Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 07276Fiche technique16635 caractères16635
Temps de lecture estimé : 10 mn
18/04/04
Résumé:  Première expérience de triolisme (fhh) pour un couple libertin
Critères:  fhh couplus hotel amour double sandwich fdanus champagne init
Auteur : Jimharris
Premier trio




Depuis quelques années Dalva et moi, François pour l’état-civil, nous pratiquons l’échangisme pour notre plus grand bonheur. Ces parenthèses coquines ravivent la flamme de l’amour et entretiennent notre libido. Dans ces moments torrides nous sortons de nos coquilles d’homme et de femme « comme il faut » pour endosser le temps d’une soirée les habits de libertin.

Au fur et à mesure de nos rencontres Dalva, mon épouse, prenait de plus en plus de plaisir à être caressée, léchée, embrassée par deux partenaires à la fois.


Petit à petit l’idée du triolisme s’est établie dans mon esprit et je m’en ouvrais à Dalva, tout d’abord surprise puis séduite elle me laisse organiser le recrutement du candidat, gardant jusqu’au bout son droit de retrait.

Une petite annonce plus tard sur Internet et c’est une avalanche de propositions qui envahit mon ordinateur. Une fois les illuminés, les phantasmeurs de tous poils éloignés, Dalva porte son choix sur Éric, 33 ans 1.83m, sportif. Quelques échanges téléphoniques permettent de nous connaître, nous nous retrouvons attablés devant un verre à la terrasse d’un café un samedi soir.


Nous avons convenu d’un code entre Dalva et moi, si d’aventure elle ne trouvait pas Éric à son goût elle lui serre la main en guise de bonjour, si au contraire elle craque sur notre futur ami, elle lui fait la bise en guise de bonjour. Comme de bien entendu Éric n’a pas menti et c’est avec une bise qu’elle lui souhaite la bienvenue !

Après un discret regard elle me fait signe que nous pouvons aller plus loin et c’est autour d’une table que nous poursuivons la soirée. Il est drôle, amuse beaucoup Dalva de ses bons mots lors du repas.


Il est temps pour moi de vous décrire Dalva, petite, 1m58, menue, 42kg, des petits seins, 85A, bien fermes accrochés haut sur son torse, que nul soutien-gorge entrave pour la circonstance, j’ai en effet horreur des marques disgracieuses laissées par cet accessoire. Les cheveux courts, châtain clair, des yeux verts qui soutiennent le vôtre, elle ne fait pas ses quarante printemps. Musclée par la pratique intensive de l’équitation, elle ne porte aucune trace de ses trois grossesses, son ventre est plat, ses fesses fermes. Sous sa robe légère elle ne porte rien à ma demande et nul obstacle cache les trésors de sa féminité. Son sexe aux lèvres finement dessinées est intégralement rasé pour ces soirées ou le libertinage est le maître mot.


Je propose alors à Éric de boire une coupe de champagne dans la suite de notre hôtel, situé à quelques pas de là, si toutefois il trouvait Dalva à son goût. En guise de réponse il la regarde longuement et nous déclare qu’il serait ravi de poursuivre cette soirée et ajoute qu’il est très heureux d’avoir réussi son examen de passage. Dalva se lève tout sourire, et nous prenons le chemin de l’hôtel, poursuivant notre conversation, Dalva entre nous deux, souriante et heureuse de sa victoire.


Installés confortablement dans un canapé Éric et moi plaçons Dalva entre nous. Une coupe de champagne à la main les propos se font plus légers, plus orientés sexe. L’air est doux, la température de ce mois de juin est supportable, l’éclairage tamisé augmente encore la charge érotique de cette rencontre.


Dalva déclare qu’elle aime que l’on s’occupe d’elle et Éric avoue être un grand timide, un ange passe les ailes chargées de désirs contenus, je prends alors les choses en main et donne le coup d’envoi de cette joute amoureuse.


