n° 07298 | Fiche technique | 23855 caractères | 23855Temps de lecture estimé : 15 mn | 16/05/04 |
Résumé: Un amour de vacances comme beaucoup l'ont déjà vécu... Rien de bien nouveau sous le soleil donc, mais une petite historiette qui j'espère vous divertira un peu quand même... Avec une petite originalité, pour moi en tout cas, qui est d'ailleurs dévoilée da | ||||
Critères: fh jeunes vacances boitenuit fellation cunnilingu pénétratio humour | ||||
Auteur : Vincent T (JH 24 ans) Envoi mini-message |
Car le cœur à vingt ans se pose où l’œil se pose,
Le premier cotillon venu vous en impose,
La plus humble bergère est un morceau de roi.
Ca manquait de marquise, on connut la soubrette,
Faute de fleur de lys on eut la pâquerette,
Au printemps Cupidon fait flèche de tout bois…
Quelques vers de Maître Georges pour introduire mon histoire avec cette fille banale, à la vérité sans véritable beauté apparente, rencontrée un jour presque banal lui aussi, lors de ma dernière journée de vacances dans un hôtel-club. Ses cheveux très bruns coupés courts à la garçonne, ses yeux marrons et ses quelques rondeurs n’incitent pas plus que ça à l’enthousiasme, malgré ses 20 ans et une peau bronzée comme une chocolatine (ou un "petit pain au chocolat" pour les lecteurs originaires du nord de la Loire). Au premier abord donc, rien de spécial, pas même une petite étincelle qui ferait que mon sexe, depuis trop longtemps confiné à mes caresses manuelles, ait envie de batifoler en sa compagnie.
Oui, mais voilà, malgré les quelques fois où je l’avais croisé durant la semaine et où elle m’avait laissé de marbre, le hasard d’une partie de tarot à l’heure de la sieste fait que je me retrouve face à elle, avec un petit bikini bleu turquoise, dont le bas est à peine voilé par un petit paréo. À bien y regarder, elle n’est pas si mal que ça finalement. C’est sûr qu’elle ne doit pas détourner le regard des hommes dans la rue, mais je me dis que finalement, en y regardant bien, on peut non pas la trouver belle, mais tout du moins lui trouver un certain charme. D’autant plus que le piercing que je remarque lors d’un de ses fous rires généreux me rend encore plus curieux. Curieux et en même temps un peu réfractaire, je dois bien l’avouer, car rien que l’idée de cette langue percée me rebute un peu. Mais bon, la curiosité l’emporte et petit à petit, du tarot à la piscine, de l’apéro au spectacle organisé par l’hôtel, on fait peu à peu connaissance, d’autant plus que sa compagnie est agréable puisqu’elle montre facilement sa bonne humeur et sa joie de vivre. D’ailleurs, Karine, puisque c’est son petit nom, ne semble pas avoir froid aux yeux car j’ai cru sentir dans ses paroles autant que dans ses gestes une certaine envie de me connaître… plus en détails disons. En clair, je sens que j’ai une ouverture et que j’ai moyen de conclure, comme dirait l’autre. Mais ça reste à voir, car avec les filles j’ai une certaine tendance à pécher dans la finition (pour rester dans le vocabulaire sportif, j’aurai pu aussi dire que j’avais des difficultés à la mettre au fond, mais dans le contexte ça aurait pu porter à confusion, n’est-ce pas ?).
Je passe donc la soirée avec elle, délaissant les quelques potes que je m’étais fait durant la semaine, et laissant ma sœur pas encore majeure libre de ses gestes, sans le grand frère à ses basques, ce qui n’est pas pour la déranger bien entendu, mais qui chagrinerait à coup sûr mes parents s’ils l’apprenaient (et me vaudrait quelques remontrances). Mais revenons-en à Karine : sa fine robe à bretelles, qui laisse deviner qu’elle ne porte pas de soutien-gorge, lui va à ravir et je dois bien avouer que malgré ses mensurations assez éloignées d’un mannequin, elle sait s’habiller de façon à mettre en valeurs ses charmes. Fatalement, nos discussions aboutissent dans la discothèque de l’hôtel, endroit qui à mon avis ne compte plus les couples d’un soir qui se sont formés sur la piste, au hasard d’un slow langoureux.
