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n° 07378Fiche technique28668 caractères28668
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04/07/04
Résumé:  Je bêchais mon jardin......mais j'ai dû lui trouver une clef pour sa serrure...... puis c'est son mari qui me plante
Critères:  fhh hbi hplusag noculotte fellation pénétratio fdanus fsodo hsodo
Auteur : Istvan  (Je suis un vieux rêveur qui revisite ses souvenirs)      
Je bêchais mon jardin...


Les jardins ouvriers c’est un peu passé de mode. En bordure de certaines villes ils existent encore, bien propres, bien entretenus, les cabanons alignés et leurs toits parallèles. Ailleurs, ça tombe en désuétude et les terrains négligés, abandonnés, sont peu à peu grignotés par les lotisseurs. Par chez moi, nous sommes encore une poignée à nous accrocher à notre lopin. Je n’ai jamais été ouvrier, mais l’intello retraité que je suis apprécie le calme, les légumes frais, et l’activité physique qui entretient la forme. Sans avoir les abdos en carrés de chocolat, j’ai quand même le ventre raisonnablement plat ; les ans m’ont tassé et je ne fais plus les 1 mètre 65 de ma jeunesse, mais je me tiens droit, les épaules larges et les bras musclés. Si j’ajoute que je porte toute ma barbe et les cheveux longs, en queue de cheval pour aller en ville, relevés en chignon pour le travail, vous aurez le portrait approximatif du sexagénaire qui, par ce beau matin de mai, avait fini de biner un carré de salades et regardait rosir ses groseilles.


J’étais seul ce matin-là sur le terrain, et je n’ai pas tout de suite compris d’où venait la voix.



Par-dessus la barrière qui sépare nos jardins du nouveau lotissement, une tête de femme, jeune, agréable, entourée de boucles blondes, mais passablement ahurie.


Je me suis approché.



Celle-ci est assez haute, en effet, mais je prends un vieux cageot qui traîne, et je monte dessus. De l’autre côté, madame était juchée sur un fauteuil de jardin. Affolée comme elle est, elle ne paraît pas se rendre compte que sa nuisette ne fait pas grand-chose pour cacher ses rondeurs appétissantes. Arrivé en haut de la barrière, j’ai une vue plongeante sur ses seins gros et fermes, et je me dis que c’est toujours ça de pris.


Elle me cède la place sur le fauteuil, et je descends sans trop de mal.


C’est une maison moderne, entourée d’un petit jardinet. Face à nous, la porte-fenêtre du salon. Si je lui casse sa double vitre, ça va lui coûter bonbon à la dame. Elle comprend le dilemme.



On va voir. Bon, on pourrait casser la fenêtre, tendre le bras et sans doute attraper la clef. Je jette un oeil à la serrure et je remarque qu’elle est toute simple, la clef peut se mettre des deux côtés, et elle est effectivement dessus.



Je me ravise. Madame tient encore à la main le dépliant en papier glacé qui annonce les réclames de la semaine à l’hyper du coin, et qu’elle vient de trouver dans sa boîte aux lettres.



Elle me passe le dépliant que je déplie et que j’entreprends de glisser sous la porte de la buanderie. Il y a un balai pour empêcher les courants d’air, mais en soulevant les soies avec la lame de mon couteau, ça passe. Puis, la feuille en place, je joue du couteau dans le trou de la serrure pour faire tomber la clef. Si la chance nous sourit, la clef tombe sur la feuille, on tire doucement la feuille (en faisant attention que son passage ne soit pas empêché par le balai), et on récupère la clef.


La chance nous a souri.


J’ouvre donc la porte et je m’efface avec une courbette pour faire passer la maîtresse de céans.



Madame se confond en remerciements, et comme l’oblige la politesse, elle me propose de rentrer boire quelque chose.



Je crois que je préfère. Nous passons dans la cuisine.



La table n’est pas desservie. Deux bols, miel, confiture, cafetière, couteaux, cuillères, un de ces machins à tartiner pour personnes soucieuses de leur niveau de cholestérol. Je m’assieds face à la fenêtre. Madame passe derrière moi, sort une bouteille du frigo, la met sur la table.