J’embrasse passionnément mon amour et parcours de mes mains sa poitrine, son ventre au travers de sa robe, elle soupire et son souffle s’accélère. Je caresse délicatement les jambes de Dalva faisant remonter lentement sa robe et découvrant de ce fait ses cuisses, remontant toujours plus haut, Éric peut enfin contempler le sexe de Dalva. Je déboutonne mon pantalon et je sors ma verge à demi gonflée par le désir, doucement j’incline la tête de ma chérie en direction de mon bas-ventre et elle écarte les lèvres et débute une fellation digne des plus grandes actrices du porno. Éric s’enhardit et caresse les genoux de Dalva, puis remonte jusqu’à son sexe détrempé.


J’interromps sa caresse et je me débarrasse de mon pantalon et de mon caleçon j’invite ma femme à se lever pour l’embrasser passionnément, Éric se lève à son tour, se déshabille prestement et doucement je pousse Dalva toujours accrochée à mes lèvres vers notre partenaire, il caresse doucement ses seins à travers l’étoffe de sa robe. J’interromps notre baiser et je la fais pivoter lentement face à Éric.


Elle se dresse sur la pointe des pieds et l’embrasse tandis que je remonte sa robe et écarte largement son décolleté et se retrouve offerte à notre convoitise. Elle contemple alors le sexe de notre ami et instantanément sa chatte s’humidifie encore plus. En silence, je la saisis par le bras et la couche en travers du grand lit, nous lui enlevons ses escarpins tout en caressant son corps souple et nerveux, ne désirant pas briser le charme, sans nous consulter, nous lui gardons sa robe réduite maintenant à une ceinture. Les yeux fermés, le souffle court, alanguie et impatiente à la fois nous commençons à la couvrir de baisers et de caresses. La charge érotique contenue depuis le début de notre soirée se libère brusquement, Dalva gémit sous l’océan de plaisir qui la submerge.

Allongée sur le lit, son sexe parfaitement lisse est humide de désir, son ventre est agité de soubresauts, elle se concentre sur le plaisir que nous lui donnons. Dalva engloutit mon sexe turgescent tandis qu’Éric lui caresse les seins puis lui lèche la vulve ce qui lui déclenche chez elle un orgasme foudroyant. Je me retire du fourreau humide de ses lèvres pour caresser à mon tour son ventre, Éric interrompt son cunnilingus et, se redressant présente à son tour son pieu de chair aux lèvres de mon amour.


Nous lui présentons comme une offrande nos sexes distendus par le désir pour qu’elle nous suce, moi et son amant, comme elle vient de me le faire.

Celui d’Éric est incroyablement dimensionné et pourtant je n’ai pas été oublié par dame Nature lors de la distribution ! Il doit mesurer 22 cm pour 6cm de diamètre !


Dalva engloutit l’objet de ses désirs tandis que je lui embrasse son mignon petit clitoris. Chavirée par le plaisir, elle me supplie de la prendre et demande à Éric de ne pas bouger, pour elle comme pour moi c’est une première ! Elle suce Éric tandis que je la besogne avec ardeur, ses jambes au creux de mes bras. La position n’est pas des plus confortable, aussi je me retire après avoir indiqué d’un regard à Éric, les préservatifs sur le chevet du lit.


Lorsqu’il pénètre Dalva celle-ci écarquille les yeux, ouvre grand la bouche et pousse un long cri de plaisir, surprise à la fois par la taille du sexe d’Éric et par la vigueur de notre ami, elle enchaîne un nouvel orgasme et s’effondre le souffle court.


Lui comme moi n’avons pas joui et sommes surpris de la soudaineté de cet orgasme. Nous reprenons nos esprits et une coupe de champagne, la glace est rompue, nous sommes tous sourires, la pression retombe.

Dalva nous abandonne un instant, le temps pour elle de prendre une douche réparatrice et d’ajuster sa robe puis nous retrouve dans le canapé.


Elle entreprend de nous caresser tout en parlant d’amour et de plaisirs. Un sexe dans chaque main, nous ne tardons pas à bander de plus belle, elle nous suce alors alternativement tout en maintenant ses caresses, nous ne tardons pas à vouloir autre chose que sa bouche et ses mains.


