n° 07233 | Fiche technique | 12275 caractères | 12275Temps de lecture estimé : 8 mn | 04/04/04 |
Résumé: Sauvé d'une noyade par une inconnue. | ||||
Critères: fhh plage grosseins grossexe fellation cunnilingu 69 fsodo facial | ||||
Auteur : Archi |
Gloup encore une tasse, je suis à 300 m du bord, c’est fini-je n’y arriverais pas. Adieu veaux, vaches, cochons, couvées, je sombre doucement, la lutte est finie, je m’enfonce dans les abîmes, je me laisse glisser, mes poumons me brûlent, plus d’air, j’aspire par réflexe, de l’air de l’air, non que de l’eau froide salée.
Tout à coup la tendance s’inverse, je remonte inexorablement, je suis à l’air libre, arrrrghhhh, je suffoque, m’époumone, crache éructe….
Cette voix ne vient pas d’outre tombe, mais est bien terrestre ou plutôt maritime, une voix magnifique féminine. Je ne vois rien, mes yeux me brûlent, je sens un corps me frôler j’accroche au passage un bout de tissu certainement un maillot de bain, et me voilà en remorque, je m’applique à garder la tête hors de l’eau. Ahhh Qu’est ce qui se passe, le tissu auquel je suis accroché cède sous la pression.
Toujours cette voix, lâcher tout non surtout pas je ne veux pas retourner au fond, je panique tire me débat, et je me retrouve à nouveau seul sans planche de secours, sinon un bout de tissu que je tiens à la main mais qui ne m’est plus d’aucun secours. Reprends-toi calme-toi, j’essaye de me raisonner de dominer ma panique, et soulagement je suis saisi par deux bras puissant qui m’enlacent, me retourne et me garde la tête hors de l’eau, et la divine sirène qui s’obstine à me sauver repart vers le bord me traînant par le cou en vrai pro du sauvetage, je me laisse faire.
Le sol enfin la terre ferme mon dieu que c’est bon, ma « Sauveteuse » m’empoigne sous les aisselles et m’entraîne sur le sable et je m’affale tête la première épuisée, j’en mangerais de ce sable béni j’ai bien failli cette fois ne plus le revoir.
Petit à petit je reprends conscience ma vue encore troublée revient à la normale, je me retourne, et aperçoit au-dessus de moi un visage rond, grassouillet, éclairé d’un sourire, qui me demande gentiment - Ca va mieux
Je lui sors cette banalité affligeante, mais c’est la vérité, alors je l’attrape par le cou et lui colle deux bons gros baisers sur les joues.
Je me redresse et me mets à genoux face à elle et l’observe pour la première fois. Elle ne porte que le haut du maillot, le bas a été perdu dans la bagarre arrachée par moi dans la panique. Je la regarde et alors horreur une pensée me vient à l’esprit, une pensée moche immonde machiste indigne, je mériterais la noyade immédiate pour çà. En effet je me dis une baleine j’ai été sauvé par une baleine, une baleine aux beaux yeux quand même. Son regard est beau profond sincère et me fait rougir, rougir de honte d’avoir de telle pensée pour celle qui vient de me sauver.
Elle a de beaux yeux verts brillants, son visage est rassurant et surtout je vous le dis éclairé d’un sourire scintillant, enchanteur. Son corps est par contre déformé par les bourrelets de graisse ses seins énormes sont à contenu à grand peine par le soutien-gorge manifestement trop léger pour l’ampleur de la tache assignée, le ventre énorme, dans sa position à genoux repose, lui, sur des cuisses massives.
Sa voix douce me tire brutalement de mon observation, Je rougis de plus en plus, honte à moi. Je bredouille, m’embrouille, m’enfonce, m’enlise, dans une explication hasardeuse de mon comportement indécent.
Cette réaction, quelle réaction. Putain j’avais oublié, moi je me baignais nu, profitant qu’il n’y avait personne, et mon observation avait provoqué chez moi une belle érection, ma queue majestueusement pointait fièrement dardant un gland rose et fringuant vers la belle.
Re excuse, Puis nous finissons par convenir que nous ne pouvons pas rester là nus comme des vers à nous regarder, aussi nous décidons de nous diriger vers sa demeure qui se trouve à une centaine de mètre de l’autre côté des dunes. Au passage je récupère mes affaires, que j’emporte sous mon bras. Elle marche devant moi se dirigeant vers son logis quand tout à coup elle s’arrête se penche en avant pour, je ne sais quoi faire, Moi je reste devant le spectacle de sa croupe chevaline offerte, ouverte dévoilant le sillon foncé de sa raie, et la rosette plissée, puis dessous les lèvres roses de la chatte, le tout complètement épilé. Je crois que cette exposition était voulue, car elle se redresse aussi brutalement qu’elle s’était baissée, se retourne toujours avec son sourire, et me lance ironiquement
Ce brusque tutoiement, et son attitude me fait deviner que, mon sauveteur, est plutôt du genre coquin. Nous arrivons à son logis sans avoir rencontré âme qui vive. Heureusement car nous formions un équipage plutôt curieux, moi plutôt mince et élancé, avec une érection persistante, marchant à côté d’une compagne plus petite ronde de partout et tous les deux nus comme au bon vieux temps d’Adam et Eve.
