n° 07345 | Fiche technique | 28220 caractères | 28220Temps de lecture estimé : 17 mn | 05/06/04 |
Résumé: Samedi soir à Venise | ||||
Critères: fh grosseins fépilée hotel exhib lingerie ecriv_f | ||||
Auteur : Béatrice38 Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Mes exhibs Chapitre 07 / 07 | FIN de la série |
Bonjour,
Je vais vous raconter une petite exhibe que mon mari m’a fait réaliser un week-end en amoureux à Venise.
Cela faisait quelques années que nous avions projeté d’aller visiter Venise, la cité des amoureux.
Avant de faire les valises, Pierre, mon mari, ( pour ceux qui n’ont pas lu mes précédentes histoires) me signale qu’il compte bien que je sois très sexy le samedi soir, et que je ne m’occupe pas de ma tenue pour ce fameux soir. Il me demande juste de prévoir des escarpins noirs à talons aiguilles hauts. Je me décide pour des vernis d’une hauteur de 13 cm. J’ai plus haut, mais avec ceux la je sais que je pourrai malgré tout marcher si nous devons aller au restaurant.
Je crains le pire, mais j’aime quand il m’impose des tenues trop sexy pour sortir.
Nous arrivons le vendredi soir, nous découvrons un petit hôtel, plein de charme. À la réception nous apprenons vite que cet hôtel est tenu par une famille italienne. Surtout trois frères qui semblent se partager le travail.
Je me rends vite compte que ma poitrine un peu volumineuse ne les laisse pas indifférent bien que je n’ai qu’un haut, au décolleté très raisonnable.
Nous sommes accompagnés pour prendre notre chambre. Je la trouve un peu petite, mais, il ne faut pas être difficile à Venise, dès le printemps les touristes sont là.
Nous nous couchons très sages, il faut dire qu’il est tard et que la fin de semaine a été très dure pour nous deux.
Le lendemain matin, réveil. Je suis curieuse de savoir ce que Pierre m’a prévu pour ce soir. Je le câline un peu au lit, il cède pour que je regarde cette tenue, mais me dis :
Il me tend un petit paquet, que j’ouvre fébrilement. Ho ! Sympa, des bas noirs en soie, avec une couture derrière, et une superbe bande de dentelle en haut. Le porte jarretelle et le string ficelle assorti. ( Minimaliste le string !!!! Et transparent non doublé !!!!!).
Je passe au soutien-gorge assorti. hoooooo la canaille, ce soutien-gorge est seins nus, il rehausse mes seins, les prend sur les côtés en les poussant en avant, et les resserrant.
Il y a une nuisette transparente noire assortie, elle est hyper courte, et tenue devant juste par deux liens à nouer, un sous les seins, l’autre à la taille.
Pierre me regarde avec les yeux qui brillent.
Je m’amuse à marcher dans la chambre en me déhanchant, je sens ces yeux qui se posent sur le bas de mes fesses nues qui dépassent à chaque pas.
A ce moment on frappe à la porte, je regarde Pierre, paniquée.
Et lui, comme si rien était, dit :
Le serveur, entre en poussant un chariot, c’est le petit déjeuner. Il relève la tête, quand il me voit, j’ai l’impression qu’il va avoir une attaque. Je fais celle qui ne se rend compte de rien. C’est un des trois frères qui tiennent cet hôtel. Il regarde mon mari, qui cache mal un sourire. Ces yeux tournent vers moi, je sens son regard qui se scotche sur mes seins si exposés, le voile de la nuisette est complètement transparent. Je sens son regard qui descend entre mes seins, puis arrive à mon string que la nuisette ne voile même pas.
( Ha le salaud, je suis obligée de marcher devant ce type qui me déshabille du regard si tant est qu’il me reste des choses à enlever pour ne pas paraître nue.
Je me penche, haa je sens cette nuisette qui glisse sur mes fesses nues, haaaa il doit se régaler. Je me redresse, je vois Pierre aux anges, l’hôtelier, lui, est rouge. Il pose le plateau sur la table basse. Je pensais que notre homme allait partir vite, quand Pierre lui signale qu’il y a une fuite d’eau dans la salle de bain et que ce n’est pas très agréable. Notre homme se confond en excuses, et nous assure que le problème sera résolu durant la journée, durant notre absence. Je ne dis rien et ne fais que sourire bêtement pendant que cet italien se rince les yeux sur mes seins si exposés. Il part enfin, visiblement gêné dans son pantalon.
