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n° 07250Fiche technique22704 caractères22704
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Temps de lecture estimé : 16 mn
10/04/04
Résumé:  Une jeune femme entame des relations saphiques avec l'ex-petite amie de son futur mari pour savoir si elle parviendra à exaucer tous ses fantasmes.
Critères:  #policier fh ff fbi jeunes couple amour facial fellation cunnilingu 69 pénétratio fsodo
Auteur : Incubus

Série : Danger sentimental

Chapitre 02 / 06
Danger imminent


Elle se réveilla à 9h le lendemain et s’étira langoureusement. Elle repéra sur la table de nuit un petit mot : « Ma petite chatte, je suis parti au boulot encore un peu tendu, et j’ai hésité à te réveiller pour t’en faire part. Mais tu étais si belle endormie que j’ai pensé que ça pourrait attendre ce soir. Encore merci pour hier soir, c’était merveilleux. Fred. »


Elle sourit et resta un peu au lit pendant dix minutes, appréciant la chaleur des draps et le moelleux du matelas. Puis, elle se redressa en revoyant, les yeux fermés, une adresse affichée sur un écran. Un nom lui revint et s’imposa à son esprit : Sandra. Elle sortit du lit avec vivacité, notant pourtant le désagréable changement de température, et sortit de la chambre en brésilien, dont l’étendue maculée hier s’était asséchée durant son sommeil. Elle avala un rapide petit-déjeuner, avec des vitamines mais sans rien pour la faire grossir, et passa dans la salle de bain en vitesse. Elle abandonna sa culotte et s’octroya une bonne douche, un peu froide pour éviter de relancer ses ardeurs de la veille. Puis, elle remonta dans la chambre, complètement nue, ayant abandonné son brésilien dans le sac à linge sale.


Devant son armoire, elle s’arrêta d’un coup, accaparée par des questions qui ne l’avaient jamais embarrassé jusqu’alors : Comment vais-je m’habiller ? Comment faut-il apparaître face à l’ex de son fiancé ? Dois-je jouer la gagnante, la nouvelle, la petite sainte, la coquine, l’humble ou la revancharde ?

Elle resta ainsi, complètement nue et immobile, jusqu’à ce que s’impose à elle une des phrases favorites de Jérémy, son photographe : « Sois simple. »


Alors, elle décida de faire simple et neutre. Elle prit un ensemble soutien-gorge corbeille et tanga couleur rubis. Elle hésita un instant, se disant que le rouge était peut-être trop agressif, puis sa volonté répliqua que les ornements noirs atténuaient la vivacité du rouge. Elle s’habilla donc avec, se félicitant au passage de la bonne tenue de ses seins, puis s’empara d’un petit top orangé lui octroyant un joli décolleté, mais pas trop provocateur, et d’un pantalon noir assez bien fait pour lui mouler en finesse ses formes. Elle se trouva mignonne et se regardant dans la glace et sortit avec empressement.


Elle monta dans le bus au dernier moment, encore un peu hésitante. Elle était sûre de l’adresse, mais cela lui faisait bizarre de vouloir absolument rencontrer l’ancienne petite amie de Fred. Un moment, elle se dit que Sandra allait peut-être lui en vouloir mortellement, ou peut-être qu’elle-même en voudrait à Fred et à Sandra. Son projet était vraiment fou, mais Cathy descendit quand même lorsqu’elle repéra le bon arrêt. Elle ne mit pas longtemps avant de pénétrer dans une petite résidence et s’arrêta devant une jolie petite maison de plain-pied, un peu à l’écart du reste de la résidence. Elle resta immobile pendant cinq minutes, hésitant encore, ne sachant si elle devait ou pas appuyer sur la sonnette. Elle finit par appuyer. Un écho discret de la sonnerie lui vint aux oreilles, mais rien ne bougea. Son courage cédant, Cathy se décida à partir. En se retournant, elle faillit renverser une femme qui arrivait.


Elle la reconnu tout de suite. Cette chevelure brune ne trompait pas, mais Cathy s’aperçut que Sandra était bien plus belle en vraie que sur la photo. Elle la regarda des pieds jusqu’à la tête.

