Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 07236Fiche technique21866 caractères21866
Temps de lecture estimé : 14 mn
06/04/04
Résumé:  Un cours à domicile qui tourne rapidement à la leçon, pour mon plus grand plaisir.
Critères:  fh fépilée fellation fsodo
Auteur : Le professeur professé  (Jeune étudiant en V.I.E.)      
Cours à domicile


Mon portable sonne alors que je suis au volant, le numéro est masqué et je n’ai pas envie de me prendre une amende pour ce qui peut être un faux numéro alors je laisse sonner; J’écouterai le message une fois arrêté. Je me gare juste devant chez moi, petit bâtiment tranquille du 18em. Je suis originaire de Bretagne mais j’habite à Paris le temps de faire mes études. On m’avait dit que je n’aurai pas besoin de voiture mais vous connaissez les Bretons, plus on me disait de laisser ma voiture, plus je me décidais à l’emporter. Depuis, j’ai compris mon erreur. Pour une fois qu’il y a de la place juste devant, je me dis que ce doit être mon jour de chance. Je suis un étudiant en langues à Paris, en plus de ma bourse, pour tous les frais que la vie d’un étudiant moyen peut entraîner, je donne des cours d’anglais à domicile par le biais d’une agence. C’est le début du printemps, il fait frais mais le soleil brille, vraiment un jour comme je les aime. Je monte dans mon petit studio au cinquième sans ascenseur et j’écoute le message qu’on m’a laissé.


C’est l’agence de cours à domicile, on me propose un nouveau cours d’anglais pour un troisième dans le 16èm, rien de bien passionnant mais ça me fera toujours un peu d’argent en plus. Je rappelle l’agence et mon interlocutrice me fait le portrait de la famille : un enfant unique, un père souvent absent pour affaires et pas vraiment de difficultés mais plus une volonté de bien approfondir les cours. Des fois, je me dis que l’agence me donne vraiment des détails inutiles. J’accepte bien entendu la "mission" et je prends les coordonnées de mon prochain élève.


Le soir, vers 19h, j’appelle la famille pour fixer un cours. C’est une dame avec une voix très distinguée qui me répond. Tellement distinguée que ça parait surfait en fait, comme les mauvais acteurs de théâtres qui jouent le bourgeois gentilhomme en en faisant des tonnes. Le premier contact est poli et direct. Benoît est actuellement au tennis et il ne devrait pas tarder à rentrer. Je lui demande si elle a une idée de l’emploi du temps de son fils, et si elle sait quand je pourrais passer pour le premier cours. Elle s’absente trente secondes pour vérifier et revient en me disant que le lendemain, il n’avait rien après les cours à partir de 17h. Je lui dis donc que je passerai le lendemain à 17h30 et je lui demande de préparer tous les cours et autres bulletins de son fils. Sur ce, nous nous quittons, jusqu’au lendemain…


Je passe la journée du lendemain au lit parce que je n’ai pas cours et, comme d’habitude, quand je ne sais pas quoi faire, je finis par errer sur Internet, et plus particulièrement sur les sites de charmes. Entre histoires érotiques et photos plus qu’équivoques, j’ai recours plusieurs fois à la masturbation pour évacuer le trop plein de vie qui est en moi. Ce n’est pas quelque chose dont je suis fier mais je n’en ai pas particulièrement honte non plus, à défaut de copine sur la capitale, ça défoule toujours son homme !


A 16h00, je me rappelle brusquement de mon cours du soir. Je passe vite fait sous la douche, prépare mes affaires et passe à la boulangerie en bas pour manger un petit quelque chose (je n’y avais pas pensé jusque là)Depuis que je suis à Paris, j’ai pris beaucoup de poids, je n’ai plus le temps ni d’endroits pour faire du sport et en plus, au lieu des bons repas préparés par maman, je mange un peu tout et n’importe quoi, et surtout n’importe quand. Alors que j’étais plutôt beau gosse à la maison, ici je m’empâte et ca ne rend pas la drague plus facile (heureusement que les soirées étudiantes permettent de vite trouver des filles ouvertes) Je prends ensuite 3 métros différents pour finalement arriver à destination. On est près du Trocadéro, il y a des chances pour que ce soit un bel appartement. Je cherche d’abord la rue, puis le numéro. Arrivé devant le bâtiment, je suis surpris de ne trouver qu’une sonnette, ce doit être la gardienne. Je sonne donc et je me rends vite compte de mon erreur, ce n’est pas un immeuble avec des appartements, c’est un hôtel particulier. C’est la maîtresse de maison qui me répond et je reconnais immédiatement son ton nonchalant, pseudo aristocratique. "Qui est ce ?" Fait la voix dans l’interphone. Je me présente et la lourde porte de verre et de fer forgé s’ouvre. Je rentre dans un grand hall marbré et la voix qui commence à être familière m’indique de monter. Le large escalier en colimaçon m’emmène dans une vaste salle au premier, avec de nombreux fauteuils et canapés. Il y a encore un étage en haut, je ne suis pas tombé chez n’importe qui !


