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n° 07379Fiche technique30898 caractères30898
Temps de lecture estimé : 18 mn
04/07/04
Résumé:  Il y a un an, aout 2003, un été torride et mes 9 ans de mariage...
Critères:  fh couple hépilé fépilée anniversai hsoumis fdomine voir noculotte strip photofilm hmast rasage facial cunnilingu anulingus pénétratio fsodo
Auteur : Yannn
9 ans de mariage



Acte I


10 h du mat en pleine vague de chaleur début août, je suis au boulot, il fait déjà chaud, la météo a prévu 38°C pour l’après midi.

Le téléphone sonne, c’est ma femme au bout du fil.



Elle m’a juste demandé de rentrer manger ce midi. Comme je suis à 15 minutes cela ne me pose pas trop de problème et puis il faut dire qu’en plein mois d’Août par cette chaleur, ma motivation n’est pas au top.

J’arrive à la maison à midi juste, sa voiture est déjà là.

C’est plutôt silencieux dans la maison,



"Je les ai laissés au centre aéré pour la journée" me répond-elle avant de venir m’embrasser.


Je découvre ma femme en minijupe et jolie chemise assez ouverte pour laisser apercevoir son beau soutien-gorge aubade.

Elle est resplendissante.

"Bon anniversaire chéri" me dit-elle ensuite.


Je mets quelques secondes pour réaliser qu’effectivement cela fait tout juste 9 ans qu’on est marié.

"Avais-tu oublié ?"

Je n’ose pas lui faire croire que j’y avais pensé



"Te souviens-tu de notre accord ?" me demande-t-elle



"Parfaitement mon chéri, et je te rappelle qu’en cas d’oubli l’autre à droit d’exiger un gage."



"Comment ça !" Dit-elle légèrement énervée en se reculant pour échapper à mon étreinte.

Pour calmer le jeu, j’abonde dans son sens



"m’obéir sans protester toute la journée" dit-elle



"tu l’acceptes oui ou non mon gage" insiste-elle

Je la regarde, elle est ravissante aujourd’hui, à accepter, je risque d’avoir à faire cuisine, de passer l’aspirateur ou de devoir mettre une cravate la prochaine fois que l’on va chez ses parents !

Mais bon si cela lui fait plaisir et peut contribuer à me faire pardonner.



"Bien à partir de maintenant tu me parles que quand je te le demande et tu répondras en disant oui maîtresse.

Au bout de 9 ans il est temps de commencer le dressage !"



"Tais-toi, ça commence mal, on dit oui maîtresse."



"Bien, c’est mieux, il fait chaud on va manger dehors à l’ombre. Tu vas mettre le couvert."



"Tais-toi, je ne t’ai pas dit de parler et je n’ai pas fini de donner mes consignes."

"D’abord, comme il fait chaud, tu te mets tout nu !"

" Et pendant que tu y es, déshabilles-toi avec un peu d’érotisme et plies tes fringues!"

"Cela changera des vêtements balancés en boule sur une chaise ou en vrac par terre. "



Je ne m’attendais pas du tout à ça, mais bon je trouve ça rigolo et comme tous les voisins sont en vacances je risque pas grand chose à me balader à poil dehors.

Je m’exécute donc en essayant même de refaire comme dans les films en faisant tourner ma chemise et tout !

Assise dans le canapé elle me regarde faire. Elle a notre appareil photo numérique dans les mains !



"Tais-toi, ton impertinence commence à bien faire!" single-t-elle.


C’est plus hard que je le pensais. Elle me mitraille et avec une capacité de 250 photos, elle peut en faire des photos…

Je suis maintenant tout nu et commence à plier mes affaires, elle continue à me prendre en photo.

Elle s’est levée pour me prendre sous différents angles.

Passés les premiers instants de gêne, je suis maintenant plus et l’aise et même une certaine excitation me gagne.

Ce qu’elle ne tarde pas d’ailleurs à remarquer.

"Est-ce que cela t’excite mon beau mâle d’être photographié tout nu par ta femme?"



"Oui, maîtresse."



"Montres moi ta belle queue qui gonfle."

Bien sûr, ça ne loupe pas, ces dernières paroles m’excitent encore plus et bientôt je bande comme un taureau.

Elle fait quelques gros plans sur mon sexe en érection puis me dit " allonges toi sur la table du salon."

J’obéis.

Elle m’administre alors plusieurs fessées.

