n° 07204 | Fiche technique | 17717 caractères | 17717Temps de lecture estimé : 11 mn | 22/03/04 |
Résumé: Repas adultère... | ||||
Critères: fh hépilé fépilée fellation pénétratio fsodo hdanus | ||||
Auteur : Bichon_92 Envoi mini-message |
Ce midi, je déjeune chez Val, ma meilleure amie !
En effet, mon travail m’emmène près de chez elle et j’en profite donc pour aller la voir !
Val est une amie d’enfance. Déjà 15 ans que l’on se connaît : j’ai toujours eu envie d’elle, depuis le premier regard, mais bon je n’ai jamais cherché à la provoquer.
Elle est mariée, mal mariée, mais mariée quand même. Enfin, je dis ça mais j’adore Sylvain ; je suis sûrement jaloux ! Valérie, C’est un joli brin de fille ; 1m70, un visage rond, un corps de sportive et surtout de très jolies fesses. Pour ce qui est du caractère, c’est une crème !
Et moi, qui suis-je ? Laurent, 30 ans, brun, 1m75, 70 kg, plutôt sympa, physique agréable mais pas top modèle … ça se saurait ! Et surtout très bavard ! Je suis marié et jusqu’à aujourd’hui je ne croyais aimer que ma femme ! Enfin bon.
Voilà, elle m’ouvre la porte, toujours le sourire aux lèvres. On se fait la bise :
Sur ce, je la suis dans la cuisine et nous en profitons pour bavarder de tout et de rien.
Je ne manque pas une occasion pour la dévorer du regard.
Val est une fille simple, toujours habillée décontractée, assez BCBG, qui aime bien suivre les tendances.
Quand le tatouage était à la mode, elle s’est fait faire une petite rose sur son épaule droite ; Quand le piercing est apparu, elle s’en est fait faire un au nombril.
Aujourd’hui, elle porte un jean taille basse, avec un tee-shirt noir jusqu’au nombril…hum … Très sexy !
Surtout lorsqu’elle se baisse pour attraper une casserole dans le tiroir du bas, et hop mon œil ne manque pas l’apparition de sa culotte noire ! Dommage elle ne s’est pas penchée assez pour que j’en vois plus. Rien que d’avoir vu ce bout de tissu fait tourner mon imagination au point d’être rêveur. À ce moment-là, j’ai envie de l’entourer de mes bras et de la serrer très fort …
Et sur ce, nous continuons notre banale conversation sur nos vies respectives. Les minutes passent et nous déjeunons. Rien de bien excitant !
Enfin, je l’aide à débarrasser la table et la rejoins à la cuisine pour préparer le café.
Elle se baisse alors pour remplir le lave vaisselle et me donne encore la joie d’admirer sa magnifique paire de fesses et cette fois-ci le mouvement me permet de voir un string noir grâce à son jean taille basse !
Dans mon esprit macho, je me dis chiche ! De toute façon, elle va se dégonfler.
Et sur ce de lui répondre :
Je me lève et m’approche d’elle. Je défais les pressions de la braguette de mon pantalon.
Alors que je m’attends à ce qu’elle me dise qu’elle plaisante, elle fait un quart de tour pour me faire face, s’assoit sur la chaise…
Je baisse alors le haut de mon slip et lui montre à travers l’ouverture la peau lisse au-dessus de mon sexe.
Je m’exécute, essayant de paraître à l’aise. Je fais glisser mon pantalon jusqu’au sol, remonte ma chemise d’une main. Ma posture l’a fait sourire et elle s’approche de moi.
Mais elle ne m’écoute déjà plus et ma chemise se retrouve totalement ouverte. Je me retrouve en slip chaussettes, la chemise qui ne couvre plus rien, au milieu de la cuisine, avec une petite bosse apparente !
Joignant le geste à la parole, elle m’attrape le bras et me dirige dans la salle de bains. Je ne sais pourquoi mais je me laisse faire jusqu’à me retrouver face à la grande glace de la salle de bain. Val s’est mise derrière moi et attrape les élastiques sur les côtés du slip. De mon côté, je lui retiens les mains :
Je la vois quelques secondes plus tard, la tête par-dessus mon épaule qui regarde dans la glace en direction de mon sexe complètement glabre.