Je suis surpris par la femme qui m’accueille. Elle est très jolie (je m’attendais à un physique de vieille comtesse) C’est une petite brune bien plus jeune que ce à quoi je m’attendais qui m’attend en haut des escaliers. Elle porte une longue jupe fendue et une chemise qui à l’air d’être en soie. La voix et les manières ne font cependant pas de doute, c’est bien la maman de Benoît. Devant la main tendue, j’hésite un instant entre la poignée ou le baise main et j’opte finalement pour la traditionnelle poignée de main puisque je ne suis pas de ce monde après tout. Elle semble avoir perçu mon trouble et je crois percevoir un léger sourire sur ses lèvres ainsi qu’un éclat nouveau dans les yeux. Des yeux qui sont très jolis, je ne sais pas s’ils sont bleus ou verts et comme je n’ose pas la fixer avec trop d’insistance, je reste dans l’incertitude.


Je me présente maladroitement et il est évident qu’elle sent le trouble qui m’envahit. Nous avons une petite conversation rapide sur ce qu’elle attend pour son fils et je ne fais qu’acquiescer maladroitement de temps en temps. Sa voix qui me paraissait si hautaine et fausse me parait maintenant être la plus mélodieuse du monde, je n’entends même plus ce qu’elle raconte, je me laisse juste bercer par ces intonations inattendues et douces. Je sors de ma rêverie et je me rends compte qu’elle ne parle plus, elle me fixe de ses yeux, ils sont verts ! Et là je comprends qu’elle attend quelque chose de moi. "Pardonnez-moi ?" Dis-je l’air franchement concerné. "Je vous demandais si on pouvait passer dans la chambre de Benoît" me répéte-t-elle entre amusement et agacement. "Bien sûr" répondis-je et elle me fait entrer dans une chambre d’adolescent typique à la seule différence que le parquet au sol est impeccable et que les tapisseries sur les murs n’ont rien à voir avec le papier peint jauni de mon studio.


J’y rencontre Benoît qui ne ressemble pas vraiment à sa mère. Ses bras traînent le long de son corps comme ceux d’un grand singe et il parle d’un air blasé, comme s’il était revenu de tout. Heureusement qu’il n’a pas de problème, parce que les élèves de son genre, quand ils ne comprennent rien, ils ne font pas d’efforts. Ce devrait être de l’argent facile. Pendant que je suis seul avec lui, je reprends mes esprits, ce n’est pas si dur puisque absolument rien en lui ne me fait penser à sa mère. Je lui parle en gros du programme d’anglais que l’on va faire ensemble et l’heure de cours passe vite, trop vite puisque je sais dans quel état je vais me retrouver en disant au revoir à sa mère et que je déteste perdre le contrôle !


Mais l’heure de cours se termine et je dois sortir affronter ma source de trouble. Je suis surpris de voir que Benoît prend ses affaires en même temps que moi et que l’on sorte de sa chambre en même temps, lui avec ses affaires de tennis et moi avec mon sac. Sa mère est dans un fauteuil de la grande salle du premier, en train de lire un livre avec de petites lunettes carrées sur le nez. Elle se lève et son fils, après m’avoir dit à la semaine prochaine, lui dit qu’il part jouer avec Thomas en sortant précipitamment.



Je reprends confiance en moi, on est dans mon domaine, c’est moi le prof et je connais la procédure, après les questions banales sur son fils, je me prépare à partir, c’est gagné, je ne suis plus aussi troublé que tout à l’heure. Je lui tends la main pour lui dire au revoir et lorsqu’elle me la serre, elle ne me la lâche plus.



Aussitôt dit, je me rends compte que ce compliment peut être à double tranchant et elle s’en rend bien compte, elle joue même de la situation



C’est elle qui mène la danse, je déteste ça. Pas parce que c’est une femme, mais parce qu’elle m’emmène là où elle veut et que je me comporte comme un bon petit mouton. Furieux contre moi-même, je me décide de lâcher une de mes fameuses bombes qui mettra un terme à la conversation en me laissant l’impression que c’est moi le gagnant.



