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Temps de lecture estimé : 17 mn
10/04/04
Résumé:  Où un homme dévergonde la soeur de sa propre femme
Critères:  fh alliance fsoumise fellation fsodo
Auteur : Mephisto fêlé
La belle soeur


Laure attendait, adossée au montant du portail lorsque j’arrivai chez moi. Je descendis de la voiture pour ouvrir le portail et au passage faire la bise à ma belle – sœur. « Anne n’est pas encore rentrée d’Espagne. » Lui dis-je. Laure était une jeune femme de 29 ans, divorcée, un peu bohême. Elle était coutumière de venir passer la nuit chez nous de temps en temps lorsque la solitude lui pesait.



Laure, associée à une amie, faisait tourner une petite boutique d’accessoires de mode. Pas vraiment le grand luxe, plutôt tournée vers les adolescentes et autres étudiantes coquettes mais désargentées. Laure avait probablement besoin d’un conseil financier. À l’époque je lui avais donné un coup de pouce pour vendre son projet aux banquiers.


J’entrai dans la villa, Laure attendait, sagement assise dans le grand canapé. Je la sentais embarrassée et lui proposai un verre. Elle accepta un porto tandis que j’optai pour un scotch. « Alors, jeune fille, ça va la santé ? »



Laure avait eu des problèmes de fatigue et de tension artérielle qui l’avaient envoyée à l’hôpital et Anne, ma femme avait dû consacrer du temps pour assurer des gardes. Mais là, effectivement, Laure paraissait en excellente santé, elle avait repris les kilos qui lui manquaient à sa sortie d’hôpital et affichait une mine resplendissante.



Laure m’expliqua qu’Odile, son associée avait disparu sans laisser d’adresse mais en lui léguant un gros trou dans la caisse. La boutique était dans le rouge partout et Laure était coincée pour payer ses deux employées, ses fournisseurs et le loyer.



*

* *


Quelques semaines plus tard je reçus de nouveau la visite de Laure. Elle avait une nouvelle fois choisi un jour où Anne était absente car elle ne voulait surtout pas que sa sœur apprenne que je l’avais aidée pour son problème d’affaires. Officiellement, Laure et Odile s’étaient séparées en froid pour cause de mésentente dans la conduite de la boutique.


Laure s’excusa d’être arrivée en soirée sans prévenir « J’avais une livraison à prendre dans la région. En plus tu sais je travaille beaucoup avec des artisans et ces zozos quelquefois demandent à être payés en liquide pour je ne sais quels traficotages fiscaux. Alors là je me retrouve avec plein de gros billets sur moi donc je me suis dit que je les utiliserais pour régler la première tranche de remboursement comme convenu. » Elle me remit deux liasses qui faisaient 1000 euros.


Entre-temps il s’était mis à pleuvoir à seaux. Je conseillai à Laure de rester dormir plutôt que de prendre des risques à conduire de nuit avec peu de visibilité et une chaussée glissante, d’autant plus que la météo annonçait que la pluie durerait une bonne partie de la nuit. Laure accepta mon invitation avec un visible soulagement.


Laure m’aida à préparer le dîner que nous prîmes dans la cuisine. « Cela ne t’embête pas trop que Anne te laisse seul aussi souvent ? »



Laure se leva pour débarrasser la table. Elle avait mis ses affaires de sport qu’elle avait laissé chez nous pour les fois où elle venait passer le week-end. Ma belle sœur était une femme qui entretenait beaucoup son corps. Je m’oubliai à admirer ses jambes fuselées mises en valeur par le short moulant. Mon regard alla s’égarer sur les fesses idéalement dessinées. Je trouvais cela vraiment invraisemblable qu’il n’y ait aucun homme dans la vie de cette jeune femme ravissante. Je me pris à imaginer qu’après son divorce elle avait peut-être tourné lesbienne par dépit.


Perdu dans mes pensées je ne m’aperçus même pas que Laure me regardait… La regarder comme un chien affamé.