Nos gémissements vont crescendo et sentant nos sexes palpiter sous les caresses de sa langue, Dalva nous demande de ne pas jouir dans sa bouche. Sachant que dépasser les limites briserait le charme de cette soirée nous acquiesçons. Dalva est la reine de la soirée et nous sommes ses serviteurs, ses valets, ses amants respectueux. Bien vite le désir de jouir nous submerge aussi annonçant l’arrivée de ma jouissance, elle nous propose de changer de position. Éric, plus résistant que moi annonce de son côté qu’il aimerait que Dalva continue à le sucer.


Je la place en levrette, position que nous raffolons tous les deux.

D’ordinaire dans cette posture elle n’a que l’oreiller pour étouffer ses cris, Éric se plante alors devant elle et lui offre à sucer son sceptre orgueilleusement dressé. Sans l’ombre d’une hésitation elle suce le sexe qui lui fait face mais bien vite il nous faut coordonner les mouvements, un puissant haut le cœur la saisit lorsque nous ne sommes pas en phase.


Le spectacle qui s’offre à mon regard est merveilleux, je tiens ma chérie par les hanches, la besognant comme jamais alors qu’elle s’agrippe au sexe d’Éric comme si sa vie en dépendait. Je ne tarde pas à jouir en longs jets puissants déclenchant ainsi un orgasme qui l’oblige à éjecter le membre d’Éric de sa bouche tout en le tenant fermement.


Je me retire du ventre de Dalva et Éric enfile prestement un préservatif et s’enfonce dans le sexe inondé de ma femme. Je les regarde prendre du plaisir un immense sentiment de bonheur contenu, je fais un détour par la salle de bain et de retour sur la scène je lui présente mon sexe qu’elle me suce avec application.


Dalva jouit de nouveau en même temps que son amant, mais ne lui accordant pas de trêve je m’empare de son sexe liquéfié. La voici repartie dans un nouvel orgasme tandis que notre compagnon la couvre de baisers.

Chavirée par tant de plaisirs nouveaux elle nous demande grâce et me demande du champagne, elle si sobre, veut étancher sa soif !

Allongée, sur le lit, Dalva se laisse aller aux caresses d’Éric qui alterne baissers chauds et humides sur sa peau avec les délicates pressions de son verre glacé. Nous rions de ce petit jeu, tout en discutant de nos émerveillements respectifs.


La soirée avance lentement et nous enchaînons les positions les plus osées.

Dalva, apprécie la sodomie, aussi germe dans mon esprit l’idée d’une double pénétration anale et vaginale en même temps.


Pour la préparer à cette éventualité je la couche sur le côté et je lui caresse les reins de ma langue tout en descendant lentement en suivant le sillon de ses fesses. Elle se cambre et s’offre ainsi à ma langue et gémit lorsque j’atteins sa petite rosette, l’effet de cette caresse sur ma chérie est immédiat. J’introduis délicatement mon majeur préalablement lubrifié de salive et un soupir d’aise s’échappe de ses lèvres. Elle s’enhardit et dans un souffle me lâche un « c’est bon » lourd de promesses. À cet instant je lui relève la jambe et me redressant je présente mon pieu face à son petit trou palpitant. Une noix de gel sur ma queue distendue et je pousse lentement. Éric lui tient la jambe relevée alors que mon gland franchit le délicat passage, je l’embrasse passionnément. Elle gémit, abandonne ma bouche et se mord les lèvres, la pénétration n’est pas douloureuse en sois, mais elle se retient, attendant l’arrivée du plaisir.


Je la pénètre maintenant de toute ma longueur et elle ne retient plus ses cris de jouissance, elle ondule du bassin allant au-devant de la verge qui la prend. Je ne tarde pas à jouir sous le regard excité de notre ami.