Je pense que ça va la calmer et effectivement elle rougit légèrement, mais pas assez pour que je me considère comme un vrai gagnant. Elle me répond sur un air beaucoup plus bas, presque confidentiel :



Je suis piqué au vif, elle n’a pas tort, bien qu’elle soit très belle, elle a sûrement plus de quarante ans et moi j’en ai à peine 22, autant dire que je pourrais être son fils ! Cependant, elle m’énerve, j’essaie d’être gentil avec elle malgré son attitude et elle me renvoie ma gentillesse au visage, comme si ça ne valait rien. Je suis d’ordinaire quelqu’un de très calme mais elle commence à m’échauffer avec ses manières bourgeoises, son ton condescendant, son attitude dominatrice, son parfum de fleur, ses lèvres roses et ses yeux… Ah, ses yeux ! Soudain je ne me contrôle plus, je la tire vers moi par la main qu’elle tient toujours et l’embrasse comme dans les films. Je sais que ça fait gros cliché et je ne me suis jamais comporté comme ça avant mais sur le moment, je n’y pense pas du tout. À ma grande surprise, je sens sa langue qui se glisse entre mes lèvres et comme ça, sans un mot, j’échange mon premier vrai baiser fougueux ! Je ne pourrais pas dire combien de temps ça a duré mais ça a suffit pour me faire réagir des pieds à la tête. Je l’ai serré plus fort contre moi, histoire qu’elle sente bien mon désir mais à mon grand regret, elle a eu un mouvement de recul.



Elle relève la tête d’un coup, elle vient, à son tour, d’être piquée au vif. Bizarrement, elle sourit, ce qui la rend plus belle que jamais



Elle ne me dit rien de plus, mais sa main gauche plonge directement sur mon sexe qu’elle malaxe au travers de mon jean. Surpris, je ne peux m’empêcher d’emmètre un petit râle qu’elle me fait aussitôt regretter en me signalant qu’elle peut arrêter si j’en ai déjà assez. Pour toute réponse, je l’embrasse plus sauvagement encore que la première fois et nos langues se livrent à un duel acharné avant que sa bouche ne descende sur mon cou. Pendant ce temps, ses deux mains s’affairent sur ma braguette et en un temps record, mon baggy est sur mes chevilles, vite rejoint par mon caleçon. Je sens le courant d’air frais caractéristique qui m’indique que mon gland est sorti prendre l’air et donc que je dois bander comme un âne ! Tant mieux, c’est pas le moment d’être ridicule…


En haut aussi, elle s’active. Alors que mes mains lui massent maladroitement les fesses, je sens qu’elle me fait un suçon, elle m’a marqué comme son bétail ! Elle m’attrape alors les fesses et le fait de sentir ses petites mains baguées sur mon imposant arrière train, ça me donne encore un sursaut d’excitation. Je commence à lui défaire son chemisier et au passage mes mains effleurent son petit ventre plat, cette femme est vraiment un don du ciel ! Ses mains remontent sur mes hanches et me retirent à la fois mon sweat et mon polo, je suis donc en chaussure, nu, dans un immense salon luxueux avec une femme encore presque toute habillée devant moi, c’est comme un rêve sauf que dans mon rêve elle ne garderait pas ses vêtements plus longtemps et c’est précisément ce sur quoi je m’affaire ensuite.


Apparemment contente de ce qu’elle a obtenu, elle continue de me caresser les fesses alors que sa bouche continue sa lente descente sur mon torse, n’épargnant aucun centimètre carré de peau et n’oubliant pas de me mordiller et sucer les tétons au passage. On ne m’avait jamais fait ça, c’est un vrai délice !


Moi aussi je redouble d’effort, son chemisier est maintenant parti et il dévoile une poitrine merveilleuse, à peine cachée par un petit soutien-gorge en dentelle. Elle n’a pas de gros seins, mais ils ont une jolie forme bien ronde et au travers de la dentelle, on devine facilement que les tétons sont hérissés au maximum. Mes mains descendent alors sur ses hanches, puis ma main droite passe dans la fente de sa jupe, et remonte le long des collants jusqu’à ce qu’elle tombe sur de la peau douche et chaude. Elle porte en fait des bas. De mieux en mieux ! Sa jupe est en fait une de ces jupes boutonnées sur le côté que l’on peut ouvrir à sa guise, je défais jusqu’au dernier bouton et la laisse tomber sur le côté. Elle est alors en train de me mordiller le téton gauche, je la relève, l’embrasse, et recule d’un pas pour admirer le chef d’œuvre, c’est vraiment un fantasme vivant !

Tous les sous-vêtements sont assortis et comme ça, en pleine lumière, elle a l’air d’un ange, ou d’une diablesse, c’est selon.


Elle me prend par la main et me tire vers elle. Je m’exécute, soudainement obéissant, et elle se met accroupie devant moi, sa tête plonge dans mon entre jambe et chacune de ses mains attrape une de mes fesses, D’un seul coup, je ne sens plus le courant d’air sur mon gland ! Et pour cause, elle a goulûment englouti la partie supérieure de mon sexe dans sa petite bouche. N’ayant que faire de mes mains, je lui attrape la tête, et, sans la forcer, suis le mouvement en la caressant.