Justement, le voilà enfin ce slow que j’attends depuis de longues minutes en faisant durer mon cocktail! "Still loving you" de Scorpions, un grand classique qui me laisse environ 6 minutes pour conclure. Bien évidemment, j’invite Karine à danser. Je sais, un dragueur digne de ce nom n’aurait pas attendu bêtement le slow, mais en aurait profité pour faire tournoyer sa possible conquête sur le dance-floor jusqu’à épuisement, mais il se trouve que je suis un piètre danseur, et même bien plus que ça, et que donc pour éviter de ruiner toutes mes chances, je fais en sorte, autant que faire se peut, de ne pas me retrouver sur une piste de danse lorsque la musique est trop entraînante.
Bref, tout se passe bien puisque Karine accepte l’invitation. Le contraire m’eut étonné car je n’ai pratiquement plus aucun doute sur l’issue de la soirée, même si un grain de sable peut encore faire capoter l’affaire. Dès les premières secondes de danse, je la sens encore plus "enthousiaste" que prévu. Elle se colle littéralement à moi, je sens ses seins contre ma poitrine, sa tête sur mon épaule, son souffle sur ma nuque, ses reins sur mes mains (euh… Non, là j’avoue, c’est moi le responsable)… Je sens aussi mon sexe qui commence à frétiller de sentir un corps féminin aussi proche. Et puis entre la chaleur, les filles bien dévêtues sur la plage, et l’abstinence forcée, il a la fâcheuse tendance à se tendre facilement ces temps-ci, même un peu trop facilement car je n’ai souvent d’autre recours pour freiner ses ardeurs que d’employer ma propre main pour évacuer la pression. Mais ce soir, je sens qu’une âme charitable pourrait éventuellement servir de soupape.
C’est une rapide, avant même la fin du premier couplet, elle vient déposer quelques baisers sur mon cou qui me font frissonner, et qui font aussi frissonner mon membre viril. C’est impossible qu’elle ne sente pas un truc bouger tout seul sous mon caleçon, ce qui a au moins le mérite de dévoiler clairement mes intentions à son égard.
Je me doute qu’elle a une petite idée derrière la tête en posant cette question, et ma réponse, bien que sincère, eut sans doute été la même quelle que soit mon expérience dans ce domaine. Sûrement satisfaite de ma réponse, sa réaction ne se fait pas attendre. Ses lèvres se rapprochent des miennes, et fatalement elles se rencontrent. Ça y est, le plus dur est fait, même si je sentais que l’issue était déjà programmée d’avance. Ma curiosité entraîne ma langue à la recherche de la sienne, afin de percer le mystère de son piercing. L’expérience est tout à fait étonnante, en tout cas elle sort de l’ordinaire. Sentir cette chose sur la langue de ma partenaire est assez déroutant mais plaisant, je l’avoue. En même temps, j’ai un peu peur qu’un faux mouvement vienne "tirer" malencontreusement sur son bijou donc j’évite de trop lui titiller.
Tandis que mes mains se font de plus en plus entreprenantes sur le bas de son dos, les siennes viennent caresser ma nuque, tandis que son ventre vient frotter en cadence sur mon sexe dont l’érection n’est plus contenue du tout.
Et après que je me sois ainsi brillamment exprimé, elle rajoute avec encore plus de malice et en passant doucement sa main sur mon entrejambe :
Autant la première allusion était tout à fait claire, autant sa dernière remarque me laisse songeur. Mais je n’ai pas le temps de réfléchir bien longtemps, car alors que la chanson n’est pas encore finie, elle se décolle de moi et m’entraîne à l’extérieur de la discothèque. Je suis toujours aussi chaud bouillant dans mon caleçon et ma démarche est difficile.
Sur ce, elle me prend de nouveau par le bras, et sans hésiter, emprunte les couloirs tortueux de l’hôtel, jusqu’à arriver à la salle TV.
