n° 07363 | Fiche technique | 13974 caractères | 13974Temps de lecture estimé : 9 mn | 19/06/04 |
Résumé: Paris, ville des rencontres... | ||||
Critères: fh inconnu voiture fellation cunnilingu pénétratio fsodo -totalsexe -occasion | ||||
Auteur : Abribus Envoi mini-message |
C’était un bel après-midi de printemps, et profitant d’une journée de RTT je flânais comme souvent sur les Champs-Elysées, m’amusant de l’enthousiasme des touristes pour cette "plus belle avenue du monde ", appréciée de tous… sauf des parisiens ! Je fais exception à la règle, et j’aime bien m’y promener ; cette avenue n’est pas le plus charmant coin de Paris, ni le plus intéressant culturellement parlant, les magasins y sont sans intérêt car il n’y a plus, pratiquement, que des grandes chaînes que l’on trouve partout ailleurs, de Pékin à Guéret ; et enfin, y manger ou même boire un café y est une activité à haut risque pour le portefeuille…
Et néanmoins, je les aime nos " Champs "… Allez savoir pourquoi, je les trouve toujours magique !
Mais je ne suis pas là pour faire le guide touristique, mais plutôt pour vous raconter ce qui m’est arrivé ce jour là et m’a encore plus fait aimer cet endroit.
Ñ Ð
Je me promenais donc quand, à peu près au niveau du " Virgin ", alors que je regardais ailleurs, je fus percutée assez violemment par un passant qui me donna un grand coup d’épaule ; bien que l’habitude parisienne soit plutôt, dans ce cas là, d’être fataliste et de ne pas relever, le choc avait été rude et je ne pus m’empêcher de me retourner pour voir un arabe, vêtu de la traditionnelle dichdacha et du chèche à carreaux en vigueur et pour le reste assez caricatural : assez gros, moustache épaisse mais bien taillée, lunettes noir cerclées d’or et énorme montre, en or également, au poignet. Je dus avoir un regard suffisamment noir pour qu’il condescendit à adresser la parole à une femme :
" Excusez-moi, Madame, je ne vous avais pas vue…
Visiblement, maintenant il ne voyait plus que moi ; il faut dire que je suis le genre de femmes qui a un certain succès auprès des mâles du Moyen-Orient : blonde, pulpeuse (et quelques kilos en trop, mais encore assez loin de l’obésité), les yeux bleus et un visage que l’on ma parfois dit être joli…
Le chauffeur eut à peine le temps de sortir et de courir pour m’ouvrir respectueusement la porte, la casquette à la main ; je m’engouffrais aussitôt dans la voiture, découvrant un somptueux intérieur de cuir noir et de bois qu’on ne pouvait absolument pas deviner de l’extérieur, même le nez collé contre la vitre. Mon " cheik ", comme je l’appelais dans ma tête, me suivit et une fois la porte refermée nous nous sommes retrouvés coupés du monde : alors que nous voyions autour de nous la foule aller et venir, on n’entendait plus aucun bruit !
Ñ Ð
Le cheik s’assit près de moi, prit un petit micro et prononça quelques mots en arabe ; aussitôt, la voiture s’ébranla sans aucun à-coup et nous commençâmes à remonter les Champs-Elysées.
Pendant que je buvais mon champagne, il commença à me caresser le haut de la cuisse, par-dessus ma courte robe noire. Par la fenêtre je vis que nous étions en train de passer la place de l’Etoile, puis le chauffeur s’engouffra dans l’avenue Kléber.
Et il le fit, pour la première fois sa grosse main toucha ma peau nue car il passa cette fois sous la robe, bien obligé il est vrai car celle-ci était tendue entre mes deux cuisses légèrement écartées. Sa main me caressait donc la cuisse, et son poignet remontait ma petite robe, lui permettant de découvrir ma petite culotte et, celle-ci étant en dentelle transparente, ma toison pubienne soigneusement épilée. Il ne se gênait d’ailleurs pas pour regarder pendant que je me laissais aller sous ses caresses, sirotant mon champagne et admirant par le toit ouvrant (fermé, mais en verre !) la Tour Eiffel. Je commençais à me tenir moins droite sur mon siège, et mon bassin avançait, offrant une vue de plus en plus intime au " cheik ".
