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n° 07277Fiche technique11208 caractères11208
Temps de lecture estimé : 7 mn
18/04/04
Résumé:  En vacances chez une copine, l'étalage de crême solaire dégénère...
Critères:  fh copains vacances piscine cunnilingu pénétratio fdanus
Auteur : Jaybee
18 août





Assis au bord de la piscine, je tournai la tête et regardai Claire s’asseoir à côté de moi. Elle retroussa sa jupe, dénudant ses longues jambes au galbe parfait, et plongea les pieds dans l’eau. Elle portait un petit débardeur blanc qui moulait sa poitrine ronde et opulente dont les tétons pointaient.

J’entamais le troisième jour d’infidélité à la famille d’Erwan chez elle. Claire était une amie de vacances, à qui les parents avaient laissé les clefs de la maison. C’était une excellente amie et nous avions failli avoir une aventure mais pour je ne sais quelle raison, cela ne s’était pas produit, et depuis, nous nous entendions très bien. Ce qui ne m’empêchait pas, de temps en temps, d’espérer…



Je la pris par la taille et la poussai à l’eau. Elle eut le temps de m’insulter avant de boire la tasse. Elle refit surface pour être éclaboussée par ma bombe. Nous jouâmes à nous couler, s’attrapant, s’agrippant l’un à l’autre et faisant toutes sortes de prises pour se faire couler. Nous frôlions nos parties intimes sans faire exprès, mais bientôt, l’excitation aidant, je lui touchai les seins, les fesses laissant traîner mes mains sur son corps. Elle me tripotait le sexe et le derrière, réveillant une érection longtemps contenue.

Nous cessâmes nos jeux aquatiques et Claire sortit de la piscine. Ses vêtements lui collaient à la peau, dévoilant son superbe corps plus que si elle était nue. Je m’accrochai au rebord et l’admirai.



Elle fit néanmoins glisser sa jupe au sol, révélant un string noir qui lui fendait ses fesses rebondies et fermes. Elle enleva son débardeur, faisant tressauter ses gros seins nus aux tétons tendus. Elle prit une pose aguichante, très playboy.



Claire alla s’allonger sur une des chaises longues, offrant son corps au soleil. Sa peau semblait briller, perlée d’eau. Je sortis à mon tour de la piscine et m’approchai de la seconde chaise. Je me rinçai l’œil au passage, discrètement.



J’attrapai le tube de crème, rapprochai ma chaise et me préparai.



Je lui versai un peu de crème sur le ventre et commençai à l’étaler. Claire avait la peau douce, chaude. Je lui massai le ventre délicatement, appréciant sans doute autant qu’elle le contact.



Je la regardai, étonné. Elle avait les yeux fermés, un petit sourire aux lèvres.

Je lui touchai les seins. Ils étaient tendres, moelleux et ses tétons durs sous ma paume. Je les malaxai, commençant à sentir mon sexe se raidir. Claire releva les bras, redressant sa poitrine.



Ce que je fis, m’asseyant sur le bord de sa chaise. Je la pelotais ni plus, ni moins maintenant, ses deux gros seins en mains, frôlant ses tétons. Gêné par mon érection, je passai à ses jambes, pensant calmer mon excitation. Mais Claire écarta les cuisses, pliant un genou, tellement érotiquement que mon sexe fit un bond. Le triangle de tissu enveloppait à peine son pubis et lui rentrait entre les lèvres. Mon érection était douloureuse. Je lui massais les cuisses, remontant vers son entrejambe, frôlant au passage son sexe dans son string trempé. Avait- il déjà séché ou pas ? Claire baissa son dossier.



Toujours évitant mon regard, Claire se retourna et je m’occupai de son dos, me calmant un petit peu. Je passai de nouveau à ses jambes qu’elle écarta encore plus que nécessaire, m’offrant une vue splendide sur son entrejambe.



Fasciné et n’y croyant pas, je tirai sur la ficelle, la sortant de sa raie et mettant à nu son minou rasé. Je repris mon massage avec beaucoup de mal, tant mon érection était énorme. Je continuai d’une seule main, me caressant la tige de l’autre, espérant qu’elle ne tourne pas la tête. Ses fesses étaient douces, fermes et je suivis leur courbe. Claire ne disait rien, écartant simplement les cuisses, entrouvrant ainsi ses lèvres humides.

Je fis couler de la crème sur ses fesses, l’étalant, glissant un doigt dans sa raie, innocemment. Je frôlai son petit anus serré. Devant son silence, j’insistai, le titillant, le badigeonnant.



