n° 07350 | Fiche technique | 51275 caractères | 51275Temps de lecture estimé : 31 mn | 05/06/04 |
Résumé: Sophie débarque dans un village reculé et se fait initier aux joies du sexe par une jeune femme délurée. | ||||
Critères: ff fhhh grp fbi fépilée vacances campagne volupté noculotte cunnilingu 69 pénétratio sandwich fdanus fsodo partouze ecriv_c | ||||
Auteur : Petit couple (Couple, la cinquantaine à nous deux) |
« … Une minute d’arrêt. » Je me réveille en sursaut. Un coup d’œil par la fenêtre me confirme que je suis arrivée à destination ; je ramasse mes affaires éparpillées pendant le voyage de plus de trois heures et descends en vitesse du tortillard. Mal au crâne et envie de pisser.
La gare est déserte. J’ai bien trouvé ce que je suis venue chercher : le bout du monde. La nature, le silence et la beauté. Et un buisson pour me camoufler. Pisser dans les herbes, quel pied ! J’en profite pour retirer ma culotte dont l’élastique m’a fait souffrir tout le voyage et me mets en route. J’ai réservé dans le seul hôtel du village. Finalement, nue sous mon Levi’s, ce n’est pas plus confortable. Les 500 mètres qui séparent la gare du village sont un calvaire, le poids du soleil de juillet et de mon sac à dos sont insupportables ; la douche me fera du bien.
La réceptionniste se fend d’un large sourire :
Elle a environ 25 ans – cinq de plus que moi –, des cheveux blonds, très fin, coupés au carré. Dans sa petite robe claire, elle est vraiment très jolie. Je la suis dans l’escalier qui mène à ma chambre. Machinalement, je lève la tête et m’aperçois qu’elle n’a rien sous sa robe. Cette vision me trouble étrangement.
La chambre est spacieuse, propre, très agréable.
Son sourire est vraiment lumineux, ses yeux d’un bleu profond éclaire encore plus son visage. Tout à coup, je songe à son absence de culotte et devient écarlate. Que m’arrive-t-il ? Marion me fait un petit signe de la main et quitte la pièce, me laissant seule avec mon trouble. J’ai vraiment besoin de prendre une douche.
La fraîcheur de l’eau me redonne du tonus. En sortant, je me regarde dans la glace. Je ne suis vraiment pas trop mal. Brune, cheveux courts qui mettent en valeur la finesse de mon visage et mes grands yeux noirs. Je suis plutôt mince, avec une belle poitrine, pas trop grosse mais ferme. De belles jambes, un beau cul. Dire que ce crétin de Luc m’a laissé tombée comme une vieille chaussette. Il ne sait pas ce qu’il perd. Bon. Je suis venue là pour l’oublier, alors pas la peine de penser à lui.
Je m’habille pour aller profiter de la douceur du soir qui tombe. Un débardeur propre, je me passerai de soutif’, et ma jupe préférée, un peu froissée. Je repense à Marion et décide de l’imiter, je ne mets pas de culotte. Sensation étrange, mais finalement pas désagréable.
Le village est vraiment agréable. L’hôtel donne sur une place entourée de platanes. Je déambule dans les petites rues en pente, la chaleur de la journée est restituée par les vieilles pierres. Un léger courant d’air glisse entre mes cuisses. Ça m’excite et je repense à Luc. Il a décidé de me pourrir la soirée. Je rentre à l’hôtel, vaguement déprimée.
Un rire espiègle de Marion me confirme qu’elle est fière de sa région. Une question me vient à l’esprit :
Elle marque une pause, semble hésiter.
Bien sûr que ça me va. Marion a vraiment l’air de ne pas faire traîner les choses. J’ouvre la bouche pour lui répondre, et encore une fois, un flash me revient en mémoire : le beau cul de Marion se dandinant dans les escaliers. La chaleur me monte au joues, je ne sais pas ce qu’il m’arrive. Je bredouille une vague confirmation et m’empresse de monter dans ma chambre. J’ai l’impression d’être un garçon dans une boom de collège, je me déteste, parfois.
Seule dans ma chambre, ça va mieux. Je ne comprends pas pourquoi Marion me trouble à ce point. Je ne dois pas être tout à fait remise de ma rupture. Epuisée par mon voyage et par ces sombres pensées, je me déshabille, me couche et m’endors. Il est à peine plus de 21 h 30 ; bien sûr, je me réveille à peine trois heures plus tard.
Des bruits qui ne laissent place à aucune équivoque. Je tends l’oreille, et il me semble reconnaître distinctement la voix de Marion. La coquine… J’en deviens toute mélancolique et jalouse – sans savoir si c’est d’elle ou de son partenaire. Poussée par une curiosité masochiste, j’enfile une nuisette et me dirige vers les bruits. Il viennent du fond du couloir ; une porte entrouverte, « interdit au public », ce n’est pas ça qui m’arrête. Elle donne sur un petit escalier et un autre couloir, avec une autre porte, bien ouverte cette fois. Je me glisse près de l’ouverture, restant dans la pénombre du couloir, je devrais être discrète.
Ce que je vois me coupe le souffle. C’est bien Marion qui est là en train de hurler son plaisir. Mais ce n’est pas un, mais trois hommes, plutôt jeunes et jolis, qui s’affairent autour d’elle. Ils sont de profil (légèrement de trois-quarts même) par rapport à moi. Je ne perd rien du spectacle.