Le feu me monta au joues, j’étais mort de honte. « Excuse-moi, Laure, j’avais la tête ailleurs et j’ai laissé remonter mes instincts mâles venus du fond des âges… »



Laure riait de bon cœur tandis que je ne savais plus où me mettre. Je passai au salon pour écouter de la musique. Laure m’y rejoignit bientôt. Je la relançai sur le sujet de son célibat en lui livrant la réflexion que venais de me faire.



Elle ponctua cette phrase d’un clin d’œil qui signifiait qu’elle ne me tenait pas rigueur de mon indiscrétion mais qu’elle ne tenait pas à s’éterniser sur ce sujet. Elle alla vers le meuble de rangement à disques, puis me demanda où était ce disque brésilien qu’elle adorait.



Laure s’accroupit pour chercher le CD, dans une pose qui mettait particulièrement en valeur sa plastique éblouissante.



Laure mit le disque dans la platine et revint s’asseoir à mes côtés dans le canapé. Nous continuions à bavarder joyeusement. Laure avait cette habitude de toucher ses interlocuteurs lorsque la conversation s’animait. Elle toucha donc mon bras de sa main. Ce contact m’électrisa. Je me saisis de cette main en lui disant « Ecoute je suis très sensible au toucher, si tu continues comme ça tu vas complètement réveiller la bête qui sommeille en moi. »



J’étais assez gêné de discuter de ce genre de sujet avec la sœur de ma propre épouse. Mais Laure en parlait d’une manière tout à fait naturelle qui me mettait en veine de confidences.



Laure sembla rêveuse pendant de longues secondes. Puis elle me regarda dans les yeux : « J’adorerais que tu me baises. » Cela me fit l’effet d’un coup de poing dans l’estomac. « Laure, tu déconnes… Tu es quand même la sœur de ma femme. »



La situation devenait grisante, je me demandais si Laure n’avait pas tout prévu dès le début et était venue m’emprunter la somme avec l’idée de me rembourser en nature. Mais dans le fond en quoi cela importait-il ? Je payais bien des quasi inconnues et là je me voyais offrir l’occasion de me faire une femme qui m’attirait depuis des années et qui m’était interdite. Laure s’affairait à effacer mes dernières parcelles d’hésitation et de scrupules en se caressant l’intérieur des cuisses d’une manière qui ne laissait aucune équivoque. J’étais complètement dans le jeu. Je retirai les billets de banque de ma poche et les lui tendis en acceptation du jeu qu’elle me proposait.



Laure dénoua ma cravate puis défit les boutons de ma chemise. Ses mains vinrent effleurer mon torse en une douce caresse. « Hum, je te sens tendu, dit-elle, tu as besoin d’un massage relaxant je crois… » C’était fou comme elle entrait dans le rôle qu’elle s’était donné. Elle se mit à me masser légèrement les épaules en laissant sa bouche musarder sur mes tétons, les suçotant un peu. J’esquissai un geste pour la caresser à mon tour mais elle m’arrêta. « Tsst tsst ! Du calme, on a toute la nuit devant nous, laisse toi aller. » Elle retira complètement ma chemise, puis s’attaqua à mes chaussures et mon pantalon. Elle me fit alors allonger sur le canapé et entreprit d’étendre son doux massage sur tout mon corps, alternant des gestes relaxants à d’autres plus excitants.


Sans qu’elle ait eu à toucher mes parties génitales, son manège provoqua assez vite une fière érection qu’elle vint flatter dans la paume de sa main à travers le slip. En me regardant dans les yeux, elle me dit « Ah ce que je te fais t’excite bien, j’aime ça. » Elle fit glisser le slip pour découvrir mon membre érigé. Elle se mit à le caresser du bout de ses doigts aux ongles effilés. Une série de frissons parcoururent ma colonne vertébrale à ce contact agaçant. Peu à peu, ses mains s’affairaient sur ma verge de manière plus accentuée. Elle me branlait franchement en me caressant les bourses, tout cela sans que son regard ne quitte le mien dans un sourire tendre. J’étais assez épaté pour ses talents, mes idées se brouillaient un peu car j’avais vraiment l’impression d’être aux mains d’une professionnelle alors que c’était la sœur d’Anne qui me masturbait ainsi avec brio.