Elle est passée très près de moi. A-t-elle fait exprès ? Je suis conscient du fait que je me trouve dans la même pièce qu’une femme jeune, jolie, et peu vêtue. Je ne voudrais pas abuser de la situation, mais d’un autre côté, Madame sait pertinemment qu’elle n’a que sa nuisette sur le dos. Elle vient de me le rappeler. Elle aurait pu s’excuser pour aller passer au moins une robe de chambre. Mais non. Voilà, elle se hisse sur la pointe des pieds pour prendre des verres sur l’étagère du haut, et je vois qu’elle n’a pas de culotte. Est-ce qu’elle chercherait…? Ce serait trop beau…


Je risque une main sur la fesse rebondie qui s’est dévoilée. Madame se fige sur place. Je passe ma main entre les cuisses. Madame les serre pour m’exprimer son consentement, puis les relâche pour que je continue. Je passe l’index entre ses lèvres vaginales et je remonte le pouce dans le sillon de ses fesses. Madame pose les verres et met ses deux mains à plat sur la paillasse de la cuisine. Elle écarte les jambes. Je remplace mon index par le majeur. Madame mouille et je peux facilement pénétrer son sexe. Je fouille, je fais clapoter, je pousse plus loin pour atteindre le clitoris. Madame halète. Je me lève et je l’entoure de mes bras, une main sur son mont de Vénus, l’autre entre ses cuisses. Je l’embrasse dans le cou. La tête en arrière, elle grogne, murmure quelque chose.


Je la tourne et lui fais prendre appui sur la table. Je remonte la nuisette jusqu’aux épaules, et sans lâcher son sexe, je joue avec son sein tout en lui couvrant le dos de petits baisers. Elle se frotte contre moi. Ses murmures se font plus insistants. Je défais ma ceinture et je baisse mon pantalon. Je bande ferme, Madame mouille généreuse, ça passe comme une lettre à la poste, ça rentre comme papa dans maman. Ça glisse. Je tiens Madame par les hanches et je fais coulisser ma bite en elle. Doucement, lentement, savourant sur ma verge la caresse de ses nymphes, des parois de son vagin, dedans jusqu’aux poils, dehors jusqu’à voir apparaître la couronne, ça me taquine les bords du gland, puis je replonge. Madame a une belle croupe, les fesses rondes et blanches, sur son dos un joli duvet blond. Je mesure mes coups. Et à chaque fois Madame grogne ou gémit.


Les seins proéminents de la femme imitent, paraît-il, les fesses, une astuce trouvée par l’évolution comme récompense aux hommes d’avoir choisi l’accouplement face à face. Alors, la branlette espagnole serait plus évoluée, et moi je suis en train de baiser primitif. J’aime les seins, c’est comme les petits trains électriques, faits pour les enfants mais c’est les hommes qui jouent avec.


A soixante ans passés, les occasions de baiser avec une jolie femme ne sont plus si fréquentes. Entre moi et mon épouse, une longue habitude a émoussé le désir. Si elle apprécie toujours autant que je la caresse et que je lui fasse des papouilles et des mimis mouillés, passer à un coït complet lui paraît le plus souvent trop d’effort. Je me branle quand l’envie se fait trop pressante, mais j’ai du retard d’affection, et là, mes réflexions m’aident à tenir la route, à retarder la montée du plaisir, l’explosion de sperme qui se prépare dans mes couilles serrées. J’intellectualise, je regarde ma bite, noueuse et foncée entre les lèvres roses, les fesses rondes et fermes et douces, rondes comme les seins qui s’écrasent sur la table.


Madame a maintenant les avant-bras à plat sur la table dans les miettes du petit déjeuner et le front appuyé dessus. Elle avance sa croupe vers moi. Je me penche pour mieux entendre ce qu’elle marmonne à la toile cirée.



Hou là, mais c’est que ça devient sérieux, Madame ! Tout en continuant à limer sur le même rythme appliqué, je commence à pétrir les fesses qui s’offrent à moi, je tire pour les écarter plus, et je regarde l’oeillet plissé de son anus, lisse et rose.