La porte fermée, Pierre éclate de rire, en me disant :
Je m’approche en ondulant exagérément perchée sur mes talons aiguilles.
Il me pose sa main directement sur mon string.
Il vient d’ouvrir son peignoir, en effet il est tendu, haaa j’ai trop envie, je le pousse sur le lit, il tombe en arrière, le sexe tendu vers le ciel. Je rampe sur lui, haaa, j’ai trop envie, j’écarte juste le string, et je m’enfonce sur sa queue si dure, qui me pénètre d’un coup. haaa que c’est bon.
Le matin comme cela, c’est trop intense et trop rapide, nous jouissons ensemble.
Je me suis donc habiller raisonnable pour faire du tourisme, short blanc, un peu moulant, tennis, et petit haut top sympa.
En passant devant la réception de l’hôtel je vois les yeux des hôteliers qui me regardent avec un petit sourire ; l’aventure de leur frère a du vite faire le tour de l’hôtel. À près tout je m’en fiche, je ne suis la que pour deux nuits, et je ne reviendrais pas de si tôt.
La journée, se passe tranquillement à visiter les monuments et autres lieux touristiques.
Nous voilà de retour à l’hôtel. Et la, ho surprise, à l’accueil, on nous annonce que l’on nous a déménagés de chambre et que nous avons droit à la suite du dernier étage. Et sans supplément, bien sur, c’est juste pour nous dédommager de la fuite d’eau.
Pierre me regarde avec un petit sourire, et me dit à l’oreille :
Nous arrivons dans la suite, évidement bien plus spacieuse, vue sur un canal par des fenêtres, et de l’autre côté des baies vitrées très larges, mais qui donnent sur une cour intérieure, et d’autres chambres de l’hôtel qui donnent en face. Cette particularité va avoir toute son importance pour la suite. Nos hôteliers nous ont gracieusement déménagé nos affaires. Moi qui avais laissé mes dessous sexy !!!!
Nous prenons nos douches, la journée a été chaude. La nuit est maintenant tombée et la température devenue plus clémente.
Je sors de la salle de bain et vois que Pierre m’a sortis les dessus sexy, ils sont sur le lit. Je commence à passer les bas et les accrochent au porte-jarretelles. Puis, je passe ce soutien-gorge si provocateur, mes seins sont poussés en avant, l’idée de sortir comme cela ce soir commence à me troubler. Soudain je vois que de l’autre côté de la cour intérieure, une lumière s’allume dans une chambre nous faisant face. Pierre le voit et me demande de faire comme si je ne me rendais pas compte. Je passe mon string minimaliste. Me savoir épiée, me fait battre le sang dans les tempes.
Pierre me sort alors le chemisier, qu’il veut me voir porter ce soir. hoooo , mais il est transparent noir.
Comme par défi je le passe, en plus il est très ouvert !!! Une vue plus que sympa entre mes seins. Je continue de faire celle qui ne se rend pas compte que nos trois frères, car se sont bien eux, me matent du balcon d’en face.
Je vois une micro minijupe en strech noire, à peine 30 cm de haut.
Il sait comment me provoquer, et moi en plus j’aime cela.
Bien que j’ai tiré mes bas le plus haut possible, cette minijupe est si courte que la dentelle de la lisière en haut se voit. Je me demande si je vais oser sortir comme cela. Mais le défi que je fais à mon mari, et en plus excitée par les mecs qui me matent en face !!!!. hummm Je vais le faire. Je passe mes escarpins et je commence à me maquiller un peu.
Je tourne la tête vers pierre.
J’en ai presque oublié que nos trois voyeurs me matent de l’autre côté de la cour. Pierre se rapproche de moi, et m’embrasse dans le coup par derrière. Je sens ses mains qui remontent en haut de mes cuisses, puis remonte ma mini sur mes fesses nues. Je fais l’indifférente en continuant de me maquiller, j’ai juste cambré mes reins un peu plus. La mini est comme une ceinture sur ma taille. Je sens ses mains qui prennent les cordons du string, et il le descend.
