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08/03/04
Résumé:  Je pars en stop, mon conducteur embarque aussi 4 filles, on fait escale...
Critères:  fh hh ffh grp fbi hbi jeunes autostop intermast fellation cunnilingu pénétratio fsodo hsodo attache
Auteur : Istvan  (Je suis un vieux rêveur qui revisite ses souvenirs)      
Je me suis fait prendre en stop


Je me suis fait prendre en stop


Mon bagage était mince, mais mon portefeuille aussi, et c’est pourquoi j’ai dû me résoudre à faire ce grand trajet en stop.


Bon, je disposais tout de même de quelques jours, j’étais jeune, c’était encore l’été et il faisait beau. Je me suis donc pointé au bord de la nationale et j’ai levé le pouce. Je m’étais fait une raison, fallait pas espérer se faire embarquer en Mercedes ou en Rolls du premier coup, et en fait c’est une petite Austin qui s’est arrêtée, après un temps d’attente somme toute bien raisonnable.


Le conducteur se dit appeler Michel. Il devait avoir à peu près mon âge, et il rentrait chez ses parents après avoir décroché un bon contrat pour l’entreprise familiale. Il était de bonne humeur, chantait en conduisant d’une main tandis que de l’autre il rythmait sa chanson en tapant sur le toit de sa petite voiture, et quelques kilomètres plus loin, en voyant des auto-stoppeuses au bord de la route, il a pilé sur les freins.


Elles étaient quatre.



Je dois préciser ici que je parle d’une époque où la ceinture de sécurité n’était pas encore obligatoire. C’était le bon temps vers la fin des années 60 où on s’inquiétait peu des MST, le SIDA était inconnu, et les filles prenaient déjà la pilule.


Trois des filles grimpent donc à l’arrière, et je me retrouve à la place du mort avec une frêle petite blonde sur les genoux. Sa jupe était courte et son chemisier fin. J’avais mon bras gauche autour de sa taille, la main droite sur ses genoux, et une bosse dans mon slibard. Les présentations se font: Michel donc au volant, moi, Toinette sur mes genoux, et à l’arrière, Julie, brune et rigolarde, Nicole brune aussi mais taciturne, Mado une grande bringue rousse. C’est elle qui veillait à ce qu’aucune ne reste seule.


Elles étaient quatre copines, et elles étaient parties pour ainsi dire sur un coup de tête, avec quelques sous et une culotte de rechange, pour voir si elles ne pourraient pas se faire embaucher dans un parc d’attractions qui venaient d’ouvrir. Si ça marchait, elles verraient sur place pour se loger et se refringuer, de toute façon la boîte devait fournir une tenue. Et si ça ne marchait pas, elles referaient du stop en sens inverse, quittes pour la balade. Dans ces temps-là, on s’en faisait bien moins, vous dis-je !


L’Austin était une petite voiture nerveuse, mais chargée à six, elle peinait, et notre moyenne n’était pas fameuse. Mais les filles n’étaient pas pressées, et moi non plus, d’autant moins que Toinette se serrait contre moi et que ma main droite remontait doucement, jusqu’à pouvoir constater que vu son absence de bagages, elle avait décidé de trancher le problème du linge de rechange. Elle ne portait pas de culotte, tout simplement. Mon pouce jouait dans ses poils tout fins, et de mon index je faisais pression sur ses petites lèvres. Toinette écartait les cuisses et laissait aller sa tête sur mon épaule.


Vers la fin de l’après-midi, voyant qu’on n’avait pas d’espoir d’arriver avant la nuit, Michel nous a proposé de faire un crochet pour se ravitailler et de faire escale pour la nuit dans la maison de campagne d’un de ses oncles. L’oncle en question devait être encore à sa résidence principale, mais Michel savait où il planquait la clef de cette baraque. On partirait reposés de bon matin et on arriverait en forme.


Voilà ce qui fut décidé. Dans un hypermarché, espèce qui déjà à l’époque se répandait, nous avons acheté pain, fromage, tomates, et quelques litrons. Pas mal de litrons en fait, la soirée allait être joyeusement arrosée.


