n° 07288 | Fiche technique | 30108 caractères | 30108Temps de lecture estimé : 17 mn | 20/04/04 |
Résumé: Une visite toute française nous fait apprécier la bonne chair... | ||||
Critères: ffh fplusag jeunes inconnu travail voyage exhib facial fellation cunnilingu pénétratio aliments | ||||
Auteur : Sined (Un amant du plaisir... le sien et celui de celle qui le part) Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Restaurateur-proprio Chapitre 02 / 02 | FIN de la série |
Mon ami Marc et moi avions projeté d’aller passer deux belles semaines en ski dans les Alpes françaises.
L’hiver ayant été tellement occupé au resto que je n’eus pas la possibilité d’y aller. Marc, ayant profité de la déstabilisation des marchés boursiers pour s’enrichir de quelques dizaines de millier de beaux dollars, avait quant même décidé de se récompenser et de faire le voyage en célibataire.
À son retour, Marc me raconta avoir rencontré un couple charmant, Dominique et Simone, dont l’amie de cette dernière, Vicky était veuve depuis plusieurs années. Il ne voulut pas m’en dire plus, prétextant que ces trois amis viendraient lui rendre visite au printemps et que j’aurais alors la chance de les connaître et de les apprécier à ma manière.
L’hiver se terminant finalement, les 3 cousins débarquèrent en pleine saison de pêche. Marc, fervent de cette discipline ne pouvait penser s’en priver. Planifiant et convainquant Dominique de l’accompagner, il avait tout organisé de façon que le lendemain, décalage horaire ou pas, nos deux bonshommes partiraient pour 4 ou 5 jours, taquiner le poisson dans le grand Nord, pendant que ces dames se familiariseraient avec le tissu urbain de notre métropole.
Ne voulant surtout pas laisser ces dames en plan, Marc m’avait demandé de venir chez lui comme traiteur et de préparer pour lui et ses trois amis français un repas digne des rois. De cette façon, ça me permettrait de faire connaissance en plus de leurs en mettre plein la vue. Il tenait aussi à leur remettre la pareille, ayant été choyé d’une hospitalité incomparable de la part de ces trois personnes, lors de son séjour en France.
Le repas, simple et léger, se composait ainsi : Chèvre tiède sur coulis de tomates, Consommé de lièvre sauvage, Trou normand, Petit porc au bleu danois et Williamette, Salade de saison au vinaigre de framboise, Chantilly de fraises fraîches. Rien de moins pour impressionner les invités de mon grand ami de toujours.
Le soir venu, devant quitter tôt, je m’étais adjoint mon fils qui pourrait facilement faire le service seul du trou normand à la fin du repas et rapporter tout le bazar le soir même ou en matinée le lendemain.
De nos jours, le mot « avion » étant synonyme de retard, les cousins, devant arriver en début de matinée, ne se pointèrent qu’en fin de journée. Aucun problème de mon côté, tout devait être fait sur place et servi dès que produit.
Les présentations faites, nos amis se confondirent en excuse, mentionnant que les douaniers avec été très sévères et suspicieux à leurs égards. Que voulez-vous, le 11 septembre a laissé ses traces.
Je vous brosse une brève description de nos trois amis. Dominique, bel homme, mi-quarantaine, cheveux poivre et sel, œil charmeur et parole facile. Remarquez que je ne connais pas de français ne l’ayant pas… Simone son épouse, femme bien en chair, poitrine pleine comme je les aime, séduisante à souhait Vicky dite la veuve, un peu plus jeune que Simone, elle aussi à la forte poitrine, 1m70 avec des rondeurs où les femmes mûres doivent les avoir, ressemblant à la Ministre française de l’écologie, Mme Bachelo, mais en version plus désirable de belle brune aux lèvres pulpeuses. Cette Vicky doit être toute une dégustation si les lèvres de ses parties intimes sont semblables à celles de sa bouche. J’en bavais rien que d’y penser.
Marc, ayant réussi à dégoter un petit avion pour se rendre dans le grand Nord nous annonça que leur départ pour le camp de pêche avait été devancé et qu’ils n’auraient le temps que de sentir ma cuisine sans même pouvoir y goûter. Prenant cinq minutes, j’eus tout juste le temps de leurs préparer des petits casses-croûtes pouvant être avalés en route.