Bon, me dis-je, s’agit pas de décevoir la petite dame, faut se montrer à la hauteur. Je tends le bras et je prends sur mes doigts un bon paquet de cette margarine diététique pour lui en tartiner le cul. Si son mari savait ce que je lui fais en ce moment, à Madame, avec sa margarine, ça ne serait sûrement pas bon pour son cholestérol. Madame tortille de la croupe et elle couine. Je déconne et j’encule. Je ne sais pas ce que ça vaut pour le goût, mais c’est gras et ça fait glisser. Madame offre ses fesses dodues, elles accueillent ma bite, millimètre par millimètre j’avance dans le trou rose et propret, puis, arrivé au bout, j’arrête, je regarde mes poils qui semblent décorer la raie de ses fesses, un bouquet planté dans son trou du cul.


Mais Madame n’est pas une contemplative et il faut recommencer à bouger. Je me retire et puis je m’enfonce, je me mets à cogner, à taper, on secoue la table. Les couinements de Madame se transforment en hurlements, elle a passé une main sous elle pour se branler le bouton. Plus vite, plus fort. Un bol tombe de la table, se fracasse sur les carreaux du sol. Madame jouit en poussant un grand cri et les serrements convulsifs de son sphincter m’arrachent mon orgasme à moi.


Elle est écroulée sur la table dans les restes du petit déjeuner. Doucement, je décule. Les fesses roses et rondes sont barbouillées de margarine, de sperme, et de merde. Mon pénis pareil, et j’en ai plein les poils aussi. J’aide Madame à se relever. Elle fond dans mes bras, passe une main sous ma chemise pour jouer avec un téton, soupèse mes bourses de l’autre. Elle se frotte la joue contre ma chemise, fouine sous mon bras, renifle.



Elle me sourit.



Nouveau sourire.



C’est vrai que j’ai toujours mon pantalon aux chevilles. Je l’ôte, le slip aussi, les met sur une chaise. J’ôte mes godasses, mes chaussettes, puis la chemise, et je suis Madame, la queue ballottant. En montant l’escalier, elle se débarrasse de sa nuisette qu’elle lance par la porte ouverte de sa chambre, et c’est nus tous les deux que nous entrons dans la salle de bains.


Elle ouvre grand le robinet d’eau chaude et verse dans le bouillonnement une bonne rasade d’un truc rose et parfumé. Je me dis qu’avant de regagner mes pénates, j’ai intérêt à attraper une bonne suée au jardin, sinon comment expliquer à ma femme que je sens le parfum ? Mais de l’autre côté, comment lui expliquer ces odeurs de cyprine, de merde et de foutre qui me collent à la peau ? Sans parler de la margarine.


Madame me fait signe d’entrer le premier dans l’eau. Quand j’y suis assis, elle enjambe le bord, et accroupie en face de moi, elle entreprend de s’envoyer des paquets d’eau dans la moule et entre les fesses.



Ses ablutions intimes finies, Madame me prend la bite pour la nettoyer. Elle le fait soigneusement, retroussant le prépuce, fourrageant dans les poils, malaxant les bourses. Puis elle attrape une bouteille de shampooing et elle commence à me frictionner mes poils collés, plaqués par la margarine. Sous l’effet de ces attentions inaccoutumées, ma biroute est en train de se redresser.


Entouré d’un nuage de mousse, mon gland sort de l’eau. Madame prend appui sur les bords de la baignoire pour se soulever. Je lui prends les fesses à pleines mains, tire pour ouvrir son sexe, et elle se baisse lentement, avec précaution. L’eau n’est pas un si bon lubrifiant, et au début ça accroche, mais ça passe et puis la cyprine se met à couler.


Ce n’est pas facile de baiser dans une baignoire. Je suis assis, Madame est assise sur mes cuisses, une jambe passée de chaque côté de mon torse, nous n’avons pas beaucoup de liberté de mouvement. Madame a les bras autour de mon cou maintenant, ses gros seins écrasés contre ma poitrine, j’ai ses fesses dans mes mains, et nous nous balançons, en avant en arrière. Les vagues dans la baignoire prennent de l’ampleur, ça commence à déborder, mais nous sommes trop occupés par nos propres débordements pour nous en inquiéter.


Madame me serre plus fort, je la tire par les fesses. La tête sur mon épaule, elle se met à me mordiller le cou, je lui glisse un doigt dans le petit trou, elle se remet à donner de la voix, des « oh ! », des « ah ! », des « ouoûoûûhiiiiii ! » Je tiens ferme, contre mon gland je sens le col de l’utérus, puis Madame me mord, et les dents plantées dans la peau de mon cou elle arrive en même temps à pousser un cri perçant avant de se faire molle dans mes bras comme une chiffe. Elle ne bouge plus. Je fais quelques mouvements des fesses, j’essaie de continuer. C’est qu’à mon âge, on ne remet pas si facilement le couvert, mais j’en suis au point où je veux, je veux, il faut…


Madame ouvre les yeux, elle se rend compte, elle comprend.



Sans se soucier de la flotte qu’elle fout partout, elle se met sur pied, me prend la main.



J’obtempère et sans autre forme de procès, Madame se baisse pour emboucher ma bite. Elle creuse les joues, et ça y est ! Elle me tient les fesses, déglutit à chaque giclée.



Nous nous douchons, elle me passe un drap de bain, s’entoure d’un autre, regarde l’état des lieux.



Je fais comme elle me dit, je reprends ma bêche au passage. Arrivé sur mon lopin, je me suis empressé de mettre le feu à un tas de bois mort, pour que je sente plutôt la fumée en arrivant chez moi, et je me suis affairé à attacher des ronces : par une maladresse voulue, j’ai réussi à le faire une vilaine égratignure sur le cou, à l’endroit où Madame m’avait mordu.


Et c’est en épaulant ma bêche au moment de rentrer que je me suis rendu compte que je n’avais pas eu le coup de blanc qu’elle m’avait proposé. Ça serait peut-être pour une autre fois.


Les deux jours suivants il a plu. Pas de jardinage. Le troisième jour, je me suis rendu dans mes terres, tout guilleret, avec des pensées coquines plein la tête. Je me demandais comment m’y prendre pour retrouver la dame, si elle voudrait me revoir. J’étais à quatre pattes à désherber à la main, en train de me demander si j’allais me pointer chez elle avec une salade — on a beau espacer les semis, ça n’y fait rien, la pluie, le beau temps, la nature, elles arrivent toujours toutes en même temps — quand j’entends des pas.



Je lève la tête. Pas de nuisette aujourd’hui. Des talons aiguilles qui claquent, une mini-jupe en jean, et un ticheurte, un cabas à la main. Dans ma position, je suis bien placé pour voir que ses cuisses sont grassouillettes et lisses et qu’elle a des fossettes aux genoux. Je me relève pour regarder le ticheurte bien rempli, avec les petites bosses des tétons qui laissent supposer une absence de soutif.



A part moi, je me dis que j’en ai tiré un de coup, même deux.



Elle me montre dans son cabas une bouteille de gros-plant entamée et rebouchée.



On peut. On y va. D’aucuns ont des chaises, des transats pour se prélasser au jardin. Moi pas. Si je me sens fatigué, je m’assieds par terre, ou je rentre à la maison. Alors Madame et moi nous consommons debout. Madame appuie ses fesses contre l’établi. Elle a les pieds écartés, et sa petit jupe remonte. Elle me regarde. Elle a un petit sourire. Elle pose son gobelet et elle commence à se dandiner sur place, une hanche, l’autre, les mains sur ses cuisses faisant lentement remonter le tissu de la jupe, jusqu’à laisser apparaître quelques poils blonds. Pas de soutif, pas de culotte.


Je la regarde.