Regarder la télé, personne, mais si elle a eu cette idée, d’autres couples pourraient avoir la même. Mais de peur de faire chuter son envie (il faut battre le fer tant qu’il est chaud dit le proverbe), je garde mes réflexions pour moi et je me jette sur elle pour l’embrasser. Et puis tant pis, les autres n’avaient qu’à venir plus tôt, la place est prise maintenant…
Ma conquête a une audace folle. Elle a tôt fait de dévoiler ce qui visiblement l’intéresse, à savoir ma queue bien raide. Elle est même un peu trop rapide, je n’ai pas le temps de procéder à un long effeuillage de sa personne pour découvrir son corps, comme j’aime tant le faire. Mais tant pis, l’heure n’est pas au romantisme. La chemise encore sur les épaules, et le pantalon aux chevilles, elle commence à bien me lécher la verge, et je lui pardonne bien vite son excès de précipitation. Et puis on est dans un endroit public, ce n’est pas le moment de trop faire traîner l’affaire.
Bien qu’elle me lèche la verge et les couilles avec entrain, son piercing ne fait pas l’effet escompté ; même si le petit bijou offre une caresse agréable, je m’attendais à des sensations plus saisissantes. Mais ce petit hors d’œuvre ne dure pas longtemps, mon gland qui commence à suinter est un appât qu’elle ne peut éviter et elle se met à le sucer avec un appétit qui fait beau à voir. C’est d’ailleurs là que le piercing fait tout son effet : cette petite boule qui vient se frotter sur la fine peau de mon gland provoque un effet électrisant. Elle le sait, et sa langue tourne autour de lui avec insistance.
Tout en savourant cette pipe inoubliable (tellement inoubliable que j’en parle encore aujourd’hui devant vous), je retire ma chemise car il fait soudainement une chaleur à crever. Car même sans le piercing, je vois bien que la petite n’en est pas à son coup d’essai car sa maîtrise de la fellation est à saluer. Les fondamentaux sont respectés à la lettre : une douceur exquise, une fluidité dans le geste, pas de mouvement brusque qui pourrait avoir des conséquences fâcheuses vu mon état d’excitation, une utilisation des mains parcimonieuse mais à bon escient, un bon équilibre temps morts/temps faibles, une bonne utilisation du regard pour me chauffer encore plus, un bon quadrillage des zones allant du bout des glands jusqu’au-dessous des couilles…
Elle fait ça tellement bien que je suis déjà au bord de l’orgasme. Prenant sa tête dans ses mains, je la recule, la privant ainsi de sa friandise, et lui demande :
Ainsi, sans lui avouer que je suis prêt d’exploser, je peux à la fois et retarder ma jouissance, et profiter de la surprise qu’elle m’a promise.
Elle illumine alors son visage d’un large sourire et tout en me fixant du regard, elle se recule et s’en va langoureusement s’asseoir sur un des nombreux fauteuils qui parsèment la salle (dans une salle TV, c’est pas ça qui manque), puis commence à se caresser un peu partout par-dessus sa robe. Puis, relevant ses jambes, le bas de sa robe a vite fait de se retrouver au niveau de ses hanches, et sa main peut ainsi se frotter librement à son sexe à travers son string. Son regard de braise, associé à ses positions indécentes, suffirait presque à me faire jouir. J’évite en tout cas de me branler car ça en serait fini de moi. Comme quoi, il ne faudrait jamais se fier à sa première impression. Moi qui tout à l’heure la trouvais plus que quelconque, je lui trouve présentement un charme fou. Oui bon d’accord, dans cette position, je peux difficilement la trouver repoussante !
Ses mains passent sur ses cuisses, puis sur son ventre et ses seins, toujours à travers sa robe qu’elle ne semble pas disposée à retirer, à mon grand désespoir. Si elle cherche à me torturer de désir, eh bien c’est réussi. L’envie de lui sauter dessus me prend, mais en même temps le spectacle qu’elle m’offre mérite qu’on la laisse continuer. Je la trouve quand même assez gonflée de se comporter aussi librement devant un quasi-inconnu, mais vu que cet inconnu c’est moi-même en personne, je ne lui en porterais pas grief.
Sa main passe maintenant sous le string et je devine ses doigts qui coulissent le long de ses lèvres et sur son clitoris. Son corps ondule de plaisir, elle se caresse comme si elle était seule, qu’elle m’avait oublié. Mais non, avec son autre main, elle me fait signe de m’approcher. Retirant alors mon pantalon qui m’empêchait de marcher correctement, je viens m’agenouiller entre ses jambes, tout en restant les yeux fixés sur son string qui m’empêche de voir ses doigts qui fouillent son sexe.