Nous sommes remontés dans la petite bagnole dans un ordre légèrement différent. Mado se plaignant du peu de place à l’arrière pour ses grandes jambes, c’est elle qui a pris place devant avec Nicole sur ses genoux, et je me suis trouvé derrière entre Toinette et Julie. J’étais un peu déçu : devant, comme Toinette tournait le dos au conducteur, je pouvais la doigter tranquille. Derrière, ça risquait d’être un peu voyant. J’ai quand même passé mon bras autour de ses épaules et elle s’est blottie contre moi, une menotte dans mon dos, et l’autre qui traînait négligemment au niveau de ma braguette. En sortant du parking, Michel a pris le tournant un peu brusquement, et Julie a basculé contre moi. Avec un petit rire, elle s’est mise à profiter de la situation. Logeant sa tête sur mon épaule, elle a avancé sa main près de celle de Toinette, et elle a commencé à tripoter les boutons de mon jean. Les deux filles ont alors entamé une partie de main chaude au-dessus de ma braguette, et quand nous sommes arrivés quelques minutes plus tard, j’avais le pantalon déformé par une sacrée trique et les deux filles avaient attrapé le fou rire.


Nicole a bien entendu remarqué ces jeux de mains, qu’elle a commentés pour Mado et Michel, et c’est dans l’hilarité générale et les bras chargés de provisions que nous avons débarqué de la bagnole. La baraque de l’oncle de Michel se composait d’une seule grande pièce. À un bout, un coin cuisine et un bac à douche avec leur chauffe-eau, une grande table rustique entourée de quatre chaises de paille ; au milieu, un tapis couvrait les tomettes devant un sofa défoncé, et dans le coin opposé, un grand lit couvert d’un patchwork. Pour les cabinets, nous a dit Michel, c’était la cabane en planches derrière la maison, ou bien un peu n’importe où dans les bois autour.


Nous avons déposé nos provisions et nous sommes installés autour de la table pour pique-niquer (« Avant de niquer tout court » me suis-je dit tout bas). Vu le nombre insuffisant de chaises, Toinette s’est installée de nouveau sur mes genoux, sagement, en amazone. Mado, Michel, et Nicole ont pris les trois autres, et Julie s’est perchée sur le bord de la table, un peu tournée vers moi, la jambe gauche étendue, la cuisse droite reposant sur la table, le pied pendant dans le vide. La pose faisait remonter sa petite jupe, ce qui était manifestement son intention. Elle mangeait goulûment et ses yeux plantés dans les miens étaient gourmands aussi. Sa première faim calmée, Toinette s’est tournée et à califourchon sur mes cuisses, elle m’a embrassé. J’ai posé mes mains sur ses genoux et doucement je les ai fait glisser sur ses cuisses, remontant sa jupe jusqu’aux hanches. Notre baiser se prolongeait, mélangeant notre salive et nos miettes. Je tenais Toinette par les hanches et avec les deux pouces je tirais doucement les coins de son triangle de poils; le mouvement devait taquiner son clitoris et elle a frissonné en se plaquant contre moi. Puis elle s’est écartée pour s’activer sur ma ceinture et la fermeture de mon jean. J’ai empoigné ses fesses et j’ai soulevé les miennes de la chaise avec l’espoir de faire tomber mon fut et le slip. Bonne fille, Julie est venue m’aider : elle a brusquement déplacé la chaise avant d’attraper mes vêtements à deux mains pour les descendre sur mes chevilles. Je me suis retrouvé penaud, les pieds entravés et une fille sur les bras ; Toinette n’était pas bien lourde, mais j’étais encombré, ne sachant pas très bien comment faire avancer la situation et craignant de tomber. C’est encore Julie qui nous a tirés d’affaire. Elle s’est saisie de ma bitte pour la guider vers le con de sa copine. De son autre main elle a ouvert le vagin et j’ai senti ma bitte glisser entre ses doigts puis entre les nymphes de Toinette.