Même si son ample dichdacha n’en laissait rien paraître, celui-ci avait l’air de plus en plus excité ; il ne tarda pas d’ailleurs déplacer sa caresse de plus en plus haut, jusqu’à mon mont de vénus.
Il ne se le fit pas dire deux fois, et commença un examen plus approfondi, la tête penchée vers mon pubis.
Je tressaillis, renversant le reste de ma coupe de champagne entre mes jambes : il venait d’immiscer un des ses gros doigts boudinés entre mes lèvres et s’appliquait maintenant à rechercher mon clitoris.
Il rit :
Ñ Ð
Il plongea donc illico sa tête entre mes jambes, descendant du fauteuil pour se mettre à genoux et amenant mes fesses tout au bord du fauteuil. Je ne voyais plus rien que les toits de Paris à travers le toit ouvrant, et j’ignorais totalement où nous étions. La Tour Eiffel était loin depuis longtemps, aucun monument n’était visible : que des immeubles haussmaniens qui défilaient. Peut-être le boulevard St Germain…
Mais mes réflexions n’allèrent pas plus loin car le " cheik " s’appliquait entre mes jambes à ne pas laisser s’échapper sur les sièges en cuire une goutte de liquide, que ce soit du champagne ou mes sécrétions intimes. Il aspirait mes lèvres alors que sa langue s’attardait sur mon clitoris, quand il n’essayait pas de l’enfoncer le plus profondément possible dans mon vagin. De ses deux mains il me maintenait fermement, le sexe collé contre sa bouche, alors que les spasmes de plaisir qu’il provoquait me faisaient donner de grands coups de reins !
Dans ces conditions, comme vous vous en doutez l’orgasme ne tarda pas et me transforma en poupée molle, avachie sur la banquette en cuir, les jambes écartées, l’œil hagard.
Le " cheik " se rassit à mes côtés, le visage rouge ; il resservit deux coupes de champagne et vida la sienne d’un trait. Je fis comme lui, me remettant un peu de mes émotions et en profitant pour regarder autour de moi : la balade parisienne se poursuivait, et nous contournions le Panthéon. Malgré mon orgasme, je n’avais pas l’intention d’en rester là : je me tournai vers lui et posai ma main sur sa cuisse en le regardant dans les yeux.
Il souleva sa dichdacha, révélant un sexe de belle dimension et tendu comme un arc. Je le pris dans ma main pour éprouver sa dureté et ne fus pas déçue : je m’en léchais déjà les babines…
Mon " cheik " retrouvait son naturel : j’imagine que je devais déjà me sentir suffisamment honorée qu’il ait passé tant de temps à me donner du plaisir, et qu’il se rappelait maintenant que la femme devait obéissance à l’homme…
Je me soumis de bonne grâce, ne pouvant résister de toute façon à engloutir cette queue magnifique qu’il m’offrait ; je me mis à quatre pattes sur la banquette, le cul bien haut tourné vers la fenêtre, et me mis à le pomper vigoureusement, comme affamée ! Il poussait de temps à autre des grognements, alors que je jouais avec ses testicules, que je m’appliquai à lécher son gland comme une petite fille l’aurait fait d’une boule de glace, que je l’enfournai presque en totalité dans ma bouche - il était trop gros pour que je puisse le prendre en entier - ; des filets de ma bave coulaient le long de son sexe, et je les rattrapai d’une langue experte avant qu’ils n’atteignent le siège. Parfois je ralentissais le rythme, embrassant tendrement ce sceptre magnifique, picorant son gland de petits baisers pointus, insinuant ma langue dans son méat…
Pendant ce temps, il jouait avec mes seins qui ballottaient librement sous la robe, les pelotant brutalement, pinçant mes tétons à me faire mal, augmentant encore mon excitation.
