrée, j’ai envie de me caresser de me laver….Nouvel arrêt….Grand mouvement….je me sens décollée de dos. De nouveau mon dos est appuyé par…un autre dos…si j’en juge d’après les rondeurs.



Je me sens sale…



Il me donne une carte.



Johnny bouscule encore pour se rhabiller…



Nouvelle arrêt…il se sauve…je le perds dans la foule…Je suis coincée contre la parois…avec un kleenex je m’essuie la main….j’ai les jambes en coton. Mon rythme cardiaque ralentit, j’ai toujours aussi chaud….Je ne sais plus à quelle station je dois descendre….Je me faufile un chemin , difficilement, prés de la porte….Arrêt. Je suis poussée dehors…je me retrouve transportée par la foule. Gare du Nord. Je sors. Quel monde !. Je rentre dans un café, faire une petite toilette. Dans la glace je me regarde et j’ai du mal à réaliser ce qui s’est passé. Pour tout , souvenir, j’ai deux numéros de téléphone…j’hésite, les jeter , les garder. Je les glisse dans mon agenda. Je verrai bien. Je me recoiffe, j’ai envie d’une douche…



à suivre