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n° 07286Fiche technique32623 caractères32623
Temps de lecture estimé : 19 mn
20/04/04
corrigé 17/08/07
Résumé:  Une baisse de régime qui conduit à une montée en puissance.
Critères:  fh couleurs collègues poilu(e)s travail telnet voir exhib odeurs fmast hmast fellation cunnilingu anulingus fdanus fsodo coprolalie uro
Auteur : Epizod  (Parigot)            Envoi mini-message
Malika, je te veux si tu veux de moi


Le travail est une aliénation. C’est mon état d’esprit du moment. Il n’empêche, je travaille. Bien obligé. Sans grande conviction, dans une petite équipe de quatre graphistes qui s’échine à trouver les meilleures astuces pour pousser à la consommation de gâteaux, surgelés, produits de beauté, couches-culottes, huile moteur, croquettes pour chat, toute cette indécente et lassante abondance qui s’étale par pans de murs entiers dans les supers et hypers. Nous faisons du packaging. Notre rôle, ce pour quoi on nous paye, c’est d’être créatifs, novateurs, mais pas trop, il ne s’agit pas d’effaroucher le consommateur, il nous faut être attentifs aux tendances du moment, humeur du français moyen, couleur, graphisme, matériaux. Notre rôle, au final, c’est de faire transférer le plus rapidement possible les murs précités dans les caddies qui les longent, pendant que derrière d’autres petites mains les remontent, sans que tout cela ne se voit, ne surtout pas porter atteinte à ce sentiment d’abondance, et ainsi de suite. Consommer. Pousser à. C’est notre job. Évidemment, nous ne sommes qu’un rouage du système mais nous en sommes les artistes. Ouais. Ce côté mercantile, vaguement vulgaire, n’est que collatéral, se persuade-t-on. Re-ouais. Je suis surtout un rouage d’un système qui me fatigue. Mon travail me gave.


Évidemment, parce que je suis dans un secteur professionnel branché, je travaille dans un environnement branché. Notre boîte est installée dans une ancienne usine réhabilitée en banlieue Est, à 200 mètres du périph, les espaces sont vastes, clairs, on a un superbe espace de vie pour fumer nos clopes, boire une eau pétillante ou un jus de fruit bio en discutant boulot, des alcôves design pour les réunions de travail, tout a été pensé pour la fonctionnalité, mais une fonctionnalité tendance, blanche et grise partout, avec des touches de couleur diverses ensuite selon la destination des différents espaces.


Bien sûr, les bureaux sont paysagers, non cloisonnés, aérés. Ceux de mon équipe occupent une vaste surface plein ouest.


L’équipe est jeune, dynamique, elle en veut. Je joue, moi, mon rôle de membre d’une équipe jeune, dynamique, qui en veut. J’essaie de ne rien laisser paraître de ma démotivation et de mon envie d’aller élever des chèvres dans le Larzac ou de me casser m’installer sur une plage en Thaïlande, selon l’humeur du jour. Cela doit néanmoins se sentir. Je me laisse de plus en plus souvent gagner par des rêveries, j’ai du mal à respecter les délais, je fais durer mon jus de mangue. Je passe aussi de plus en plus de temps à regarder Malika. C’est une jolie beurette de 30 ans qui a brillamment réussi son DESS Image numérique et interactive, comme j’imagine que l’affichait fièrement son CV. C’est un exemple d’intégration pourrait-on dire. Un très bon exemple comme j’allais le découvrir. Elle a été recrutée il y a six mois dans mon équipe sur le seul critère de ses compétences certainement, ainsi que sur son évidente volonté de bosser, et non sur ses non moins évidents charmes. Certainement. Je lui fais gentiment du gringue devant notre café le matin, elle est sympa, ouverte. Et professionnelle. Ses cheveux très bruns sont une cascade de tortillons dans lesquels je rêve parfois de glisser mes doigts. Elle a des yeux noirs, pétillants, de grands cils, une bouche charnue. Et de jolies formes.


Sur lesquelles je la taquine en douce aujourd’hui via la messagerie interne, un type de programme pour dialogue instantané, genre Messenger et, dois-je le préciser, normalement réservé à un usage professionnel. M’en fous :



Devant son bureau à quelques mètres du mien, elle est plongée dans son logiciel de correction d’image, mais je la vois lire le message dès qu’il lui est signalé. Elle se tourne immédiatement vers moi avec un air outragé, puis repart taper sur son clavier.