"Tiens c’est pour t’apprendre à mieux obéir."

certaines sont gentilles, mais une ou deux font un peu mal



"Silence !"

"Tu n’as pas l’air d’avoir compris que tu étais mon esclave pour la journée alors je vais te le faire comprendre"

Elle me donne alors une fessée.

"On dit merci maîtresse"



je reçois pendants plusieurs minutes d’autres fessées que je dois ponctuées à chaque fois par un "merci maîtresse"

"C’est mieux esclave."

"On obéit aux ordres et on se tait est-ce compris maintenant ?"



"Retournes toi !"

J’obéis.

Elle saisie alors ma queue encore toute raide et commence à me branler

"Aimes-tu ça que je te branle"



"Quand tu approcheras de l’orgasme, tu me préviendras, est-ce compris ?"



Je sens l’orgasme monter rapidement.



"Ok mon ange."

Là dessus elle s’arrête, sort un bandeau noir de sa poche et me bande les yeux

Elle avait tout prévu la garce !

"Mets-toi debout et suis-moi"

Je n’ai pas le choix de toute façon car elle a attrapé ma queue, toute gonflée à pleine main, et me dirige ainsi un peu partout histoire que je ne sache plus où je vais.


Elle me lâche soudain.

"Branles toi et préviens-moi juste avant d’éjaculer, je souhaite immortaliser ça"

A la luminosité qui filtre derrière le bandeau je pense que l’on est dehors !

Elle me demande de me masturber dehors devant elle en plein jour, chose que je n’ai jamais faite !


Comme j’hésite, ça ne loupe pas elle m’interpelle.

"Allez, on s’astique le manche, esclave !"

Je commence à me branler.

Drôle de sensation, je fais le vide dans ma tête pour ne plus être gêné, je me lâche, j’imagine qu’il n’y a personne.

J’accélère le rythme.



Ça vient, ça vient, oh! Oui oh! oui, aaahhh, aaaahhhh, aaahhhhh, aaahhhhhhhh.

Je sens jaillir de ma queue de longs flots de spermes.


Bouges pas mon beau mâle, restes où tu es.

"Ploc! "

j’entends une bouteille de champagne se déboucher,

un peu plus tard,

"tiens prends ta coupe"

elle me donne une coupe de champagne,

"Santé! , Mon beau male! , À nos 9 ans, cul sec!"


Je bois d’un coup ma coupe de champagne, elle a un goût et une consistance bizarre.


"Pas mal mon cocktail non !"



" Veux-tu ma recette ?"



"2/3 champagne, 1/3 de crointreau et ….Une bonne dose de sperme tout juste tiré !"

J’ai un haut le cœur

"Ne fais pas ta mijaurée mon ange, toi qui me demandes souvent de finir dans ma douche quand je te suce"

En plus tu as de la chance, il est dilué, moi je trouve que cela rehausse pas mal le champagne.


A la tienne et elle me ressert un verre que je suis bien obliger de boire.


"Enlèves ton bandeau et vas mettre le couvert dehors pendant que je finis la préparation du repas"

Je l’enlève.

Je constate alors que suis bien au milieu du jardin, tout nu, une toile cirée parsemée de sperme à mes pieds disposée sans doute là pour les besoins du cocktail.


Je me retrouve donc à faire des allers et retours entre le jardin et la cuisine tout nu.

Et comme le coin à l’ombre est au fond du jardin, je dois tout le traverser à chaque fois !

J’ai un peu peur à chaque traversée que quelqu’un me voie, le facteur arrivant à l’improviste avec un recommandé ou un voisin rentré plutôt que prévu. Je guette chaque bruit suspect, mais tout est calme. Étrangement calme, comme si la vague de chaleur avait endormi tout le monde.


Une fois la table mise, elle arrive avec deux énormes langoustes mayonnaises.

"Ressers du champagne" me dit-elle.

"Pour le temps du repas, entracte. Tu as le droit de parler mais tu restes tout nu."

Tout en dégustant nos deux langoustes, nous parlons de choses et d’autres, des neuf ans déjà passés ensemble, des bons souvenir des enfants, de nos projets, mais pas un mot sur ce qui vient de se passer!

La chaleur est étouffante, et finalement je ne suis pas mécontent d’être nu.


La fin du repas est arrivée, elle me fait un gros bisou langoureux puis me dit :

"Fin de l’entracte ! , Tu débarrasses tout et nettoies la toile cirée sur laquelle tu as éjaculé."