Claire ouvrit encore plus les cuisses, surélevant un peu sa croupe.



D’une main, elle s’écarta une fesse, me présentant son anus. Doucement, j’enfonçai mon doigt huilé, sentant son sphincter se serrer. Il était chaud, douillet et, n’y tenant plus, j’ouvris mon short et me branlai. Claire gémissait faiblement, s’agrippant au dossier de la chaise, bougeant légèrement le bassin. J’agitai mon doigt dans son cul.



J’enlevai mon short et m’allongeai sur son dos, calant ma queue contre sa raie.



Je me frottai à elle, me lubrifiant à ses fesses pleines de crème.



Mon sexe glissa entre ses cuisses et trouva son petit trou. Je poussai et mon gland la pénétra. Elle était serrée mais je l’enfilai lentement et doucement, lui arrachant un râle de plaisir. Sentir ses fesses m’excitait vraiment et je commençai à limer sa chatte avec volupté. Nous haletions fiévreusement, Claire se poussant vers mes coups de butoir et moi me tirant au dossier pour mieux lui défoncer le sexe. Je la faisais gémir avec des mouvements amples et profonds, cognant son vagin avec force. Nous râlions de plus en plus fort. Claire se mit à crier de plaisir, lançant et soulevant son bassin contre ma queue. Je claquai ses fesses violemment, sentant sa chatte m’enserrer. Je ne résistai plus et, sortant de son corps, lui éjaculai sur les fesses, m’affalant sur son dos. Elle jouit dans de grands cris, les ongles plantés dans mon derrière pour me presser à elle.

Nous restâmes ainsi un moment, reprenant nos esprits et nos respirations, nous caressant. Je déposai des baisers légers dans son cou, sur ses joues.



Je sortis de son corps et m’assis, admirant sa croupe au bout de ma queue. Je me penchai et embrassai ses fesses, les mordant, salivant sur sa peau nue, douce et huilée.



Elle se rallongea sur le dos, posant les pieds de part et d’autre de la chaise longue, ouvrant ses cuisses. Ses lèvres entrouvertes luisaient, ruisselantes de sa mouille. Je me penchai et, délicatement, déposai un baiser sur sa petite fente.

Claire frémit, ses cuisses se recouvrant de chair de poule. Je lapai ses petites lèvres, titillant son bouton de la langue. Elle me griffa la tête, m’attirant entre ses cuisses, avançant le bassin, gémissante. Je glissai la langue plus profondément en elle, la tournant, retournant, lui arrachant des frissons de plaisir.



Je la léchai un bon moment, la buvant avec volupté, lui donnant orgasme sur orgasme. Elle me serrait la tête entre ses cuisses et le contact de sa peau nue me redonna vigueur et envie.

Je m’assis et soulevai son bassin, l’attirant à moi. Je la pénétrai doucement et, la tenant par les hanches, la fit aller et venir sur mon sexe.

Claire gémit longuement, se pinçant les seins et écartant les cuisses tant qu’elle pouvait.



Je la redressai et l’enlaçai, écrasant ses seins contre moi. Je la caressai tendrement, pelotant sans retenue ses fesses, l’aidant à me chevaucher plus fort et plus vite. Claire m’embrassait partout, salivait dans ma bouche, me mordait le cou. Je glissai un doigt dans sa raie et titillai son petit trou du cul, la faisant accélérer ses mouvements sur ma queue. Elle râlait de plus en plus, me griffait le dos, frottait sa poitrine à mon torse.



N’attendant que ça, je la sodomisai d’un coup, son sphincter m’emprisonnant le doigt. Elle sauta alors comme une folle sur ma bite, m’arrachant des râles de plaisir.



Je ne pus résister à sa chevauchée sauvage et lâchai toute ma jute au fond de son corps. Je la serrai contre moi, agitant mon doigt dans son cul, sentant ses orifices palpiter sur mes membres.

Nous nous embrassâmes fougueusement, nous pelotant les corps moites.



Je la regardai, étonné. Ses yeux brillaient d’envie et je la doigtai alors fiévreusement, son corps vibrant contre le mien. Elle se cramponnait à moi, tendant le bassin à la rencontre de mon doigt.

Claire ne tarda pas à jouir encore, m’étouffant presque entre ses bras. Elle me lécha le visage, salivant dans ma bouche, me caressant le visage.



Elle se rallongea, m’entraînant sur elle. Nous nous caressâmes, reprenant nos esprits et nos souffles. Je ne me lassais pas de sa peau nue et moite.