n° 07337 | Fiche technique | 13244 caractères | 13244 2251 Temps de lecture estimé : 10 mn |
01/06/04 |
Résumé: Deux collègues sont forcés de passer un très long moment dans un bunker anti-atomique... | ||||
Critères: #humour #sciencefiction fh collègues grosseins travail fmast facial cunnilingu pénétratio | ||||
Auteur : Indybob (Le grand aventurier Indiana Bob.) Envoi mini-message |
Je la détestais. Ma collègue ne manquait jamais l’occasion de repousser le moindre petit compliment que je lui faisais. Marie était une jeune femme brune de 26ans. Elle avait les cheveux longs et ne m’était pas indifférente malgré son air très sérieux. Elle ne portait jamais de jupe ou de robe et elle n’est venue travailler qu’une seule fois en t-shirt. Le reste du temps, elle était un pull. Elle se disait frileuse car elle venait du sud. Donc, sa généreuse poitrine était constamment à l’abri des regards.
Je suis un gars célibataire dans la trentaine. Je suis assez grand et costaud et j’aime mon travail. Nous faisions partie d’une équipe chargée de mettre au point un filtre à air pour équiper les abris atomiques/anti-chimique que fabriquait notre société. Par les temps qui court, les ventes étaient en constante progression. On avait été embauché dans les mois qui ont suivi le fameux 11 septembre.
Au centre de recherche, on possédait 2 bunkers dans les sous-sols du terrain. Le premier servait à expérimenter nos produits et n’était pas fonctionnel en cas de vrai problème. Le deuxième, plus petit, servait de bunker modèle pour les visites de notre clientèle internationale. C’était un modèle de luxe et comportait tous les gadgets que pouvais offrire notre société. Une dizaine de personne pouvait y survivre pendant 6 mois.
Nous passions notre temps entre le laboratoire et le premier bunker pour la mise au point de la version finale du filtre FK132 qui équipera la nouvelle génération de nos bunkers collectifs de 1000 places.
Un mois plus tard, le filtre avait été intégré à notre chaîne de fabrication de l’usine voisine. Le premier exemplaire avait été réservé pour servir de démonstrateur dans le deuxième bunker. Sammy, notre supérieur nous avait confié la tâche de l’installer le jour même. Mais, un problème d’adaptateur nous avait empêché de respecter ces ordres. Nous avions dû attendre le lendemain pour pouvoir se rendre dans le bunker installer ce nouveau filtre.
Marie transportait la boite à outils pendant que je portais le nouveau filtre. Nous avions le double des clés qui permettait d’ouvrire la porte du bunker situé à 50 mètres sous le niveau du sol. Aucune visite de client n’était prévue aujourd’hui. Nous avions donc tout le temps pour le mettre en place.
Je n’aimais pas être avec elle. Une porte de prison était plus chaleureuse que cette fille. On avait passé la matinée à installer le filtre lorsque soudain, l’alarme du bunker retenti. La fermeture automatique de la porte blindé avait été activée. Nous étions pris au piège.
Avec le téléphone de service, nous avons alors tenté de communique avec le poste de contrôle. Aucune réponse. J’ai alors utilisé la station de contrôle du bunker pour vérifier ce qu’il se passait à l’extérieur. Les 2 caméras extérieures montraient les alentours de l’usine. Tout semblait normal mais la radio nous annonçait sur toutes les chaînes une mauvaise nouvelle. Très mauvaise…
La radio se tut.
Un grand flash illumina le moniteur TV. Le sol se mit à trembler fortement et un bruit sourd arriva à mes oreilles!
Le tremblement avait duré de longues secondes. Le visage de Marie avait changé de couleur. Le mien aussi
J’ai réexaminé le moniteur des 2 caméras de surveillance extérieure. Elles étaient faites pour résister à une explosion nucléaire distante de plus de 10 km. C’était le modèle de luxe. J’ai alors vu le désastre qui venait de se produire. La caméra sud montrait avec difficulté, des gros nuages noir et une quantité de poussière en suspension. La caméra nord, qui pointe vers la ville, montrait des champs de ruine. Nous étions dévastés.
J’avais des amis et des parents dans cette ville. Plus rien! Je n’avais qu’une envie, celui de les rejoindre car je ne sais pas comment je pourrais survivre sans eux.