Je suis plongé dans ma contemplation de son trois-quarts et ma réponse est immédiate :



Le lendemain, elle a une jupe noire et un chemisier crème. Et moi pas envie de bosser.



Réponse au bout de quelques instants :



Pas très inspirée la demoiselle. Je lui dis où j’en profite en douce ?



Elle se tourne à nouveau vers moi, gonfle ostensiblement ses joues et lâche un énorme soupir. Je lui sers ce que je crois être mon plus beau sourire.


Malika se lève et se dirige vers les toilettes, dont elle revient au bout de quelques minutes. Elle a d’évidence toujours son soutien-gorge, malgré le modeste espoir un instant entretenu. Elle tape sur son clavier.



Houlà.



A réception du message, je la vois effectivement porter à son nez un truc blanc, dans lequel elle fait une peu convaincante parodie d’expectoration nasale, en me regardant de côté et en me faisant un clin d’œil. Comme son bruitage a sorti nos collègues de leur ordinateur, qui se tournent vers elle, elle ramène rapidement ce qu’elle tient à la main sur ses cuisses, à l’abri sous son bureau. Elle est la première à dégainer, pendant que je reste un peu bluffé :



Je la vois s’activer à écrire quelque chose, elle se lève, franchit les 10 mètres qui nous séparent. Et pose discrètement sur mon bureau, en passant et sans s’arrêter, un kleenex froissé. Je me sens un peu con. Sur le bout de papier, elle a griffonné : T’as aimé, petit cochon ?


---oooOooo---


Le lendemain, Malika est, à mes yeux en tout cas, plus séduisante que jamais.


Messagerie :



Elle se tourne vers moi et mime une moue écœurée :



Le soir, les bureaux se vident peu à peu. J’avais stratégiquement étalé sur le mien quelques dossiers et bon à tirer devant lesquels j’ai pris un air affairé. J’espérais ainsi donner le change sur mon exceptionnel peu d’empressement à me carapater.


Malika est studieuse elle aussi, mais elle ne fait certainement pas semblant.


Vers 20 h 00, on se retrouve seul dans notre usine. Je roule mon fauteuil jusqu’à son bureau. Elle est en train de modifier les couleurs sur un paquet de préservatif, apportant du brillant sur les reproductions de latex, affinant le lissé, accentuant le bleu nuit du paquet.


Je tends la main vers sa cuisse, elle la chasse d’une petite tape.



Je la regarde faire. Elle est superbe, absorbée par son boulot. Au bout de 10 minutes, elle recule sa chaise et s’étire, tendant ses bras vers l’arrière, ce qui a pour effet de faire ressortir sa poitrine.



Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’elle ne se perd pas en conjectures. Je me lève, dégrafe mon pantalon et le baisse. Mon boxer est tendu, forcément.



Je tends à nouveau la main vers elle mais elle arrête une fois de plus mon geste :



Je la rassure, et pas par simple opportunisme mais parce que j’aime ça aussi.


Elle se met en tailleur sur son fauteuil, sa jupe s’abaisse, dévoilant ses cuisses mates, qu’elle écarte. C’est maintenant, sur une culotte grise dont dépasse des poils bruns, que j’ai une vue imprenable.



Pour l’instant, comme elle le souhaite et à part mes deux velléités vite calmées, il n’y a eu aucun geste de l’un vers l’autre.



J’obtempère, j’extrais la chose, raide, de son carcan. Je bande ferme, le pantalon sur les pieds. Je saisis ma bite et la branle doucement. Elle regarde fixement, l’air fasciné.



Pas vraiment besoin de ses encouragements, mais les mots qui sortent de sa jolie bouche m’excitent à tel point que j’y vais mollo, de peur de cracher mon foutre trop vite. J’approche ma queue de son visage. Elle se recule :



Elle s’approche, place sa bouche à quelques centimètres au-dessus de ma pine que j’ai immobilisée et lâche un long filet de salive qui vient s’étaler sur le bout violacé. Je reprends ma branlette, en matant sa culotte humide.



Elle le fait. Le mouvement a pour effet de créer un espace entre les bords du bout de tissu et le creux de ses adducteurs, d’où des poils, issus d’un sombre milieu, s’échappent.