Ñ Ð
Sentant qu’il allait éjaculer, je m’arrêtai soudain, bien décidée à reprendre les choses en main ! Pour une fois que j’avais un " cheik " sous la main, autant en profiter pleinement !
Sans lui laisser le tant de protester, je me relevai et vins m’asseoir sur lui, prenant sa bite dans ma main pour l’introduire dans mon vagin ; une fois bien installée, ce pieu au fond de mon ventre, je me débarrassai de la robe en la faisant passer au-dessus de ma tête. Mon excitation était à son comble : nous étions en plein cœur de Paris, et je ne portais plus que mes talons hauts et mes bijoux tout en chevauchant un parfait inconnu.
Le " cheik " me prit par les hanches et commença à me faire aller et venir ; cela dura longtemps, car il s’arrêtait parfois pour reprendre son souffle et calmer son excitation ; il enfouissait alors son visage entre mes seins, les léchant, mordant, aspirant… parfois c’est moi qui en présentais un à sa bouche, et il tétait comme un nouveau-né.
Paris défilait toujours par les fenêtres : Bastille, République, les grands boulevards, Opéra. Parfois alors que nous étions arrêtés à un feu rouge, les gens tendaient le cou pour essayer de voir à l’intérieur de la voiture et ça m’excitait encore plus d’imaginer qu’ils pouvaient peut-être apercevoir ce qui se passait vraiment ! Nous reprenions alors de plus belle notre cavalcade.
Je finis par jouir de nouveau, mais le " cheik " parvint à se retenir ; il me souleva une dernière fois, avec une force que je n’aurais pas cru encore possible, sortant complètement de moi. Il me posa sur la banquette et je vis que son sexe était toujours aussi rigide ; il me parut même encore plus gros !
Ñ Ð
Mon deuxième orgasme m’avait achevé, et il me maniait maintenant comme une poupée ; il me fit mettre à 4 pattes sur la banquette, la tête tournée cette fois vers l’extérieur, presque contre la vitre. Je vis que nous étions place Vendôme, et sentis qu’il se mettait à genoux derrière moi. C’est quand nous nous sommes arrêtés au feu rouge, avant de tourner rue de Rivoli, qu’il a posé son gland sur l’ouverture de mes reins. Quand il a commencé à pousser de toutes ses forces, j’ai poussé un hurlement. Haletante, souffrant comme jamais mais trop faible pour protester ou me défendre, je voyais des gens, des femmes, des enfants traverser la rue en même temps que je sentais mon anus se distendre au fur et à mesure que l’énorme gland s’enfonçait. C’était surréaliste ! La voiture a redémarré, et le " cheik " a continué à violer mes reins ; pour adoucir la douleur, je me suis frénétiquement caressé le clitoris, ce qui a eu pour effet de me décontracter presque instantanément. Le " cheik " a pu alors s’enfoncer complètement, jusqu’à ce que je sente ses poils sur mes fesses. Puis il a commencé à aller et venir rapidement, me faisant de nouveau crier, mais de plaisir et d’excitation cette fois. Il me ramonait à toute vitesse, alors que nous passions la Concorde et commencions la remontée des Champs-Elysées ; il a fini par jouir avec un cri sourd, provoquant mon troisième orgasme, puis s’est très vite arraché de moi. Nous sommes restés quelques instants vautrés sur la banquette, reprenant notre souffle. Il m’a servi une dernière coupe de champagne que j’ai bue rapidement, puis m’a tendue ma robe.
Pendant que je l’enfilais, il s’est rajusté également et a glissé une poignet de billets dans mon sac à main ; j’ai fait semblant de ne rien voir, connaissant la susceptibilité des arabes je ne pouvais de toute façon pas refuser.
Puis il a ouvert la porte, toujours sans dire un mot.
Je suis sortie, laissant en souvenir ma petite culotte sur la moquette de la voiture. Un instant éblouie par le soleil, il me fallut quelques secondes pour réaliser que j’étais à nouveau en face du " Virgin ". Quand je me suis retournée, la limousine de mon " cheik " quittait son stationnement et s’insinuait à nouveau dans la circulation.
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