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n° 07372Fiche technique21070 caractères21070
Temps de lecture estimé : 13 mn
03/07/04
Résumé:  Il y a quelques années, mon travail de vendeur à domicile a été l'occasion de rencontres dont celle-ci est un excellent souvenir
Critères:  fh fplusag grosseins poilu(e)s entreseins fellation
Auteur : Xcsilver  (JH désirant raconter quelques souvenirs récents)      Envoi mini-message
Crème hydratante


Voici une histoire vraie qui m’est arrivée il y a quelques années. C’est la première fois que je mets par écrit un souvenir. Je demande donc votre indulgence.


A l’époque je travaillais pour une société de vente à domicile. Le travail n’était pas déplaisant mais assez répétitif et il fallait tout de même un sacré bagou pour arriver à conclure des ventes. L’avantage principal était que je ne travaillais que le soir. Mon employeur était bien organisé. Les rendez-vous étaient pris par un service de télémarketing et ensuite nous étaient communiqués 30 à 60 minutes à l’avance.


Un soir, je devais me rendre à un rendez-vous fixé et confirmé. Avec l’expérience, je savais rapidement en voyant l’adresse s’il s’agissait d’un bon ou mauvais rendez-vous. Paradoxalement, c’était souvent dans les familles les plus modestes que les ventes se faisaient plus facilement. Ce soir-là sur ma feuille de rendez-vous, il était indiqué ’personne seule’. C’était une information importante. Nous ne faisions jamais de rendez-vous sans la présence de tous les décideurs du ménage pour éviter les excuses "il faut que j’en parle à mon mari" ou "il faut que j’aie l’avis de ma femme".


Comme d’habitude, j’arrivai en retard. Le rendez-vous était prévu à 8h30 du soir et il était déjà 8h45 lorsque je sonnai à la porte. J’étais devant un immeuble à appartement assez vétuste, pas très grand mais avec beaucoup de sonnettes. Cela signifiait que les appartements étaient petits et les habitants modestes. Cela cumulé à une personne seule, la soirée s’annonçait sombre. Dans ces cas, nous faisions la présentation de notre produit consciencieusement mais sans traîner pour garder la possibilité de faire un deuxième rendez-vous sur la même soirée. On était en été et il était plus facile de faire accepter un rendez-vous en deuxième partie de soirée qu’en hiver.


Une voix interrompit mon analyse. Elle était presque inaudible mais j’avais compris qu’elle m’invitait à monter au troisième étage. Je n’étais même pas certain d’avoir affaire à un homme ou une femme. Pour bien commencer la soirée, je remarquai immédiatement l’absence d’ascenseur. Grrr… 3 étages à monter avec mes 2 boites de présentation et mon sac.


Avec la chaleur, l’étroitesse de la cage d’escalier et l’effort physique, j’arrivai au troisième étage en nage et en rage. Commencer une présentation dans ces conditions ne me mettait pas de bonne humeur mais bon, le boulot avant tout… La porte était entrouverte et il n’y avait personne… Allais-je devoir faire ma présentation devant un fantôme ? Je frappai à la porte tout en l’ouvrant.


Une voix me répondit :



C’était une voix féminine. Je pénétrai dans une cuisine et je regardai à gauche puis à droite pour voir mon hôtesse mais sans succès.


La voix reprit :



Ca y est, la voix venait de gauche. Une pièce qui devait être une chambre ou un salon mais ma vue ne dépassait pas l’entrée de la pièce. Quel culot quand même ! Un quart d’heure de retard ne justifiait pas de tels reproches et un accueil aussi froid. Je répondis très commercial :



Et là, elle apparut dans la baie de la porte. Une femme d’une quarantaine d’année, voire peut-être plus. Elle était en peignoir et pantoufles et venait apparemment de s’habiller en urgence vu le manque de tenue de l’ensemble.