Débutant le service des apéros, mon fils revint de la cuisine les yeux sortis de la tête.
Mais qu’as-tu vu de si horrible pour avoir une telle tête?
Rien d’horrible, juste ton chum Marc qui vient d’embrasser les deux femmes.
C’est bien normal, ils se sont connus en ski l’hiver dernier.
Oui mais pas au point de leurs avaler les amygdales et de leurs mettre la main sous la jupe.
Et l’autre français, il a rien dit?
Hé! Hé! Pendant que Marc leur grignotait la luette, l’autre français leurs tripotait les seins et disait que ces deux belles poitrines allaient lui manquer.
Un sourire apparu alors à mon visage. Je venais de comprendre ce que Marc voulait dire par le fait que j’aurais la chance de faire connaissance et de les apprécier à ma manière. Disons que le beau gosse se les était probablement envoyé toutes les deux, tout au long des deux semaines de ski dans les Alpes et certainement avec la bénédiction du troisième luron qui semblait profiter des joies du mariage tout autant que le de compenser le veuvage de son amie.
Bon… mon garçon, lui dis-je. Disons que tout cela n’est pas notre affaire, mais que j’ai l’impression que mon grand ami nous laisse entre les mains un petit dîner qui n’aura rien de désagréable…
Parles pour toi… elles sont de ton âge et moi qui viens tout juste d’avoir mes 18 ans.
Et, tu n’aimerais pas profiter de l’expérience de ces femmes mûres?
Tu ne crois quant même pas qu’elles pourraient être intéressées par un jeunot qui vient tout juste de faire ses premières expériences?
Ah! Mon fils… (Il déteste lorsque je le nomme ainsi.) On ne connaît pas les goûts des étrangères.
Ouais…
Laissons les choses se faire et elles viendront peut-être à toi… Qui sait…
Tu penses vraiment que je pourrais avoir une chance?
OK, assez de parlotte mon fils, je prépare l’entrée de chèvre pendant que tu sers le vin d’alsace.
Il est où?
Au frigo… et assure-toi qu’il soit froid sans pour autant être glacé… ok?
Oui Pouppâ… (Je déteste lorsqu’il me nomme ainsi.)
Que pensez-vous d’une si belle harmonie entre un vieux père et son jeune fils de 18 ans ? J’en connais des pères qui donneraient tous leurs avoirs pour avoir cette complicité avec leur fils tout juste devenu adulte. Les deux dames dégustent lentement l’entrée, puis le consommé, arrosant généreusement le tout, verre après verre, mon fils servant et desservant le tout avec classe.
Revenant avec les bols vides, Jean-Séb, c’est le nom de mon fils, les yeux rieurs, me dit :
Je crois que ça commence à chauffer dans la maison…
Comment ça?
Et bien… Celle qui a les cheveux bruns et courts a laissé tomber sa serviette de table et lorsque je me suis penché pour la ramasser, elle a mis le pied dessus, a ouvert les cuisses, et je me suis retrouver face à face avec sa minette… Elle ne porte pas de slip. Je n’ai pas besoin de te dire qu’elle effet cela a eu sur mon pantalon.
Oui, je vois l’effet par moi-même.
L’autre, Simone je crois, elle s’en est aperçue et elle a gloussé en montrant à celle qui s’appelle Vicky la déformation de mon pantalon.
Elles étaient de mèche je crois…
Elle s’est pris un sein dans la main et me l’a présenté comme si elle m’invitait à lui bouffer.
Et… tu as refusé?
Elles m’ont tellement surpris que j’ai senti le sang me monter aux joues. J’ai viré les talons.
Mais!
Disons que j’étais gêné de montrer mon érection à des inconnues.
Bon début… Ça promet pour toi… Tu vois, je t’avais dit que les Françaises étaient plus ouvertes que nous question sexe…
Plus ouvertes tu parles! Elle avait la chatte toute grande ouverte, si j’avais été plus près, j’aurais pu lui voir les ovaires…
Et bien, si l’occasion se représente, rapproches-toi et profites-en pour leur dire un petit bonjour de ma part…
Éclats de rire généraliser de notre part vous devez vous en douter.
Ouin! Disons qu’elle m’a un peu surpris ce coup là mais je garde l’œil ouvert…
Et si jamais tu as besoin d’aide, fais moi signe…
C’est ça… mais après en avoir profité moi-même…
Et le sens du partage familial, t’en fait quoi?
