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Notre premier club libertin

Notre première fois

Nous sommes un couple de la quarantaine qui pour essayer de vaincre la routine et mettre un peu de piment dans une vie somme toute monotone (comme bon nombre de couples d’ailleurs) ayant depuis quelques années de varier nos expériences.

J’essaye depuis quelques temps de décider ma femme à m’accompagner dans un club libertin. Je ne désire pas tant l’échangisme qui me semble difficilement acceptable tant pour moi que pour ma douce mais surtout mettre à profit le cadre et la liberté d’agir pour mettre en œuvre mes fantasmes déjà ébauchés dans différents lieux publics, mais les exhibitions dans les restaurants et autres bars comportent des risques de choquer l’entourage qui rendent difficiles la poursuite de ce genre de pratiques.

Mes différentes demandes auprès de ma douce se sont pour l’instant soldées par des échecs conduisent inévitablement à une séance de « cul tourné »

Néanmoins, je n’ai pas dit mon dernier mot et tente encore ma chance régulièrement. Petit à petit l’idée semée poursuit son chemin dans l’esprit de ma douce. Il faut souligner quand même que toutes les expériences que nous avons tenté jusqu’à présent ont souvent commencé par un non pour finir par une acceptation presque totale des scénarios proposés, le plaisir commun étant toujours au rendez-vous. Car que ce soit dans la rue, en forêt ou ailleurs la source de mon amour a toujours mouillée après les premiers instants de peur, l’excitation a petit à petit pris le pas sur le reste et son puits d’amour palpité sous mes doigts ou ma queue

Après tant de persévérance et de tentative la réponse tant attendue vint enfin « je veux bien mais on fait que regarder », pour rassurer mon amour nous avons convenu des limites de notre expérience.

Après de multiples reconnaissances des différents club de notre région (entrepris d’ailleurs avant son acceptation au cas ou) Notre sélection s’est faite sur un restaurant boite pas trop loin de chez nous.

Dans ce lieu nous avions l’alibi d’un restaurant coquin et d’une piste de danse pour nous décoincer.

J’ai donc préparé la tenue de ma douce pour quelle soit encore plus désirable ce jour là: Un soutien-gorge demi-bonnet laissant les seins menus 85B de ma belle entièrement découverts, comme sur un présentoir, un string transparent en voile qui ne cachant pas grand chose, sa toison de brune apparaît nettement au travers, le string très ajusté souligne le renflement des ses grandes lèvres et son mont de vénus.

Pour la commodité ma chérie a choisi de mettre des bas auto fixant qui encadrent de dentelle ses trésors.

J’étais d’avis de couvrir le moins possible ses appâts aussi notre choix se portât sur une mini jupe noire, très mini et ouverte qui découvrait le haut de ses cuisses à chaque geste et un chemisier en voile rouge totalement transparent qui découvrait plus qu’il ne couvrait la pointe de ses seins.

Pour le trajet et la décence un manteau complétait la tenue. Si cela n’avait tenu qu’à moi le manteau était de trop mais la soirée ne faisait que commencer. Ma tenue plus légère qu’à l’accoutumée était composée d’un pantalon et d’une chemisette légère.

Ma chérie se prépara longuement afin de bien s’imprégner du rôle de femme fatale que je lui avais assigné. Coiffure, rouge a lèvres et épilation de son petit minou furent les étapes obligées de sa transformation. C’est cette beauté que je découvris en rentrant, prête à tout pour la nuit (avec moi cela s’entend) ma douce ne se sentant pas prête à l’aventure avec un ou une autre.

La perspective de cette soirée devait l’exciter car on pouvait voir ses tétons pointer avec arrogance au travers de son chemisier. Je l’embrassais en la félicitant pour sa beauté et ma main qui s’était égarée dans la fourche de ses cuisses me permit de me rendre compte que la situation la rendait brûlante. Sa chatte était moite de désir. Instantanément la tension dans mon pantalon devint plus forte. Ma chérie me fit promettre de ne pas l’abandonner une seconde et que la soirée serait consacrée à regarder et à s’exciter tous les deux sans aller plus loin avec d’autres. Son angoisse était que l’on puisse la toucher sans qu’elle ne le veuille, je la rassurai et m’engageai biens volontiers n’étant pas moi-même sûr de vouloir la voir dans d’autres bras. La soirée ainsi définie, nous prîmes la route chaque kilomètre nous rapprochant de notre destination faisait monter notre excitation.