Je me laisse faire, la température monte en moi. Que va t il faire ? Ho surprise, une fois le string ôté, il rabat la minijupe sur mes fesses nues.
Je marche vers la porte pour sortir de la chambre ; je tire encore une fois sur le bas de la mini qui ne couvre pas toute la bande de dentelle du haut des bas. Je suis folle de sortir comme cela.
Nous prenons l’ascenseur, j’espère ne pas croiser les regards des trois frères qui me mataient, il y a encore deux minutes. Nous rendons la clef à la réception. Le jeune italien qui est derrière son comptoir, louche sur mes seins. Je ne me retourne pas pour sortir. Je n’ose pas imaginer la tête qu’il a en reluquant mes jambes. Une fois dans la rue, je marche doucement, en serrant les jambes ; je suis tous les 5 mètres à tirer sur le bas de cette minijupe.
Pierre a le sourire, mais je vois ses yeux qui brillent.
Nous arrivons à un petit restaurant, les serveurs sont plus qu’attentifs à nos commandes. Je passe la soirée, à essayer en vain de contrôler ma minijupe qui laisse voir le haut de mes cuisses pour pas dire plus. Pour la poitrine je me fais une raison, ils me matent tous comme des obsédés. ( Sur la plage, je montre bien mes seins, mais ce n’est pas la même chose malgré tout). Pierre est aux anges, il doit bander depuis le début. Nous ressortons pour revenir à l’hôtel, Pierre me propose de revenir par les canaux en gondole. On ne peut pas passer à côté de cela. La tête du gondolier lorsqu’il me voit arriver … Je dois être une extraterrestre. Il m’aide à descendre sur son embarcation qui me semble instable. Je ne sais pas ce qu’il regarde le plus mes seins ou mes jambes. Nous nous asseyons. Haaa cela doit être fait exprès pour que les gondoliers aient une vue sous les jupes des femmes. Il est en face de moi, et je ne peux rien cacher de mon minou épilé qui n’a pas le moindre tissu pour le voiler.
Pierre assis à côté de moi me fait un bisou dans l’oreille en me chuchotant :
Pour toute réponse, je l’embrasse. Je me tourne un peu plus vers lui. Hum le gondolier, doit se régaler. Je sens que le bouton de mon chemisier, qui est entre mes seins vient de se défaire. Pierre le voit aussi.
Et moi qui lui obéis….. Mais c’est vrai que le gondolier bande. Il ne sait plus comment se mettre pour pousser sur sa perche. (Je ne dis rien mais cela m’excite de le voir comme cela ). Je ne croise même pas mes jambes, et le laisse me fouiller du regard.
Nous arrivons près de l’hôtel. Il va falloir remonter sur le quai. Inutile de décrire, le spectacle que mon pauvre gondolier à de moi dans cette difficile opération. Pierre le paye, je crois qu’il va arrêter son service pour aller se soulager. Nous marchons quelques mètres pour arriver à l’hôtel. J’ai juste réajusté ma minijupe ; mais Pierre refuse que je ferme le bouton de mon chemisier. Déjà que l’on voit tout au travers, là, mes auréoles dépassent un peu, mes tétons sont limite de sauter hors du décolleté. Nous entrons dans le hall de l’hôtel. Je vois que nos trois frères sont là. Ma parole ils m’attendaient ? Je ne dis rien, et fais comme si je ne remarquais rien de leurs regards si insistant sur mes seins si exposés. Pierre prend la clef, nous allons vers l’ascenseur ; je sens les rumeurs derrière entre eux ; je ne sais pas ce qu’ils disent, mais je ne serai pas étonnée de les revoir dans la chambre en face de notre suite. L’idée commence à faire son chemin.
Je regarde Pierre. Il a pensé la même chose sans me le dire.
Nous arrivons à la chambre. J’entre. La lumière en face est éteinte. Ils n’ont pas encore eu le temps de monter. J’ai entendu l’ascenseur repartir juste derrière nous, ils ne vont pas tarder à apparaître. J’ai un peu soif. La tension sur ment, je me dirige vers le frigo. Je sors un coca très frais. Pierre me propose d’y ajouter un peu de whisky.