Moitié-moitié… Un cheval – Un lapin…
Et à te voir le pantalon, on sait qui est le cheval…
Hé… C’est moi qui ai vu le premier…
Allez, au travail maintenant. Tiens, vas leur servir ce petit calvados pendant que je termine le montage des assiettes. Je dois quitter bientôt, le resto est bondé ce soir. La Ministre de la condition féminine est là avec toute sa bande de pingouins. Dis-le à nos deux belles françaises pour ne pas qu’elles pensent que je me suis défilé, de peur de ne pas être à la hauteur du peuple québécois…
Ne traversant même pas la porte, Jean-Séb. Se tourna vers moi et me dit :
Tu veux que j’entre en salle dans cet état?
Quel état?
Bien… Regarde mon pantalon!
Bah! Elles vont aimer cela tu sais… Donne leurs en autant qu’elles en veulent… Ce sont elles les clientes et elles ont donc droit à un service plus que complet si elles en ont le désir… Allez… Ouste…
Sourire aux lèvres, il sortit de la cuisine, le dard pointé en avant, se dirigeant directement vers ses deux clientes dont il ne doutait plus des intentions ludiques.
LE TROU NORMAND
Entrant en salle, calvados en main, il se fit remarquer, non pas par ce qu’il portait mais par ce qui le devançait, c’est-à-dire, la protubérance de son pantalon.
Regardes qui arrive et dans quel état il est…
D’après moi, ce jeune homme veut nous montrer quelque chose.
Ou peut-être devrions nous y jeter un coup d’œil nous-même…
Ouais, faudrait voir nous-même…
C’était Vicky qui, placé face à la cuisine, avait baissé les yeux vers les attributs masculins de mon fils chéri. Un peu rougit par la remarque, Jean-Séb. servi le trou normand en essayant de dissimuler le plus possible sa gêne, mais impossible de soustraire à leurs regards l’excitation qui grandissait toujours à la pensée de ce que pourraient lui faire les deux louves qui se trouvaient face à lui.
Sans attendre la réponse de son amie, Vicky demanda à mon fils, regardant toujours son entrejambe,
Connaissais-tu d’autre trou que le trou Normand?
Oh oui… Entre autres, celui que je viens de voir il y a deux minutes…
Et puis, tu as aimé?
Oui, mais c’est un peu embarrassant car, ça me fait bander à chaque fois.
Ouvrant son corsage, Simone lui demanda :
Des lolos, tu en as déjà goûté?
Les yeux exorbités, Jean-Séb. semblait sidéré par le spectacle de ces miches françaises à 100%…
Oui, mais pas des aussi gros que ceux là.
Tu les trouves gros?
Plus gros que les miens?
Vicky, ne voulant pas rester à l’arrière de la parade venait, elle aussi d’exhiber à la vue de ce jeune homme tout juste dépucelé du début de l’été, ces deux grosses mamelles toutes rondes, aux bouts dorés.
OH! Mais ils sont tout aussi beaux les uns que les autres.
Alors, tu commences par laquelle?
Jouant le jeu, j’entendis mon fils répondre :
Disons par celle qui fera cul sec et tapera son verre sur la table la première.
Il n’avait pas terminé sa phrase que j’entendis 2 bruits, du type coup de fusil provenant de la salle. Me pointant pour m’assurer que ma progéniture était encore en vie, j’eus le loisir de regarder ce dernier se mettre à genoux devant celle qui se nommait Simone et d’encastrer son visage entre les deux gros nichons dont les bouts pointaient déjà leurs excitations, ne demandant mieux que d’être titiller et sucer jusqu’à ce que mort s’en suive. Après 2 ou 3 minutes de cette sucette bien orchestrée, Vicky, se sentant quelque peu délaissée, releva sa jupe, dévoilant à mes yeux une chatte totalement trempée et prête à recevoir tout ce qui pourrait lui donner du plaisir. Prenant la parole :
Et jeune homme… moi aussi j’ai pris mon trou normand d’un trait… mais, mon trou à moi… tu veux en prendre soin?