Comment refuser ? Je ferme la porte de ma cabane d’un coup de pied et je me mets à genoux. Madame est naturellement peu poilue, sa motte est renflée, un abricot mûr. Je lèche la fente, je lèche, je fais sortir le petit bouton, je fais passer ma langue entre les grosses lèvres, je prends ses belles cuisses grassouillettes dans mes mains, je lèche à grands coups d’arrière en avant. Madame soupire et s’ouvre. Je continue, elle a posé ses mains sur ma tête maintenant. Elle gémit, puis je la sens parcourue de frémissements.



Je la sens qui se détend et je vais saisir le moment. Je lâche ses cuisses et je me relève. La ceinture débouclée, le pantalon et le slip baissés rapidement, je pousse ma bite dans sa vulve trempé et accueillante. J’empoigne les fesses de Madame qui secoue un pied puis l’autre pour faire tomber ses chaussures avant de prendre appui avec ses talons dans la saignée de mes genoux.


Ma cabane n’est pas très solide. Faite avec des planches de récupération, elle sert à entreposer quelques outils et à m’abriter des averses. Elle tremble. Elle tangue. Tant pis, je la reconstruirai s’il le faut. Pour l’instant, j’ai une femme chaude sur la bite et j’en profite. Je pousse, je tape. Mes grognements se font plus forts, Madame me serre, à l’oreille elle me murmure des encouragements.



Bizarre qu’elle continue à me vouvoyer, mais ces questions de style, de politesse sont loin de mon esprit. Je sens l’orgasme qui monte, et je jouis, je jute dans le con de Madame.


Elle reste accrochée un moment, puis elle tâtonne de la pointe du pied pour retrouver ses chaussures. Elle nous ressert du vin. Puis elle me regarde d’un drôle d’air.



Je ne dis rien, mais je ressens le choc. Ce qui vient après me secoue encore plus.



Ça alors, si je m’y attendais ! Mais au point où j’en suis, je ne puis décemment refuser. Après tout, ce ne serait pas la toute première fois : je suis passé, dans mes années de jeunesse, par une période d’expérimentation. Ça ne doit pas être si dur de m’y remettre.



J’aurais dû dire que je ne l’ai plus, mais tant pis. Nous avons convenu d’un jour et d’un signal. Toutefois, comme Madame s’en allait avec une salade dans son cabas et mon sperme dans son vagin, je me suis mis à penser. Dans mes rapports avec Madame, je n’ai pas mis de préservatif. Je n’aime pas trop m’en servir, à mon âge la perte de sensation est gênante, et j’ai constaté lors de précédentes aventures qu’interrompre le jeu le temps d’enfiler une capote pouvait être néfaste pour le maintien de mon érection. Puis, qui pense à s’en munir pour aller bêcher son jardin ? Mais si le mari de Madame est un bisexuel actif, en couchant avec sa femme, c’est comme si je couchais avec tous ses partenaires à lui. J’ai haussé les épaules. Après tout, le mal, si mal il y a, est déjà fait.


Le jour dit, je suis comme d’habitude parti jardiner, mais j’ai seulement fait semblant, et quand j’ai vu à la fenêtre du pavillon le rideau rouge à moitié tirée, signal convenu pour m’appeler, j’ai fermé ma cabane et je suis parti. Cette fois-ci, je suis arrivé par la rue. La barrière du jardin n’était pas fermée. Je l’ai poussée, faisant tinter un petit carillon, et je suis entré. La porte de la maison était contre, et dans l’entrée une chaise attendait que j’y pose mes vêtements.


La situation insolite m’émoustillait. C’est nu et dans un état d’excitation assez avancée que j’ai monté l’escalier. Pas de mari en vue, mais la porte de la salle de bain était fermée, et dans la chambre le creux dans le matelas laissait croire que Monsieur avait dû travailler de la langue pour mettre son épouse en état de me recevoir. Madame était couchée sur le dos, les genoux pliés, ses fesses relevées sur deux oreillers. M’assurant d’une main de la fermeté de mon érection, j’ai grimpé sur le lit pour plonger dans Madame : la moule entrouverte luisait de bave et de cyprine. J’ai placé ma bite à l’entrée de la grotte, puis prenant appui sur mes mains, je me suis laissé glisser en elle. Madame a poussé un long soupir, puis elle s’est mise à commenter les événements à voix haute.