Sandra portait une robe bleu vif assez classique, mais qui moulait parfaitement les formes généreuses de sa poitrine. Elle devait revenir du marché, car elle portait des paquets de fruits et légumes.



Cathy sursauta et comprit que Sandra venait de lui poser une question. Elle bredouilla qu’elle la cherchait et Sandra la regarda d’un air interrogateur, sans bouger, ses paquets de course dans les mains. Puis, elle sourit et dit :



Sandra posa un paquet sur les bras de Cathy et ouvrit le portillon, invitant d’un geste Cathy à la suivre. Une fois à l’intérieur, Cathy retrouva un peu de courage et expliqua, avec le sentiment de passer pour une dingue, ce qui l’avait poussée à venir ici.

Sandra éclata de rire et Cathy parut dépitée, mais l’ancienne petite amie de Fred la rassura. Au contraire, elle ne trouvait pas cela idiot, mais il est vrai que la démarche l’avait étonnée. Elles s’installèrent dans la cuisine et commencèrent à discuter.


A midi, une horloge sonna et Cathy s’excusa de s’être imposée, mais Sandra l’arrêta et lui demanda d’accepter de partager son repas avec elle. À force de sollicitations, Cathy accepta et resta pour le repas. Pendant que Sandra préparait le repas, lui tournant le dos, Cathy se découvrit un étrange désir de la déshabiller du regard. Elle avait déjà remarqué que Sandra ne portait pas de soutif, et sa robe ne cachait rien de la forme en pointe de ses seins, mais Cathy chercha à distinguer ce qu’elle portait d’autre comme sous-vêtements. Comme si Sandra l’avait entendue penser, elle se pencha un moment pour ouvrir un placard bas et sa robe remonta jusqu’à dévoiler un morceau de tissu rose, qui se détachait sans problème du bleu vif de la robe. Cathy sourit en observant ce petit morceau de tissu, prémisse d’un string, assurément, mais elle rougit lorsque Sandra se retourna et lui lança un sourire mystérieux. Pourtant, elle ne dit rien. Le repas fut délicieux et elles parlèrent beaucoup de Fred et de leurs expériences sexuelles. Cathy se sentit une novice à côté de Sandra, mais cela avait quelque chose d’excitant.

Finalement, elles se séparèrent vers 17h, Sandra invitant Cathy à revenir le lendemain.


Cathy fut heureuse d’arriver chez elle et de pouvoir enfin se dire qu’elle l’avait fait, qu’elle en savait un peu plus sur Fred. Dans sa tête, elle mit tout en ordre, mais garda de côté ses appréciations concernant Sandra. Quelque chose la gênait en elle, elle ne savait pas vraiment quoi. Mais elle irait le lendemain, et aurait moins de retenue concernant ses habits.


Elle monta dans la chambre et décida de se mettre un peu plus à l’aise. Lorsqu’elle était à la maison, elle préférait s’habiller avec des sous-vêtements en coton, plus légers et plus maniables, qu’avec sa lingerie en dentelle. Elle se déshabilla dans la chambre, en se regardant dans la glace, et nota que ses seins étaient quand même assez tendus. Puis, elle s’aperçut que sa petite culotte était un peu humide et elle se plut à penser que c’était l’évocation des frasques de Fred qui l’avait mise dans cet état. Elle ouvrit un tiroir et en sortit un petit slip et une brassière en coton blanc, et finit de s’habiller avec un short en jean qu’elle avait taillé à partir d’un vieux jean élimé. C’est alors qu’elle s’aperçut que ses tétons pointaient sous sa brassière. Cela l’amusa et elle commença à jouer avec les bouts de seins pointant sous sa brassière. Elle se mordit la lèvre inférieure lorsque les premières vagues de plaisir l’emplirent. Ses mains se figèrent lorsqu’elle entendit la porte d’entrée s’ouvrir et Fred lancer :



Cathy sourit et se précipita vers son armoire en se disant que, si elle était excitée, le moyen de se calmer venait d’entrer dans la maison. Elle cria :



Un râle de contentement vint d’en bas alors que Cathy ôtait ses vêtements et s’emparait d’un peu de matériel pour faire de Fred un homme heureux.