"Quand tu seras prêt, tu me préviendras, je vais faire une sieste sur la chaise longue."

J’obéis, et un quart d’heure plus tard je la préviens que tout est fait.

"Ok, mon agneau, viens par ici."

Elle écarte alors ses cuisses, j’aperçois son sexe!

Elle n’a pas de slip.

"Viens me lécher !"

Je m’exécute, à genou, son sexe est fraîchement rasé !

Pas un poil pour arrêter mes doux baisers.

Je parcours lentement tout son sexe, m’attardant sur son mont de venus avant de plonger sur son clitoris.

Elle gémit, cela m’encourage et je continue à la lécher tout doucement.

"Plus fort esclave"

J’accentue mes caresses, j’insiste plus sur son clitoris que je finis par gober.

Je relève la tête pour la regarder et je m’aperçois quelle est encore entrain de me prendre en photo !

Je ne peux me retenir de lui demander : qu’est ce que tu comptes faire des photos ?

"Tais toi et lèches !"

"Pour ta gouverne mon chou, je vais me faire un dossier sexi perso sur l’ordinateur à côté de celui où il y a toutes tes femmes à poil !"

"Eh oui ! Pas de bol mon chou … je suis tombée dessus ! Remarques que cela ma donné des idées !"

"Cela monte doucement, continues à me lécher"

J’accélère et j’accompagne du mieux possible ma femme dans sa jouissance.

"Hum c’est bon, c’est bon, oh oui ! aaah aaaah aaaaah, aaahhhh…"


Je sens rapidement du liquide couler, j’hésite un peu à continuer à la lécher.

Elle met ses deux mains sur ma tête et me la recolle fortement sur son sexe.

"Ce n’est pas fini, lèche tout mon jus !"

Mon nez est collé à l’entrée de son vagin, j’ai un peu de mal à respirer, mais je m’attelle doucement à la tache.

Elle gémit et se détend un peu.

La pression sur ma tête baisse, je peux enfin dégager mon nez et respirer.

Mon visage est plein de sa cyprine, je continue à la lécher doucement et je la nettoie petit à petit.

Son jus est douceâtre, légèrement parfumé.

Goûter au jus de sa femme est une chose mais lui nettoyer son sexe en entier je ne l’avais pas encore fait !

J’arrive, au bout de quelques minutes, à avoir tout nettoyer sauf mon visage !


"Merci chéri, rhabilles toi, essuie-toi le visage et fonces au boulot tu es déjà en retard et ne te fatigues pas trop car ce soir il faudra que tu sois en forme."

"Eh! , Avant de partir, tu m’enfiles ça, et elle me tend un string".

Encore une première, je n’en avais jamais encore mis un seul.

Résultat, je la fais éclater de rire car je me trompe et l’enfile mal, une cuisse à la place du bassin !

bien sur la séance photo est de rigueur…

Finalement après 3 tentatives j’y arrive (il faut dire qu’il est vraiment string de chez string)

Je l’embrasse.

"Avec ton string qui te rentre dans le cul, je suis sûr que tu vas penser à moi tout l’après midi"


Sur la route du travail, je repense à ce qu’il vient de se passer, quelle surprise, je n’avais jamais vu ma femme aussi déchaînée, aussi érotique.

Je ne sais pas ce que sera la soirée, mais une chose est sûr, c’est qu’elle avait raison concernant le string!



Acte II


L’après midi est particulièrement chaude, on dépasse les 40° dehors et plus de 34° dans mon bureau non climatisé.

Je suis en sueur, le string me colle au cul et cela me gêne pas mal.

Je ne sais pas si on s’y fait, mais en tout cas si le but recherché est de ne pas oublier de penser à sa chérie, ça marche plutôt bien !


Le soir venu, de retour à la maison je suis accueilli par un gros bisou.

"Alors, as-tu pensé à moi ?"

Oui, avec le string, je ne risquais pas d’oublier, et toi ?

"Oh! Moi, tu verras de soir" me dit-elle avec un grand sourire.

"En attendant mets-toi à l’aise et entracte jusqu’au coucher des enfants".


Il est 22 h, le soleil commence à se coucher et la température doit être encore autour de 32 ° !

Les enfants sont couchés mais vue la chaleur, ils ne dorment pas encore.