Simone, repoussant la tête de Jean-Séb. l’intima de changer de partenaire, son amie semblait vraiment être dans le besoin. Virant des genoux, il y enfouit la tête, léchant au passage le haut de ses cuisses, faisant durer ainsi le plaisir et grandir le désir de cette belle amazone en chaleur. Simone s’étant levée du même coup, se mit à fouiller le corsage de Vicky, massant et triturant sa poitrine pendant que le jeune lui dégustait la chatte au grand plaisir de cette belle Vicky en chaleur.
Sentant sa belle amie prête à jouir, Simone, imposant sa présence, interrompit cette scène, rabaissa d’un trait le pantalon de Jean-Séb., le renversa sur le dos et s’embrocha d’un trait sur cette jeune queue au garde à vous depuis longtemps, lançant un à mon tour maintenant… Vicky vint alors s’asseoir sur le visage de ce dernier, obligeant ainsi mon fiston à poursuivre la broute de sa jolie minette.
Les deux matrones s’échinaient maintenant sur le pauvre corps de mon fiston chéri. Et vous vous imaginez qu’il n’était pas question que je prenne sa défense avant qu’il ait fait ses devoirs… Complètement submergé par les événements, Jean-Séb. ne savait plus où donner, ni de la tête, ni de la queue. Les deux coquines s’approchaient dangereusement de l’orgasme, caressant l’une à l’autre, le clito de façon bien rythmé, tout en se roulant une de ces pelles qui en disait long sur l’avancement de leurs travaux. Reprenant de temps en temps leur souffle, elles s’encourageaient, l’une à bouffer, l’autre à cavaler, mon petit chéri pris en otage par ces deux succubes aux envies sans équivoques.
Étouffant leurs cris, elles jouirent en même temps, geignant chacune leur plaisir et arrosant généreusement tout le corps de leur victime couchée sous elles. Lui, à moitié étouffé par la quantité de cyprine ainsi éjectée par la chatte de Vicky, continuait à pilonner le ventre de Simone à grands coups. Ainsi à deux contre un, il ne put résister plus longtemps, inondant le ventre de sa cavalière de plusieurs jets de sa semence, plongeant la langue au plus profond de la chatte de Vicky.
Reprenant leurs esprits, les deux gourmandes se levèrent, libérant ainsi leur victime. Celui-ci ne prit même pas le temps de reboutonner sa braguette, couru jusqu’à la cuisine, baguette en l’air, se réfugier en lieu sûr.
Bon… disons que comme service, elles l’ont eu dans le NEC+ULTRA…
Mets-en… Je ne m’étais pas masturbé depuis trois jours…
Un peu plus et tu la noyais alors!
Quand même papa…
LE PLAT DE RÉSISTANCE
Décidant d’aller m’enquérir si mon fils avait bien fait honneur à la famille, j’ai alors décidé de faire le service du plat principal moi-même, lui demandant de s’occuper de mettre un peu d’ordre dans la cuisine pendant que j’allais m’informer du degré de satisfaction de notre clientèle peu commune.
Hé! Ho! L’ancêtre… ne me vole pas mes conquêtes…
Penses-tu que ce sont elles tes conquêtes? Je crois que c’est plutôt toi qui as été la leur, n’est-ce pas?
Et tu as fait le voyeur en plus…
Why not peanut… Il faut que je surveille ma progéniture…
Prends cela comme tu veux et ne compte pas sur moi pour me plaindre…
Je n’en attendais pas tant…
Et… pas de demi-mesure mon cher père, il faut que la clientèle soit satisfaite…
Mon fils me dictait maintenant la façon dont je devais satisfaire la clientèle… Quelle génération avons-nous engendré… Père avant même d’avoir été fils… J’entre en salle, le laissant avec une montagne de vaisselle à laver et tout le bordel à ranger… Après tout, c’est moi le patron dans cette boîte… Il en aurait pour un bon bout de temps avant de pouvoir reprendre son rôle de Don Juan. Suffisamment en tout cas, pour que moi j’ais le temps de voir à la marchandise, surtout que ces dames étaient passablement émoussées par le bon vin, la richesse de mes plats, sans oublier le bon service de ma progéniture. Ce dernier avait certainement besoin de repos car il se devait encore de leur servir la salade, le dessert et le café, sans oublier les nombreux digestifs qu’elles pourraient peut-être désirer s’envoyer en arrière de la cravate… à moins qu’elles ne les préfèrent au fond de la chatte. Qui sait, serait-il peut-être le favori de leurs digestifs…
Bonsoir Mesdames, ma cuisine vous a plu?