Fred se sentit à l’étroit dès qu’il vit Cathy descendre en nuisette transparente et en mini-string. Il avait beau avoir déjà enlevé son pantalon et sa chemise, il se sentit bien trop couvert avec son caleçon. Ce ne fut bientôt plus un problème, puisque Cathy s’agenouilla devant lui et abaissa cet obstacle sans rien dire. Elle murmura un petit gémissement de joie en voyant l’émoi qu’elle avait su provoquer et se lança dans une fellation magistrale, caressant son sexe de ses doigts et de sa langue. Fred posa ses mains sur sa chevelure brune et l’aida en imprimant un mouvement de va-et-vient sur cette tête délicate s’agitant au niveau de sa ceinture. Il eut du mal à la retirer de ce point lorsqu’il se sentit un peu trop proche de la jouissance, mais il parvint à la faire remonter vers son visage. Il embrassa furieusement son amante et lui arracha sa nuisette, dévoilant cette si délicieuse poitrine tendue. Il en dévora les pointes, mais elle lui gémit à l’oreille :



Pour qu’elle utilise ce vocabulaire, il fallait qu’elle soit terriblement excitée, mais lui l’était tout autant. Il la poussa contre la table et l’allongea dessus, lui écartant sans attendre les cuisses et le string, et plongeant à la découverte de son bourgeon humide. Il embrassa l’intérieur de ses jambes, puis se concentra sur le sexe demandeur, le suçant et le léchant sans respirer, se régalant de l’odeur musquée de son envie et de son plaisir. Cathy avait écarté les bras et s’accrochait aux rebords de la table si fort que ses articulations blanchissaient à vue d’œil. Elle gémissait et criait son plaisir, le suppliant de la baiser, de lui faire mal et de la prendre comme une vraie chienne. Comprenant qu’il ne devait pas faire dans la dentelle ce soir, Fred lâcha les hanches de Cathy, se redressa, s’empara de ses seins et avança son sexe dressé. Il entra en elle sans difficulté et elle eut beaucoup de plaisir en sentant le membre la ramoner de l’intérieur, explorer l’ensemble de son intimité, frotter la totalité de son sexe. Mais elle en voulait plus et il lui obéit avec envie.


Il la fit descendre de la table, lui retira son string empli de désir et lui poussa le dos en avant. Ainsi, il la prit en levrette contre la table, sans retenir ses coups de bassin. Cathy, portée par le plaisir, battait l’air, tentait de s’accrocher aux rebords de la table en vain, s’extasiait de sentir ses seins se frotter contre le table et son sexe s’irriguer de sécrétions. Elle jouit encore une fois, mais Fred n’en avait pas fini. Il la poussa cette fois-ci jusqu’au canapé, sur lequel il la fit se mettre à quatre pattes. Il put enfin faire ce qu’il n’avait eu le temps de faire le soir d’avant. Il prit à peine le temps de lécher la raie de Cathy et s’enfonça entre ses fesses. Sa fiance, encore sous le choc de son précédent orgasme, hurla son plaisir alors qu’il s’enfonçait dans ses entrailles. Il n’y resta pas longtemps car, excité par les cris de la brune ou fatigué de s’être tant retenu, il lâcha tout en elle assez vite en râlant, tendu, les muscles ankylosés, puis bascula sur le côté, s’allongeant sur le canapé. Cathy, elle, resta un moment à quatre pattes, la bouche ouverte dans une ébauche de cri de jouissance, mais finit par s’écrouler sur Fred, lui offrant ses seins tremblants. Couverts de sueur et de plaisir, ils se serrèrent l’un contre l’autre et s’assoupirent.


