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Temps de lecture estimé : 13 mn
19/06/04
Résumé:  Voici la suite de mes aventures que j'ai intitulées Rencontre en Formation. (lire 7197)
Critères:  fh travail voir fmast intermast
Auteur : Marcus 33

Série : Rencontres en formation

Chapitre 02 / 02
Hélène


Voici la suite de mes aventures que j’ai intitulées Rencontre en Formation. (lire 7197)

Je vous avais quitté sur la complicité que j’avais cru déceler entre Marie et Elodie qui se partageaient très discrètement le fruit de ma jouissance. J’étais de plus en plus mal à l’aise, je ne maîtrisais plus rien, je me sentais le jouet de ces deux coquines. Je les observais du coin de l’œil, se passant les kleenex et les portant à leurs lèvres avec toujours autant de plaisir, qu’elles manifestaient par des regards courts mais intenses.


Elodie avait discrètement passé son bras droit sous la table et posé sa main entre ses cuisses serrées. Ces tables de travail manquaient de discrétion, surtout pour celui qui était en face. Presque imperceptiblement Elodie se « dandinait » sur son siège, elle avait un léger balancement d’avant en arrière, les kleenex portés à ses lèvres, les yeux dans le vague. Quoique discret, ce balancement prenait un peu d’amplitude et je percevais très distinctement maintenant le léger mouvement de son bassin sur la chaise et de sa main toujours serrée entre ses cuisses. Elodie se caressait en plein cours, à travers son pantalon, la main pressée sur son sexe. Comme pour confirmer ma découverte, elle me fixe quelques instants, passe voluptueusement sa langue sur ses lèvres pour bien montrer qu’elle ne voulait rien laisser perdre de mon jus intime et prenant son stylo, un gros stylo à plume avec un corps volumineux, le porte à sa bouche et mime à mon intention une mini fellation. Un petit coup de mangue discret sur la pointe du capuchon comme elle l’aurait fait sur mon gland pour récupérer les larmes annonçant la pré-jouissance, puis l’enfonçant profond dans sa bouche pour en suite effectuer de petits va-et-vient discrets. Difficile de ne pas céder à la tentation de regarder cette démonstration d’érotisme torride. Mais il fallait rester discret pour ne pas éveiller l’attention des autres participantes, et aussi garder la tête froide pour continuer la formation sans trop bafouiller.


J’étais dans un état d’excitation extrême et me sentais une nouvelle fois très à l’étroit dans mon slip (désolé ce n’est pas un caleçon).

Pour garder un peu de contenance, je distribuais un nouvel exercice ce qui allait me laisser un peu de temps pour reprendre mes esprits, quoique….

En effet Elodie avait cessé son simulacre de fellation, mais elle se balançait toujours, les yeux de plus en plus dans le vague, les kleenex revenus à ses lèvres, manifestement concentrée à se donner du plaisir. Quoi de plus beau que le visage d’une femme qui se caresse pour elle, qui se détache de tout son environnement.


Son balancement devint tout à coup plus saccadé, elle ouvre grand les yeux en me fixant intensément, se crispe complètement sur son siège, écrase sa main entre ses cuisses, ouvre la bouche pour prendre un peu d’air. Puis elle se décontracte lentement, reprend une respiration régulière, les pommettes très colorées.

Elle m’adresse un large sourire en levant discrètement le pouce pour me signifier que c’était super. Elodie venait de jouir un plein cours, avec tant de discrétion que seules deux personnes s’en sont rendu compte, Marie et moi.

Très difficilement j’arrive à 17 heures et à la fin de ce que j’avais prévu de faire dans cette séance, mais combien d’imprévu y a t-il eu……


Chacun range ses affaires, se dit au revoir, mais on frappe, c’est la Responsable formation de l’entreprise, Hélène que j’avais rencontré sur le parking ce matin, qui entre, embrasse les unes, serre la main aux autres. Venant vers moi elle me fait part que le Directeur des Ressources Humaines souhaitait me voir avant mon départ.