Bonsoir grand chef, me répondit Vicky, vos plats sont tout simplement exquis…
Sans parler du service surenchérit Simone.
Changeant de sujet, mon beau chef, possédez-vous d’autre talent que culinaire.
Mais bien sûr, belle Simone, par contre ces derniers ne se démontrent qu’en privé, vous savez.
Simone… un peu de respect s’il te plaît…
Vicky venait, pour la forme bien sûr, de réprimander sa grande amie sans pour autant se montrer sérieuse.
Mais asseyez-vous donc une minute avec nous me demanda Simone pour se faire pardonner son audace… Si pardon était requis et désiré… Pas besoin de vous dire qu’elle n’eût pas à répéter deux fois son invitation que j’étais assis entre les deux femmes aux corps plus qu’appétissants.
Vicky plaça sa main délicatement sur la cuisse, tâta la marchandise tout en me regardant dans les yeux.
MMM! Il n’y a pas que la chair dans l’assiette qui semble bonne.
Faisant de même, beaucoup plus haut sur sa cuisse et sans lâcher son regard, je lui ajoutai que les siennes semblaient toutes aussi savoureuses et que le meilleur de mes plats n’avait certainement pas aussi bon goût.
Mais voyez par vous-même mon beau grand chef…
Cette femme aux formes pleines venait de relever sa jupe, dévoilant à mon regard une belle chatte aux lèvres charnues et luisantes de mouille, n’attendant qu’une bouche comme la mienne pour la goûter.
Servez-vous ajouta-t-elle. Si vous trouvez mes chairs aussi bonnes que ce que je viens d’avaler, j’en tirerai double plaisir.
Me laissant glisser sur le plancher, j’ai alors commencé une lente ascension vers le haut de sa cuisse, sentant frémir la peau de cette femme qui me semblait n’avoir aucune pudeur lorsqu’elle parlait plaisir. Ma bouche et ma langue montant et descendant le long de ses cuisses, Vicky les écarta encore plus de façon à m’ouvrir la route vers son intimité qui, à y voir de près, ne tarderait pas à bouillir sous mes caresses. Atteignant son sexe, je me suis mis à le caresser doucement, léchant, tantôt les lèvres, tantôt le bouton d’amour, lui arrachant à chaque passage quelques petits soupirs de plaisirs. Son amie Simone qui ne voulait pas rester immobile et qui venait enfourner toute son assiette d’un trait se leva, prétextant une soif incontrôlable, vint se placer à genoux à mes pieds. Regardant mon entrejambe grossir à vue d’œil, elle nous informa qu’elle prenait les paris à savoir lequel de nous deux rendrait l’âme le premier, Vicky ainsi mangée ou moi à qui elle avait le goût de faire une fellation digne d’un grand chef.
Afin de faciliter le travail de tous et chacun et de profiter au maximum des lèvres de cette charmante française sur ma queue, j’ai invité Vicky à s’asseoir sur la table devant moi, ainsi Simone pourrait, une fois mes pantalons au sol, profiter de ma position pour me faire une sucette française comme probablement seule une française sait la faire.
Nous nous retrouvions donc, Vicky assise devant moi, toutes jambes écartés, m’offrant sa chatte, juteuse et très goûteuse, moi assis entre ses genoux, prêt à me bourrant la face dans ce sexe délicieux, Vicky ayant passé ses jambes autour de mon cou. Simone qui s’afférait à défaire ma braguette pour, comme elle l’avait dit elle-même, me faire subir le pire supplice qu’une queue voudrait recevoir à tous les jours. Elle ajouta que ce serait mon pourboire et qu’elle était là pour boire.
La chatte de Vicky avait un goût d’épice et il s’en dégageait un arôme de fleurs sauvages. Ses chairs étaient savoureuses et ses lèvres charnues comme je les aime. Elle semblait d’ailleurs apprécier chacun des passages de ma langue, tantôt tournoyant autour de son clito, tantôt s’enfonçant à l’intérieur de son puits d’amour. À mesure que je lui mangeais la chatte, le clito de cette femme en chaleur poussait sans cesse au point qu’il aurait fait rougir certains jeunes garçons. Disons que s’il s’était allongé un peu plus, j’aurais eu l’impression de sucer une mini-queue
Entendant Vicky gémir de plus en plus, Simone se devait d’y mettre les bouchers doubles. N’oublions pas qu’elle devait me faire jouir en premier. Je sentais sa langue m’enrober le gland, ses lèvres descendre et monter sur ma tige et ses mains me masser doucement les couilles qu’elle avalait de temps à autre. La façon dont elle me suçait la trique montrait son amour pour les bites bien droites, prêtes à lui envoyer toute leur semence au fond de la gorge.