Cathy se réveilla à 8h le lendemain et s’étonna tout d’abord de se retrouver dans le lit conjugal, se souvenant très bien d’avoir passé la nuit dans les bras de Fred, dans le canapé du salon. Un petit mot de Frédéric la rassura : « Bonjour, ma petite chatte. Je suis parti au boulot, même si j’aurais bien voulu rester pour continuer à jouer comme hier soir avec toi. Je t’adore et je n’avais jamais été aussi excité de ma vie. Toi aussi, d’ailleurs, et tu étais tellement crevée que je t’ai portée là-haut à mon réveil, pour que tu dormes mieux et que tu ne prennes pas froid. Je suis désolé pour ton string, je crois que je l’ai déchiré hier soir. Je t’en rachèterai un cette semaine, promis juré. À ce soir, Fred. »


Cathy rit en imaginant le regard de Fred sur le cadavre de son string, puis rêvassa de son prince charmant la prenant dans les bras et l’emmenant jusqu’au lit. L’avait-il fait pour elle ?

Aussitôt, le souvenir de Sandra s’imposa à elle et Cathy bondit hors du lit. Un sourd empressement l’accapara. Elle voulait la voir le plus vite possible. Elle était tellement pressée qu’elle se retrouva en avance devant le bus, qui était presque désert ce matin. Là, elle s’inspecta dans le reflet d’une vitre, tournant sur elle-même, rajustant les bretelles de son débardeur blanc et jouant innocemment avec sa mini-jupe bleu nuit. Tout à coup, elle avisa un homme qui la regardait, assis non loin dans le bus. Il lui adressa un sourire de félicitation complice et Cathy lui répondit par un sourire enjoué, dissimulant mal le rouge qui lui montait aux joues. L’homme l’aurait sûrement abordée si le bus n’était pas arrivé à son arrêt aussi vite. La brune descendit du bus et s’en alla jusqu’à chez Sandra. Il était à peine 9h30 lorsqu’elle arriva devant la maison isolée. Cette fois-ci, elle sonna sans hésitation. L’écho lui vint, peut-être un peu plus fort, mais il n’y eut aucune réponse. Cathy se retourna, cherchant du regard une silhouette aux cheveux de jais, et, ne trouvant rien, elle sentit son cœur s’alourdir. Elle sonna encore une fois et attendit encore. Soudain, une voix l’interpella :



Sandra venait d’apparaître devant chez elle, un sécateur entre les mains.



Cathy poussa le portillon et vint faire la bise à Sandra, notant au passage comme elle était bien moulée dans un short orange et un chemisier framboise noué au niveau du nombril. Sandra fit signe à Cathy de la suivre et elles firent le tour de la maison par le jardin. Cathy gardait les yeux braqués sur le joli cul de Sandra qui se balançait, souligné par sa longue chevelure noire, et se dit que cette fille n’aimait pas dissimuler son beau corps, un peu comme elle. En effet, Cathy pouvait distinguer, non seulement la trace d’un string sur ces belles fesses, mais pouvait en voir les lanières qui pointaient au bas des hanches de Sandra, bandes noires se détachant de l’orange vif du short. Elles s’installèrent dehors, puis rentrèrent lorsque le soleil commença à se faire trop assommant. La discussion repartit bien vite sur le sexe, et notamment celui de Fred, et Cathy s’étonna elle-même en évoquant leur passe d’armes du soir précédent. Sandra avait le don pour lui faire dire tout ce qu’elle avait ressenti et comment il l’avait prise, et Cathy n’en revenait pas d’être aussi franche et crue dans ses déclarations.


Comme le jour d’avant, midi sonna et Sandra invita Cathy à rester. Cathy répliqua qu’elle ne voulait pas abuser, mais Sandra affirma que cela lui faisait vraiment très plaisir. Et la discussion continua devant le repas, puis après. Enfin, la discussion tomba sur l’amour avec d’autres femmes et Cathy se sentit gênée tout à coup. Elle regarda sa montre et voulut éluder le sujet en affirmant qu’il fallait qu’elle rentre. Mais Sandra posa les mains sur les épaules de Cathy, la bloquant sur sa chaise et la faisant frémir sous ce doux contact. Sandra continua à faire glisser sa main sur l’arête de l’épaule gauche de son invitée, jouant du petit doigt avec la bretelle de son débardeur et, en dessous, avec celle de son soutien-gorge. Puis la main descendit et Sandra, enjambant Cathy, s’assit face à elle sur ses genoux. Elles se retrouvèrent alors face à face, à quelques centimètres l’une de l’autre, leurs bassins et leurs jambes collées.