Je fais exprès de m’avancer, en me déhanchant, les reins hyper cambrés ; je sais que cela fait remonter rapidement ma mini. J’arrive devant le frigo.
Hummm, que je me sens garce à faire cela, je sens ma mini qui remonte sur le bas de mes fesses nues. Ho mes seins ne demandent qu’à sortir dans cette position, je défais discrètement le dernier bouton qui pouvait limiter une sortie de ma poitrine. Je me redresse. Je sens que ma mini reste à sa position mi-fesses; Devant mon minou doit se voir. Je me retourne, mes seins sont sortis. Je fais comme si rien était en me dirigeant vers mon mari. Il est cramoisi. Je jette un coup d’œil par la baie vitrée, nos trois voyeurs sont bien là, dans la pénombre. Je me dirige vers la table basse pour servir mon Pierre; qui n’en revient pas. Je me penche à nouveau, histoire de renouveler le penché que j’ai fait devant le frigo, mais là je suis fesses tournées vers la baie vitrée.
Je regarde Pierre.
Je me rapproche et tends le verre à mon mari. Il a une vue sur mes seins complètement sortis.
Otant le chemisier, j’en profite pour passer mes mains sur mes seins, je sais que les trois autres de l’autre côté des vitres me regardent faire. Ils commencent à se caresser, j’en suis sure. Je me mets à genoux entre les jambes de Pierre qui est assis sur le canapé, je lui ouvre le pantalon, et le tire vers le bas. Il se laisse faire, je vois que son sexe est déjà tendu sous son slip. Je l’ôte aussi, et me frotte le visage sur sa queue, avant de commencer à le sucer doucement.
Hummm je le suce et le branle doucement, j’ai envie d’aller plus vite, mais je veux conserver toute la vigueur de mon mari. haaaa ouiii, il me doigte, il sent comme je suis ouverte trempée. Il remonte sur mon anus avec ces doigts.
Haaa j’ai trop envie, je me branle plus vite, je sais que je vais jouir, mon clito est tendu sorti. haaaa Pierre écarte mes fesses avec ces deux mains ; J’imagine la position et la vue que j’offre à nos trois voyeurs. Je suis plus exhibe qu’une actrice de porno. Je frotte mon visage sur la queue tendue de Pierre. Je ne veux plus le sucer, sinon il va éjaculer. Haaaa ouiiii je jouis, et laisse échapper un cri, hooo, ils ont dû entendre. Je me redresse tout échevelée. Ma mini est comme une ceinture autour de ma taille. Je l’ôte.
Au passage je me regarde dans le miroir, c’est vrai que ma peau blanche, pas encore bronzée à cette époque, ressort terriblement sur le noir de la dentelle du porte jarretelles et des bas.
J’arrive dans la chambre, la baie vitrée est complètement ouverte. Je continue d’ignorer mes trois spectateurs qui ne sont qu’à moins de 10 mètres dans la pénombre. Pierre qui maintenant est complètement nu, s’allonge sur le dos. Il a la tête vers la baie. Il a envie que je lui fasse un 69. Je comprends ce qu’il veut. C’est que je m’ouvre encore plus à la vue de nos hôteliers. Hummm, et j’ai envie de le faire, c’est le plus étonnant. Je chevauche la tête de mon mari, qui m’ouvre avec ces deux mains, les fesses les cuisses, haaaaa ouii, je le suce comme une folle. Non pas trop vite, il ne vaut pas qu’il gicle trop vite. haaaa c’est moi qui jouis à nouveau ….
Je me redresse. Et me laisse tomber sur le coté. Pierre change de sens, il est toujours le sexe tendu vers le plafond. Je le chevauche à nouveau, mais la je glisse sa queue dans mon minou trempé. Haaa, oui, il entre trop facile. Je sens ces deux mains qui me guident les fesses et me font remonter, limite de sentir sa queue sortir, puis replonger au plus profond. Il va doucement. Je sens ces deux mains qui écartent mes fesses.