Marie pleurait. Elle était sous le choc de cette catastrophe. La radio restait muette. Comme c’est un modèle de luxe, nous possédions une antenne satellite rétractable pour écouter les communications venant du ciel. Nous avons capté une courte émission d’une station de télévision norvégienne encore active. Nous avons compris qu’un groupe de terroriste avait fait sauter simultanément une série de bombe atomique dans une vingtaine de grande ville de la planète. New-York, Los Angeles, Berlin, Londres, Moscou, Jérusalem, Paris…
Nous avions eu la chance d’être dans ce bunker à ce moment. Nous pensions à tous nos collègues qui étaient restés là-haut! Le compteur de radiation nous indiquait un taux élevé au-dessus de notre tête. Il était hors de question de sortir d’ici. Notre espérance de vie aurait été réduite grandement…
Professionnellement, nous avons vérifié la bonne marche des équipements de survie du bunker. Notre filtre était en fonction. Marie dit:
Les réserves de vivres et d’eau étaient à jour et le générateur de secours avait démarré automatiquement avec la coupure du courrant extérieur.
Marie s’était permis de se blottir contre moi un court instant avant de reprendre son air de Sainte-Nitouche. Mais son regard montrait un grand désarroi.
Les occupations dans un bunker étaient restreintes. Nous avions un ordinateur avec une banque de jeu, de livre et de film. Mais on n’avait pas trop le moral pour se taper un film de Bruce Willis.
Au bout d’une journée, nous avons accepté notre sort. La glace avait fondu entre moi et Marie. J’étais la seule personne qui pouvait la consoler. Elle s’avère qu’elle est une femme douce et très humaine. Pour des raisons professionnelles, elle se donnait cet air de vielle fille. Mais actuellement, le côté professionnel avait été mit de coté. On était en chômage technique…
Le silence était très pesant. Nous avons décidé de mettre un peu de musique MP3 avec lecture au hasard. On s’était mis à déconner sur une musique techno. Le bunker de luxe avait une sono digne d’une boite de nuit! Mais on ne risquait pas de déranger les voisins!
Puis, au hasard du lecteur MP3, une grande valse est jouée. Mais je ne suis pas un expert en danse. Marie décide de me guider et me montrer les pas de danse de base. Elle a beaucoup de talent et nos corps tourbillonnent dans le bunker.
Je décide de mettre un slow que j’apprécie beaucoup. Je l’invite à se joindre à moi.
Elle s’approche de moi et met ses bras sur mes épaules. Je la prends par la taille et j’entame un doux balancement corporel au gré de la musique. Marie repose sa tête contre ma poitrine. Nous écoutons attentivement la musique qui berce nos âmes. Elle relève la tête et fixe mon regard attentivement. Le premier sourire de la journée apparaît sur sa figure et elle dit:
Je ne peux m’empêcher de coller mes lèvres sur les siennes. Elle resserre la prise de ses bras à mon cou et nous échangeons un très long baiser. Nous avions tout le temps devant nous. Rien ne pressait. Ce baiser dura une éternité. Les musiques les plus diverses se succédèrent aux haut-parleurs. On était seuls, personne pour nous juger, personne…
Le bunker était notre île déserte au milieu du Pacifique. Nous avons désiré le corps de l’autre. Elle a retiré son pull pour enfin dévoiler les formes de sa poitrine dans un hamac de dentelle. Je l’ai complimenté pour ses goûts de sous-vêtement. La peau apparente de seins qui débordait des bonnets, attirait mon regard, et puis mes mains. Je ne put m’empêcher de glisser des doigts sous le tissu pour découvrire des tétons en érection. La peau de ses auréoles s’était contracté au contacte de mes doigts. Marie avait fermé les yeux pour mieux apprécié mes caresses. Elle avait gardé ses bras autour de moi comme si elle avait peur de me voir partir. J’ai laissé en place ses globes dans ce si beau soutien-gorge. Je ne voulais pas tout dévoilé la première fois, car j’imaginais bien de ce n’était pas la dernière…
Sa respiration dévoila la monté de son excitation. Les plaques de rougeurs sur sa poitrine et son visage trahissaient sa montée d’hormone. Une belle érection dans mon pantalon trahissait la mienne.