Avec sa grande connaissance dans la façon de faire jouir un homme, elle n’a pas eu à attendre longtemps car sa bouche, si savante et si chaude ne me permit pas de résister plus longtemps, lui envoyant dans l’œsophage plusieurs jets de foutre bien chaud. Tout en expulsant ma semence, j’ai enfoncé d’un trait ma langue au fonds de la grotte de Vicky qui, encaissant le coup, inonda mon visage d’un grand jet de cyprine brûlante. Simone ne voulait pas perdre une goutte de mon plaisir continuait à me sucer avidement, me branlant d’une main et me pressant les testicules de l’autre. Elle voulait tout, jusqu’à la dernière goutte. Et Vicky qui m’envoyait à la figure de grands jets de son plaisir, jets que j’essayais de boire, même si je devais m’étouffer à la tâche.
Le calme revenu, tous deux semblions sans âme, encore prisonnier de notre plaisir. Simone ne l’entendait pas ainsi. Elle se leva et alla rouler une pelle magistrale à Vicky, partageant ainsi avec elle tout le « sirop de corps d’homme » qu’elle m’avait pompé. Ce partage de moi terminé, Simone, s’étant donné le titre d’arbitre du concours, estima la première manche comme nulle.
Comment ça la première manche répondit Vicky?
Ma belle, lui répondit Simone, tu ne t’imagines quant même pas que j’ai participé à cette scène dans le but de ne rien recevoir moi-même. Mais regardes-moi… j’ai la minette en feu, et c’est à toi maintenant de me la faire bouillir… À moins que Monsieur ait l’énergie pour récidiver.
Madame que je lui répondis-je, ce sera un honneur pour moi que de vous brouter la minette, le temps de reprendre de la vigueur et surtout si elle est dans l’état que vous le dites. Je verrai ainsi laquelle de vous deux aura été la plus sensible à mes caresses.
Et moi, ajouta Vicky, je me retrouve au chômage?
Meuh non! Répondit Simone, regardes comme la queue de Monsieur a besoin d’un revitalisant. N’es-tu pas spécialiste dans la remise en forme?
Vicky baissa alors les yeux vers mon entre cuisse, elle ne put retenir un :
OUAIS! Et je vais lui apporter une attention toute particulière, après tout, son propriétaire m’a fait faire le voyage de la terre à la lune en quelques coups de langues. Pourquoi me gênerais-je pour lui bouffer la trique?
Allez-y quand bon vous semble chère dame, et mettez-y toute la gomme, votre amie me veut en forme.
Sentant ma queue glisser entre les lèvres pulpeuses de cette française avide, je me suis lancé, langue en avant, au centre du plaisir de Simone qui venait de me boire les entrailles sans en laisser échapper une seule goutte.
M’arrêtant avant d’avoir commencé, j’avais au visage le plus gros clito qu’il m’avait été permis de voir. Il était dans un état tel que plusieurs jeunes garçons se seraient sauvés en courant, croyant qu’ils avaient affaire à un mec travesti. Mais la chatte lui sentait bien la femme, la femme en chaleur sans équivoque.
Avec un clito pareil, la partie ne devait pas être la même, j’avais le goût de maintenir Simone au seuil de l’explosion sans pour autant lui permettre de l’atteindre avant moi. À chaque fois que je sentais dans ses mouvements le déhanchement annonciateur de l’explosion sublime, je changeais de caresse, passant de son clito gonflé et empourpré sous mes caresses à son puits d’amour, alternant entre ma langue et mon doigt, ce dernier lui massant le point G, la rendrant presque folle. Pendant ce temps, Vicky pompait et suçait avidement ma queue dans l’espoir d’en soutirer quelques salves bien chaudes.
