n° 07285 | Fiche technique | 14158 caractères | 14158Temps de lecture estimé : 9 mn | 19/04/04 |
Résumé: Ma femme me présente une amie. | ||||
Critères: ffh voir hmast cunnilingu anulingus pénétratio jeu | ||||
Auteur : Histochris Envoi mini-message |
Ma femme a une amie, très proche. Elles se connaissent pourtant depuis peu. Sophie a surgit dans notre vie, il y a quelque temps seulement. Elle est célibataire. Je sais qu’elles se sont rencontrées chez le coiffeur où travaille Sophie. Mon épouse m’en parle tout le temps. Sophie ceci, Sophie cela.
Tout ceci a fini par éveiller mon attention et pour tout dire, mes soupçons. Je sentais ma femme attirée par cette Sophie. Mes soupçons furent confirmés le jour où alors que nous faisions l’amour, et que ma femme me demandait de lui dire des choses excitantes, je lâchais :
Aussitôt je sentis que j’avais visé juste. Je continuais. En quelques phrases de plus en plus crues, ma femme atteignit l’orgasme.
Quelques jours après, alors que nous faisions des courses en nocturne, nous tombâmes nez à nez avec Sophie. C’était une brune, assez grande, avec de beaux yeux clairs. Elle avait une belle poitrine, qui évidemment retint toute mon attention. Elles discutèrent un moment, et à nouveau je sentis qu’entre elles quelque chose se passait. Je les écoutais, sans cesser de détailler cette belle fille, séduisante.
Nous laissâmes nos courses sur place et quittâmes le magasin. Dans ce grand centre commercial, il y avait plusieurs brasseries. J’en choisis une dont je connaissais l’ambiance feutrée, les lumières tamisées. Nous nous installâmes tout au fond dans un box.
J’avais placé les deux filles l’une à côté de l’autre. Elles étaient serrées l’une contre l’autre car la banquette était petite.
Nous commandâmes à boire. La conversation partit facilement car, toutes les deux bavardes, elles étaient intarissables. Nous rions bien, l’ambiance était très détendue. Je trouvais Sophie très sympathique et attirante. Elle était adossée à la banquette, et sa poitrine me narguait.
Leurs visages étaient à quelques centimètres, l’un de l’autre. Leurs regards fixes, trahissaient leur émotion. Inutile de vous dire que je la partageais.
Sophie s’approcha encore de ma femme et là, juste devant moi, je vis leurs lèvres se toucher. Sophie ne semblait pas du genre passive, car rapidement, elle transforma ce petit baiser en baiser torride. Je vis leurs langues se chercher. À la table d’à coté, un trio masculin regardait la scène. Ils firent quelques commentaires à voix haute. Plutôt que de refroidir l’ambiance, ces mots eurent l’effet inverse. Sophie entoura ma femme de ses bras et l’attira contre elle, pour un baiser encore plus torride.
Cette étreinte publique commençait à me gêner un peu.
Je payais et nous quittâmes le restaurant. Les trois hommes exprimèrent leurs regrets et eurent des mots crus à l’adresse des deux femmes.
Nous prîmes notre voiture. Elles étaient toutes les deux assises derrière. Sophie avait passé un bras autour des épaules de ma femme. Dans le rétroviseur, je voyais sa main, glissée sous le tissu à fleurs, qui jouait avec la poitrine de ma femme, qui lui lançait des regards amoureux. Elle semblait totalement fascinée par Sophie. Je la sentais heureuse de cette expérience fantastiquement érotique.
Nous prîmes l’ascenseur. Nous habitons au 10ème étage. Dès que la porte fut fermée, elles se collèrent l’une à l’autre. Je souhaitais rester témoin et me retenait de ne pas me jeter dans la mêlée.
J’ouvris la porte de l’appartement. J’étais perturbé car alors que je tâtonnais nerveusement, elles, encore enlacées, s’embrassaient encore, leurs ventres soudés l’un à l’autre par le désir. Sophie avait relevé la jupe de ma femme. Elle portait un collant couleur chair et pas de culotte comme j’aime.
Je finis par ouvrir la porte. Nous entrâmes, elles titubèrent dans l’entrée, comme deux marins ivres, un soir d’escale. Mais la l’ivresse venait du désir, de leur appétit sexuel.
Sophie poussa ma femme sur la commode de l’entrée. Elles firent tomber un bibelot. Ma femme à moitié couchée sur le plateau du meuble, attira la tête de Sophie vers sa poitrine.
Ce que fit Sophie. Tout en tétant le sein offert, elle passait sa main entre les cuisses de ma femme, sur le collant, massant la chatte.
Je regardais et découvris l’état de ma femme. Sur le collant s’étalaient les sécrétions de son corps. Les poils de sa toison noire semblaient tout collants.
Je ne pus les retenir à distance. Ma femme se jeta sur Sophie, et encore enlacées, elles se dirigèrent vers le grand canapé. Elles s’y vautrèrent.
Sophie sans plus attendre, se dépêcha de déshabiller mon épouse qui, non seulement se laissa faire, mais l’aida à littéralement arracher ses vêtements. Il ne lui resta bientôt plus que son collant. L’entrejambe était trempé. Sophie se pencha vers les seins tendus de ma femme. Elle souleva son tee-shirt blanc et dévoila sa poitrine. Elle devait faire un bon 95. Les deux poitrines se soudèrent, entraînant un double gémissement chez les deux propriétaires. Elles se frottèrent, leurs tétons s’accrochant. Lentement, Sophie glissa caressant le ventre avec ses seins, puis l’entrejambe. Son visage arriva entre les cuisses de ma femme. Celle ci appuya sur la tête et la plaqua sur son sexe.