Un nouveau baiser coupa notre conversation. Tout en gardant nos lèvres ensemble, je fit tomber ma chemise et mon pantalon. Son pantalon à rapidement rejoint le mien. Je me permis de découvrire la présence d’un string fait de la même matière que son soutien-gorge. Ses fesses étaient douces. Mes mains ne pouvaient pas les quitter. Sa langue commençait à explorer ma bouche. Elle jouait à cache-cache avec la mienne. Ses mains avait été directement au but dans mon caleçon pour tâter la virilité de mon sexe. Elle n’était pas déçue. Mon pénis pointait maintenant hors de mon caleçon. Elle le cajolait avec ses douces mains. Ses doigts caressèrent la peau qui protégeait mes testicules. Elle jouait avec les poils de ma toison. De mon coté, j’avais entreprit d’explorer la moindre parcelle du haut de son corps. Sa peau était si soyeuse. Nos lèvres se séparèrent.
Elle recula de 2 pas. Ses petits doigts agrippent les ficelles sur ses hanches et le string descend doucement le long de ses cuisses. J’admire le spectacle à distance. Elle découvre un petit rectangle de poils pubien qui cache à peine son intimité. Tout en me regardant, elle fait glisser le string de ses pieds, puis elle vient poser une main sur sa toison. La main descend doucement et les doigts se faufilent entre ses grandes lèvres. Elle découvre son clitoris en écartant furtivement ses lèvres. Il est déjà gonflé et n’attend que d’être titillé. Ses doigts continuent d’explorer ses chairs et son intimité est dévoilée à mes yeux. Elle glisse un doigt dans son vagin et un petit filet de liquide s’en dégage. Elle le porte à sa bouche avec un regard coquin.
Ma réaction était immédiate. Je me suis mit à genoux et j’ai embrassé cet abricot ainsi offert. Ma langue allait de bas en haut pour récupérer le cyprin et l’étendre sur son clitoris. Elle tenait toujours ses lèvres écartées avec ses doigts. Ma bouche dégustait sa chatte dévoilée. Je me suis relevé et je l’ai prise par la taille pour la soulever au-dessus du plancher. Ma force me permettait de la soulever et de diriger son entrecuisse sur mon gourdin fièrement dressé. Il trouva son chemin entre ses lèvres. Ses jambes s’enroulent autour de mon bassin et ses bras à mon cou. Ses mouvements du bassin provoquèrent un va-et-vient de nos sexes. Je taquinais son vagin au plus profond. Ses seins, toujours emprisonnés dans la dentelle, sursautaient sous mon menton. Ses cheveux dansaient sur ses épaules.
Je sentais mon plaisir venir tranquillement, mais sûrement. Marie prenait beaucoup de plaisir avec cette position qui était une nouveauté pour elle. Je me suis assis sur une chaise et elle a continué à empaler mon sexe outrageusement. Je pouvais alors dégrafer son soutien-gorges et libéré ses globes mammaires. Ainsi en liberté, elles ballottaient au rythme des mouvements de Marie. Je les ai saisis à pleine main et j’ai plongé ma tête dans la vallée. J’ai goulûment embrassé les auréoles, puis sucé ses tétons.
Marie venait de jouir de nouveau. Mon sexe lui donnait énormément de jouissance. Elle aimait contrôler la pénétration. Elle frottait sa toison et son clito sur mon bas ventre. Cà lui procurait encore plus de plaisir, plus d’orgasmes.
Lorsque ses jambes avaient atteint le seuil d’épuisement, elle s’est retiré et s’est mise à genoux au pied de la chaise. Elle a fermé les yeux et ouvert la bouche. Sa main branlait ma queue sur toute sa longueur. Mon gland frottait le pourtour de ses lèvres. Sa langue joua avec le petit trou à l’extrémité de ce dernier. Ce spectacle irrésistible m’excitait au plus haut point.
***Je jouis***
Sa langue recueille tant bien que mal, mon sperme qui jaillit de mon sexe. Son visage est couvert de filet de sperme. Elle suce mon dard pour en extraire le plus maximum. Elle se met en amazone sur mes cuisses et vient m’embrasser. Je goûte sa bouche et j’apprécie énormément le fruit de mon orgasme. Je lèche son visage pour tout nettoyer. Je coupe la musique, me couche sur un lit et elle s’endort dans mes bras. Je la regarde tendrement et puis le sommeil me gagne à mon tour…
Soudain la porte du bunker s’ouvre et un homme entre tout en parlant à voix haute au groupe de japonais qui le suit: