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n° 07232Fiche technique24648 caractères24648
Temps de lecture estimé : 14 mn
04/04/04
Résumé:  Kim rencontre un photographe pour qui elle va poser. La projection des photos pimentera la soirée du trio...
Critères:  ffh asie voir photofilm intermast fellation fgode pénétratio sandwich fdanus
Auteur : Sam  (Homme 40 ans)      

Série : Trio à l'orientale

Chapitre 03 / 03
Trio à l'orientale: 3 - week-end

Résumé des épisodes précédents : Sam, la trentaine, donne des cours d’informatique aux adultes. Il a rencontré Ahn, une jolie thaïlandaise de 24 ans, qui vit comme lui à Paris. Ils sortent ensemble, se découvrent et s’aiment. Quelques semaines plus tard, Ahn part passer ses vacances d’été à Bangkok et revient après un mois, accompagnée de Kim, son amie. Dès son arrivée, Kim, d’une beauté exceptionnelle, est entreprenante avec Sam. Ils vont passer une journée de canicule d’un érotisme torride et finir la soirée en faisant l’amour à trois. Le lendemain, Ils passent une journée à la plage. Sam rencontre un vieil ami qu’il avait perdu de vue, Luc, accompagné de la pulpeuse Pat. Ils passeront ensemble une journée inoubliable sur une plage normande.



3 – Week-end.



Au cours de la semaine qui suivit ce week-end mémorable, le trio se sépara et chacun s’occupa à une activité qui lui incombait. Ahn reprit son travail. Kim entreprit de visiter Paris en suivant scrupuleusement les indications d’un guide touristique. Ainsi, elle se promenait de quartier en quartier au gré des pages du petit livre qui ne la quittait plus. Elle rentrait tard, chaque soir chez Ahn où elle habitait, exténuée, moite de transpiration, sale de la poussière qui s’accumulait sur chaque centimètre carré de sa peau. Chaque jour, elle suivait un rituel identique. Après s’être décrassée sous la douche, elle avalait rapidement un repas froid léger, préparée par son amie à qui elle racontait sa journée. Les endroits qu’elle avait visités, monuments et musées, les quartiers qu’elle avait arpentés et les gens qu’elle avait rencontrés. Elles allaient se coucher ensemble, s’embrassaient un peu, échangeaient parfois quelques caresses et s’endormaient rapidement, épuisées de leur journée respective. Moi aussi, j’avais repris mon travail. Il n’y avait plus d’élève mais je m’activais à préparer les cours de la rentrée et m’occupais à quelques tâches administratives. Les journées passaient rapidement et mon esprit occupé n’avait pas le loisir de vagabonder dans des pensées où Ahn serait le personnage principal. J’attendais avec une impatience grandissante la fin de la semaine. Je serai enfin en vacances et pourrai voir plus souvent ma dulcinée. J’avais bien tenté d’organiser une soirée mais Kim s’écroulait tous les soirs avant le coucher du soleil et Ahn était gênée à l’idée de la laisser seule pour sortir avec moi. Par conséquent, je passai les cinq journées de cette semaine seul, avec l’envie de plus en plus obsédante de serrer contre moi cette jeune fille.


C’est dire dans quel état d’esprit je me trouve ce vendredi en fin d’après-midi alors que nous avons convenu de nous retrouver tous les trois pour dîner dans un restaurant proche de La Bastille. Nous nous sommes donnés rendez-vous à la terrasse d’un café de la place où je suis installé depuis quelques minutes. Je lève régulièrement la tête de mon journal à la recherche de mes invitées dans la foule de promeneurs qui passent devant le café. Un article alarmant fait état de la saturation des services sanitaires des villes importantes. Les personnes âgées souffrent cruellement des conditions climatiques et les services d’urgence des hôpitaux ne parviennent pas à faire face. On craint une augmentation importante des décès si la canicule ne faiblit pas rapidement. Les prévisions météorologiques ne sont pas optimistes pour les jours à venir. La chaleur extrême, on annonce 36° à Paris, devrait persister encore quelques jours.


Enfin, je vois arriver Ahn qui me fait signe de la main. Je me lève et marche quelques pas à sa rencontre. Lorsque je quitte la terrasse ombragée pour me trouver sur le trottoir surchauffé, j’ai l’impression d’entrer tout habillé dans un sauna. Ahn est habillée d’une robe courte et légère, largement ouverte dans le dos et décolletée. Je la sers contre moi et l’embrasse tendrement.



Je la prends par la main et l’emmène à la table où je me trouvais. Elle s’assoit à côté de moi et pose sa tête sur mon épaule.