Alors si j’ai bien compris, le string sert de papier-cadeau en quelque sorte. S’il n’y a que ça qui gêne, ça ne va pas être un problème bien longtemps. Je me saisis de son string au niveau des hanches et le fait lentement descendre, en même temps que ses jambes se referment sur sa main qui semble résolue à ne pas quitter son sexe. De fait, entre sa main et ses jambes collées l’une à l’autre, j’ai du mal à en voir plus qu’avec le string. Mais, dans son infinie bonté, ses jambes s’écartent à nouveau (quelque chose me dit que c’est leur position d’équilibre), et sa main remonte légèrement sur son ventre, me laissant enfin contempler son sexe. Effectivement, une bien belle surprise m’attend, et même deux à vrai dire : son minou est totalement épilé, il n’y a pas un poil, ce qui me surprend car c’est pour moi la première fois que je vois un sexe épilé ailleurs que dans un film à caractère pornographique, et un magnifique petit anneau, au bout duquel une perle (noire si mes souvenirs sont bons) pendouille, est accroché au capuchon de son clitoris. Et c’est aussi la première fois que je vois en vrai un bijou à un endroit aussi intime!
Je reste un moment sans réaction, mais bien vite je me dis que je me dois d’honorer ce sexe si gentiment offert. Après un sourire à ma partenaire, qui me le rend, j’approche ma tête, et surtout ma bouche, afin de croquer dans son abricot bien juteux. Après quelques coups de langue au hasard, je me décide à jouer avec son clitoris magnifiquement décoré. C’est vrai quoi, un tel effort de présentation doit être récompensé à sa juste valeur! Cette espèce de petit jouet, que je ne peux éviter à chaque coup de langue, rend l’affaire assez rigolote. Le fait de sentir sur sa langue ce morceau de métal assez froid, en tout cas beaucoup plus froid que la peau de son sexe qui est bouillant, rajoute un peu de piment à mon cunni. Je sens Karine très sensible du clitoris et je comprends pourquoi elle a placé à cet endroit stratégique un tel appât, qui a dû attirer plus d’un mâle avant moi, et sûrement beaucoup d’autres depuis cette fameuse soirée. En tout cas, je reste à lui titiller le clito pendant plusieurs minutes, à savourer le fait de la voir se tordre dans tous les sens et manifester aussi bruyamment son plaisir.
Au bout d’un moment, je me décide quand même à aller visiter son sexe avec ma langue plus en détails. C’est une vraie fontaine qui m’attend, et l’odeur qui en résulte et assez prononcée. Comme quoi, si les rousses ont une sacrée réputation (que je n’ai personnellement jamais eu l’occasion de confirmer ou d’infirmer), certaines brunes ne sont pas en reste ! Je commence à faire aller ma langue pour recueillir le précieux nectar. Je sens vite que la demoiselle a l’air d’apprécier, et elle ne se gêne d’ailleurs pas pour manifester son contentement. Ses gémissements bien audibles, s’ils font fuir les culs-pincés, risquent fort d’attirer les voyeurs de tout poil. Je jette un coup d’œil rapide à la porte d’entrée… elle est toujours close, je peux continuer sans crainte.
J’enfonce ma langue au maximum, tant l’humidité qui règne dans son antre est attirante. Son sexe épilé est d’une douceur infinie. Ma langue et mes lèvres glissent sans aucune résistance, si ce n’est son anneau et sa perle que je sens toujours aussi bien. Je profite longuement de ce sexe lisse fait pour le cunni, mais, alors que je comptais bien la faire jouir avec ma langue tant je la sentais près de l’extase, elle pose ses mains sur mes joues, relève ma tête, et me lance, dans un regard lubrique à souhait, un truc crû du genre :
Je n’ai pas l’habitude d’entendre une fille me parler ainsi, surtout à moi, mais je comprends quand même ce qu’elle veut. C’est à ce moment que je percute que je n’ai pas de préservatif sur moi. C’est sûrement un tort, mais n’étant pas habitué à rencontrer ce genre d’amours d’un soir, je n’ai pas pris soin d’en placer un dans ma poche, comme font les dragueurs avertis.