Enfin arrivé, un dernier regard pour se rassurer et nous entrons. J’avais réservé et l’on nous conduit à une table du restaurant dans une petite pièce ou une quinzaine de tables sont dressées. Nous sommes parmi les premiers et seul un couple converse non loin de nous, la femme est vêtue d’un ensemble en cuir noir très sensuel qui souligne ses gros seins, la veste portée a même la peau n’est tenue que par un bouton découvrant la naissance de ses seins. Sa jupe très courte ne laisse rien ignorer de son anatomie et découvre le haut de ses bas. Le couple dans la quarantaine semble très absorbé par une discussion à voix basse.

Nous nous asseyons à notre place et ta tenue ne les laissent pas indifférents, tes seins que l’on voit parfaitement au travers de ton corsage bandent outrageusement et cela semble t’exciter au plus haut point. La soirée commence tranquillement par le dîner assez quelconque car de toute façon le plaisir ce soir est ailleurs. Les couples arrivent maintenant et la salle est presque pleine. Le vin et la chaleur commencent à faire leurs effets et on peut voir maintenant que la jolie brune qui est à côté de nous n’a pas froid aux yeux elle a ouvert sa veste et l’on voit parfaitement ses seins libres de tout soutien. Une autre femme, sans doute a t-elle trop chaud a carrément enlevé son chemisier et reste avec un soutien-gorge très échancré qui projette ses seins volumineux vers le haut, l’aréole de ses seins ayant définitivement renoncé à rester derrière le rempart de dentelle.

C’est comme cela que le repas se poursuit, les femmes et les hommes de plus en plus dénudés au fil du temps. Les gestes qui nous entourent éveillent en nous un désir qui fait briller nos yeux et ton pied vient caresser mon sexe sous la table, penchée en arrière avec les seins en présentation et ta jupe fendue largement ouverte sur ton string, tu es à l’unisson du groupe qui nous entoure, excitée et provocante. Nos voisins de table du début ont maintenant perdu toute décence et la femme avec ses seins à l’air, assise à côté de son mari caresse le sexe de son homme. Pour l’instant sa main s’active dans le pantalon de son mec pendant que l’autre a remonté sa jupe et masse sa chatte au travers de son string, son geste faisant disparaître petit à petit la dentelle entre ses grandes lèvres roses, la soirée commence bien!

Des couples se rapprochent et se caressent mutuellement sans doute des habitués. Nous, dans notre coin sans perdre d’une miette de ces activités nous sommes rapproches l’un de l’autre et ma main a ouvert le compas de tes jambes, en relevant ta jupe j’offre en spectacle ta chatte encore couverte mais nimbée de désir, on voit sourde le ton sexe et ta mouille imprègne ton string, il est depuis longtemps trempé et je l’écarte du doigt pour te caresser plus facilement.. Ton clitoris est sorti de son écrin et bande sous mes doigts, la situation t’excite, tu as perdu toute retenue. Que les autres voient ta chatte ne te semble plus du tout gênant et ton désir de jouir est au-dessus de tout. Ta main a sorti mon membre de son nid et le caresse, beaucoup de couples font comme nous et se caressent en regardant autour d’eux. Je te caresse toujours avec mes deux mains, en m’occupant d’une main de ton bouton d’amour et de l’autre de tes seins qui maintenant découverts pointent de plaisir.

La femme à côté de nous, a pris la queue de son homme dans sa bouche et commence une fellation dont la vue semble le ravir, d’une main elle caresse son bouton et de l’autre elle branle le mec en le suçant. Cela semble te faire plaisir car tes yeux ne quittent plus les lèvres qui montent et qui descendent sur la hampe tendue, de temps en temps sa langue vient chercher une goutte de plaisir au sommet de celle-ci arrachant un soupir à son amant. De notre côté j’ai mis ton sexe à nu et ma main sur ta chatte dégoulinante de mouille devient de plus en plus précise. Ton plaisir commence à monter en même temps que tu vois la queue de ce mec plonger au fond de la gorge de sa femme, tu abandonnes ton corps a l’extase et ton bassin vient au-devant de ma main, sur ta chaise tu ondules et ta main caresse tes seins bandés. J’écarte ta main de mon sexe car je ne veux pas jouir avant toi et je veux que tu te concentres sur le plaisir qui monte en toi.