Voila d’où venait l’erreur. Après quelques phrases d’excuses, elle m’invita à m’introduire dans la pièce où elle se tenait.


C’était une chambre à coucher qui faisait office de salon, dressing et probablement salle à manger. Il y avait deux petits fauteuils près de la porte. À deux mètres de ceux-ci, un lit double et au fond de la pièce près de la fenêtre une penderie face à une commode et un petit paravent entre les deux, face à la fenêtre.


La cliente - j’aime appeler les gens que je visite clients ou clientes car ça motive à la vente- s’excusa sur la petitesse et le manque de confort de son studio. Elle m’expliqua qu’elle était divorcée et que ses ressources étaient faibles.


Bien mal parti pour conclure une vente mais on ne sait jamais. Il ne faut jamais être négatif et bien des surprises me sont arrivées chez des clients aussi miséreux.


Elle s’excusa également pour sa tenue mais ne me voyant pas venir, elle se préparait pour aller au lit. Décidément, elle aimait s’excuser.


Installé dans un fauteuil, je commençai ma présentation. Afin de me mettre à l’aise et surtout mettre à l’aise mes hôtes, j’avais l’habitude de demander d’enlever ma cravate et de m’asseoir par terre pour faire ma présentation. Elle n’y vit pas d’inconvénient et chose peu courante, elle s’asseyat également par terre face à moi.


A son tour, elle me demanda pour enlever son peignoir car il faisait vraiment chaud dans la pièce. Elle se retrouva donc assise par terre en robe de nuit.


C’est à ce moment que je la détaillai du regard. Malgré son âge, elle avait un certain charme. Cheveux foncés, peau pâle, de grands yeux bleus, un peu ronde sans être grosse et surtout quelque chose qui m’impressionna : une forte poitrine. Avec son peignoir, il était difficile de le remarquer mais en chemise de nuit, il était manifeste qu’elle avait des seins vraiment au-dessus de la moyenne. Je ne saurais donner une taille en chiffre car je ne vends pas de soutien-gorges mais faites-moi confiance, il y avait du monde au balcon. Et en fait de balcon, il n’y en avait pas. Comme toutes les femmes, je suppose qu’elle dormait sans soutien et c’est dans cette tenue de nuit qu’elle était. On ne pouvait pas dire que sa chemise de nuit était sexy. On voyait que la dame vivait seule. Donc, une chemise de nuit qui ressemblait fort à une chemise d’homme trop grande. Largement déboutonnée, elle promettait une vue plongeant sur ce qui promettait d’être exceptionnel. Encore fallait-il avoir le bon angle…


Malgré ses efforts pour maintenir ses jambes croisées, j’avais régulièrement une vue sur le haut de ses cuisses et même de temps en temps sur sa culotte. Une de ces grandes culottes qui ne sont pas des plus séduisantes. Mais la sienne avait la particularité d’être blanche tout en dentelle. Autant dire qu’elle était totalement transparente. À travers la dentelle, je pouvais entr’apercevoir sa touffe bien fournie. Elle ne devait pas se faire le maillot tous les jours. À un moment, elle replia les jambes vers elle; ce qui me permit d’avoir une vue imprenable sur son minou entre ses pieds. J’avais vraiment du mal à la regarder dans les yeux quand je lui parlais.


Pour que la démonstration soit efficace, il fallait faire participer les clients. Je faisais donc participer mon hôtesse. Me retrouvant debout alors qu’elle était assise par terre, j’avais une vue imprenable sur son décolleté. Je ne sais pas si elle se rendait compte de la situation mais j’avais du mal à rester stoïque. Tout en parlant j’essayais de trouver le meilleur angle pour voir ses seins. Le spectacle valait l’effort. Elle avait des seins lourds en forme de poire à la peau laiteuse. Certes, ils n’étaient pas de première jeunesse mais leurs auréoles très larges et foncées étaient très attirantes. Chacun de ses mouvements m’en montrait un peu plus. À son insu ? Telle était la question qui se posait à moi.


Quelques minutes plus tard, la démonstration imposait que la cliente apporte son aspirateur et aspire un petit morceau de tapis. Vous avez compris que ma démonstration visait à vendre un aspirateur révolutionnaire… Elle sortit son appareil d’une armoire et commença à aspirer. Penchée en avant, la vue sur sa poitrine était magnifique. Chaque mouvement qu’elle faisait imprimait sur ses seins un mouvement similaire. J’avais droit à un bon petit plaisir de voyeur qui commençait à échauffer le bas de mon ventre.


Pendant qu’elle aspirait le même petit bout de tapis, je m’approchai d’elle par derrière et lui dit :



Joignant le geste à la parole, je lui pris les épaules pour la redresser. Toucher ses épaules à travers son chemisier me procura de petits frissons. Après tout ce que je venais de voir, il était heureux que le pantalon de mon costume soit bien large.


La voyant se laisser faire, je rajoutai



Je commençai à lui masser la nuque. Elle s’assit sur le lit tout en continuant à me tourner le dos :



Je sentais que la situation évoluait bien. Je glissai mes mains sous son chemisier pour masser ses épaules et sa nuque à même la peau. Pour m’aider, elle défit quelques boutons de son chemisier. Elle laissa tomber son chemisier jusqu’au bas du dos. Ses seins devaient être totalement libérés. Rien que de le savoir m’excitait énormément. Malheureusement de ma position, je ne voyais que son dos et pas ses seins. Je lui massais le dos de plus en plus bas. Je sentais que cela lui apportait du plaisir à sa respiration plus profonde.


Je vivais un rêve et même si la soirée ne se concrétiserait pas par une vente, elle s’annonçait bien chaude.


Le charme fut rompu par une sonnerie. Le téléphone de mon hôtesse se mit à sonner. Juste au moment où elle se laissait aller, elle dut se reprendre pour se lever. Elle s’éloigna vers la cuisine où devait se trouver son portable. Elle revint concentrée sur sa conversation téléphonique. Son chemisier était revenu à sa place normale mais, à mon grand bonheur, restait très ouvert. Elle se pencha vers moi pour ramasser derrière moi un stylo et un petit papier. Son chemisier était tellement ouvert que je voyais toute sa poitrine et même son nombril. Elle était si proche de moi que j’avais sa poitrine à moins de 20 cm de ma bouche. Je me retenais pour ne pas avancer et la lécher. Mon hôtesse était toujours tellement dans sa conversation qu’elle ne se rendait pas compte de la situation.


Elle raccrocha en s’excusant. Je me dis que tout avait une fin. Elle rajouta :



Elle remarqua sur mon visage un grand sourire satisfait et me sourit à son tour :



Elle se coucha sur le ventre après avoir baissé son chemisier jusqu’à ses fesses. Je lui massai le dos avec la crème et j’arrivai finalement au bas du dos. Elle gémissait tout doucement de plaisir. Après m’avoir complimenté pour mes talents de masseur, elle me demanda si je voulais bien lui masser le ventre. Une telle proposition ne pouvait pas être refusée.


Elle se tourna après avoir défait complètement son chemisier. Il n’y avait plus que sa culotte qui l’habillait… Elle se mit sur le dos et cacha sa poitrine avec ses mains. Chaque main avait du mal à englober un sein tellement ceux-ci étaient volumineux. Mon pantalon me faisait mal.


Pendant que je lui massais le ventre, elle me raconta qu’elle adorait se faire masser mais que l’absence d’homme dans sa vie ne lui en donnait pas souvent l’occasion. Ses compliments dits, les yeux dans les yeux, m’excitèrent encore davantage. Après avoir longuement massé son ventre, elle me dit que je pouvais lui masser le bas du ventre car elle était fort crispée à cet endroit. Je comprenais qu’elle ne voulait pas que je lui masse le sexe mais plutôt le pubis. Malheureusement sa culotte remontait beaucoup trop pour que j’aie un libre accès à cette zone. Elle s’excusa encore en disant qu’elle ne s’entretenait pas comme elle devrait et que son pubis était fort poilu mais que si ça me dérangeait, je pouvais laisser tomber. Ce que je démentis avec force. Tout en cachant sa poitrine d’un bras, elle tenta de baisser sa culotte d’une main. Maladroitement, elle me montrait de plus en plus sa poitrine et surtout elle glissa sa culotte beaucoup plus qu’elle ne le voulait. Je voyais sa chatte complètement. Elle l’aurait enlevée complètement que cela n’aurait pas changé grand chose. Je lui massai directement le pubis. Ses poils soyeux glissaient sous mes doigts. Que cela était agréable ! Apparemment pour elle aussi car elle avait du mal à conserver ses mains sur les seins. Elle me dit :



Elle voulait dire sa poitrine car elle remontait ses mains et ne cachait ses tétons que par un doigt. Autant dire qu’elle ne cachait rien. Je remontai donc vers sa poitrine qui m’attirait depuis le début. Même couchée, sa poitrine était vraiment imposante. Je commençai par lui masser le dessous des seins et lorsqu’elle enleva totalement ses mains, je pris ses seins à pleines mains. Je caressai sa poitrine avec de la crème hydratante. Ce qui rajoutait de l’érotisme comme si la situation en avait besoin. Je bandais comme un taureau dans mon pantalon et cela commençait à me faire vraiment très mal. Je continuai à lui pétrir la poitrine lorsqu’elle me demanda de lui mettre de la crème sur les jambes.


C’était encore la seule partie de son corps que je n’avais pas exploré. Ses mollets étaient musclés tandis que ses cuisses l’étaient moins. Mais comme sur le reste de son corps, la peau était très douce et très agréable au touché. Je ne manquai pas de la complimenter à ce sujet. En remontant jusqu’en haut des cuisses, j’arrivai à sa culotte.


Sa culotte baissée sur le haut de ses cuisses ne cachait plus rien de son intimité. Je lui fis remarquer que ce bout de tissu devenait un obstacle à l’application de la crème. Elle mit 5 secondes à la retirer complètement. La voila complètement nue à ma merci. Enfin, c’est ce que je pensais. Je lui massai le contour de son sexe et elle démarra au quart de tour. Celui-ci m’attira tellement que je me mis à genou pour approcher mon visage. Elle ne réagit pas. J’écartai ses lèvres pour contempler sa vulve. Elle était fort poilue et son intérieur rose contrastait fortement avec ses poils noirs. J’approchai mes lèvres et commençai à la lécher. Tout d’abord calmement et puis de plus en plus passionnément. Son odeur intime était enivrante. J’introduisit ma langue profondément en elle et je remontai jusqu’à son clitoris. Mon arrivée à cet endroit eut l’effet d’activer une fontaine. Tout son sexe était trempé. Et je but son nectar divin. Ses jambes bougeaient de plus en plus vivement.


De passive, mon hôtesse devint active. Elle approcha sa main de mon pantalon et me dit :



Joignant le geste à la parole, elle ouvrit ma braguette et alla chercher mon sexe tout raide. Une exclamation accompagna la sortie de ma verge. Sa main chaude et accueillante me fit bander encore plus fort. Pendant que je lui léchais le minou, elle me branlait consciencieusement. Sa main se crispa sur mon sexe alors que je sentis un petit jet de cyprine sur mon visage. Elle avait joui et comment…



Elle se rapprocha de moi et mit mon sexe en bouche. Sentir ce fourreau tout doux et chaud autour de ma tige me donna envie d’éjaculer tout de suite. Je me retins difficilement. Elle caressa mes testicules avec ses mains et sa fellation avec cette caresse m’empêcha de me retenir. Je déchargeai dans sa bouche en espérant que ça ne la dégoutterait pas. À ma grande surprise, elle continua de caresser et de serrer mes couilles avec une main pendant que l’autre dégorgeait ma bite pour bien la vider. En fait, elle aimait ça… Un peu salope tou de même… Elle avala tout et lécha toute ma hampe ainsi que le gland dans ses moindres replis. Le bonheur.