Marion est à califourchon sur un des garçons ; plantée sur son sexe, elle ondule, monte, descend, se penche en avant, en arrière. Elle a les yeux fermés. Dans sa main, le sexe du deuxième garçon, un blond d’une vingtaine d’années qui lui fait face. Elle le porte à sa bouche de temps en temps, le lèche, l’aspire, le branle. Le troisième garçon, plus âgé, très brun et mal rasé, est à genoux à côté du trio. Il caresse avec une grande douceur le dos et les seins de Marion.
On se croirait dans un porno. Pourtant, dans les gestes, les paroles et les quelques regards que je perçois, je ne vois que sensualité et tendresse. Je remarque que les trois hommes semblent uniquement préoccupés par le plaisir de Marion : pas de regard lubrique, de mots dégradants ou de rapport de force. Un lien très fort semble les unir ; ils sont beaux, tous les quatre.
Je suis subjuguée. Le tableau se rompt, un autre se met en place. Marion est maintenant couchée sur le dos ; le plus jeune garçon, le blond, s’installe entre ses cuisses et la lèche avec passion. Les deux autres s’occupent chacun d’un sein, qu’ils sucent, caressent et embrassent. Marion s’abandonne à leur caresse, ses gémissements se font de plus en plus fort. Le blondinet continue de lui sucer le clitoris ; parfois, il passe sa langue sur ses lèvres et descend jusqu’à son trou du cul. Elle semble apprécier, relève les fesses, ondule le bassin ; les doigts du jeune homme rejoignent sa langue, dans la chatte d’abord, puis le majeur s’introduit dans l’anus, va-et-vient.
Marion crie de plus en plus fort, je ressens son plaisir monter. Je respire à son rythme, bouge en même temps qu’elle. Je passe ma main entre mes cuisses ; je suis trempée. Ma main s’active sur ma chatte. Sur le lit, Marion jouit, son cri augmente encore mon désir. Elle tortille son bassin, s’arc-boute, terrassée par la puissance de son orgasme. Elle s’abandonne, six mains caressent son corps, elle hurle, se calme, puis elle rit. Un rire plein de vie, cristallin, celui d’une femme qui vient de jouir. Elle est heureuse. Les trois garçons l’embrassent tour à tour, tendrement.
Elle tend ses mains, sourit :
Elle se met à quatre pattes, tend son cul. L’homme mal rasé s’installe derrière elle et la pénètre tout en langueur. Marion suce avec gourmandise – si j’en crois ses « mmmm » de plaisir – les bites dressés des deux autres. Je suis toujours accroupie, en train de me caresser. Mon plaisir monte, j’augmente le rythme. Marion se remet à pousser des petits cris, ça m’excite encore plus. Son partenaire accélère la cadence, Marion semble avoir plus de mal avec les deux sexes qui lui font face.
Le brun gémit soudain, pousse un long soupir de jouissance, se plante et se déverse au plus profond de la chatte de Marion, qui semble apprécier de le sentir couler en elle. Le blond et le brun échangent leurs places : Marion entreprend de lécher consciencieusement cette bite qui sort d’elle, tandis qu’elle se retrouve de nouveau remplie. Elle reprend ses cris où elle les avait laissés. J’aperçois un filet de sperme couler le long de sa cuisse.
Le blond n’est pas long à jouir. Le scénario se répète, le troisième homme qui vient se placer derrière Marion. Celle-ci crie de plus en plus fort, elle semble au bord de l’orgasme, tandis que les mains des deux autres amants ont repris leur ballet sur son corps. Un concert de plaisir, qui atteint bientôt son final. Marion jouit une seconde fois, tout de suite rejointe par son amant, qui s’écroule à ses côtés. Les mains s’affairent encore quelques secondes, Marion se laisse doucement tomber et se pelotonne contre ces hommes qui lui ont donné tant de plaisir – elle leur a bien rendu. Elle rigole encore.
Ma main essaie désespérément de me faire jouir, je n’y arrive pas, malgré l’intensité de la scène à laquelle j’ai assisté. Je n’ai jamais été très douée pour la masturbation. Dommage, j’en aurais eu besoin. Je n’ai jamais été autant excitée. Les quatre baiseurs sont allongés, Marion les caresse, ils la caressent en retour, que sa peau à l’air douce. Je me sens toute bizarre. J’aimerai être sur ce lit. Mais à la place d’un des garçons. Sensation étrange. Elle est si belle, si fraîche. Elle respire le bonheur. Je m’éloigne sur la pointe de pieds, un peu mélancolique.
Je retrouve Marion comme convenu le lendemain à 11h. Elle a toujours le sourire, une robe à poids et un panier, elle sort d’un film des années cinquante. Quant à moi, j’ai décidé de ne pas porter de sous-vêtements. L’expérience d’hier m’a plus, et de toutes façons on va se baigner. Voir Marion après son show d’hier soir me fait bizarre. Elle m’embrasse sur les deux joues et me prend par la main :
On dévale les rues du village pour emprunter un petit sentier qui serpente dans les bois. Marion connaît chaque pierre, chaque buisson. On arrive dans une clairière, et elle m’annonce, légère :
Je repense à cette nuit, je ne sais plus quoi dire. Marion ne s’aperçoit de rien et poursuit :
Qu’a-t-elle voulu dire ? Elle est déjà repartie, sautillant entre les branches. Je regarde ses fesses qui bougent délicatement sous le fin tissu de sa robe, et me demande si elle porte une culotte.
Marion n’a pas exagéré, l’endroit est splendide. Au milieu de la forêt, un pré d’herbe verte se jette dans la rivière. L’eau est limpide, on distingue nettement chaque galet. Sur l’autre rive, une petite plage de sable et des rochers pour se faire bronzer. Je contemple l’endroit, pendant que j’entends dans mon dos Marion me dire qu’elle a hâte de se baigner. Je me retourne ; elle est totalement nue, bras et jambe écartés, respirant à plein poumons. Voyant ma surprise, elle se justifie :
Je la regarde s’avancer vers la rive, s’enfoncer dans l’eau puis se retourner. Elle est vraiment très belle. Sa peau soyeuse est bien bronzé. Ses seins, un peu plus gros que les miens, sont magnifiques. Détail qui m’avait échappé hier soir : sa chatte est totalement épilée.
Je me déshabille à mon tour, sous les yeux de Marion.
Nue – quelle sensation merveilleuse, la caresse du vent sur ma peau, mes seins libres qui se dressent, le courant d’air entre me fesses – je m’approche de Marion. Je fixe son sexe lisse et provocant.
Alors que j’arrive à sa hauteur, elle saisit ma main et la passe sur son pubis.
Comme je caresse sa peau, je la vois fermer les yeux et pousser un soupir de contentement. C’est la première fois que je caresse une femme de la sorte. Ce n’est pas désagréable… Qu’est ce qu’il m’arrive ? Imprévisible, Marion s’échappe et plonge dans l’eau. C’est une sirène qui en sort.
Facile à dire… Je suis frileuse, moi. Je n’aurai pas du dire ça.
Elle saute, me prend par la taille et me force à avancer. Puis, un bras derrière la nuque, elle me bascule sur le côté. Nous roulons toutes deux dans l’eau, riant comme des gamines. Elle approche ses lèvres de mon visages, je suis prête, je me laisse aller, je ferme les yeux et penche la tête. Pour recevoir une grande giclée d’eau qu’elle avait dans la bouche !
Je n’ai pas le temps de me vexer. À peine remise de ma surprise, et Marion cette fois m’embrasse pour de vrai. Un vrai baiser fougueux et tendre, un baiser de lesbienne. Que c’est bon.
Elle s’installe sur mes genoux, je me laisse aller en arrière. Ses mains sur mes seins, ses lèvres sur les miennes, son sexe sur mon ventre. Nous nous embrassons, en silence, cinq bonnes minutes. Sur la bouche, dans le cou, derrière les oreilles. Marion soudain éclate de rire, se relève, me tend les deux mains et me demande dans un immense sourire :
Que j’aime sa simplicité ! Pas de questions, pas d’arrière pensées. Je suis bien, je la suis. Elle déploie une couverture dans l’herbe et s’y installe. Je la rejoins, l’embrasse tendrement. Elle me fait rouler sur le dos, continuant ses baisers et ses caresse. Elle descend, s’attarde sur mes seins, joue avec les pointes de mes tétons caressés par le vent. Sa langue parcourt mon ventre, tourne autour de mon nombril. Ses mains vont et viennent sur mes cuisses, effleurent ma chatte. Des gouttes d’eau sont restées prisonnières des poils noirs de mon pubis. Marion les boit une à une, revient m’embrasser et replonge vers mon sexe.
Je soupire de contentement. De la pointe de sa langue, elle fait le tour de ma chatte. Une deuxième ; elle y va plus franchement, lèche mes lèvres, fait le tour de mon clitoris. Ses doigts viennent en renfort, écartent les lèvres, rentrent et sortent de mon minou pendant qu’elle lape mon petit bouton. Elle est experte, c’est si bon. Elle donne maintenant de grands coups de langues, de mon clito à mon cul. Je me soulève pour lui faciliter la tâche, sa langue lèche mon œillet, c’est divin. Elle pénètre mon cul avec sa langue, puis avec son doigt, tout en continuant à me lécher. Je ne vais pas résister longtemps. Marion le sent et accélère le rythme, son majeur me masse la rondelle et sa bouche aspire mon clitoris. C’est bon, c’est trop bon, c’est… Le temps s’arrête, j’explose dans sa bouche, je hurle mon plaisir aux arbres qui m’entourent. Je donne des grands coups de bassins, tout en maintenant sa tête entre mes cuisses. Reste Marion, continue, un dernier coup de langue… Un dernier, c’est si bon ce que tu me fais. Elle rit encore, me fait des petits bisous tendres, de ma chatte à ma bouche. Je sens mon goût sur ses lèvres. Je suis calmée, repue. Je suis aux anges. Elle m’embrasse tendrement, me laisse souffler puis me glisse à l’oreille :
Je n’ai jamais fait ça. Je pense à ce que j’aime qu’on me fasse, à ce qu’elle vient de me faire. Je la caresse et l’embrasse, sa peau est splendide. Pour la première fois, je goûte un sexe de femme. C’est doux, chaud et humide, légèrement salée. Son odeur m’excite, je la mange, j’aime ça ! Je découvre ses secrets ; son clitoris tout tendu, il suffit de l’effleurer pour qu’elle soupire. Ses lèvres gonflées et rougies par le désir ; son sexe ouvert et offert que mes doigts explorent. Sa chatte est un immense terrain de jeu qui a l’odeur de l’amour. Comme Marion tout à l’heure, je m’aventure vers son petit trou. Ma langue joue avec les plis de son cul, j’y enfonce un doigt, Marion pousse un soupir d’aise. Je m’immisce dans ce recoin chaud et secret, c’est doux. Mon doigt est prisonnier de son cul, quel refuge douillet ! Je lui lèche le bouton comme si ma vie en dépendait ; mon autre main passe d’un sein à l’autre. Je sens Marion s’abandonner sous mes caresses ; je lui donne du plaisir, j’en ressens un immense contentement. Tous mes sens sont tournés vers un but unique et éphémère : faire jouir Marion. Activité merveilleuse. Ses murmures deviennent gémissements, ses gémissements se font cris. Son bassin bouge et me donne le rythme à suivre, je vois des gouttes de sueur perler sur son corps. C’est l’explosion ! Marion crie et très vite, comme hier, son cri devient un grand éclat de rire ; heureuse d’être vivante ! Quelques spasmes la secoue encore, j’embrasse cette chatte trempée à pleine bouche.