Je me penche un peu en avant, le laissant m’exposer encore plus. Cette sensation me fait remonter encore l’envie de jouir. Oui encore. Pierre qui me connaît bien accélère le mouvement, haaaa ouiiiiiiiii.cela fait plus d’une demi-heure que nous avons commencé nos ébats. Je sais maintenant que Pierre a passé un cap, qui fait qu’il va pouvoir continuer de me baiser, sans éjaculer, et rester raide comme un bâton. Il me retourne, m’écarte les cuisses complètement, à la vue de nos voyeurs, et me pénètre à fond, m’arrachant des cris, que je ne peux contenir. Je jouis encore deux ou trois fois je ne sais plus. Je le sens qui remonte mes jambes sur ces épaules.
Je suis à plat dos, les fesses au bord du lit, toujours tournée vers la baie vitrée. haaaa il me mouille l’anus.
haaa je sens son gland gros dur qui appuie sur l’entrée de mon anus. haa cela me fait toujours un peu mal au début, haaa il force, haa oui j’ai envie de le laisser faire. haaaaaa ouiii il passe, cela me brûle. Ha il ressort, doucement haaa oui je m’ouvre encore plus ; haaa ouiiiiii il replonge , haaa il me force le cul , haaa ouiiii maintenant son sexe fait ces vas et viens au plus profond de mes reins , haaaaa ouiii. Mon clito frotte sur son ventre à chaque poussée, je jouis encore. Pierre ressort.
Je ne sais plus pourquoi je dis oui, et je m’exécute, mais j’ai envie encore de les allumer. Cela décuple mon plaisir. Je tourne le dos a mes voyeurs, et me laisse descendre doucement sur le sexe de Pierre. J’écarte mes fesses, haaa ouiiii ils doivent avoir un point de vue extra ; haaa oui mon sphinkter accepte cette fois-ci le gland de Pierre, qui me penetre, haaaa ouii je me laisse tomber dessus en hurlant ; haaaaa ouiiii, Pierre, me sodomise au rytme d’une machine à coudre, haaaaaa ouiiiii. Il s’arrête. Il est au fond de mon anus.
Pour toute réponse, je me relève, et me retourne face à la baie vitrée. Je vois distinctement sur le balcon en face, nos trois hommes, le sexe dehors en train de se branler. Cela m’excite encore plus. Je me rassois doucement en prenant soin de me pénétrer à nouveau l’anus avec ce sexe, qui ne demande que cela. haaa ouiii, je me laisse descendre doucement, puis remonte, puis, haaaa, Pierre reprend son rythme infernal. Je suis cuisses ouvertes vers nos voyeurs, je me caresse comme une folle. Mes seins ballottent dans tous les sens, au rythme des coups de buttoir de mon mari. J’essaie d e me concentrer et de regarder les trois frères en face. Hooo mais ils giclent en se branlant. Haaaa je jouie encore, ouiiiiiii ; Je me tétanise, et resserre mes fesses ; je sens Pierre qui se crispe au fond de mon cul. Haaaa ses spasmes, me dilatent encore plus. Ouiiiiiiii il éjacule au fond de mon anus. Ouiiiiiii, je jouis encore. Je m’écroule en arrière sur Pierre. Il est resté en moi, je suis les cuisses ouvertes vers ces trois hommes. La chatte complètement trempée, ouverte, et ils voient la queue de mon mari enfoncé dans mon anus. Je n’en peux plus. Je me rends compte que j’ai gardé mes talons aiguilles durant toute cette séance. Et j’ai deux jarretelles qui ont sauté.
Nous restons un moment, exténués, dans cette position impudique. Je me relève. Je vois nos trois voyeurs, qui sont en train de se reboutonner. Je fais juste un clin d’œil histoire de faire comprendre que j’étais consciente de la situation, puis, je vais en me déhanchant vers la salle de bain. Le spectacle est terminé.
Le lendemain, nous ne nous sommes pas éternisés à la réception lorsque nous sommes partis, bien que nos hôteliers, veuillent nous faire des conditions exceptionnelles pour rester.
Ce week-end, est bien resté dans ma mémoire, et m’a bien confirmé si besoin était, que j’étais bien une exhibitionniste.
Beatrice.38d@caramail.com