Une fois fait, c’est devant une jolie brune espiègle aux cuisses écartées et aux seins généreux, aux tétons larges et bruns, que je m’astique.



Malika commence à effleurer le bout de tissu gris. Ses longs doigts parcourent son entrejambe de haut en bas. Au bout de quelques instants, elle accentue la pression, et la culotte s’enfonce dans les chairs tendres. Elle glisse sa main à l’intérieur, et se masturbe maintenant ouvertement.



On ne se touche toujours pas.


Tout en se branlant, elle écarte de l’autre main le dernier obstacle, dévoilant une chatte brune et poilue. Je sens mon foutre qui se rue vers l’issue de secours, je ralentis le rythme pour calmer ses ardeurs.


De nouveau, à ma demande, elle envoie une rasade de salive sur mon gland que je lui ai collé sous le nez. Cette fois-ci, c’est elle qui a un mouvement pour le mettre en bouche mais je m’écarte.



Elle triture les chairs roses. Ses doigts sont maintenant luisants de mouille. Une odeur musquée monte jusqu’à moi. Elle clôt les paupières par intermittence, sinon me regarde directement, dans les yeux, puis ma queue qui va bientôt capituler.


Je m’approche d’elle et sans la toucher, prends appui de ma main libre sur un accoudoir de son fauteuil. Fléchissant les jambes, ce qui n’est guère confortable, j’approche ma queue à dix centimètres de sa moule, qu’elle continue à caresser. J’accélère le rythme et au bout de quelques secondes, j’envoie en ahanant de longues giclées de sperme visqueux sur sa touffe. Malika me regarde. Elle a l’air étonnée, puis elle sourit. Elle mélange la texture poisseuse à ses poils, ça donne un étrange résultat en noir et blanc, un truc qui aurait pu inspirer Jackson Pollock, et qui clapote pendant l’opération. Malika porte ensuite ses doigts maculés à sa bouche et, avec une moue gourmande, en lèche un puis deux.



J’introduis un à un ses doigts trempés de sa mouille et de mon jus dans ma bouche et les nettoie. J’adore ce goût, pas tant d’un strict point de vue gustatif que pour tout ce qu’il implique en creux. De sa main libre, ma coquine pince et tire sur un de ses tétons.



Effectivement, son sexe qu’elle caresse maintenant plus doucement est luisant. Elle écarte en me regardant dans les yeux ses grandes lèvres, le rose humide des parois tranche avec les poils bruns et la peau mate.



Malika se lève, ôte la culotte qui traînait toujours dans les parages. Elle l’examine puis va pour la jeter au sol mais je l’attrape au vol et me la colle sous le nez.


Le bout de tissu dégage de manière exacerbée l’odeur musquée qui me chatouillait tout à l’heure les narines. Il est taché sur le renfort d’une longue trace humide.



Malika envoie voler sa jupe, elle prend appui sur son bureau et en écartant les jambes, tend vers moi son cul.


Elle a un fessier rebondi mais musclé. Sa chatte brute est ainsi très exposée, elle dégage une odeur forte, musquée, enivrante.



Je bande à nouveau. Dans la position que le lui ai commandée, son cul parait plus imposant et le renflement de son sexe plus marqué, comme un demi-fruit juteux. Très juteux.



J’en crève d’envie mais :



Lui parlant, je tourne autour du bureau en me branlant et elle me suit des yeux. Non du fait d’une absence de fermeté mais par simple application d’un principe cher à Newton, ses seins lourds tombent.



Je tends la main sous son sein gauche et effleure le bout, le pince, tire dessus, soupèse la masse, le balance. Elle se mordille la lèvre inférieure.



Je lui colle mon sexe sous le nez, qu’elle commence à titiller à petits coups de langue. Le petit membre agile s’attarde sur mon gland, elle lui fait une toilette complète et me rend un truc en état concours. Puis s’attelle à lustrer la hampe. Appuyée maintenant sur une seule main, elle me soupèse les couilles avec l’autre. J’écarte sur un côté sa tignasse brune qui jusqu’alors cache l’action. Ses joues creusées par son effort de succion, elle imprime un va-et-vient rapide sur ma verge, me branlant littéralement avec sa bouche. Elle sait y faire, et semble le savoir si j’en juge au regard qu’elle me jette, cling, un instant divisé par un clin d’œil malicieux. Je dois m’extirper du tendre fourreau par crainte de rendre trop vite les armes.