Laure se pencha, m’indiquant qu’on allait vers quelque chose d’encore plus sérieux. Sa langue vint au contact de ma hampe. Laure commença à me lécher la bite avec application, puis s’attaqua au gland. La vision de son visage, yeux fermés et lèvres entrouvertes sur mon sexe était quelque chose de fantastique. Bientôt elle engouffra mon membre dans sa bouche, faisant en sorte qu’il s’enfonce le plus profondément possible. Elle commença alors un mouvement de va-et-vient, m’arrachant quelques discrets gémissements. Elle stoppa un instant pour me dire « Allons mon chéri, viens, donne-moi tout, je veux ton jus dans ma bouche ! » Puis elle reprit la fellation crescendo en me gratifiant en plus d’une phalange dans l’anus.


Il n’était guère possible que je résiste longtemps à ce traitement de choix. Bientôt je ressentis une sensation de crispation dans la région de mes reins qui annonçait un paroxysme. Laure obtint ce qu’elle voulait : l’éjaculation de flots de sperme dans sa bouche. Elle me suça encore plus fort pour retirer tout ce qu’elle pouvait de ma semence. Sa bouche demeura refermée sur mon gland bien longtemps après la fin de mon orgasme.


J’étais comme prostré. L’orgasme m’avait un peu dégrisé et je réalisai mieux l’énormité de la situation. J’étais en train de me livrer à l’une des choses les plus perverses de ma vie et en plus cela me réjouissait malgré le soupçon de culpabilité qui trottait dans mon inconscient. Laure m’avait extirpé un orgasme particulièrement puissant et j’étais prêt à m’arrêter là. Mais elle ne voyait pas les choses de la même manière. Elle vint s’étendre à mes côtés, un sourire satisfait aux lèvres. « Tu as aimé ? »



Laure me tendit ses lèvres pour un baiser explosif, langue contre langue, sa bouche gardait encore un peu le goût de ma jouissance. Laure m’enlaça et me demanda de lui caresser les seins. Je glissai mes mains sous son sweater pour découvrir que ses seins étaient libres en dessous. Elle les avait menus (tout comme Anne ne puis-je m’empêcher de penser). J’agaçai les tétons qui ne tardèrent pas à s’ériger. J’entrepris de lui retirer ses vêtements car j’avais hâte de voir son corps dans toute sa nudité. Je ne fus pas déçu du spectacle : Laure avait un corps sculpté à la perfection. La vue de son sexe totalement épilé acheva d’annihiler mes facultés intellectuelles. Alors que quelques minutes plus tôt je croyais avoir épuisé toute particule de désir en moi, je n’avais plus qu’une envie maintenant : Celle de pilonner cette chatoune délicieusement offerte.



Joignant le geste à ses paroles, elle vint sur moi, guidant mon dard de nouveau bandé dans sa vulve à peine humide. Pour cette raison, la pénétration n’était pas facile, mais Laure semblait apprécier cette sensation d’entrée un peu forcée. Lorsque, enfin, mon sexe eut entièrement pénétré le sien, elle s’immobilisa, savourant cet instant où elle me sentait en elle de toute ma longueur, yeux mi-clos, exhalant un soupir. « Ah je la sens bien dedans. Tu es fort ! » De nouveau j’étais admiratif de sa capacité à jouer la pute. Elle redressa le buste et commença à monter et descendre, ainsi empalée. Elle s’empara de mes mains pour les placer sur ses seins. « Oh chéri, caresse les tendrement et baise-moi fort ! »


J’obéis en donnant d’amples coups de reins pour venir à sa rencontre. Je sentais que mon membre heurtait le fond de sa matrice, lui arrachant des gémissements surpris. Je refermai mes mains sur sa taille pour l’attirer vers moi. La tête renversée elle se laissait pilonner, attendant le plaisir. Bientôt ses gémissements se firent plus insistants, annonçant qu’elle lâchait la bride. Je me demandai si elle allait réellement jouir ou si complètement dans son rôle elle faisait ce petit cinéma, cher aux professionnelles qui n’aiment guère se laisser surprendre par un orgasme dans l’exercice de leurs fonctions… En tout cas simulés ou non, elle lâcha des cris de louve. Elle vint se blottir contre moi. « Oh mon chéri tu n’as pas joui ? »