Marion me prend les mains, m’attire tout contre elle, m’embrasse encore.
Nous restons enlacées sans rien dire, profitant de la caresse du vent et du silence de la nature. Je suis si bien… J’ai la tête appuyée contre son sein, je joue négligemment avec son téton. Soudain, je me rends compte d’une chose, toute bête. Toute simple.
Elle ne répond pas. Un silence, quatre secondes qui me brisent le cœur. Je lève les yeux vers elle. Ses yeux brillent de joie et de plaisir, son sourire me réconforte instantanément. Il vaut toutes les réponses du monde. On s’embrasse, longuement.
Nous somnolons encore quelques minutes, avant d’aller nous rafraîchir dans l’eau. Nous jouons comme des enfants, puis allons nous faire sécher au soleil. Marion s’allonge près de moi et garde sa main dans la mienne. Je me décide enfin à avouer : que j’ai constaté son absence de culotte dès hier soir, et surtout, que je l’ai surprise, par hasard – pas la peine de rajouter que j’ai bien profité du spectacle – avec ses trois amants. J’ai peur qu’elle m’en veille, elle éclate de rire.
Incroyable ! Je me demande quelle est son secret pour prendre les choses aussi simplement. J’essaie de faire comme elle, et lui réponds donc :
Marion me raconte alors sa vie. Qu’elle a toujours vécu ici, comment ces trois garçons – Marc, Julien et Franck – sont tombés amoureux d’elle à peu près en même temps, il y a quatre ans. Comment elle n’a pas su choisir. Fou d’amour pour elle, les trois amis ont alors accepté de partager leur passion. La première fois qu’ils ont fait l’amour à quatre a été extraordinaire, et Marion ne s’en ai jamais lassée.
Je l’écoute, subjuguée. Un peu jalouse, aussi.
Ma voix trahit ma jalousie et mes aventures sexuelles ratées. Marion sourit, m’embrasse et me dit, le plus naturellement qu’il soit :
Je ne sais pas quoi dire. J’ai un peu, peur, tout va si vite ! Je n’ai jamais connu d’expérience de groupe, et je n’en ai jamais eu envie. Mais avec Marion, tout à l’air si simple. Son sourire et son baiser achèvent de me convaincre.
Elle rit encore, me fait un câlin plein de tendresse et d’amour – enfin j’espère ! Une question me tracasse quand même, je me décide à lui poser :
Pour toute réponse, Marion me fait entendre encore une fois son rire de gamine espiègle. C’est vrai que dans un ménage à quatre, le jalousie est une notion toute relative.
Nous rentrons au village vers la fin de l’après-midi, et elle m’invite au resto qui fait face à l’hôtel. Nous nous racontons nos vies, nos joies et nos peines ; une vrai complicité s’installe. Elle me raccompagne jusqu’à ma chambre et m’embrasse tendrement.
J’ouvre la porte et la jette sur le lit ; nous nous déshabillons et plongeons sous les draps. On refait l’amour.
Un rayon de soleil sur mes cuisses me réveille. Je suis seule dans le lit et j’ai l’impression d’avoir rêvé. L’odeur de Marion sur ma main me rappelle ces dernières merveilleuses 24 heures… Et les promesses qu’elles ont engendrées pour aujourd’hui. Je n’ai jamais été une « folle du cul » ; j’aime ça, mais sans plus, et sans folies. L’idée de faire l’amour avec une fille et trois mecs m’aurait paru inconcevable il y a deux jours. Mais ce qu’il s’est passé depuis… La tendresse avec laquelle j’ai vu Marion s’ébattre avec ses amants ; les sensations que j’aie vécu en faisant l’amour avec elle, en m’endormant dans ses bras. Sa simplicité, sa joie de vivre et son sourire me feraient accepter n’importe quoi. Avec elle, j’ai découvert le sexe avec un grand S. Alors quand elle me dit que je vais passer la plus inoubliable des aventures, je la crois sur parole. Ma chatte est trempée. Je me lève et prend une douche rapide, puis je choisis soigneusement mes habits. Pas de culotte, bien sûr. Un petit top un petit peu décolleté, qui laisse voir mon nombril. En bas, j’hésite entre une jupe et un short. Je choisi le short, bleu ciel, très court – très, très, court – et je descend.