Éric s’étonne de la voir prendre du plaisir prise par derrière lui demande comment elle est venue à apprécier la sodomie. Dalva lui explique que bien préparée, elle aime se sentir soumise et en me regardant souligne de quelle manière je lui ai fait découvrir ce plaisir. Je profite de cette conversation pour évoquer le souvenir d’une soirée libertine avec un couple. Nicole c’était fait prendre en sandwich par Michel son mari alors qu’elle était empalée sur moi. Ce souvenir avait troublé Dalva mais elle n’avait pas accepté notre invitation et ce, malgré la description de Nicole qui affirmait avoir tiré une jouissance fantastique de cette double pénétration. Un silence s’installe, mes doigts caressent le mamelon d’un sein et Dalva frissonne sous la caresse. Je m’allonge et lui demande de venir assise sur moi les jambes de part et d’autres de mon bassin. Je présente une nouvelle fois mon sexe dressé entre ses fesses et elle descend doucement s’empalent littéralement sur moi. Dalva se met à gémir très fort et une fois descendue complètement elle écarte ses cuisses et offre le spectacle de ma verge prisonnière de son petit trou à Éric. Ce dernier se positionne face à ma chérie et présente le gland encapuchonné d’un préservatif devant son sexe. Il pousse énergiquement et aussitôt je ressens au travers la fine paroi son sexe massif qui envahit l’intimité de ma chérie.


A ce moment Dalva lâche un OOOUUUIII !!! Comparable au cri d’une bête blessée. Éric stoppe immédiatement sa pénétration et dans un râle de bonheur elle nous dit « défoncez-moi, DEFONCEZ-MOI ! J’EN AI TROP ENVIE ! ».


Les contractions de son ventre se font plus fortes, elle m’adresse des paroles d’encouragement syncopées de cris de jouissance. Le lit se transforme en autel de plaisirs ou les trois partenaires atteignent rapidement le nirvana.

Une fois mon pubis collé à ses petites fesses tout entier prisonnier de son ventre, je ne peux bouger ma verge et c’est Éric qui donne la cadence. Dans un grand cri Dalva nous supplie de ne pas arrêter et de poursuivre encore et encore. Nous la prenons d’un seul mouvement et tel un fantastique animal munis de deux verges, nous la besognons en cadence. Le plaisir est intense, je dois cramponner Dalva qui dans son élan vient au-devant d’Éric, s’enfonçant ainsi mon sexe au plus profond de son ventre, elle reçoit les vigoureux assauts de son amant et donne des grands coups de rein afin de mieux nous sentir. Une vague de jouissance prend naissance au creux de mes reins et c’est en éjaculant que je déclenche l’orgasme de Dalva, Éric nous accompagne et nos deux verges lâchent leur semence en de puissants jets, alors que notre maîtresse s’effondre en hoquetant de plaisir.


Quel bonheur, quel plaisir, la jouissance est extrême, personne ne parle, nous sommes étourdis par tant de sensations. Ce premier Sandwich est pour Dalva une découverte, recevoir tant de plaisirs par deux hommes en même temps. Pour ma part je suis subjugué par tant de sensations ressenties, comment avoir ignoré cette expérience depuis si longtemps ? Éric, pour sa part est enchanté de cette expérience, il n’imaginait pas un instant participer à une telle débauche de jouissance !


Ensemble nous caressons Dalva qui cherche son souffle, le corps couvert de sueur, les cheveux collés par la transpiration, les pointes de ses seins témoignent encore de son degré d’excitation.

Nous reprenons peu à peu nos esprits, Dalva a les yeux embués de plaisirs, un mince filet de sperme s’échappe de son petit œillet qui se referme peu à peu. Je l’embrasse tendrement, elle me rend ses baisers, le corps secoué de spasmes.


Éric, en parfait gentleman comprend que maintenant son rôle est terminé. Il se retire discrètement dans la salle d’eau et réapparaît quelques minutes plus tard habillé. Je consulte ma montre il est deux heures du matin, nous avons jouis 4 heures durant tous les trois ! Je saute à mon tour dans mes habits et le raccompagne dans le hall de l’hôtel, non sans que Dalva le gratifie d’un tendre baiser.

Épilogue :


Nous échangeons un au revoir plein de promesses de retrouvailles.

De retour dans la chambre Dalva sirote un jus d’orange puisé dans le mini bar, elle me propose une ultime coupe de Champagne, se retourne et me découvrant ses trésors de femme amoureuse me dit alors : « Chéri, fais-moi l’amour ».


La parenthèse se referme, je l’embrasse tendrement, lui murmure des mots d’amour, la caresse comme au premier jour, et Dalva, amoureuse comme jamais, s’offre à moi.



Fin.