Laure obtempéra, reins cambrés pour me signifier qu’elle appelait de nouveau ma bite en elle. Je pénétrai son sexe en un mouvement presque brutal qui fut ponctué d’une plainte « Oh comme tu es gros et long dans ma chatte ! Viens, bourre-moi fort ! » Elle n’avait pas besoin de me le dire deux fois, je me mis à la baiser énergiquement, au point que le canapé se déplaçait légèrement à chacun de mes coups. La force et la conviction que je mettais à la tringler de la sorte ne tardèrent pas à lui faire un effet qui cette fois n’était visiblement pas simulé. Elle agitait sa chevelure en criant « Vas-y, tu me tues, ahhh, n’arrête pas. »


Je n’avais nulle envie d’arrêter car la voir dans cet état me stimulait. Sa chatte était maintenant inondée de mouille. Elle se mit à gémir longuement tandis que je sentais son vagin pris de contractions réflexes. Laure était en train de jouir comme une folle.


Je me retirai de son sexe et de mes doigts, je récupérai sa mouille abondante pour en enduire son petit trou que je dilatai en le doigtant. « Maintenant je vais te défoncer le cul, ma belle pute, je veux en avoir pour mon fric… »



De mes mains, j’écartai ses fesses et j’appuyai doucement mon gland sur sa petite entrée, par petites pressions successives, mon bout entrait dans son cul, lentement mais sûrement. Craintive, Laure restait immobile, bras croisés en appui sur le dossier du canapé, la tête légèrement tournée vers l’arrière indiquant son attente angoissée. « C’est une sensation vraiment très forte, déclara-t-elle, j’ai un peu mal et à la fois j’adore me sentir envahie ainsi. »



En forçant un peu plus, mon dard rentra à mi-longueur dans le conduit étroit. Laure poussa une plainte rauque, essayant de me repousser mais je la maintenais fermement, assurant mon avancée entre ses reins. « Laisse toi faire ma belle, détends-toi, je veux jouir dans ton petit cul. » Dans une ultime poussée, je me retrouvai la verge entièrement plantée dans son cul. Résignée elle poussait de petits gémissements « Oh, chéri, chéri, hmmm sois doux s’il te plait ! » Je demeurai immobile pendant de longs instants pour lui laisser le temps de s’accoutumer à cette intrusion. Ce fût elle qui commença à bouger doucement, ondulant des reins, tandis que je caressais tendrement ses hanches, ses seins et ses cheveux. Elle murmura : « Là je suis vraiment ta pute n’est-ce pas ? »



Je la travaillai ainsi, en douceur, tandis que sa main fourrageait son entrecuisse. Visiblement, elle était en extase sous cette double sensation de douleur et de plaisir confondus. Presque imperceptiblement j’accentuai le rythme, bien décidé à prendre un pied monstrueux. Je lui dis que je sentais mon plaisir monter. « J’adore baiser ton cul, belle pute ! » Ces mots firent leur effet car Laure maintenant donnait de furieux coups de reins pour venir à la rencontre de mes assauts. Dans un ultime coup de reins, je m’enfonçai aussi loin que possible en jutant dans le fourreau étroit et brûlant où allèrent se perdre d’épaisses giclées de sperme. Frottant son clito de plus en plus fort, elle gémit « Oh, tu jouis bien dans mon cul, chéri, je te sens bien, c’est trop bon, ah ! Je viens chéri, je viens oh oui, JE VIENS ! »


Foudroyés tous deux par cet orgasme synchrone, nous demeurâmes ainsi sans bouger, ma verge se rétractant peu à peu. Laure me caressait les cheveux en disant « C’est fou, je n’ai jamais joui aussi violemment, tu m’as fait découvrir quelque chose que je ne soupçonnais même pas. »



C’est ainsi que je transformai ma belle sœur en ma putain personnelle.