"Chéri, c’est reparti"

"Esclave, tu vas prendre une bonne douche et te raser tout le sexe, je ne veux plus voir un poil !"

"N’oublies pas tes fesses !"

"Quand tu seras prêt, tu m’appelleras"

Dans la série innovation, on continue !

Je me suis ou elle m’a déjà rasé les bourses et la queue, c’est plus sensuel pour moi et plus agréable pour elle lors d’une fellation mais c’est bien la première fois qu’elle me demande de me raser intégralement.


Je commence par le rasage en m’appliquant pour ne pas me couper.

Une bonne douche bien tiède, limite froide ensuite cela fait du bien.


Me voilà tout nu, sans poil sur le sexe, ni l’entrejambe, ni sur le pubis.

Je me regarde dans la glace, je trouve le résultat plutôt sympa.

J’avais peur de ressembler à un petit garçon mais ce n’est pas du tout le cas.

Ma belle queue est plutôt mieux mise en valeur ainsi, que noyée parmi les poils.

J’entrebâille la porte de la salle de bain et glisse un je suis prêt chérie.

"Ok, viens me rejoindre dans le jardin et ne t’inquiètes pas, les enfants dorment."

Je me retrouve donc de nouveau nu dans le jardin, la nuit est tombée mais le gros spot qui éclaire la moitié du jardin est allumé.

"Viens ici me montrer le résultat" me dit-elle.

Stupeur ! Elle a troqué l’appareil photo contre le camescope numérique, et elle est entrain de me filmer, la garce!

"pas mal, tournes toi "

j’obéis

"écartes les jambes et montres moi tes fesses"

Je ne sais pas si elle continue à filmer, je crois bien que si.


"Bien, prend l’arrosoir, remplis-le au récupérateur et va arroser le parterre de fleurs"

Avec le récupérateur d’eau de pluie qui récupère toute l’eau du toit, on peut toujours arroser malgré les restrictions.

J’obéis donc, et me voilà à arroser des fleurs dehors en plein été, de nuit mais éclairée par un puissant spot, tout nu, le sexe rasé et ma femme me filmant.

L’évocation de cette situation me donne à moitié la trique, ce que remarque bien sur ma femme.

"Tiens, tiens cela t’excites ce petit jeu."

"Branles toi un peu et n’arrête pas d’arroser les fleurs pour autant !"

Elle tourne autour de moi et me filme sous tous les angles tandis que je m’exécute.

Une fois l’arrosoir vide pour la 3ème fois, elle me dit :

"C’est bon pour les fleurs, maintenant viens par ici mon beau jardinier."


"Prends ce flacon d’huile et enduis-toi tout le corps avec"

C’est notre huile de massage "maison", parfaite pour les massages en tout genre, mélange d’huile amande douce, d’abricot et de germe de blé.

Je débouche le flacon et commence à m’en mettre sur le buste et les bras.

"Huiles-toi et caresses-toi avec un maximum de sensualité" me dit-elle en me filmant au camescope.

"Je te préviens, si je ne suis pas satisfaite de ton érotisme, tu retournes à la douche et tu recommences."

J’étale doucement l’huile sur mon corps. Je commence par la main gauche, l’avants bras avant de remonter sur l’épaule. Je change de main au niveau de la nuque, redescends sur le bras droit jusqu’à la main.

Je parcoure ensuite mon buste de haut en bas, puis le dos en descendant progressivement vers mes fesses.

Je reprend de l’huile pour les masser le plus sensuellement possible, je regarde ma femme, elle a l’air d’apprécier.

"Pas mal, continue, penches toi un peu pour que je puisse bien filmer ton beau petit cul." me dit-elle

j’obéis, massant encore pendant quelques instants mes fesse avant de descendre le long des cuisses jusqu’aux pieds. Je reprends de l’huile pour remonter le long des genoux, puis mes cuisses pour finir par faire le tour de mon sexe. Ma femme s’approche pour me filmer en gros plan.

"Reprends de l’huile et caresses-toi !, je veux voir ta queue grossir petit à petit."

Je verse directement une bonne quantité d’huile sur mon sexe, puis je commence à me caresser doucement.

Sans les poils, c’est très agréable notamment le passage sur le pubis. Tellement agréable que je ne mets pas longtemps avant de rebander ferme.

Elle pose le camescope, est il encore entrain de filmer ? pour venir parcourir mon corps de la tête aux pieds de ses mains douces. Elle remonte ensuite vers mon sexe. Elle l’empoigne d’une main et me masturbe doucement tandis que son autre main caresse mes fesses. J’aime !