Je me trouvais donc debout, les genoux fléchis, les bras de Toinette noués autour de mon cou, sa tête contre ma poitrine et ses talons sur mes reins ; je tenais ses fesses dans mes mains et j’avais ma bitte au fond de son ventre. Toujours aussi serviable, Julie nous étayait pour que nous ne perdions pas l’équilibre. Elle a saisi mes bourses : augmentant la pression, elle a susurré, espiègle,



Bien calé par Julie et même aidé un peu par son avant-bras qui écartait et poussait mes fesses, je travaillais des genoux et des cuisses pour faire coulisser mon sexe dans le con de Toinette. Elle y mettait du sien, tirant des mains, poussant des pieds, et nos mouvements étaient rythmés par ses halètements et par le léger clapotis de sa cyprine qui coulait avec abondance. Julie participait de son mieux à nos ébats. Lâchant de temps en temps mes couilles, elle étalait la cyprine qui coulait, venait fouiller entre mes fesses de la main droite tandis que la gauche tantôt caressait le clitoris de Toinette, tantôt passait derrière pour lui pénétrer l’anus. Par moments, nous nous trouvions tous les deux sodomisés par les doigts de Julie. Cela me faisait pousser plus loin dans le con qui me serrait convulsivement au rythme de mes coups. Toinette haletait de plus en plus fort, ses fesses et son con se contractaient de plus en plus vite. La tête renverser, elle a commencé à crier, puis elle m’a serré à m’étouffer. J’ai cru sentir contre ma verge le doigt de Julie dans le rectum de ma partenaire et j’ai joui à mon tour. Mes mains crispées sur les petites fesses dures, je cognais du bassin en giclant de longs jets brûlants.


Vidé, épuisé, j’ai senti que Toinette relâchait l’étreinte de ses jambes ; je l’ai posée en douceur et nous sommes restés enlacés tous les trois, Toinette et moi chancelants, flageolants, Julie toujours fraîche. Elle gardait encore mes bourses dans le creux de sa paume, et plaquée contre moi elle a léché la sueur qui coulait sur ma poitrine avant de tourner la tête vers sa copine : les deux filles se sont roulé une super-pelle. Malgré le coup que je venais de tirer, je trouvais la situation excitante. J’étais trempé de sueur, les seins de Toinette collaient à ma peau, j’avais la bitte poisseuse, et Julie jouait avec mes couilles. Mais mes réactions n’étaient tout de même pas assez rapides au goût de Julie.



Me voilà donc allongé sur le dos. Toinette et Julie se sont activées chacun sur un de mes mamelons, mordillant et suçant pendant que leurs mains s’unissaient autour de ma bitte.



Ce disant, elle s’est penchée sur mon bas-ventre. J’ai senti son souffle sur ma bitte encore luisante de la mouille de Toinette, puis elle l’a prise dans sa bouche. Au même moment, Toinette m’a pris les lèvres pour un long baiser. Le mimétisme a joué : j’ai commencé à faire avec ma langue dans la bouche de Toinette ce que ma bitte voulait faire dans la bouche de Julie. À l’époque j’étais jeune, et puis j’avais deux jeunes femmes qui s’occupaient activement et énergiquement de ma personne. Ça n’a pas été excessivement long. Avec un « voilà ! » D’autosatisfaction, Julie a sorti ma bitte de sa bouche pour se mettre à genoux au-dessus de moi et se l’enfourner par l’autre bout. Lentement, elle a commencé à monter et descendre sur mon sexe tendu, tout en se frottant le ventre des deux mains. Toinette a cessé de m’embrasser pour s’installer face à sa copine. Pendant que Julie se caressait le ventre, Toinette a tendu les mains vers sa poitrine. Elle a pris les seins de Julie, taquinant la pointe de son pouce. Puis les filles ont recommencé à s’embrasser. Au-dessus de ma figure, je voyais les fesses et la fente de Toinette, et malgré l’odeur un peu repoussante de sa cyprine mélangée avec mon foutre, j’ai saisi les fesses de mes deux mains et je me suis mis à lécher. Bientôt j’étais emporté ; c’était le même mimétisme que tout à l’heure, sauf que maintenant ma langue et ma bitte n’étaient plus dans la bouche de la fille, mais dans son vagin. Grâce aux bons offices de Julie, je n’avais pas eu trop de mal à rebander, mais j’avais quand même déjà joui, et cette deuxième fois, le plaisir s’est fait attendre. Ça n’a pas déplu aux filles : son premier orgasme atteint, Julie a continué à s’activer sur ma bitte, tout en embrassant sa copine, jusqu’à ce qu’elles jouissent encore ensemble. Avec un peu de retard, j’y suis allé moi-même de mon jet de foutre, la figure enfoncée entre les fesses de l’une, donnant de furieux coups de verge dans le con de l’autre, avant que nous roulions tous les trois sur le côté, ruisselants et épuisés.