En tant normal, j’aurais sûrement jouit presque instantanément, mais puisque j’avais passé la journée à jouer avec mon sexe, je ne suis pas prêt de vider le peu que j’ai dans mes testicules…


Elle s’efforce pourtant. Après avoir joué dans tous les sens avec mes fesses, ses mains bougent. Avec la droite attrape mon sexe et me masturbe pendant qu’elle continue de me sucer alors que la gauche commence à jouer avec mes testicules, encore une nouveauté pour moi ! Je râle de plus en plus fort, elle voit que son petit jeu me fait de l’effet et continue sur sa lancée, sa langue glisse le long de mon sexe pour arriver sur mes bourses puis sur le frein. Je sens les carreaux froids de ses lunettes contre mon gland. Je suis comme fou et je sens soudainement un doigt de sa main gauche qui s’approche de ma rondelle, j’ai le réflexe de tout contracter et ça la contrarie apparemment puisqu’elle arrête tout.



Encore une fois je suis pris à défaut par cette femme, vraiment pleine de surprise, mais ma réponse ne se fait pas attendre



Sans ajouter un mot, elle s’éloigne de moi et se dirige vers un des canapés, je la regarde marcher, la ficelle de son string soulignant magnifiquement le contour des ses fesses, elle pose ses lunettes sur une table basse et se retourne vers moi



Je n’attends pas qu’elle réitère sa demande, je n’ai jamais pratiqué la sodomie mais ça me semble être l’occasion rêvée. Je couvre la distance qui nous sépare en quelques pas et la pousse sur le canapé, je lui enlève rapidement son soutien-gorge et lui lèche avidement les seins pendant que je lui retire sa culotte. Elle est assise devant moi, les jambes écartées et je maudis cette ficelle qui tombe entre les lèvres suintantes de sa petite chatte parfaitement rasée. Elle aussi semble être contente de revoir les beaux jours !

Elle voit mon regard et comprend que je suis tenté, elle se lève donc puis se retourne et se penche en avant pour prendre appuis sur l’accoudoir.


Mon sexe est trempé par sa salive et par mes sécrétions lubrifiantes et je pense donc que ca devrait rentrer comme dans du beurre. Je me place derrière elle et caresse sa petite fleur avec le bout de mon membre gonflé à bloc, un filet visqueux se tend quand je recule légèrement pour donner l’assaut final. J’ai lu et entendu tellement de choses sur l’étroitesse de l’anus, que je n’hésite pas à pousser d’un grand coup de rein. À ma grande surprise, je rentre du premier coup et je lui arrache un petit cri qui résonne sur les murs du salon. Satisfait de ce premier contact, je recommence la manœuvre, et au fur et à mesure, je vois mon sexe qui s’engouffre de plus en plus dans son orifice, entraînant, à chaque centimètre gagné, un cri de douleur mêlé de satisfaction de mon initiatrice. Encouragé par ses cris et rendu fou par le sentiment de puissance que je ressens alors, je continue mon mouvement de plus en plus vite, de plus en plus fort. Mes bourses claquent contre ses cuisses et petit à petit le monde qui m’entoure semble s’atténuer. Je suis vaguement conscient de ses cris qui doivent maintenant retentir dans tout le bâtiment et je l’agrippe par les hanches pour pouvoir m’enfoncer au plus profond de son petit trou. Après un nombre indéfinissable de va et viens sauvages, je sens que mes jambes commencent à trembler sous moi, mon emprise sur ses hanches se fait plus ferme et je m’arc-boute pour la pénétrer encore plus fort…


Puis c’est le silence total, je sens ma semence qui gicle par saccade au fond de son anus, une grande lumière blanche disparaît petit à petit pour laisser ressurgir les meubles du salon. Aucun de nous deux ne bouge, on reste immobile quelques secondes, puis je me retire brusquement, sans préavis, laissant un grand vide dans ce qui était quelques minutes plus tôt un espace quasi-clos. Elle se redresse devant moi, apparemment éprouvée, puis se laisse tomber sur le canapé, comme une poupée de chiffon. Elle lève ses yeux vers moi, je lui rends son regard, on sourit en même temps : Match nul !


Quelques minutes plus tard, nous sommes tous les deux habillés et je m’apprête à partir. Je lui demande presque timidement si on se reverra et elle me répond avec un léger sourire qu’il faudra bien, puisque je suis le professeur particulier de son fils. Nous nous embrassons tous les deux langoureusement pendant ce qui me semble être une éternité et je commence à descendre les escaliers de marbre pour retrouver mon petit studio et ma petite vie. Je ne sais pas si je suis son amant ou quoi mais en tout cas, c’est une situation qui me plait, il ne faudra pas que j’oublie de recommencer ma préparation physique la semaine prochaine, elle pense sûrement que j’étais dans mon état normal et je ne voudrais pas me faire écraser au match retour…