La main qui caressait son épaule passa à la chevelure de Cathy, jouant avec quelques brins de ses cheveux couleur noisette.



Cathy ne répondit pas, mais ouvrit la bouche lorsque la langue de Sandra s’avança, et leurs langues se mêlèrent pour jouer ensemble. Leurs lèvres se séparèrent comme à regret et Sandra commença à tirer sur le débardeur blanc de Cathy, libérant, sur le côté gauche qu’elle avait déjà caressé, le bonnet bleu clair et nacré dissimulant le premier sein de son amie. Sandra se pencha et embrassa la forme de ce sein bien rond et bien ferme pendant que son invitée rejetait la tête en arrière et poussait un soupir, où se mélangeait la détresse, le plaisir et la fatalité. Son soupir se transforma en gémissement lorsque Sandra abaissa le bonnet de dentelle et caressa de sa langue le téton gonflé d’appréhension et de désir.


Cathy se dit que cela était écrit d’avance, qu’elle s’était mentie depuis le début, et elle noua ses bras autour de la tête penchée de Sandra, l’attirant plus près de son sein, plus près d’elle. Elle finit de faire tomber la bretelle gauche de son soutif, pour aider Sandra, mais celle-ci se redressa, abandonnant la pointe du sein et la regarda, droit dans les yeux.



Mais Cathy ne dit rien et se contenta de passer sa main sur la chemisette nouée de son amie. Sandra sourit et défit trois boutons, bien assez pour dévoiler son soutif noir. Cathy embrassa sa partenaire, joua avec sa langue hors de ses lèvres, puis plongea dans le creux de ses seins, léchant les parois de la vallée de sa poitrine. Sandra poussa un petit gémissement et finit de défaire les boutons de son chemisier. Ensuite, elle passa ses mains sur le dos courbé de Cathy et tira sur son débardeur, révélant les attaches du soutien-gorge bleu clair. Cathy sentit les efforts de Sandra sur son débardeur et quitta sa position pour l’aider à l’enlever. Elle tendit les bras et le débardeur partit. Elle en profita pour dénouer le bas de la chemisette de Sandra et celle-ci la retira d’un mouvement d’épaule qui fit saillir ses seins. Elles frottèrent leurs soutiens-gorge en s’embrassant à nouveau et en léchant leurs visages comme des bêtes.


Puis, Sandra glissa une main entre leurs bassins déjà en mouvement et c’est seulement à cet instant que Cathy se rendit compte que leurs premiers ébats avaient relevé sa mini-jupe. Elle sentit un doigt glisser sur son string bleu clair, un doigt qui suivit sa fente avec justesse, la faisant fondre littéralement. Le doigt finit par s’infiltrer dans le string et ressortit presque aussitôt lorsque Sandra murmura à l’oreille de sa partenaire :



Pour toute réponse, Cathy lui prit la main et la refit descendre vers sa culotte. Cette fois, Sandra fit glisser sa main dans le string et Cathy sentit bien vite deux doigts s’enfoncer en elle, sans difficulté tant son excitation était grande. Ils en ressortirent peu à peu et Sandra les lécha un peu, avant de les glisser dans la bouche de Cathy. Lorsqu’elle les retira, sa langue prit la place, puis Sandra se recula un peu et murmura :



Sandra se retira de sa position sur les genoux de Cathy et la prit par la main. Cathy se cogna contre la table, et ce contact lui fit penser à la soirée précédente. Allait-elle trahir Fred ? Mais non, pour elle, il n’y avait pas de trahison. Faire l’amour avec l’ex de Fred, c’était comme faire l’amour avec lui. Et elle la désirait tellement.