Sur le sofa, assis en rang d’oignons, les trois autres nous regardaient. Michel entre Mado et Nicole, le pantalon et le slip baissés sur ses chevilles, la bitte reposant bien sagement sur ses couilles et les bras croisés. Mado et Nicole, vêtues encore correctement, avaient aussi les bras croisés, et tous les trois arboraient un air plutôt ennuyé.



Julie pouffe.



Je ne savais pas trop quelle contenance prendre. Et surtout, je ne savais pas à quel point on pouvait compter sur mes performances. Jusque là, mes coucheries faciles ne s’étaient pas souvent produites dans des circonstances où on avait les loisirs de remettre le couvert. Des folies d’un soir, des filles de rencontre, oui, mais jamais très longtemps une petite amie attitrée avec qui je pouvais passer la nuit tranquille.


Je me suis étiré, j’ai bâillé, et j’ai regardé Mado avec une moue dubitative. De fait, je me sentais un peu flagada. Mais Mado n’était pas fille à se décourager. Puisqu’avec Michel, ça ne marchait pas, elle allait se débrouiller autrement. Me regardant droit dans les yeux avec un sourire malicieux, elle a défait sa ceinture, et dans un mouvement sinueux, elle a soulevé les fesses et fait glisser jean et culotte, secouant un pied puis l’autre pour se débarrasser de ses tennis, puis elle a balancé son jean derrière elle. Puis, les genoux écartés et son sexe roux et poilu au bord du coussin, elle m’a lancé son défi.



C’était de l’ordre des choses possibles. À quatre pattes je me suis approché lentement, souriant à mon tour, amusé, émoustillé, par la lueur coquine de ses yeux verts. J’ai donné un petit coup de langue pour écarter les poils, puis j’ai insisté un peu sur le clitoris, avant de lécher un grand coup, remontant sur les grandes lèvres pour finir encore sur le clitoris. Mado a respiré fort, puis poussé un soupir bruyant. J’ai placé mes mains sur ses cuisses, et je me suis mis sérieusement au travail. Mado m’encourageait de la voix et de ses mains sur ma tête. Je me suis rendu compte qu’elle faisait des mouvements désordonnés pour quitter sa chemise, aidée par Nicole, et tout en continuant de la lécher, je me suis mis à lui caresser le corps, glissant mes mains partout, remontant pour lui prendre les seins, glissant sur ses côtes en descendant. Mado frissonnait et roucoulait de plaisir.


Faire minette, ça m’excite. C’est le contact d’un sexe à l’état cru. Maintenant que je suis vieux et que je ne bande plus aussi facilement qu’en ces temps lointains de ma folle jeunesse, c’est en léchant soigneusement la chatte de ma partenaire que je la fais patienter et que je m’amène à une grosseur et une raideur convenables. Là, la langue dans les poils et le nez plein de son odeur de rousse, je sentais grossir mon sexe. De plus en plus excitée, Mado remuait des fesses et grognait. J’en étais à embrasser son sexe baveux à pleine bouche, enfonçant ma langue dedans, à mordiller son clito. J’ai senti qu’une des filles posait un bras sur mes épaules : elle s’est mise à genoux à côté de moi, et une main curieuse a tâté ma verge. J’ai reconnu la voix de Julie.