Me voilà un peu soucieux, il était prévu que nous ne nous rencontrions qu’à la dernière session, pourquoi ce changement, des craintes m’assaillent quant à tout ce qui venait de se passer depuis midi: Quelqu’un nous aurait-il surpris Marie et moi sur le parking du restaurant, aurait-on compris notre « Petit manège » et une participante serait-elle allée se plaindre à la pause ??? J’étais vraiment inquiet.


Pendant ce temps tout le monde discute par petits groupes, et la Responsable Formation va de l’un à l’autre.

Vient le moment où il faut prendre congé, au revoir à dans 15 jours, je serre la main à tout le monde, Marie me glisse :



Direction les services administratifs.


Passant devant le bureau de la Responsable Formation, celle-ci m’arrête, me disant que si j’ai le temps, elle souhaiterait faire un point détaillé. Elle m’accompagne chez son « Patron » et me laisse seul avec lui. J’étais dans mes petits souliers, mais je fus rapidement rassuré. Il se confond en excuses, me disant que notre rencontre prévue pour la prochaine séance ne pouvait avoir lieu, il devait partir en voyage d’affaires etc… Discussion d’affaires.

Une vingtaine de minutes plus tard je quittais son bureau avec l’esprit léger… Léger.


Mais il y avait Hélène qui m’attendait, porte de son bureau grande ouverte.



Adorable dans sa robe à fleur, s’arrêtant un peu au-dessus du genou, ça lui allait à la perfection. Un tissu léger, épousant ses formes sans la mouler, bougeant avec son corps, un mouvement ample qui donnait l’espoir de découvrir un peu plus que la décence le permet.



Quelle était donc la raison profonde de sa demande, puisque faire le point sur les différentes étapes de la formation, nous l’avions déjà abordé ce matin. La conversation vient sur les participantes, comportement, capacités, etc… Points que je refuse toujours d’aborder.

Tout en lui exposant mes arguments, je la vois charger d’attitude et devenir plus cassante, me questionnant plus précisément sur Marie et Elodie.

Aïe… Je sens où elle veut en venir. Sais-t-elle quelque chose, qui l’a renseigné ????


Tout de go elle attaque.



Ayant retenu les conversations un peu perfides de ce matin à table, je répliquais



Piquée au vif elle a accusé le coup, mais belle joueuse elle ajoute



Elle perdit un peu de sa superbe, rosit sous son léger bronzage ce qui la rendait encore plus craquante.


Avant de me répondre, elle reprit sa respiration ce qui eut pour effet de faire ressortir sa poitrine et de distinguer à travers l’étoffe fine de sa robe et de son soutien-gorge, la pointe érigée de ses seins. Elle nous avait vus et maté. Elle revoyait Marie prendre mon sexe dans sa bouche et me sucer pendant de longues minutes ; elle me revoyait plongeant la tête entre les cuisses de Marie et me délecter à sa source. Son excitation était visible. Et elle s’est lâchée :



Elle me tutoyait, sa retenue tombait. Elle se délectait de me décrire ce qu’elle avait vu, ses yeux brillaient, elle cambrait encore plus sa poitrine, on devinait ses seins gonflés d’excitation, elle s’agitait sur son siège, j’entendais, sous le bureau, le léger frottement de ses jambes qu’elle croissait et décroisait.


Je décidais de rentrer à fond dans son jeu. Il faut dire que j’étais moi aussi, passablement excité et je me sentais un peu à l’étroit, aussi je reculais un peu mon siège de son bureau pour qu’elle puisse voir l’effet qu’elle produisait et tenter d’apercevoir ses jambes, ses cuisses et plus peut-être, sous son bureau. Je posais ma main très prés de mon sexe gonflé, ses yeux effectuaient le même trajet que ma main en insistant sur la bosse qui déformait mon pantalon. Elle était comme fascinée par ma main qui maintenant massait lentement mon sexe par-dessus le tissu. Je fixais son visage, ses yeux tendus vers le mouvement de ma main, la bouche légèrement entre ouverte, le souffle court avide de ce qui allait se passer par la suite. Nous étions silencieux depuis quelques minutes, entièrement à notre démonstration érotique.