Je me couchai sur le dos en me disant que cela avait valu le déplacement. Désirant me reposer, je fermai les yeux. Quand je décharge, je n’ai pas la vantardise de dire que je suis tout de suite reparti ou que j’en redemande immédiatement.


Profitant de mon calme et de mes yeux fermés, mon hôtesse se mit à califourchon sur mes jambes. Elle commença à masser ma verge avec ses seins. Et Dieu sait, si elle avait de quoi me caresser. Ma petite bite toute fatiguée était noyée dans ses seins immenses. Elle se rapprocha de mon visage et me mis ses seins sur la bouche. Je lui léchai ses tétons avec vigueur tout en cherchant son entrejambe. Je commençai à caresser sa grotte super chaude pendant que je léchais ses tétons avec force.


Elle savait s’y prendre car mon sexe reprit petit à petit de la vigueur. Le sentant grossir contre son corps, elle descendit le long de mon ventre pour le caresser avec ses seins. Son énorme poitrine glissait autour de ma bite. Je me remis à bander si fort que cela m’étonna. Elle me faisait de l’effet ma parole. Allais-je me vider sur ses seins ? Mon hôtesse en décida autrement. Elle remonta sur moi et caressa son clitoris sur mon gland. J’avais de nouveau envie de me lâcher mais je me retenais car il fallait que cela dure.


Elle sortit une capote dont ne sait où, se mit à genoux à côté de moi. Elle mit le préservatif dans sa bouche et me l’enfila avec sa bouche. J’avais rarement vu autant de dextérité… Elle remonta sur moi et s’assit sur mon sexe. Je sentis toute la chaleur de son corps autour de ma queue. Elle contracta son utérus pour que je la sente encore plus.


Toujours couché sur le dos, j’avais une femme d’une grande expérience assise sur moi qui me donnait du plaisir. Sa poitrine balançait au rythme de ses mouvements. Je glissai un doigt jusqu’à son clitoris pour l’exciter à son tour. C’est à ce moment que j’essayai une nouvelle chose : je lui caressai avec ma main droite son petit trou de derrière. À peine mon doigt mouillé atteint-il son but qu’elle hurla de plaisir et je sentis son liquide envahir mes poils pubiens. On ne pouvait pas douter de sa jouissance.


Elle s’arrêta quelques secondes en me fixant de ses yeux brillants.



Et elle se remit en mouvement. Elle ne comptait pas me laisser dans l’état d’excitation où je me trouvais. Elle se pencha en arrière pour toucher mes couilles avec ses doigts magiques.


Tout en se faisant ramoner, elle malaxa mes couilles comme une sauvage. Tout ceci accompagné du mouvement de ses énormes seins devant mes yeux ne tardèrent pas à me faire venir une deuxième fois.


Elle resta sur moi et me caressa doucement ma poitrine et mon ventre. Elle se pencha plus fort sur moi et m’embrassa profondément et langoureusement avec sa langue.


Elle me sortit de son vagin, ôta mon préservatif et me laissa m’endormir.


Lorsque je me réveillai, il était presque minuit. Elle m’avait couvert d’une couette. J’étais comme dans un cocon. Je pris mon courage à deux mains, me rhabillai et partit avec mes affaires. Je lui dis au revoir et malgré tout le plaisir que nous avons partagé, nous ne nous sommes jamais revu.


Et bien sur, je n’ai pas conclu de vente ce soir-là.


Si vous avez aimé cette histoire, laisser moi votre avis car j’ai d’autres aventures à conter.