Elle a plaqué un baiser sur ma joue, avant de s’élancer pour étreindre le buste de Mado et lui dire à l’oreille, mais pas trop bas,



Mado lui a attrapé la tête pour lui rouler une pelle fougueuse. Abandonnant la cramouille baveuse, j’ai pris les deux filles dans mes bras et nous avons fait un patin à trois, passant de la bouche à Mado à celle de Julie, puis me retrouvant avec deux langues fouillant ma bouche à moi. Mado m’a saisi la bitte, et m’a décerné un satisfecit en fourrant sa langue dans mon oreille avant de me susurrer « Viens, viens en moi ». Elle s’est tournée pour se coucher, la tête sur les coussins défoncés du sofa, les fesses remontées sur l’accoudoir et les jambes pendantes. Debout, la bitte à l’horizontale, j’ai attrapé ses cuisses et je me suis penché pour l’enfiler. Elle n’avait pas le con étroit, Mado, et grâce à mes efforts, elle était bien mouillée aussi. Je glissais doucement en elle, m’enfonçant jusqu’aux couilles pour ressortir lentement, savourant sur la couronne de mon gland la légère friction de son vagin et la fraîcheur du soir sur ma bitte humide. Je profitais aussi du plaisir visuel, de voir ses lèvres vaginales, rouges et gonflées, écartées par ma bitte, de voir apparaître sous le bouton de son clitoris le bord de mon gland, puis, en replongeant dans l’antre humide, de voir se mélanger nos poils noirs et roux.


A ce rythme-là, je pensais que je pouvais assurer longtemps, et je me promis d’attendre la montée de la passion chez Mado avant d’accélérer. De son côté, elle accueillait mes coups de bitte, soulevant son bassin à la même cadence. Assise par terre près d’elle, Julie lui caressait les seins, et de temps en temps les deux filles se roulaient un patin langoureux. Jusque là, Nicole était restée en dehors des ébats, la tentative infructueuse avec Michel ne pouvant pas être prise en compte. Là, debout derrière le sofa, elle paraissait se contenter de regarder. Ne voulant pas être en reste, Toinette s’était approchée. Pendant que Julie embrassait et caressait Mado par le haut et que moi je la besognais par le bas, Toinette s’est collée contre Nicole, un bras passé autour de ses épaules. Joue contre joue, les deux filles se sont approchées. Prenant la main de Nicole, Toinette l’a placée sur le ventre de Mado, puis l’a poussée, vers le bas, vers la toison rousse bien fournie. Timidement, Nicole a commencé a titiller le clitoris de la grande. Voyant qu’elle allait continuer, Toinette s’est penchée pour m’embrasser.


Dans ma tête, avec un reste de lucidité, j’analysais le tableau. Tout en embrassant une fille, j’en baisais une autre, qu’une troisième embrassait et une quatrième branlait. Les attouchements de Nicole augmentaient les sensations que j’éprouvais dans la con de Mado, et je ne pensais plus du tout à notre conducteur, parti se consoler avec une bouteille. À tel point que quand j’ai senti une main qui s’insinuait entre mes fesses, j’ai d’abord pensé que c’était Toinette qui me taquinait. Une joue râpeuse sur mon épaule m’a détrompé. La main se faisait plus insistante, et une autre main faisait pression sur ma nuque, m’obligeant à me pencher plus en avant.



La voix de Michel était rauque. J’ai senti quelque chose de froid entre mes fesses, Michel s’est mis me lubrifier l’anus avec le gel, frottant tout autour, appuyant, rentrant un doigt, le retirant, remettant du produit, enfonçant le doigt plus loin, le tournant, écartant, élargissant l’ouverture.