Sandra la conduisit jusque dans la chambre, mais la plaqua contre le premier mur venu. Elles s’embrassèrent passionnément, puis les baisers de Sandra descendirent dans son cou, sur ses seins encore couverts, sur son nombril, puis passèrent sous sa jupe. Sandra s’amusa à embrasser les zones nacrées du string, celles plus au centre, délaissant le tissu bleu clair qui dissimulait des zones moins érogènes. Cathy gémissait sous ses baisers et massait son sein gauche émergé de sous son soutif. Elle jouait avec sa pointe tendue alors que la langue de Sandra venait s’infiltrer sous le barrage du string pour venir exciter son sexe humide. Cathy repéra soudain le mouvement d’un des bras de Sandra et comprit que son amante se caressait en lui offrant sa gâterie. Aussi, elle prit la tête de Sandra cachée sous sa jupe et la releva. Puis, elle s’agenouilla et finit de déboutonner son short.


Elle trouva alors un très joli string noir et se mit à l’embrasser follement, faisant se tortiller de plaisir sa propriétaire. Le short tomba et Sandra releva Cathy avant qu’elle n’ait pu lui lécher son sexe envieux derrière le string. La mini-jupe de Cathy tomba également et Sandra emmena sa compagne sur le lit où elles s’allongèrent ensemble, en sous-vêtements, se frottant l’une contre l’autre en s’embrassant. Cathy s’abandonnait totalement aux plaisirs saphiques qu’elle n’avait pas eu l’occasion de pratiquer depuis bien des années. Bientôt, elle sentit son soutien-gorge partir et la langue de Sandra passer de l’un à l’autre de ses seins, décrivant de petits cercles autour de ses aréoles, donnant de petits coups aux tétons dressés. Cathy, qui avait pris le dessus du couple, fut alors renversée en arrière par son amante et resta immobile, bras et jambes écartés, seulement protégée de son string bleu nacré qui se tâchait d’envie et de salive. Devant elle, Sandra se mit à genoux, décrocha son soutien-gorge et dévoila enfin ses superbes seins en forme d’obus, aux pointes dressés et au port arrogant. Puis, Sandra s’empara du string de Cathy et le tira tout le long des jambes de la mannequin, révélant son sexe avide et mouillé. Dès que le string en dentelle fut parti, Sandra se mit à embrasser l’intérieur de ses cuisses, de gauche à droite puis de droite à gauche, avant de converger vers l’antre intime de Cathy qui n’attendait que cela. Elle gémit lorsqu’elle sentit la langue de Sandra glisser sur ses lèvres intimes et s’emparer de son mont de Vénus. Cathy gémit :



Sandra releva la tête, lui adressa un baiser, et retourna la lécher. Cathy reprit ses petits cris, massant sa poitrine tendue, et sentit bientôt un doigt, puis deux, entrer dans son sexe, soutenus par la langue de Sandra. Cathy se mit à crier, à l’inviter à aller plus fort et plus profond, à la sucer bien fort et à la baiser bien à fond. Sandra souriait à ces cris et ne retira ses doigts du sexe que lorsque Cathy eut joui une première fois. Elle se redressa alors, fière d’elle, mais ne s’attendait pas à ce que Cathy revienne aussi vite à la charge. En effet, Cathy se redressa vivement et s’empara des seins de son amante, les mordillant avec violence, jouant de sa langue avec les tétons excités. Sandra, surprise, poussa plusieurs gémissements et commença à haleter lorsque la main de Cathy entra dans son string noir. Sandra sentit deux doigts se glisser en elle et envahir sa vulve, caressant ses zones sensibles et recueillant avec préciosité sa mouille. Sous les caresses, Sandra se laissa aller, laissant ses seins aux lèvres de Cathy et enlevant progressivement son string à force de coups de bassin. Elle fint par jouir elle aussi et Cathy et elle partagèrent leur salive avec appétit. Puis, allongées l’une sur l’autre, leurs genoux collés contre leurs sexes, elles se frottèrent jusqu’à atteindre un nouvel orgasme, cette fois-ci mutuel, qui les laissa vaincues, épuisées mais rayonnantes.