Enfin ses yeux se lèvent vers moi, un sourire éclaire son visage et je romps le silence :



« Non, pas ici, on pourrait nous interrompre et ce serait aussi frustrant que pour vous deux ce matin, vous n’avez pas joui n’est-ce pas »



Il est vrai que je restais passer la nuit sur place, j’avais un autre rendez-vous professionnel dans la région.



Elle se lève de son siège, j’en fais autant et viens à sa rencontre, quelques hésitations et nos lèvres se rejoignent dans un long baiser. Elle écrase en gémissant ses seins contre ma poitrine, nos ventres se cherchent, se pressent, se trouvent. Mon sexe dressé contre mon ventre trouvant immédiatement le chemin de sa fourche. Alors commence un lent frottement de nos sexes l’un contre l’autre. Dans la fougue de nos étreintes Elodie se retrouva adossée à son bureau. Ne risquant plus de perdre l’équilibre, ma cuisse pénétrait entre ses jambes ouvertes pour une lambada torride. Le bassin d’Elodie ondulait sur ma cuisse, elle frottait sans retenue son sexe sur ma cuisse en poussant de petits gémissements de plaisir. Accentuant la pression, je la poussais à s’asseoir sur son bureau.


Je l’avais là, contre moi, cuisses largement ouvertes me libérant l’accès à son intimité. Nos sexes se trouvèrent, à peine séparés par quelques épaisseurs de tissus. Nous faisions l’amour à travers mos vêtements, nos mouvements de plus en plus amples eurent pour effet de faire remonter sa robe et je me retrouvais complètement entre ses cuisses au contact même du mince tissus de son string (je ne le savais pas, mais je l’ai vite découvert). Elle gémissait de plus en plus, mais avec discrétion, cherchant par les mouvements désordonnés de son bassin un contact encore plus intime avec mon sexe dur comme du bois. Pour l’aider dans sa recherche du plaisir, mes mains remontent le long de ses cuisses, en une caresse lente et voluptueuse de sa peau douce et veloutée. Je m’attarde sur l’arrondi de sa hanche et rencontre une petite ceinture étroite, que je devine être celle de son string ; elle est si mince que ce ne peut être qu’un string. Lentement mes doigts redescendent vers l’intérieur de ses cuisses, là où la peau est encore plus fine, plus douce, caressent le petit pli de l’aine, très proche de son intimité. Elle ne gémissait plus, retenait son souffle, tremblait légèrement attendant une caresse plus intime que volontairement je retardais le plus possible. Je la sentais bouger imperceptiblement pour mettre son sexe au contact de mes doigts.


Je me détachais légèrement d’elle, plongeait mon regard dans le sien et après quelques secondes d’attente posais un doigt léger sur le fin tissu et j’entamais une lente caresse, insinuant mes doigts entre ses lèvres gonflées.



Elle avait posé sa tête sur mon épaule et se consacrait uniquement à son plaisir.

J’arrêtais mes caresses pour que mes doigts puissent franchir le barrage du tissu. Presque violemment elle serre les jambes pour retenir ma main au contact de son sexe et me murmure à l’oreille avec une voix presque suppliante :



Elle a vite senti mes doigts écarter le tissu et aller à la découverte de cette douce intimité, complètement liquéfiée. Je glissais entre ses lèvres à la recherche de son petit bouton d’amour, un sursaut de son corps et un petit cri m’avertirent que je l’avais trouvé. Les doigts bien lubrifiés je commençais une lente caresse de son clitoris, d’abord lentement autour avant de le faire rouler sous mes doigts. À chaque caresse je la sentais bouger, se cabrer, onduler à la recherche du point qui lui procurerait encore plus de plaisir. Puis mes doigts glissent vers l’entrée de son corps et la pénètrent. Je joue des doigts entre ses petites lèvres, caresse l’entrée de son vagin, là où sa sensibilité est maximum.