Je suis maintenant nu, derrière elle, et je lui souris à travers la glace. Son regard devient plus sérieux lorsque mes mains s’approchent du bas de son Tee-shirt et commence à le soulever. Elle se laisse faire mais ne dis plus mots. J’en profite pour me régaler du contact de nos deux peaux et du parfum que dégage son cou. Elle porte un petit soutien Gorge qui met parfaitement en valeur ces petits seins. Mes mains se dirigent alors sur le premier bouton du jean ; je défais les boutons au ralenti pour faire apparaître le haut d’une culotte noire.
Mes mains font glisser lentement le jean le long de ses jambes dévoilant ainsi Val en sous-vêtements. Elle est vraiment belle, je sais déjà que ce moment est irréversible et va bouleverser nos vies. Ses yeux me regardent ; sa tête est appuyée sur mon épaule, ses fesses sont collées à mon bas ventre. C’est elle qui baisse alors son string sur ces cuisses et m’offre la vision de ses chairs intimes dénuées de toute pilosité.
Je me baisse alors pour lui enlever complètement sa petite culotte et ma bouche frôle son corps le temps de ma descente. Je me retrouve les lèvres contre ses fesses, la bizoutant tendrement alors qu’elle m’offre un beau spectacle lorsqu’elle soulève sa jambe pour laisser passer sa culotte …
Je me relève tout contre elle, mon sexe raide se glissant alors entre ses deux jambes.
Je la regarde dans la glace et ses yeux se ferment à l’instant même ou mes mains se posent sur ces hanches.
Ma bouche se pose sur son épaule et mes mains vont immédiatement saisir sa poitrine ; sa peau est douce comme celle d’un bébé, ses tétons pointent et m’invitent à les titiller. Val ne reste pas inactive et je sens sa main qui se glisse entre nos deux corps pour m’enserrer le sexe. Je la laisse me branler et frotter mon sexe contre ses fesses. Petit à petit, Val commence à se détendre. Elle se retourne, ouvre les yeux, et sourie en approchant sa bouche de la mienne. Les premiers baisers sont tendres et délicats. Nos lèvres s’effleurent, et s’ouvrent pour laisser place à un baiser torride.
Elle ouvre la bouche et pose mon gland sur sa langue. Elle le frotte doucement puis le fait progressivement pénétrer entre ses lèvres. Au trois quart, je sens comme une aspiration qui me fait chavirer alors que son autre main continue de me caresser l’anus. Ses mouvements sont lents mais très appuyés, elle m’enserre complètement la base du pénis.
A ces mots, elle ressort mon sexe de sa bouche et vient m’embrasser à pleine bouche.
Je la suis alors, ne lâchant pas du regard ses fesses qui me donnent tant envie. Elle s’allonge sur le lit et je m’empresse de m’installer à côté d’elle. Elle se met sur le côté en s’appuyant sur son coude et recommence à me branler délicatement. Nous nous sourions ; elle baisse la tête pour me reprendre en bouche et s’applique à me sucer profondément. J’aimerais rester comme ça des heures avec la chaleur de sa bouche sur mon gland, mais après quelques minutes, je la pousse pour l’allonger à côté de moi. Ma main se pose sur son abricot tout lisse. Elle me facilite le passage en écartant ses jambes, ma laissant ainsi le champ libre pour caresser sa belle chatte. Elle est déjà très humide et mes doigts n’ont aucun mal à pénétrer son vagin. Je caresse ses lèvres, passe le long de la fente ; Je la pénètre d’un, puis deux, accélérant la cadence en la voyant se tortiller sur le lit.
Je me déplace et me poste devant elle, je lui remonte les jambes et commence à humer du bout du nez le parfum de sa chatte. Les effluves sont sucrées et ma langue ne résiste pas au plaisir de la goûter. J’alterne entre ma langue et mes doigts pour la fouiller profondément. Sa position me permet de voir son petit trou, tout rose. J’en profite pour le lécher et essayer d’y glisser un doigt. Je ne rencontre aucun refus de sa part. Elle est tellement humide que je peux aisément lubrifier son petit anneau et ainsi plonger deux doigts à l’intérieur.