Marion est attablée devant un beau petit déjeuner, en compagnie d’un beau garçon brun ; c’est Marc. Beau gosse, les traits fins, des yeux verts pétillants, et un sourire enjôleur. Essayons de surmonter ma timidité…
Ouaf ! Belle entrée en matière ! J’hésite entre ma foutue timidité et mon amour pour les blagues vaseuse à base de bite – sauf que là, c’est à peine une blague. Bon, je choisis de rigoler. Et même d’en rajouter, quitte à faire un plan cul… Je m’accroupi entre les genoux de Marc et baisse son short. L’absence de sous-vêtements semble être une habitude dans la bande, et ça m’arrange. Marc est surpris, mais apprécie ma hardiesse. C’est vrai qu’il n’a pas une grosse bite, elle est courte et plutôt fine. Je la soulève délicatement par la peau du gland et la glisse dans ma bouche, où je la sens grandir. Marc soupire d’aise. J’effectue quelques va-et-vient, puis dépose un petit baiser sur gland.
C’est au tour de Marc de m’embrasser sur la bouche, pour mon grand plaisir car il est vraiment beau. Ses mains trouvent mes hanches, mes fesses et se faufilent sous mon short. Il effleure tranquillement mon cul et mon minou avant de me répondre :
Il n’a bien sûr pas besoin d’attendre ma réponse. Il soulève mon haut et caresse mes doux petits seins, puis les couvre de baisers. Que c’est bon ! C’est Marion, toujours aussi belle dans sa robe blanche, qui nous interrompt, en me pinçant les fesses :
C’est vrai que j’ai plutôt faim, et les croissant sont les bienvenus. On discute un peu tous les trois, de tout et de rien, la beauté de la région, nos goûts… Rien de plus banal, juste l’occasion de constater qu’en plus d’être beau, il est plutôt intéressant et très drôle. Marion, elle, ne dit pas grand chose, mais en est à son 4e croissant. Quand je dis qu’elle aime les plaisirs de la vie ! Tout en parlant, nos main se baladent, sur nos cuisses, nos hanches, nos seins, nos bras. Un petit déjeuner d’un couple ordinaire, sauf qu’on est trois et que je ne connais les deux autres que depuis quelques heures.
Il se dirige vers nous, tape dans la main de Marc, embrasse Marion sur la bouche et me fait la bise. Blond, pas très grand, je le devine beaucoup plus timide et moins assuré que Marc. Mais comme lui, et comme Marion, ses yeux pétillent de malice. Franck se glisse derrière Marion et lui embrasse le cou tout en lui caressant les seins à travers sa robe, dont le blanc est à la limite de la transparence. La conversation se poursuit un peu, puis on se décide à se mettre en route. Julien, m’apprend Marion, nous rejoindra à la rivière un peu plus tard.
Le cul de Marion, bien moulée dans sa petite robe, dont la transparence laisse deviner qu’il n’y a rien dessous, et celui de Franck, que j’ai également bien envie de croquer : la vue est agréable. Marc ferme la marche, et doit lui aussi profiter de mon derrière. À peine arrivées dans les bois, Marion , qui me surprendra donc toujours, s’arrête et enlève sa robe. Elle se retourne triomphalement, nue, souriante :
Il ne me reste plus qu’à m’exécuter, c’est vrai qu’on est bien à poil. Franck fait de même, il bande déjà à moitié, et je ne peux m’empêcher de jeter un œil à son sexe, fin mais assez long. Marion s’en saisi et le lèche tendrement, accroupie à ses pieds. J’admire le spectacle tandis que Marc se place derrière moi, m’embrasse dans la nuque et me caresse les seins, le ventre, la chatte. Je sens sa bite dure entre mes fesses, j’ai vraiment envie de lui. D’ailleurs je me rends compte que je suis excitée comme jamais depuis que je suis réveillée (depuis 24 heures, en fait). Les plus longues préliminaires de ma vie. On s’excite comme ça quelques minutes, avant que Marion en se relève et me prenne la main.
Et complètement nus, on termine le court chemin qui nous séparait de la rivière. Marion n’a pas lâchée ma main, on a marché en s’embrassant comme des collégiennes toutes les vingt secondes. Pour le plus grand plaisir de Marc et de Franck, à en croire leurs mines réjouies et leurs queue dressées. Je ne me lasse pas de caresser le pubis tous lisse de ma copine, qui, elle, joue avec mes poils de chatte.
Nous voilà installés, les couvertures sont déployées, et bizarrement on n’a pas envie de se baigner… Je me jette sur Marion, la plaque sur le sol et l’embrasse avec fougue. Je suis à quatre pattes sur elle, un légère brise glisse sur mes fesses ; surtout, je sens les regards de deux inconnus sur mes fesses, mes lèvres, mon trou du cul. Et ça m’excite terriblement. Dans les bras l’une de l’autre, on se caresse, se lèche. Je descend le long de son corps, tète ses seins, aspire son nombril, et enfouis ma tête entre ses cuisses. Ce que la 3e fois, mais j’ai l’impression d’avoir fait ça toute ma vie. Ma langue passe entre ses lèvres, tourne autour de son clitoris, entre dans son sexe et lèche son anus. Je suis déchaînée. Je relève les fesses, histoire de bien les montrer aux deux patients qui nous contemplent. Ils décident bientôt de passer à l’action. Franck se présente au-dessus de Marion, elle saisit sa queue bien raide et la suce avec gourmandise. Quant à moi, je sens Marc qui s’installe derrière moi et commence à lécher la raie, le trou du cul et la chatte. Ses doigts ne sont pas longs à venir aider sa langue, dans mes deux orifices. Il m’est de plus en plus difficile de rester concentrée sur le minou de Marion, qui se tortille dans tous les sens. Je la sens proche de la jouissance, moi aussi suis sur le point d’exploser sous les caresses expertes de Marc. Encore, encore, je viens, Marion vient, nous sommes ensemble… Elle me prend la main, la serre de toutes ses forces, je sens son jus qui dégouline sur mon menton, je sens le mien sur mes cuisses. Nous jouissons de concert, deux long cris pleins de plaisir.