J’avais eu des curiosités, mais à part lorgner sournoisement le sexe des autres garçons aux vestiaires du lycée ou, plus discrètement, dans les toilettes publiques, je n’avais jamais envisagé un rapport homosexuel. Là, je ne voyais pas comment refuser. J’avais baisé deux filles, j’étais en train de m’en payer une troisième que je ne voulais pas laisser en plan. Ma fierté m’empêchait de protester. Et puis, sous l’effet de ce doigt dans mon cul, je donnais des coups de bitte plus forts. Une doigt, puis un deuxième, puis j’ai senti autre chose contre mon trou. C’était doux mais ferme. Michel a posé soigneusement son gland contre mon anus, puis il a écarté mes fesses de ses deux mains, et il a poussé. J’ai dû rester sans bouger, le buste penché en avant, les fesses écartées. Je me suis rendu compte que les autres regardaient. Tous, on restait figé. Lentement, doucement, la verge de Michel est rentrée dans mon cul. Il n’avait pas pleuré le gel lubrifiant, et comme il m’avait préparé, je n’ai pas eu mal. Un soupir contre mon oreille, le contact de son ventre, m’ont averti qu’il avait réussi à glisser toute la longueur en moi. Puis, ensemble, nous avons commencé à bouger. Doucement encore, comme avant. Toinette me couvrait la figure de petits baisers, Mado me regardait, les yeux grands ouverts. Julie lui pétrissait les seins et l’embrassait longuement dans le cou. Les doigts de Nicole allaient et venaient dans la toison rousse. Je commençais à sentir le gland de Michel buter contre ma prostate, poussant ma bitte à moi dans le ventre de Mado, et j’avais l’impression étrange d’être traversé, comme si avec une bitte d’une longueur inhabituelle, Michel me transperçait pour baiser Mado. Il me parlait.



Michel me tenait les hanches, c’était maintenant lui qui imposait le rythme. Petit à petit, on accélérait, les coups étaient plus forts, je tapais plus loin dans le ventre de Mado. Dans mon dos, Michel soufflait plus fort. Le vieux sofa couinait, puis, tout à coup, Michel a poussé un cri. J’ai senti que j’avais le cul plein de liquide, que ça coulait, pompé par les coups de boutoir de mon enculeur. Je donnais des coups rageurs en Mado, tirant ses cuisses. Au même moment, j’ai senti que Nicole lui pinçait le clitoris. Elle s’est raidie en un spasme tétanique, les fesses soulevées, le dos arc-bouté. Toinette a cherché ma bouche, me serrant dans ses bras, et j’ai éjaculé. Une puissante brûlure, une secousse qui a arraché de mes testicules les dernières gouttes de sperme.


Michel s’est dégagé doucement, me quittant avec un petit câlin sur la fesse et un baiser su l’épaule.



La bitte flasque et le cul poisseux, je me suis retiré de Mado. Je suis resté un moment à l’admirer, impudique et offerte, les fesses relevées, les cuisses écartées, une touffe de poils roux couronnant une fente humide, les lèvres rouges et gonflées, d’où coulait un tout petit filet de sperme. Elle subissait toujours les délicates attentions de Julie, mais elle a tourné la tête pour me sourire. Pris d’un soudain accès de tendresse, je me suis penché pour lui embrasser le clitoris, le titillant avec ma langue. Goût de cyprine et de sperme sur ma langue, du sperme et sans doute de la merde dégoulinant de mes fesses. Quelle soirée.


Bon prince, Michel, en maître de maison sachant recevoir, avait déniché dans un bahut une pile de serviettes. Elles sentaient un peu le renfermé, mais j’ai tout de même été sacrément content d’en attraper une et qu’il me lance, avec un sourire,



J’ai haussé les épaules.



Lavé et frotté, j’ai pris un ticheurte propre dans mon sac, et je me suis couché sur le tapis, enroulé dans une vieille couverture mitée. Michel a fait de même, Toinette et Julie ont pris le lit défoncé, Mado s’est installée de nouveau sur le sofa. Nicole a éteint les lumières, et puis elle m’a encore étonné en venant se mettre à côté de moi.



Nous nous sommes tassés sous nos deux couvertures. Nicole s’est pelotonnée contre moi comme une petite chatte, et nouvelle surprise, elle a glissé sa menotte entre mes jambes pour la fermer autour de mes couilles.


Avec un petit rire, elle m’a embrassé sous le menton. Puis, la tête dans le creux de mon épaule, elle s’est mise à me parler tout bas. Michel ronflait assez fort, Mado de même, mais avec plus de discrétion ; du côté des deux autres, c’était calme.



Je la laisse chuchoter, j’écoute à peine, ça me berce, et je sombre doucement dans le sommeil, en pensant que c’est une drôle de journée que je viens de passer. J’ai baisé deux copines passablement gouines sur les bords, j’en ai enfilé une autre tout en me faisant enculer, et là je m’endors les couilles nichées dans la paume d’une pucelle.