Tes yeux grands ouverts restent fixés sur la bite de notre voisin qui lui regarde ta petite chatte ouverte sur mes doigts qui la branle. On voit dans ses yeux que la jouissance n’est plus très loin car la fille le branle maintenant à fond en donnant des coups de langue sur le frein.

Bientôt il rend grâce et se vide sur le visage et les seins de la femme. Des jets de crème blanche maculent ses lèvres et elle pompe maintenant les restes du jus de son homme qu’elle semble trouver à son goût, ce spectacle te stimule au plus haut point et ta jouissance vient enfin. Tes jambes se crispent et tu jouis sous mes doigts. Le spectacle que tu nous donne fait plaisir à voir, autour de nous les hommes sont excités de te mater sous toutes les coutures, certains en profitant pour se libérer de leur trop plein de désir.

Intérieurement je suis sidéré du changement de mon amour, elle si réservée est devenue exhibitionniste en peu de temps et je m’en félicite.

Elle laisse doucement refluer le plaisir en vagues successives, puis nous levons pour continuer dans un lieu plus tranquille. Nous partons à l’aventure dans le club à la recherche d’un coin plus approprié aux galipettes et essayons les différents coins et recoins de la boite nous trouvons du monde sur beaucoup de lits, mais une salle déserte s’ouvre enfin devant nous. Il y a bien quelques ouvertures pour les mateurs mais au moins elle ferme et nous allons pouvoir faire l’amour sans prendre le risque de sentir quelqu’un d’autre que nous deux. Je ne sens pas encore ma douce prête à l’amour collectif ni moi non plus d’ailleurs. La situation précédente m’a néanmoins énormément excité et ma queue est bien à l’étroit dans mon pantalon. Je couche ma chérie sur le canapé qui nous fait face et reprend mes caresses sur son puits d’amour plein de la liqueur que je préfère. Je me glisse entre ses jambes ou je commence à butiner sa fleur pour me régaler de son nectar. Mais ma belle ne l’entend pas de cette oreille et tire ma queue vers elle pour que nous nous retrouvions en 69 et c’est ainsi que chacun de mes coups de langue sur son clitoris est répercuté sur ma queue par une longue et profonde succion.

Ma belle ne semble pas prendre garde au défilé de nombreuses têtes tant féminines que masculines dans les fenestrons d’observation. Après tant de désir, mon pieu est prés d’exploser à chaque aspiration de ses lèvres et je sens ma sève prête à jaillir à tout instant au fond de sa gorge. Je me refuse à jouir avant de l’avoir pénétrée aussi je lui retire sa sucette et la présente devant sa chatte rose et béante. Il ne faut pas pousser bien fort pour la prendre, son sexe m’absorbe littéralement et mon gland cogne le fond du sien à chaque mouvement. Je voudrais la remplir toute entière tellement mon désir pour elle est fort à ce moment, quelques minutes de va-et-vient me ramène au bord de l’extase et je me concentre pour lui permettre de me rejoindre dans le plaisir, bientôt ses mouvements désordonnés et ses ondulations du bassin me donne le signal de libération tant attendu. Mon sexe tendu à l’extrême vient cogner une dernière fois de fond de sa grotte et je sens les pulsations de mon sperme la remplir pendant que sa chatte palpite de bonheur sur mon membre comme pour arracher les dernières gouttes de son suc. Je m’écroule sur elle et nous restons ainsi quelques minutes terrassés par le plaisir.

Après tant de tension contenue et une séance de baise aussi intense nous éprouvons le besoin de nous retrouver tous les deux et repartons chez nous pour digérer au mieux cette expérience et en parler.

La nuit qui nous retrouve enlacé tous les deux au fond de notre lit couvre d’un voile pudique une dernière étreinte avant que le sommeil et la fatigue nous terrassent..