Nous restons silencieux un moment. L’un contre l’autre malgré la température de l’air excessive, nous savourons l’instant avec délice. Nos mains jointes transpirent abondamment et nous devons nous détacher de temps à autre pour les sécher. J’aimerais rester un long moment avec elle, sentir son corps près de moi, l’odeur de sa peau. Je me tourne vers elle et nous nous embrassons longuement jusqu’à ce qu’une voix connue nous interrompe.



Le jeune serveur s’est approché pour nous apporter nos boissons. Pendant qu’il place professionnellement un verre devant chaque personne, il lance des regards rapides dans le corsage d’Ahn en quête de l’image fugitive d’un sein. Ahn prévenue, se tient droite et il n’a aucune chance. Il observe alors Kim qui s’est tue le temps qu’il œuvre. Elle porte un caraco rose au décolleté en V qui laisse voir l’espace entre ses deux seins et un mini short écru. Elle se sait observée et se cambre. Ses seins sont mis en valeur. Les tétons pointent et tendent le tissu du fin vêtement. Le jeune homme manque de renverser la carafe, s’excuse et disparaît en rougissant.



Lentement, en prenant un air triomphal, Kim sort de son petit sac à main, un boîtier en plastique contenant un CD. Elle lève le bras pour placer à hauteur de nos yeux, le précieux disque.



Kim range prestement le précieux objet dans son sac à main et nous observe.



Kim insiste pour nous offrir un autre verre. Puis nous nous levons pour nous rendre dans le restaurant où j’ai réservé une table. Au cours du dîner, je ne tiens plus et je laisse vagabonder ma main sur la cuisse d’Ahn. Ma main remonte entre ses jambes, sous la robe. Elle écarte un peu les jambes pour me faciliter la caresse. Mes doigts approchent de son entrejambe, je sens la chaleur moite qui se dégage de cet endroit de son corps. L’index et le majeur réunis, je pousse mon exploration et touche sa culotte humide. Je sens à travers le fin tissu, ses lèvres qui se gonflent sous mes caresses. Kim s’est déchaussée et glisse son pied droit entre mes jambes. Ses orteils viennent appuyer sur ma queue en érection. La tension érotique est à son comble. Je suis à la limite du supportable et seule la raison qui me reste me contraint à rester sur ma chaise alors que des images de fesses, de chattes humides de plaisir et de baisers fougueux défilent devant mes yeux. Bien que le restaurant soit fort agréable et que le repas fût délicieux, nous quittons presque précipitamment l’endroit sans goûter aux desserts. Le besoin de se retrouver à trois dans les bras les uns des autres est désormais insoutenable.


Nous nous retrouvons chez moi. Après une douche éclair, chacun se trouve dans les meilleures dispositions pour continuer la soirée. J’ai chargé le CD dans l’ordinateur et lancé la lecture en diaporama. Un vidéo-projecteur peint les images en format géant sur un mur de la chambre. Les premières photographies sont des portraits dans les jardins du Luxembourg. Le photographe est doué car il a su utiliser le décor et mettre en valeur Kim en utilisant astucieusement la lumière et les jeux d’ombres. Le modèle est d’une beauté rare mais cela n’est pas la garantie de photos réussies si le photographe ne maîtrise pas la technique et ne dispose pas d’un sens artistique réel. Ces photos pleines de sensibilité sont propices à des caresses et des baisers romantiques. Nous sommes assis en cercle sur le lit et nous nous embrassons à tour de rôle. J’embrasse Kim qui embrasse Ahn qui m’embrasse à son tour. Pendant que deux d’entre nous s’embrassent, le troisième caresse le corps des deux autres. Les photos montrent Kim dans le studio maintenant. Elle se dévêt peu à peu sous l’œil de l’objectif. Les poses sont spontanées, toniques et de plus en plus provocantes sans jamais toucher au vulgaire. Nous nous embrassons le cou, le torse et les seins. Il y a des bruits de succion, des claquements de lèvres sur la peau, les corps qui évoluent sur les draps dans un bruissement. Les seins, les fesses ou le sexe de Kim occupe tout un pan de mur. Nous composons un triangle dont chaque segment formé d’un corps est relié par la bouche de l’un et le sexe de l’autre. Kim lèche la chatte d’Ahn qui me suce la bite pendant que j’ai la tête entre les jambes de Kim. Puis c’est Ahn qui prend la suite et Kim engouffre mon pénis dans sa large bouche. Je lape la chatte trempée de ma fiancée. Les respirations se font plus profondes. Des soupirs fusent. Nous voyons les photos projetées dans un brouillard tenu. Kim joue avec des godes qu’elle se plante dans la chatte ou dans l’anus. La dernière photo que je vois montre Kim avec un double gode planté dans ses deux orifices principaux, ceux actuellement explorés par la belle Ahn. Je sens ma sève monter d’un coup et j’explose dans la gorge de Kim qui hoquète. Elle sort ma queue de sa bouche en continuant à me branler et me vide les couilles. Je m’occupe pleinement de la chatte d’Ahn qui remue le bassin à la rencontre de mes coups de langues. Elle râle, elle gémit et dans un spasme qui lui enrobe tout le corps, elle jouit. Aussitôt après, Kim prend son pied sous les caresses expertes de son amie.