Franck se place derrière elle et la pénètre tranquillement ; Marc fait de même avec moi. Que c’est bon de sentir une bite juste après avoir joui. Il continue ses caresses sur mon cul, y fait rentrer un doigt, un deuxième. Je sais où il veut en venir, et j’en ai envie. Je me tourne sur le côté pour voir Marion haleter de plaisir. Elle me regarde aussi, me fait un clin d’œil. Marc continue de jouer avec mon petit trou jusqu’à ce qu’il réclame sa queue. Je sens son gland sur mon œillet, il pousse délicatement. Marion me prend la main, tout en hurlant de plaisir. La bite de Marc progresse dans mon cul. Millimètre par millimètre, elle finit par se loger au plus profond de moi. À mon tour de faire un clin d’œil à Marion. La douleur existe, mais elle est supportable. Puis se mue rapidement en plaisir. Mon cul me donne du plaisir, encore une nouvelle sensation. Franck est sorti de Marion ; celle-ci me caresse le dos et m’embrasse. Elle guide la bite de Franck vers ma bouche ; je m’empresse de la prendre. Marion se glisse vers mon oreille, et très tendrement, me murmure :
Le tableau se met en place. Tournant le dos à Franck, je fais pénétrer sa queue dans mon cul. Marion s’installe entre mes cuisses, et me sourit avec amour. Elle me lape la chatte, c’est trop bon, je ne sais plus où je suis. J’aperçois Marc derrière Marion, mmmm, j’ai la tête qui tourne, chaque centimètre carré de ma peau me procure un océan de plaisir. Franck dans mon cul, Marion entre mes jambes, c’est dément, je m’envole. Jamais je n’avais joui comme ça. Ça dure, je hurle. Des vagues successives qui se propagent le long de mon corps. Dans mon cul, je sens la bite de Franck qui se contracte et explose entre mes fesses. Ma jouissance redouble, je suis dans les étoile.
Il me faut quelques minutes pour reprendre mes esprits. Marion me prend dans ses bras, me couvrant de baisers. Marc aussi a joui. Marion se tourne, descend entre mes jambes et embrasse tendrement ma chatte et mon cul, d’où un filet de sperme s’écoule. Ça ne la dérange pas, et elle a même l’air d’apprécier, elle me nettoie avec tendresse et gourmandise. Ma main caresse ses fesses, d’où coule la jouissance de Marc. Je lèche mes doigts pour goûter – d’habitude ce n’est pas ma tasse de thé, mais aujourd’hui… Marion me rejoint, elle m’embrasse, un baiser qui a un goût d’amour. Nous nous serrons dans les bras, chacune avec un homme dans notre dos. On se caresse avec douceur, tous les quatre, et nous laissons aller à une petite sieste sous le soleil et les arbres.
Je me réveille peu après, la chatte et le cul encore tous poisseux de nos jouissances ; je m’étire et constate que Marion n’est plus à mes côtés. Elle s’affaire avec les trois garçons : Julien nous a rejoint pendant que je dormais. Très brun, avec une barbe de trois jours et des yeux verts éclatants, il est lui aussi bel homme, avec un petit air sauvage qui contraste avec le physique moins « homme » de ses deux copains. De plus, sa bite me paraît également plus grande que les deux autres. La comparaison est d’autant plus aisée que les trois gentlemen sont a genoux côtes à côtes, en train de se faire sucer alternativement par Marion, accroupie au milieu d’eux. Elle y prend comme toujours beaucoup de plaisir, passant d’un sexe à l’autre avec ses mains et sa bouche, elle y applique beaucoup de salive pour les faire glisser. Les garçons apprécient et soupirent en cœur.
Quant à moi, je profite du spectacle quelques instants, le regard posé tantôt sur les trois belles queues dont je m’occuperai aussi, tantôt sur les fesses et l’anus de Marion qui s’agitent devant moi. Mes mains glissent sur mon corps, je me caresse les seins, je me pince les tétons, je me frotte la chatte. Le regard toujours fixé sur la triple pipe de Marion, je m’installe sur le flanc pour mieux admirer la scène, la main gauche entre mes cuisses. Julien m’adresse un clin d’œil auquel je répond par un grand sourire. Mon clitoris roule entre mon index et mon pouce, tandis que mon majeur caresse l’entrée de mon sexe. Je suis encore terriblement excité par ce que j’ai vécu et ce que je vois, ma chatte est trempée. J’y entre deux doigts, puis trois ; devant moi, Marion a également une main entre les jambes. Elle se frotte le minou et le petit trou, avant d’y glisser un doigt. Je l’imite. Bien lubrifié par mon excitation, mon majeur masse l’entrée de mon anus avant d’y trouver un passage. Après la sodomie de Franck, ça passe tout seul, et les mouvements de mon doigts me procurent à nouveau du plaisir et de l’excitation, si bien que je ne résiste pas à aller rejoindre les autres.