Après 10-15 minutes de cette douce et suave torture, Simone me supplia de la faire jouir, son corps n’en pouvant plus de se maintenir ainsi, si près de l’explosion, sans pouvoir l’atteindre. Retirant mon visage d’entre ses cuisses, l’espace d’un souffle, je lui répondis qu’elle y aurait droit lorsque sa complice aura réussi à m’y rendre aussi.
Allez ma belle… suces le jeune homme… je veux JOUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIR moi…
Replaçant ma langue sur le clito de cette Simone tellement excitée, le simple contact l’avait foudroyé. Son corps, parcouru de spasme, elle venait tout simplement de rendre l’âme. La sentir ainsi se cambrer, ses mains maintenant ma bouche collée à son sexe, Vicky semblant vouloir aspirer ma queue au fond de sa gorge, une main branlant à une vitesse folle, l’autre me pressant les testicules, ne pouvait faire de moi autre chose qu’un homme heureux, sentant venir l’ultime plaisir. Au dernier moment, Vicky me retira de sa bouche et en quelques coups de mains énergiques, s’aspergea les seins de mon foutre, sortant à grandes giclées.
Reprenant vie, j’entendis Vicky me dire qu’elle aimait quant un homme se répandait sur sa poitrine, elle pouvait ensuite étendre le sperme sur tous ses seins et les masser doucement, faisant pénétrer le liquide chaud dans sa peau.
Simone ouvrant finalement les yeux regarda Vicky et lui dit :
« SALOPE » que je t’aime, je ne sais pas ce que tu lui as fait pour qu’il me fasse exploser d’un seul coup. C’était… OUF!… Rarement vu ça me faire électriser d’un seul coup de langue… C’est parti sans même que je le sente venir… WOW… On recommence?
Pas pour moi mes belles chéries, j’ai tout le gratin du Ministère de la condition féminine à mon resto ce soir, alors je dois y aller.
Dommage, j’aurais aimé te sentir au fond de moi… répondit Vicky.
Tu nous laisses ton jeune homme? Ajouta Simone. Nous te promettons que nous abuserons de lui tant et aussi longtemps qu’il pourra nous en donner…
Tu nous le laisses dit? S’il te plaît, nous ne lui ferrons pas de mal… seulement de beaux plaisirs…
OK mes belles amours, mais à la condition que je puisse venir lui prêter main forte en fin de soirée…
Marché conclus grand chef, conclus Vicky. Reprends des forces car je sens que la nuit sera longue. Notre heure du dodo sera passée depuis longtemps et notre horloge biologique rendue au petit matin…
Simone ajouta … alors prépares-toi à bien nous servir…
Finalement, je venais de trouver un avantage au décalage horaire… Baiser toute la nuit à leur heure et baiser toute la journée à la nôtre… n’est-ce pas merveilleux…
Retrouvant mon pantalon qui avait volé, je ne sais trop quand, jusqu’à l’autre bout de la pièce, j’ai embrassé ces dames en même temps, ne sachant trop si cette langue était à Vicky ou à Simone, à moins que ce n’eût été la mienne…
Il me fallait maintenant donner les directives à Jean-Séb. Du fond de la cuisine, il me regardait d’un œil amusé. M’interrogeant plus ou moins sur son attitude, me devais-je de jouer le jeu du père ou du patron… Situé quelque part entre les deux, j’ai finalement fait semblant de m’interroger sur son sourire.
Quoi? Qu’y a-t-il mon fils?
J’espère que ces dames ont trouvé le plat principal agréable?
Oui je crois… Mais probablement pas autant que son fils trouvera bientôt le dessert…
Le prenant par l’épaule nous nous sommes fait la bise comme seule un père et son fils savent le faire.
Fait attention à toi… je reviens en fin de soirée.
OK, Bye, A+…
Ah! Le langage de jeune, je ne m’y habituerai jamais.
Quittant les lieux rapidement car le travail m’appelait, je me devais d’être à la hauteur. On ne reçoit pas une Ministre à tous les jours. Sur le chemin du retour, je me surpris à m’imaginer dans quel état je retrouverais mon fils chéri, après que ces dames lui auraient fait connaître toutes les perversions dont elles devaient posséder le secret. Elles étaient vraiment deux belles femmes, bien rondes, avides de sexe, voir insatiables et sans limites.
Ne vous en faites pas… le dessert s’en vient…