Nous nous reposons un long moment, l’ordinateur continue à projeter les photos en boucle. À nouveau, la série des godemichés revient sur l’écran. Ahn se caresse et se doigte le vagin. Kim se lève, sort de la chambre et revient un instant après avec deux godes dans les mains. Nous ne lui posons pas de question mais nous reconnaissons les ustensiles qu’elle a utilisés pendant la séance de photographies. Il y en a un petit, dont une extrémité est conique et l’autre extrémité comporte un dispositif vibrant. L’autre objet est la reproduction en latex moulé d’une énorme bite rose fluorescent. Kim lubrifie l’engin et l’anus de son amie à l’aide d’un gel approprié et passe la pointe du petit gode sur l’œillet hermétiquement fermé. Par des caresses appuyées, l’orifice détendu cède sous la pression régulière et l’engin pénètre le cul de ma chérie. Kim entreprend un mouvement de va-et-vient en pénétrant peu à peu le rectum. Kim prend ma main et la pose sur la chatte d’Ahn en me faisant signe de la doigter. Je m’exécute et la pénètre du majeur. Je joins l’index au majeur et force très lentement l’entrée qui se dilate sous les assauts de mes doigts. Le gode a disparu à moitié dans son fondement. Kim enclenche le petit moteur qui émet un bruit de rasoir électrique. Les vibrations sont transmises dans tous le bas du corps de la jeune femme qui soupire d’aise. Je ressens les vibrations au bout de mes doigts. Je joins maintenant l’annulaire et entre le troisième doigt avec plus de facilité. Son vagin ruissèle comme une fontaine. Elle se trémousse sous l’action conjuguée des caresses et des vibrations. Lorsque mes trois doigts vont et viennent avec aisance dans sa chatte largement ouverte, je me saisis du gode rose et pose la tête de celui-ci à l’entrée du vagin. Il est trop gros pour entrer et il faut encore la dilater par des caresses. Le bout du gland s’enfonce entre ses lèvres. Très progressivement, millimètre par millimètre, le gland la pénètre. Il disparaît suivi rapidement de quelques centimètres de bite. Ahn a les yeux révulsés, elle se passe la langue sur les lèvres à maintes reprises. Kim lui défonce le cul dans des mouvements amples du gode. Je m’occupe de la même façon de sa chatte qui, à ma stupéfaction, a englouti la moitié de l’énorme bite en plastique. Nos mouvements s’accélèrent, son corps réagit à l’excitation. Elle gémit bruyamment, elle se tortille comme un serpent blessé, sa respiration est un halètement continu. Dans un long cri animal, Ahn jouit une nouvelle fois. Un petit jet de sécrétions vaginales est expulsé en une éjaculation puissante. Nous retirons avec douceur les objets et couvrons le corps d’Ahn de petits baisers. Elle nous caresse les cheveux, reconnaissante.


Cet épisode m’a excité au plus haut point. Kim semble se trouver dans le même état. Je pose ma main sur sa chatte qui mouille de plus belle. Elle s’est certainement caressée pendant qu’elle s’occupait de son amie. Elle se couche sur le dos à côté de son amie et m’invite à m’allonger entre ses jambes. J’entre en elle et ondule du bassin en la pénétrant chaque fois un peu plus. Les deux filles s’embrassent pendant que je la chevauche. Mon sexe glisse en elle avec aisance. Elle est largement ouverte, pleinement lubrifiée. Ma queue masse son clitoris et son excitation monte progressivement. Ses longues jambes reposent sur mes épaules, mon ventre tape sa croupe et émet un claquement régulier. Mon pénis la pilonne et son sexe laisse échapper parfois un bruit mouillé de succion. Je sens la tension dans mon membre grandir. Elle lance des petits cris courts et aigus. Un orgasme prend naissance dans ses entrailles. J’accélère le mouvement en une cavalcade. Elle pousse un long cri perçant et je me vide une nouvelle fois en elle.