Je me suis réveillé à la pointe du jour, avec une forte érection et une furieuse envie de pisser. Nicole n’avait pas bougé, mais l’étreinte de sa menotte s’était relâchée, et je me suis tiré de dessous les couvertures sans la réveiller. La queue se balançant devant moi à l’horizontale, je suis sorti de la baraque. Dehors, la journée s’annonçait belle, l’air était doux et le ciel était blanc. Pas de slip, en pleine nature, pas besoin de me la tenir. Tout en me frottant les yeux et me grattant la tête, j’ai lâché mon jet. L’urine jaillissait par saccades à mesure que ma verge débandait ; à la fin, je mouillais l’herbe à quelques centimètres seulement devant mes pieds. J’ai bâillé fort, et au moment où j’allais secouer les dernières gouttes, une main étrangère est venue le faire pour moi.



La voix et la main de Michel. J’ai murmuré un vague bonjour, vachement gêné par la circonstance, et ne sachant pas comment m’en sortir. Après tout, j’avais accueilli la sienne de bitte dans mes fesses, je comptais sur lui pour me conduire à la capitale, et, ce qui mettait le comble à ma confusion, je commençais à rebander. Michel soutenait ma bitte sur ses quatre doigts, le pouce faisait doucement des allers-retours sur le dessus. Quand il me l’avait prise, elle devait faire seulement trois doigts de longueur, et là elle atteignait et même dépassait son index.



Il s’est retourné pour me présenter son cul. Après avoir tartiné le trou d’un gros paquet de gel, il a écartées les fesses de ses deux mains.


Je suis resté immobile, la queue ballant dans le vide. Michel a reculé vers moi. Tête baissée toujours, il a tâtonné derrière lui pour saisir ma bitte et la présenter à son anus.



Comme lui reculait, penché en avant et écartant les fesses pour s’ouvrir le plus possible, je n’ai pas eu à faire beaucoup d’effort, et j’ai vu mon gland élargir son trou et puis glisser dedans. Mon sexe n’est pas très long, mais il est relativement épais. Je n’avais encore jamais pratiqué la sodomie avec une fille, encore moins avec un garçon, et j’étais excité de me sentir si chaudement serré. J’ai pris Michel par les hanches et j’ai commencé à coulisser en lui. Pour commencer, je me tenais droit, le buste légèrement en arrière, regardant ma bitte qui fouillait, ressortait puis replongeait, mais bientôt j’ai eu envie de serrer mon partenaire de plus près, et je me suis penché sur lui, glissant mes mains vers son bas-ventre.



Je l’enculais de plus en plus férocement. Quand on baise une fille, quand on la caresse, on peut espérer savoir si ça lui fait de l’effet, mais on ne sait jamais exactement ce qu’elle ressent. Quelle est la nature, quelle est l’intensité du plaisir éprouvé par l’autre sexe, voilà le grand mystère. En baisant et en branlant Michel, j’avais l’impression de savoir exactement ce qu’il ressentait. J’avais été pénétré et pénétrant. J’étais celui qui la veille au soir s’était fait embrocher tout en fourrant une fille. J’étais Michel s’enfonçant entre mes fesses tandis que je labourais Mado. J’étais moi-même ce matin, et j’enculais un garçon. Pénétrant Michel je me confondais avec lui, et en astiquant sa bitte, plus longue et plus mince pourtant que la mienne, c’était comme si je me branlais moi-même.


J’ai fléchi les genoux pour changer l’angle de pénétration et nous avons pu nous redresser. J’ai su qu’il allait éjaculer, et quand j’ai joui dans son cul, c’était comme si mon éjaculation avait déclenché la sienne. Le sperme a jailli devant lui, des perles dans l’herbe mouillée.


De nouveau, Michel s’est penché en avant, et j’ai retiré mon sexe. À la porte de la baraque, Nicole nous regardait, le sourire aux lèvres.



Une demi-heure plus tard, nous étions tous en voiture, moi devant encore, avec cette fois Nicole sur les genoux. Quand, quelques heures plus tard, nous nous sommes quittés, nous nous sommes tous embrassés. Mais on ne s’est jamais revus.