Je m’accroupie derrière Marion et lui masse les seins, le ventre et la chatte ; Marion retire son doigt de son cul et le remplace par le mien (de doigt). Délaissant ses trois bites, elle m’embrasse fougueusement et m’invite à la remplacer. Mon doigt quitte à regret son anus, mais je suis gourmande de sucer les trois apollon qui me font face. Julien m’attire à lui et m’embrasse tendrement ; d’une voix de latin lover, il me murmure :
Sa bouche se pose alors sur mon cou, je renverse la tête, ses mains explorent mon corps avec douceur et détermination. En voilà un qui sait parler aux femmes. Marion me sort de mon rêve :
On ne peut pas dire que je n’en aie pas envie… Je l’embrasse sur le bouche, ma langue glisse sur ses lèvres, passe sur son menton, son torse, s’attarde sur ses tétons, joue avec son nombril, son pubis, trouve le gland, enfin. Je lui lèche la queue sur toute sa longueur, il apprécie, je descend jusqu’à ses deux couilles encore pleines, que je gobe, avant de reprendre une fellation en règle.
C’est Marc qui me rappelle qu’ils sont trois en face de moi. Je le regarde, il me sourie et me caresse la joue. Comme Marion – celle-ci, à propos, s’est couchée en dessous de moi, et elle me lape délicatement l’entrejambe – tout à l’heure, je suce les trois hommes avec application et gourmandise. Ceux-ci poussent des petits soupirs de contentement et m’encouragent avec des petites phrases gentilles. Ils me disent que je suis belle, que je leur fais du bien, que c’est bon et qu’ils me désirent, et ça fait toujours plaisir à entendre. Julien, qui n’a pas encore joui, semble se retenir avec difficulté. Les coups de langues de Marion se font de plus en plus efficace, et je suis moi-même au bord de la jouissance. Elle ne semble pourtant pas vouloir accélérer, pour maintenir mon désir et mon excitation sans doute. D’ailleurs la voilà qui arrête, ce qui me frustre un peu.
Marion nous contourne et va s’installer derrière les garçons. Je la vois les embrasser dans la nuque et le dos, puis elle se met à quatre pattes et leur embrasse les fesses, d’abord sagement, puis ses baisers se font insistants. Elle passe de l’un à l’autre, leur écarte les fesses et plonge la bouche dedans, pour leur lécher l’anus avec gourmandise ; de temps en temps, elle m’adresse un regard brillant, son plaisir est évident. Je n’avais jamais vu une fille aimer autant le sexe. Ses doigts aident sa langue, je la devine enfoncer ses doigts dans le cul de nos hommes. À entendre leur soupirs et à sentir les mouvements de leurs sexes, ils ont l’air d’aimer ça.
Marion se concentre maintenant sur Julien, qu’elle a décidé de faire enfin jouir. Je fais de même, laissant libre les deux autres. Franck se place derrière Marion, la lèche rapidement et la pénètre. Je m’installe à quatre pattes et tend mon cul pour que Marc fasse de même. Je suis toujours trempée, et il n’a pas de mal à se planter en moi. Je le veux dans mon cul.
Je reprend ma fellation sur Julien, qui se fait doigter et lécher le cul par Marion, qui elle même se enculer (à en croire ses petits cris) par Franck. Les doigts, puis le sexe de Marc investissent peu à peu mon anus, et c’est terriblement bon d’être remplie ainsi. J’accélère la cadence, Marion fait de même, de sorte que Julien ne tarde pas à jouir longuement dans ma bouche, en poussant de grands cris de plaisir. J’avale une partie de son sperme – je ne suis décidément pas dans mon état habituel – une autre partie s’écoule autour de ma bouche et sur mon menton. Julien me fait signe de continuer à le sucer, ce que je fais avec plaisir mais difficulté, compte tenu de la sodomie que m’inflige Marc. Julien s’éloigne enfin, la bite encore à moitié dressée, et je me retrouve face à Marion. Elle m’embrasse avec passion, et lèche avec avidité le sperme que j’ai sur le menton, le cou et les seins.