Sophie, au travers de la dernière barrière du collant, plaqua sa bouche sur les lèvres. Elle lécha un peu le jus qui la tapissait. Ma femme ondulait sur le canapé de cuir, tendant son ventre vers cette bouche avide. Elle donnait des coups de reins violents.
Sophie, sans doute trop pressée, décida d’abattre le dernier rempart qui la séparait de son objectif. Elle tira sur le collant que j’entendis se déchirer. Elle l’ouvrit, jusqu’à dévoiler la toison humide. Elle contempla sa proie. Ses doigts écartèrent les lèvres épaisses de ma femme, elle tendit sa langue vers les chairs roses et brillantes. La réaction de ma femme fut instantanée et violente, elle rugit carrément et arqua son corps.
Je pris place dans le fauteuil, face au canapé, spectateur attentif de leur passion.
La langue faisait des miracles et plongeait profondément dans le sexe béant. La séance dura un long moment. Sophie avait encore sa jupe. Cela ne me convenait pas, d’autant plus que sa croupe large et ses fesses rebondies m’attiraient. Je me levais et pendant qu’elle lapait la chatte de mon épouse, j’entrepris de défaire la fermeture de sa jupe. En me sentant, elle se retourna, puis reprit son activité. Je réussis à lui ôter sa jupe. Elle portait une culotte blanche. Entre ses cuisses, le coton blanc était plus foncé par l’humidité de son sexe. Je lui retirais aussi sa culotte. Elle avait une chatte assez poilue. Je repris ma place dans le fauteuil. Sophie retira les restes du collant de ma femme. Elles étaient maintenant debout dans le salon, face à moi. J’avais sorti ma bite qui était bien tendue.
Notre salle de bains est effectivement un endroit où il est agréable de faire l’amour car il y a miroirs partout et qu’elle spacieuse.
Nous nous retrouvâmes tous les trois nus, dans la pièce au carrelage blanc. Les deux femmes, encore passionnées, n’attendirent pas longtemps pour reprendre.
Ma femme, sans doute gênée, s’assit sur les toilettes.
Ma femme hésita. Sophie remit sa langue en elle. De temps en temps, elle l’encourageait de la voix, allez vas-y j’aime ça.
Alors ma femme se libéra, le jet d’urine claire, jaillit de son ventre. Sophie, bouche ouverte, reçut le liquide chaud dans sa bouche. Je vis qu’en même temps, elle se massait les seins ruisselant d’urine. Elle en pinçait les bouts, les tirait sans douceur, en gémissant sous cette douche dorée. Ma femme se vida entièrement sur son amante. J’étais subjugué par ce que je venais de voir. Ma bite coulait de façon incroyable.
C’est alors que Sophie reprit les choses en main. Elle se releva. Ma femme se retrouva allongée sur le dos. Sophie vint chevaucher son visage et lui offrit son sexe. Je me plantais à nouveau, dans la chatte de ma femme. J’avais la croupe de Sophie, maintenant à quatre pattes, devant moi. Ma femme tout en léchant sa chatte, lui écartait les fesses. Je vis son œillet entouré de poils, la langue de ma femme allait d’un trou à l’autre. Je risquais à mon tour ma langue entre les fesses de Sophie. Elle eut un sursaut mais finalement nous laissa agir. Ma femme la léchait devant, moi derrière. Elle avait bon goût. Son orifice s’ouvrait bien. Parfois même ma femme venait honorer son anus en même temps que moi. Sophie gémissait, son corps agité de spasmes de plaisir. J’avais très envie de la prendre aussi, mais j’avais senti que déjà, elle avait fait une concession à sa sexualité en acceptant une langue d’homme sur elle. Ma femme, planta dans le sexe de Sophie trois doigts et continua à lécher le clitoris. Moi, je continuais à lécher son anus, poussant ma langue le plus loin possible entre ses muscles détendus.
Je sortis de ma femme pour ne pas jouir tout de suite. Il régnait dans cette salle de bains une atmosphère incroyable. On sentait les odeurs des corps, des sécrétions, de l’urine, du sexe. Comme un parfum enivrant. Il n’y avait plus de limites. Ma femme et moi amenâmes Sophie à l’orgasme. Elle prit son plaisir, sous l’action de nos langues et des doigts de ma femme. Elle eut un orgasme fort, long, son corps s’ouvrit au maximum. Pendant son orgasme, je me renfonçais dans la chatte de ma femme et commençait un va-et-vient rapide, violent. Ma bite se plantait au fond de son vagin, comme elle aime. Elle jouit aussi, ses gémissements absorbés par le ventre que sa bouche visitait en tout sens. Quand je sentis que j’allais éjaculer, je me retirais et ma semence jaillit de mon membre et s’étala abondamment sur l’entrée béante du sexe de ma tendre épouse.
Ce fut notre premier trio. J’en garde un souvenir ému.
Ce soir-là Sophie a dormi à la maison, dans le même lit que nous. Ma femme était au milieu. Je crois que pendant la nuit, elles se sont encore caressées.