Allons bon elle ne vit pas seule la bougresse, effectivement, une apparition étonnante surgit dans l’encadrement de la porte de ce qui doit être la pièce à vivre, car on entend en sourdine la télévision. Quand je dis étonnante c’est un euphémisme car je devrais plutôt dire, stupéfiante, ahurissante un homme à trois pattes ou plutôt un demi-homme, en fait, il doit mesurer 90cm un mètre au bas mot, il est nu (décidément) et entre ses jambes pend un pilon qui lui arrive compte tenu de sa petite taille en dessous des genoux, et à la base de ce pilon une paire de couilles impressionnantes, disproportionnées. Ma stupéfaction n’échappe pas à mes hôtes, qui sont hilares devant mon étonnement.
J’écoute le dialogue entre mes deux curiosités, de plus en plus abasourdi, quand la femme dit bon si on s’installait dans le salon on serait plus à l’aise pour faire connaissance.
Nous voilà derechef tous les trois installés moi dans un fauteuil, Nicole dans le canapé, avec sur ses genoux François son petit compagnon, qui sans vergogne, fait sauter le dernier rempart à la nudité de mon égérie, et tout de suite se met à jouer avec les mamelles imposantes de sa compagne, pendant que nous nous présentions. Elle s’appelle Nicole, son compagnon François, et moi Jean.
La vue de ce spectacle, n’a évidemment pas contribué à faire tomber mon érection, qui commence à devenir douloureuse.
L’invite de Nicole est sans équivoque, et je ne peux m’y dérober. Je monte sur le canapé et lui fourre sans ménagement ma queue dans la bouche, c’est une goulue la Nicole elle avale mon pieu avec facilité et croyez-moi ce n’est pas un exploit réalisable par beaucoup. Car s’enfiler une colonne de chair gorgée de sang, dure et épaisse, sans broncher n’est pas donné à tout le monde. Je dois dire que jusqu ’ici j’étais assez fier de ma virilité, mais aujourd’hui ma fierté en prend un coup quand je vois le membre en érection de François pour le coup c’est moi qui ai l’air d’un nain, Nicole branle son compagnon avec énergie, le gland turgescent énorme décalotté est luisant, pas étonnant qu’elle m’avale aussi facilement, mais tant mieux car elle m’administre une fellation de reine je pilonne sa bouche chaude et humide, entrant mon pieu jusqu’à la base. Je ne peux résister longtemps à ce traitement et rapidement je m’épanche dans sa gorge, remplissant sa bouche de mon sperme chaud et épais, elle déguste le nectar l’avale sans broncher, sans compter.
Suite à cette éjaculation rapide mon sexe retombe un peu, aussi je profite pour me glisser entre ses cuisses qu’elle écarte au maximum, laissant François prendre possession de sa bouche.
Sa vulve est trempée j’écarte les lèvres carminées de sa chatte pour mettre ma bouche ma langue s’introduit dans le canal vaginal, et aussitôt je reçois, un flot de jus acre et chaud que je m’empresse d’avaler, cet apport Aphrodisiaque me redonne de la vigueur, je continue donc à sucer, lécher la figue, je remonte sur le clito l’aspire le pince le suce, je redescends sur la chatte elle est mure, dégoulinante béante, je m’écarte pour regarder c’est impressionnant je n’ai jamais vue une chatte pareille j’en profite pour entrer mes doigts dans ce con accueillant, l’effet est foudroyant elle râle de plaisir et quand je retire ma main, c’est comme une vanne ouverte, un torrent de cyprine mélangée à son urine déferle, Je plaque ma bouche sur la cascade et je bois jusqu’à plus soif.
Je me relève le visage trempé dégoulinant de mouille, Mais Nicole ne reste pas inactive, elle m’allonge à même le sol et vient se mettre en 69 je me retrouve avec la moule sur la bouche que je me remets à sucer immédiatement alors qu’elle m’administre une nouvelle pipe. François s’est glissé derrière Nicole je vois au- dessus de moi se profiler l’engin tendu, qui vient se poser sur la rosette exposée, il va l’enculer, je rêve, comment peut-on accepter un tel membre dans un si petit trou. Si on peut, je vois l’obélisque du nain disparaître peu à peu, alors que Nicole continue de me sucer comme si de rien n’était. Si, elle a juste cambré un peu plus les reins pour donner à l’intrus le maximum d’ouverture, il est « entré » entièrement, ses couilles viennent taper contre mon nez je me redresse un peu et les attrapent dans ma bouche, elles sont vraiment énormes, je les lâche pour reprendre la succion du puits d’amour de Nicole, mes yeux restant rivés sur le va-et-vient d’enfer que mène le gnome dans le gros cul dilaté, la vision de cette immense colonne de chair qui pistonne tel un métronome est dantesque.
Puis tout s’accélère Nicole râle gémit sous les coups de boutoirs de son vigoureux amant, et aussi ne se contente plus que de me branler énergiquement. François commence lui aussi à éructer des « Grosse salope », « Bouffeuse de pine », puis pousse une longue plainte dans un dernier coup de bélier, il retire son engin pose son énorme gland luisant sur ma bouche et se met à éjaculer des longs jets de foutre dont il m’arrose copieusement le visage, ainsi que la chatte déjà gluante de Nicole, ce mélange de jus de femme et de sperme provoque en moi une décharge électrique et à mon tour je jouis à nouveau dans les doigts de Nicole qui s’affale de tout son poids sur moi embouchant mon sexe pour le nettoyer des dernières gouttes de sperme.
Tout le monde se relève, Nicole me regarde et s’approchant de moi vient me lécher le visage le nettoyant des traces de foutre de François. Nicole toujours aussi enjouée lance
Voilà une réflexion qui me laisse pour le moins perplexe, mais enfin depuis mon sauvetage, je ne m’étonne plus de rien….