Je peux enfin me concentrer sur mon plaisir anal, qui me donne l’envie d’être prise également par la chatte. Un regard équivoque avec Julien suffit. Il se glisse en dessous de moi, et Marc se retire un instant pour permettre à Julien d’investir ma chatte. Il ne bande toujours qu’à moitié, et ne parvient pas à me pénétrer. J’observe la scène entre mes bras tendus, la tête à l’envers. À ma grande surprise, c’est Marc qui prend les choses en main : il se saisit de la bite de Julien, effectue quelques aller-retour dans sa main, puis la prend en bouche. Etonnée, je regarde Marion qui me répond en rigolant :
J’avais deviné, et l’effet est le même sur moi. Très vite, Julien redevient opérationnel. Avec tendresse, Marc installe le sexe de son copain entre mes cuisses. Julien me remplit d’un seul coup, et je pousse un grand cri de surprise. Puis un deuxième, quand Marc s’installe tout aussi promptement dans mon trou du cul toujours ouvert. Ils ondulent en cadence, je sens qu’ils ont avec Marion de l’entraînement à la double pénétration. Ma satisfaction n’en est que plus grande. Leur mouvements sont en parfaite harmonie, j’ai l’impression de ne faire l’amour qu’à un seul homme, l’amant idéal, extraordinaire. Les effets des coups de langues de Marion se font encore ressentir, le sexe de Marc frotte mon clitoris et je me retrouve bientôt au bord de la jouissance. Mes deux baiseurs le sentent et accélèrent la cadence. En face de moi, Marion et Franck en sont au même point. Des regards s’échangent entre les quatre amoureux, ils s’accordent pour qu’on jouissent de concert tous les cinq. Bientôt, nous ne faisons qu’un. Marion posent ses mains sur les miennes, et enfoui ses yeux dans les miens. L’explosion de notre plaisir est proche, toute proche. Je me sens partir, je vois Marion sourire et hurler, je sens les spermes de Marc et de Julien se déverser en moi, en de longues saccades de jouissance qui précipitent la mienne. Mon corps est secoué de spasmes, j’agrippe les mains de Marion et me laisse tomber sur le corps de Julien. Je jouis comme une folle, c’est immense, ça n’en finit plus. Mon cul et ma chatte lancent des vagues de chaleur dans tout mon corps ; une onde de bonheur qui me transperce encore et encore.
Je suis allongée sur le ventre. Devant moi, la chatte de Marion, toute rouge de jouissance. Je lui donne de petits bisous. Julien m’embrasse les fesses tendrement. Les minutes, puis les heures, s’étirent langoureusement. Nous passons le reste de la journée à somnoler tranquillement ; nos mains et bouches se promènent paresseusement sur nos corps et sexes. Marion et moi nous régalons à donner des coups de langues tendres sur nos chattes respectives, comme si nous en étions (des chattes). Et c’est finalement l’arrivée des moustiques qui nous chasse de notre paradis. Je me rhabille à regret. Ma chatte et mon cul sont encore humides et gluants et, je dois dire, légèrement douloureux. Comme la veille, Marion décide d’abandonner ses amants et de passer la nuit avec moi. Nous ne refaisons pas l’amour – crevées, vraiment crevées, et on a eu notre compte. Mais c’est avec une tendresse infinie que nous nous déshabillons, nous couchons, nous endormons et nous réveillons.
…
L’heure du départ est proche. Une dizaine s’est écoulée, semblable aux deux premiers jours, bien que l’arrivée à l’hôtel d’un groupe de sportifs a donné plus de travail à Marion. Nous avons passé toutes nos nuits ensembles ; parfois toutes les deux, parfois accompagnées d’un, deux ou trois garçons. Ils sont adorables. Mon amour (appelons ça comme ça) pour Marion m’a toutefois empêché de vraiment m’attacher. Je les adore, mais Marion occulte tout le reste. Même s’ils ont été fort utiles pour nos magnifiques parties de jambes en l’air. Je suis devenue une vraie accroc au sexe, sous toutes ses formes. Grâce à Marion. Mais l’heure du départ est proche. C’est le besoin d’argent, bien plus que l’envie, qui me décide à repartir. Mon sac est bouclé. Marion, Julien, Franck et Marc m’accompagnent à la petite gare. La dernière nuit avec Marion fut un peu triste, mélancolique. Pour la première fois de mon séjour ici, elle n’a pas réussi à me faire jouir.
Le soleil est enivrant sur le quai de la gare, désert à cette heure-là de l’après-midi. Le train sera là dans un quart d’heure. Les trois garçons semblent absent, visiblement émus de nous voir si tristes toutes les deux. C’est encore une fois Marion qui prend les choses en main :
Marion se précipite sur moi, me roule une grosse pelle, et, là, au milieu de la gare, me soulève la robe jusqu’à la gorge. J’ai pris l’habitude de rien porter dessous, et je suis donc nue sur le quai. Heureusement, personne sauf les garçons n’est là, mais j’ai quand même sacrément la trouille. Mais comme c’est Marion, je me laisse faire les yeux fermés. Elle s’accroupit entre mes jambes et sa langue fonce sur mon clitoris, qu’elle lèche frénétiquement. Ses doigts s’affairent autour et derrière, comme on a bientôt l’habitude. L’effet de surprise m’excite rapidement. L’habileté de Marion et l’excitation d’être ainsi exhibée dans un lieu public font le reste. En moins de cinq minutes, c’est secouée de spasmes que je hurle ma jouissance, sous le regard amusé des garçons qui doivent me soutenir pour que je reste debout. On a dû m’entendre dans tout le village. Pour la dernière fois, Marion me fait goûter ma mouille dans un baiser passionné.
Cet orgasme inopinée a l’avantage de rendre les adieux irréels. Le train est annoncé. Malgré nos promesses et nos adresses échangées, je ne sais pas à ce moment là si je reverrai Marion un jour. C’est mon manque de confiance en moi, mon pessimisme, qui reprennent le dessus. « Une minute d’arrêt ». Tout est allé si vite. Franck prend mon sac, le pose dans le train. Je bredouille un vague au revoir et embrasse tout le monde – sur la bouche, au grand étonnement du chef du gare. Le goût de nos larmes sur la bouche et les joues de Marion a remplacé le « traditionnel » goût de nos chattes.
« Attention à la fermeture automatique des portières, attention au départ ! »
Fin ?