Epuisés, nous nous somme allongés côte à côte et endormis presque aussitôt. La nuit est douce et propice à un sommeil sans perturbation d’aucune sorte. Nous sommes apaisés.


<div class='cen'>*

***

*

</div>Durant les semaines qui suivirent, Ahn, Kim et moi nous nous vîmes régulièrement. Il y eut d’autres soirées, des moments tendres, romantiques, des instants plus chauds aussi durant lesquels seule notre imagination imposait une limite à nos jeux. Il s’installait entre nous une complicité dont la solidité se renforçait de jour en jour. Nous ne pouvions plus envisager notre relation qu’en trio. À plusieurs reprises, Kim nous avait proposé de nous retrouver à deux, Ahn et moi. Je ne pouvais le concevoir tant que Kim serait ici avec nous. Ahn, qui avait craint de voir son amie s’imposer en rivale, ne voulait en aucun cas laisser Kim de côté. Leur amitié s’était structurée autour d’une intimité renforcée. Ma présence contrebalançait l’amour qu’elles se portaient et qui aurait pu aboutir à ce que leur relation ne devienne que celle d’un banal couple de lesbiennes. Le triolisme avait trouvé avec nous ses lettres de noblesse. Un délicat équilibre avait été établi et rien ne semblait pouvoir le compromettre. Parfois, je songeais à l’avenir. Kim nous quitterait bientôt et nous nous retrouverions à deux, Ahn et moi. Notre passion mutuelle serait la seule garante de réussite durable.


Plus la date du départ de Kim approchait, plus j’appréhendais cette séparation. Je n’avais pas abordé le sujet avec Ahn. Je craignais, à cause de tout ce que nous avions vécu, que notre couple subisse un choc violent et ne s’en remette pas. Parfois, au cours de moment éphémère de déprime, je regrettais d’avoir cédé si facilement aux avances de Kim. Tout aurait été plus simple si nous avions gardé Kim en dehors de notre relation. Les filles ne montraient pas une telle inquiétude ou alors, comme moi, elles parvenaient à la cacher au plus profond de leur cœur. Pourtant, une certaine mélancolie s’installa en nous dans les jours qui précédèrent le départ de Kim. J’avais imaginé que notre relation connaîtrait une phase d’exacerbation avant d’atteindre son paroxysme, au moment de l’éclatement de notre triade. Au contraire, notre liaison s’étiola peu à peu pour atteindre un état dans lequel l’acte physique n’avait plus de place prépondérante. Le plaisir que nous prenions à faire l’amour à trois n’avait à aucun moment faibli. Notre imagination sans limite s’affranchissait d’une monotonie dans nos jeux érotiques. Malgré cela, la passion qui nous animait dans la recherche de la jouissance suprême, s’éteignit progressivement. Elle laissa la place à un profond et solide sentiment qui nous unissait en une trinité nouvelle. Un sentiment plus spirituel qui se démarquerait des distances qui nous sépareraient désormais.


La veille du départ de Kim, nous nous sommes retrouvés comme à notre habitude depuis un mois, dans ma chambre. Nous nous sommes déshabillés et nous nous sommes assis en tailleur sur le lit. Face à face, en se donnant la main, nous nous sommes observés en souriant un long moment. Nous formions une chaîne et nos corps ne formaient plus qu’un. Nos esprits s’étaient unis en une communion sacrée. La recherche de l’autre et la volonté de s’unir ont conduit le trio à l’unité.


Le lendemain, après le départ de Kim, après les effusions à l’aéroport, après le moment de désarroi dans lequel son absence soudaine nous a plongés, nous avons pris conscience que l’unité à laquelle nous étions parvenus avait eu raison du seul éloignement de notre amie. Ce soir-là, lorsque j’ai pris Ahn dans mes bras, lorsque nos corps se sont unis, Kim était présente. Nos caresses échangées avaient la douceur des mains de Kim, nos baisers avaient le goût de ses lèvres. J’ai fait l’amour avec Ahn avec toute la douceur et toute la tendresse dont j’étais capable. Elle a joui dans un souffle et puis elle s’est mise à pleurer. Je l’ai serré dans mes bras un long moment. Nous nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre et le lendemain matin, réveillés par un rayon de soleil, Ahn m’a regardé dans les yeux en silence. Je lui ai souri. Nous étions heureux et apaisés.



FIN.