Je suis comblé : ma langue goûte au fruit que je préfère et mes doigts caressent la partie la plus intime de Val. Quel bonheur ! Elle semble ravi de ce qui lui arrive aussi !
Mon sexe retrouve ainsi sa bouche et ses deux mains sont posées sur mes fesses.
Elle s’empresse de se mouiller un doigt dans sa bouche et me l’enfonce directement dans l’anus … je râle de plaisir. Elle fait de même avec le doigt de l’autre main et je me retrouve avec deux doigts planter dans mon fondement. C’est moi qui donne le rythme à cette fellation, alternant les va et viens lents et rapides …
Sentant la jouissance monter, je me retire de sa bouche pour me retenir.
Je m’empresse alors de l’embrasser furieusement. Nos corps s’enlacent, se pressent l’un contre l’autre et mon sexe trouve tout seul le chemin de sa grotte humide. Je me retrouve immédiatement ancré au plus profond d’elle, savourant cet instant tant attendu. Il n’y a pas de mots pour décrire le bonheur que je ressens à ce moment-là ; la joie de lui faire l’amour, la fierté d’enfin la posséder, tout se bouscule dans mon esprit. Mes allers-retours sont lents, je prends le temps de sentir sur mon sexe les parois de son vagin.
Petit à petit, le rythme s’accélère, son souffle est plus court, ses yeux se ferment, son sexe se contracte … Elle est sûrement en plein orgasme … Je dis bien sûrement … Qui peut dire ce qu’il passe dans son esprit à ce moment-là car, brusquement elle nous fait pivoter et se place sur moi. Elle se frotte horizontalement sur moi, s’écrasant complètement sur mon sexe. J’aime la sentir s’empaler sur moi.
Apres quelques minutes de ce traitement, je décide de reprendre les reines !
A ces mots, elle se lève et s’exécute comme un automate … elle est terriblement excitante dans cette position ; si je ne la connaissais pas, je dirais que c’est la plus belle salope du monde …
Mon sexe dressé dans une main, je m’approche de ses fesses et le fait glisser le long de sa raie jusqu’à son puits d’amour. La position est plus délicate que je ne le pensais et les mouvements sont moins amples mais l’excitation est là ! Mes mains alternent avec ses hanches, ses seins, son cou …
Je m’efforce alors d’accélérer le rythme et en profite pour lui glisser un doigt sur sa rosette… Son souffle et le mouvement de ses fesses, tout m’invite à la posséder davantage. Je sors d’elle et m’agenouille pour lui butiner les fesses … Sa rondelle est la devant mes yeux ; je la pénètre de ma langue, aucune résistance …Je la sens ouverte, coquine, prête à tout m’offrir. Mes doigts s’agitent délicatement dans son fondement.
Me relevant, j’approche mon gland de l’étroit conduit et le frotte contre sa raie. Comme pour m’autoriser l’intromission, elle passe sa main dans le dos et dirige elle-même mon sexe sur son anus. Je pousse légèrement et la, comme par magie, mon gland disparaît en elle … je continue à progresser doucement dans son fondement ; Val a la tête légèrement tourné vers moi et je vois sur son visage se crisper.
Je ne me fais pas prier et mon corps s’appuie de tout son poids pour la posséder. S’en suit une série d’allers-retours de plus en plus brutale ou chaque mouvement lui fait pousser des petits cris. Je ne peux plus me retenir et me répands en elle dans un dernier coup de rein.
A ces mots, elle se retourne et nous nous embrassons tendrement.
Sur ces mots, elle quitte la chambre et se dirige dans la salle de bain. J’ai du mal à reprendre mes esprits quand mon téléphone portable se met à sonner.
Merde, faut que je retourne au travail. J’en avais presque oublié cela !
Après avoir pris ma douche et m’être lové quelques minutes dans les bras de Val, je me décide à retourner au travail, promettant à Val de se revoir.
( La suite à venir )