Tu m’étonnes. Et oui j’aime, mais je ne crois pas être en l’occurrence une exception, surtout dans une bouche aussi compétente.



Me répond un ronronnement qui m’a tout l’air d’être une approbation. Je reviens vers la partie la plus charnue de la demoiselle. Elle est toujours à quatre pattes sur son bureau, dans une position d’une totale indécence mais tout à fait irrésistible.



Docilement, elle suit mes consignes. Sa touffe n’en apparaît que plus, brune, abondante. Des petits poils, de plus en plus solitaires, remontent le long de sa raie. Je donne de petites tapes sur ses fesses, qui réagissent par de légers tressautements flasques. Je sépare les deux globes, dévoilant ainsi son œillet brun et plissé. Je plonge sans plus de cérémonie et lape à grands coups de langue sa raie du cul, son petit trou. À l’autre bout, ça ronronne ferme.



Je veux entendre ces mots crus dans la bouche de Malika et d’ailleurs, ne m’a-t-elle pas dit qu’elle les aimait elle aussi ? Donc.



Ce que disant, elle se libère d’un coup de rein du doigt qui lui fouille l’anus, se retourne et se met sur le dos sur le bureau, en appuie sur les coudes.


Je suis tout à coup rattrapé par l’image d’une Malika studieuse, bosseuse, accaparée par son écran et ses dossiers, participant activement aux réunions de service, un peu première de la classe. La même est maintenant offerte, les seins lourds et arrogants et les cuisses largement écartées pour qu’il ne subsiste aucun doute sur ce qu’elle attend de moi.



Elle relève encore plus ses jambes ouvertes, accentuant l’invite. Bon, je ne suis pas bouché, j’avais compris. Je descends d’abord m’occuper de sa fente humide avec ma bouche, c’est plus fort que moi, je suis incapable de pénétrer une chatte sans l’avoir auparavant dégustée. Ma langue s’immisce entre les poils poisseux, à son contact ses lèvres s’ouvrent facilement, le goût est fort, à la fois écœurant et irrésistible. Ma langue parcourt les parois de ses lèvres, pénètre profondément dans son sexe, elle le branle. Malika glisse ses doigts dans mes cheveux et imprime sur ma tête une pression qui vaut approbation. Je la masturbe ainsi jusqu’à ce que ma langue soit douloureuse. Sa chatte suinte, je bois. Puis je débusque son clitoris, que je titille avec le même appendice.



Ne souhaitant que du bien à ma brune méditerranéenne, je prends le plus grand soin de son bouton rosé. Elle ondule du bassin, roule, le jette vers moi.


Au bout de quelques minutes de ce traitement, Malika semble n’en plus pouvoir.



J’approche ma bite de son sexe, je promène mon gland sur ces poils, le contact est doux, puis le long de la fente. Je l’introduis doucement, et vu l’état des lieux sans aucune difficulté. Sa chatte est pourtant assez serrée et me procure une sensation forte, je me sens agréablement à l’étroit, mon pieu coulisse le long des parois qui le compriment.


Je la pistonne d’abord lentement, entrant bien à fond puis ressortant presque totalement, jeu qui me vaut à deux reprises et bien involontairement… d’effectivement ressortir totalement, ce qui arrache un soupir d’agacement à ma jolie collègue.


Puis j’accélère progressivement, jusqu’à la pilonner avec force, mon bassin venant brutalement à la rencontre du sien, mes couilles s’écrasant sur ses fesses. Ses seins lourds se baladent au rythme des coups de butoir.



Je me sens bien aussi.


Concentré certes à ma tâche, j’admire aussi le corps de Malika, brun, ferme, tonique. Son visage est rougi sous la peau mate, un voile de sueur est apparu au-dessus de sa lèvre supérieure et à la racine des cheveux. Ceux-ci, foisonnants, très noirs, s’étalent sur le bureau, au-dessus des chemises cartonnées de couleur. Bon sang, je pourrais certainement tomber amoureux de ce que je vois… Et baise.