Elle dépose de petits baisers sur mon cou et ne cesse de répéter :



Elle s’agite de plus en plus sur mes doigts et se pénètre elle-même au plus profond que mes doigts le permettent.

Deux doigts dans sa chatte, un caressant son clitoris j’entreprends une caresse lente et progressive qui va l’amener jusqu’à la jouissance. Je la pénètre plus profondément d’abord dans un long va-et-vient et de plus en plus vite. Elle bouge dans tous les sens, ses hanches son à la recherche de mes doigts, ses gémissements se font de plus en plus fort, elle tente de les étouffer au creux de mon cou.



Elle ne m’encourageait plus, elle n’était qu’une plainte, mais ce n’était pas de la souffrance ; enfin si, elle souffrait d’attendre sa jouissance.

Et sa plainte monte, s’amplifie, devient plus sourde, elle s’accroche très fort à moi, ses bras me serrent, je devine plus que je n’entends «Je paaaars…. » Bouche ouverte, tête en arrière, cambrée, écrasant ma main et mes doigts entre ses cuisses serrées, Elodie jouissait longuement, presque silencieusement poursuivant la recherche de son plaisir par des petits mouvements de hanche.

Je poursuivais lentement, délicatement mes caresses du bout des doigts pour continuer son apaisement. Après quelques minutes, je sentais son corps se relâcher, se détendre, ses cuisses s’ouvrir légèrement.



Elle reprenait lentement ses esprits, serrée contre moi. J’eus un léger sursaut, sa main venait de se poser sur mon sexe tendu, elle commençait à me caresser à travers le tissu. Maintenant, elle serrait un peu plus les doigts, tenant mon sexe à pleine main, elle me masturbait lentement, dans un mouvement. Même à travers les épaisseurs, je sentais le va-et-vient de sa main.

Me regardant droit dans les yeux elle entreprend de baisser la fermeture de mon pantalon. Je lui prends la main pour retenir son geste :



« D’accord, mais comme avec Marie, laisses moi te toucher, te caresser »

Elle descendit la fermeture et introduisit sa main cherchant tout de suite à passer sous l’élastique du slip. Au contact de ses doigts, j’ai failli ne pas me retenir. Avec un petit cri de satisfaction elle sortit mon sexe de mon pantalon et se mit à me branler franchement, avec de longs va-et-vient, décalottant largement mon gland luisant de plaisir.

Je lui pris encore la main pour arrêter le supplice, encore une fois j’ai dû penser à l’évolution du cours de l’euro ou à la politique étrangère du gouvernement, pour ne pas me vider dans sa main.



J’avais envie de lui crier « vas-y, prends-moi dans ta bouche, suce-moi, fais-moi exploser….. »

Elle dépose ses lèvres chaudes sur mon gland, insiste un peu sur le méat pour y recueillir une goutte de pré jouissance et plantant son regard dans le mien prend d’un seul coup mon sexe au fond de sa gorge.

J’ai cru défaillir encore tant la sensation était intenable, elle me garde quelques instants dans sa bouche en jouant de la langue, deux ou trois va-et-vient comme au ralenti et arrête en me disant :



Là encore l’étonnement, tout à l’heure c’était la complicité entre Marie et Elodie, maintenant c’est carrément un complot.

Mon excitation était rapidement tombée, je me demandais quel piège m’avait été tendu ? Je me réajustais vite, Hélène se relève avec un large sourire et remet un peu d’ordre dans sa tenue. Voyant mon désarroi, elle me rassure par un long baiser :



Allais-je m’embarquer dans cette aventure, est-ce que je pouvais refuser, en avais-je vraiment envie ????


Si cette deuxième partie vous a plu, je vous raconterais la suite.