Le con de Madame était chaud et doux. De mes bras tendus, je me maintenais au-dessus d’elle pour pouvoir regarder ses seins roses qui frémissaient à nos mouvements, regarder mes poils noir et gris qui se mélangeaient puis se séparaient des siens, fins et blonds.


Madame m’a regardé dans les yeux, puis me prenant par les épaules, elle m’a attiré sur elle. Je sentais le volume de ses seins s’écraser sur ma poitrine tandis que ses mains se promenaient sur mon dos, me chatouillant, me caressant, descendant toujours plus bas pour atteindre enfin mes fesses. Et pendant que nous baisions, que je savourais l’emprise de son con, que je sentais mes couilles s’humidifier au contact de ses sécrétions, Madame ne cessait de raconter ce que nous faisions.



Le moment que j’attendais et redoutais était arrivé. Madame me tenait ouvert, le sommier a bougé, et la langue de Monsieur est venue titiller mon anus. La langue d’abord pour me mouiller, puis un doigt enduit de quelque chose. Doucement, en appliquant de plus en lus de crème, Monsieur a fait le tour de mon anus, y a mis un doigt, a fouillé, massé. Je voulais me détendre, relâcher mes muscles pour faciliter la pénétration, accepter mieux la bite de l’autre et avoir moins mal, mais quand on bande soi-même comme un âne et qu’on est en train de baiser une belle jeune femme qui en veut et le fait savoir, ce n’est pas chose si facile. Je n’ai pas pu m’empêcher de me crisper quand j’ai senti contre ma rondelle le gland du mari, puis, à la faveur d’un mouvement de recul comme je ressortais du con de sa femme, le vit est passé. Je suis resté immobile, Monsieur a assuré sa pénétration, et ensemble nous avons plongé tous les deux. J’ai eu moins mal que je n’avais craint, et le mari et moi avons pu assez facilement établir un rythme. Le lit était ferme, et les fesses de Madame étaient moelleuses à souhait. Les commentaires de Madame étaient remplacés par des cris et des grognements. Dans mon dos, à mon oreilles, les halètements du mari me disaient le plaisir que lui prenait à me prendre pendant que je lui prenais sa femme. J’étais pris en sandwich, pénétré à fond, avalé, perdu dans les profondeurs et plis d’un vagin, porté par la houle des fesses. De mes mains je pétrissais les seins, une bouche grande ouverte cherchait la mienne, une langue folle tournait, fouillait. Le menton du mari râpait mon épaule, son pubis venait s’écraser dans ma raie. Et puis Madame a hurlé, plantant ses ongles dans mes biceps. Je me suis mis à cracher ma purée, et les soubresauts de mon bassin, les contractions de ma prostate ont appelé l’orgasme du mari. Dans mon rectum s’est répandue une chaleur liquide.


Existe-t-il des manuels de bienséance qui expliquent comment se comporter en rencontrant le mari de la dame que vous venez de baiser ? Est-ce qu’on y explique comment on fait les présentations quand, à la première rencontre, Monsieur vient de se retirer de votre cul, la bite flasque, merdeuse et dégoulinante, et que sur la vôtre brille encore la cyprine de sa femme ? Laquelle, vautrée sur le lit, exhibe avec complaisance son con béant et bavant ?


En l’occurrence, le moment de gêne fut vite passé. Le regard vide, Monsieur a avancé sa main pour me prendre doucement les bourses. J’ai fait pareil, et en nous approchant, le plus naturellement du monde, nous nous sommes roulé une pelle. J’ai senti sur ses lèvres et sur sa langue le goût de son épouse. Puis celle-ci est venue nous entourer de ses bras. Elle a dardé la pointe de sa langue dans mon oreille, puis elle a chuchoté. Non, pas des câlineries.



Mon congé qu’on me signale. Je suis parti. Douché, rhabillé, sur le point de partir, au moment de refermer la porte, j’ai tendu l’oreille. Ce ménage uni que j’avais momentanément séparé s’était réuni. À deux, ils faisaient grincer le sommier.