Je suis moi-même en sueur et des gouttes tombent à intervalle régulier sur son ventre, puis glissent sur ses flancs et vont s’écraser sur le bureau, qui connaît probablement là un étonnant baptême. Malika mouille abondamment et il flotte maintenant autour de nous une enivrante et excitante odeur de stupre, mouille, sperme, sueur. Je suis terriblement excité par ma partenaire évidemment mais aussi par la situation, mais ayant éjaculé sur la touffe de ma belle quelques minutes plus tôt, je me sens apte à tenir encore un certain temps. Bon, pas trop si la garce continue comme elle le fait sa litanie de mots salaces : J’aime ta queue, bourre-moi bien, tu bandes fort salaud, Vas-y donne des grands coups de bite, C’est bon ta bite dans ma chatte, c’est chaud et tout le toutim. Je ralentis un instant pour calmer le jeu et retarder l’explosion qui s’annonce. Puis je sors ma bite de son con visqueux et chaud.



Je passe ma main sur sa chatte soyeuse et trempée. Puis à plusieurs reprises, je glisse un doigt trempé de ses secrétions jusqu’à son anus et humidifie celui-ci. Je glisse un doigt dans son petit trou, sans problème. Un deuxième suit mais l’introduction s’avère plus ardue. Malika fait une légère grimace.



Elle toujours sur le dos, la chatte poilue offerte à mon regard, les jambes musclées haut levées pour bien dégager sa raie, j’approche ma bite de son trou du cul. Mon gland s’y pose, Malika semble retenir sa respiration, je lis dans son regard de l’appréhension.



Je pousse, son œillet s’ouvre doucement. La grimace de Malika s’accentue, je ne vais pas plus loin pour l’instant et me contente de faire coulisser les quelques centimètres de ma queue déjà introduits pour tenter de l’habituer et la détendre. Au bout d’une minute de ce traitement, Malika semble se décontracter, la pression sur ma bite s’assouplit et progressivement, celle-ci s’immisce dans son étroit trou du cul.



Je commence à pistonner son trou du cul. En basculant légèrement mon torse sur l’arrière, je peux jouir du spectacle de son anus aux bords humides, écartelé par ma colonne de chair, ce dont je ne me prive pas, malgré l’inconfort de la position.



Je reviens vers elle. J’accélère encore le rythme, limant son cul maintenant accueillant.



Ce que disant elle commence à se caresser furieusement la chatte, m’offrant le spectacle de ses doigts glissant sur ses poils abondants, ouvrant ses lèvres brillantes de mouille, titillant son clito, s’introduisant un, puis deux puis trois doigts, brutalement, dans sa fente. Elle se branle énergiquement, me regarde, ses doigts poisseux remontent vers ses seins, elle les malaxe, les triture, pince les bouts, les tire, se lèche les doigts, repart se branler, se mord les lèvres, a les larmes aux yeux, on dirait qu’elle pleure, elle pleure avec une espèce de rage, s’acharne sur sa cramouille. C’est frénétique. Et ça m’achève. Dans un cri essoufflé, je décharge dans son trou du cul, pendant qu’elle se finit avec les doigts.


Je m’effondre sur elle. Elle, je, nous sommes trempés. J’embrasse sa bouche, je lèche la sueur sur son visage, dans son cou, sous ses aisselles odorantes. Elle caresse mes cheveux.


N’eut été le fait qu’on était sur son bureau, au boulot, nous nous serions probablement endormis ainsi, jusqu’au lendemain.


Mon souffle retrouvé, je repars lécher doucement sa chatte, me délectant de sa forte odeur, je lèche aussi son petit trou, d’où suinte un peu du sperme que j’y ai abandonné. Malika elle aussi, ensuite, lave ma queue avec sa langue agile et gourmande.


Dans les toilettes, ou une envie partagée et pressente nous mène ensuite, nous nous amusons à nous regarder pisser. J’essuie sa fente, souillée par des gouttes qui s’attardaient dans les poils. Jouant comme une gamine capricieuse, elle tient à me tenir la queue pendant que j’urine et glisse un moment un doigt sous le jet doré, qu’elle porte ensuite à sa bouche, renifle puis, après une hésitation, lèche. Son air coquin face à ce dernier jeu ouvre certainement d’intéressantes perspectives.


Elle est chouette ma collègue.