J’obéis et lui tends son petit sac à main. Elle en sort rapidement une boite de 3 ou 4 préservatifs, et après en avoir extrait un, encore dans l’emballage, elle échange nos rôles, je me retrouve assis et elle à 4 pattes. Elle en profite pour retirer sa robe, ce qui me permet de lorgner sur ses seins qui sont ma foi bien mignons. Mais bon, dans une telle configuration, et avec une telle excitation, la trouver belle est vraiment chose aisée.
Je lui aurais bien volontiers laissé l’initiative, car j’adore être passif (sûrement mes origines du Sud de la France et mon goût prononcé pour la paresse), mais je suis bien trop excité pour résister à sa chevauchée qui, avec le peu que je connais du personnage, n’aurait pas manqué d’être énergique. En la faisant rasseoir sur le fauteuil, moi à genoux, je pourrais ainsi mieux contrôler le rythme, et ainsi éviter que tout se termine en quelques secondes. Elle s’exécute sans sourciller, et après l’avoir positionnée bien au ras du fauteuil pour qu’elle m’offre son sexe, j’approche ma bite. J’en profite pour jouer un peu avec son anneau que je titille avec le capuchon du préservatif. Puis je passe mon gland entre ses lèvres, en le faisant tourner autour de son sexe, avant de m’introduire en elle avec une extrême facilité. Je commence alors à la limer, en veillant bien à ne pas trop m’emballer pour éviter toute éjaculation qui décevrait à n’en pas douter ma partenaire. Je profite de la position pour peloter ses seins qui vibrent à chaque coup de queue. Puis je les embrasse, avant d’embrasser sa bouche pour étouffer autant que faire se peut ses cris qu’elle ne contient absolument pas. Si elle agit de la sorte chez elle, ses voisins doivent sûrement passer quelques nuits blanches à l’entendre prendre son pied avec ses amants.
Bref, toujours est-il que je continue mes va-et-vient, tantôt rapides, tantôt plus lents (pour varier les plaisirs, et aussi pour éviter de jouir trop vite), tantôt allongée sur elle, tantôt droit pour pouvoir bien la regarder en pleine jouissance. Au fil des minutes, je la sens de plus en plus ardente et proche de la jouissance, alors je relève ses jambes au maximum, ses genoux sur ses épaules. Ainsi, je la sens bien offerte, j’enfonce ma queue bien à fond. Ses encouragements me poussent à augmenter encore la cadence ; mes hanches s’activent alors à un rythme effréné, je suis à fond, "la tête dans le guidon" comme on dit. Et, alors qu’elle m’annonce sa jouissance d’un "Je vais jouir… aaaaahhhhhh……. Je jouis" qui résonne encore dans ma tête comme si c’était hier, j’en fais de même et j’explose tout mon trop plein d’énergie dans la capote qui, de bonne qualité, a résisté à la pression.
Alors, après quelques mouvements de hanches supplémentaires, je m’écroule sur elle, la tête contre son épaule et le souffle court, tandis qu’elle me murmure un "hmmmm… C’était bon" étouffé par sa respiration, difficile pour elle aussi.
Mais bien vite, je me redresse pour retirer la capote avant de ramollir. Ça brise un peu la magie de l’instant mais c’est quand même nécessaire.
Elle en profite alors pour se redresser, puis pour remettre sa robe, tandis que son string passe directement dans son sac. Moi aussi je me rhabille, ce qui prend un peu plus de temps qu’elle. Tandis que je reboutonne ma chemise, elle s’approche de moi, pose un baiser sur mes lèvres, et me lance un "Merci, c’était bon!" (Si, si, je vous assure qu’elle m’a dit ça!) Avant de se retourner et de s’éloigner vers la porte.
Je sais très bien qu’il n’y aura pas de prochaine fois, mais je la laisse partir. De toute façon, ce n’est pas la peine d’insister, cela ne servirait à rien. Et puis dans quelques heures, j’ai un avion qui doit me ramener chez moi, je vais aller dormir moi aussi, même si le sommeil risque d’être dur à trouver. Alors je rejoins ma chambre, avec un sentiment étrange où se mêlent à la fois plaisir et mélancolie…