"Très agréable ce corps imberbe à caresser, j’abuserais bien de toi tout de suite mais la soirée ne fait que commencée" dit-elle

La dessus elle arrête ses caresses, je n’étais pas loin du point de rupture !

Je n’ose pas imaginer la suite si j’avais éjaculé dans sa main…

Elle me place un bandeau sur les yeux, me fait tourner plusieurs fois sur moi-même puis d’une main elle saisie mon sexe.

"suis-moi"

Ai-je le choix ?!

Et voilà ma femme qui me promène en me tenant fermement par la queue, par un soir d’Août , tout nu dans le jardin, le sexe rasé, le corps huilé, chose impensable pour moi pas plus tard qu’hier!

Je ressens un mélange de stress et d’amusement sur cette situation avec en fond toujours l’appréhension que quelqu’un nous voit. Elle, elle a l’air de s’amuser comme une folle aussi j’essaye de m’oublier, de me relâcher et de jouer le jeu à 100 % pour la soirée soit parfaitement réussie.

Brusquement je reçois une fessée

" la promenade est terminée, mets- toi à genoux"

Elle me lâche alors et me met dans les mains le flacon d’huile.

"Comme tu as l’air d’être au point au niveau massage, tu vas me masser délicatement tout le corps et pour que cela soit plus sensuel, tu garderas les yeux bandés amis d’abord déshabilles -moi."

Je lui enlève sa chemise, son soutien-gorge puis sa jupe. Je cherche ensuite son slip mais elle n’en a pas !

Je ne résiste pas à lui poser la question :



"Je ne l’ai pas remis après avoir joui ce midi, je suis restée ainsi toute l’après-midi, c’était plutôt agréable !"

"Mais ça suffit, penches-toi."

Je reçois alors plusieurs fessées.

"On ne parle pas sans mon accord, aller au travail mon beau jardinier."

Elle s’allonge sur le ventre.

Je lui masse délicatement le corps en commençant par le haut du dos, la nuque avant descendre doucement vers ses fesses aux formes bien arrondies reconnaissables entre toutes. Elle roucoule!

J’attaque ensuite ses jambes, de ses cuisses jusqu’à la dernière extrémité du petit orteil.

Elle se retourne et je procède de même du côté pile sans insister sur son sexe et en massant délicatement ses beaux petits seins en forme de poire.


"Occupes toi maintenant de ma petite fleur mon jardinier, viens la butiner avec ta langue"

Là dessus comme j’ai toujours le bandeau sur les yeux, elle guide ma tête entre ses cuisses !


"Maintenant au travail jardinier, butines moi!"


Je commence à lui lécher doucement son mont de vénus avant d’aller explorer un peu plus bas son sexe tout mouillé.

Je prends mon temps et effectue plusieurs fois le tour avant d’aller à la rencontre de son clitoris.

Je le lèche doucement, le suce, puis l’aspire dans ma bouche.

Je sens ma femme onduler doucement, je continue à la lécher en accélérant doucement le rythme.

Bientôt son ondulation s’accélère, son souffle aussi, je suis son rythme.

" Ca monte, ça monte, ça monte, maintenant viens me rejoindre, viens me pénétrer avec ta belle queue

Je la pénètre doucement, hum! Que c’est bon !

C’est tout doux, nos deux pubis se frottent l’un contre l’autre.

Quelle agréable sensation de sentir mon pubis rasé glisser doucement contre le sien aussi lisse que le mien.

Je sens rapidement son orgasme monter.

"Ah! , aah, aaaah, aaaaaah, aaaaaaaaaaaah, aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah"

Je l’accompagne et le partage.

Je sens sa cyprine couler contre mon sexe, je continue doucement à lui faire l’amour, le plus voluptueusement possible.

Après plusieurs minutes et elle me dit :

"Merci mon beau jardinier, que c’était bon !"

"As-tu éjaculé en même temps?"



"Vas me lécher maintenant, lèche-moi comme ce midi tout mon jus !"

Je redescends entre ses cuisses et commence à goûter timidement sa cyprine avant de petit à petit me lâcher totalement et lui lécher son sexe à fond!

Elle rejouit ainsi rapidement, et mouille encore plus que la fois précédente!

"lèches-moi bien et viens me faire goûter"

Je rentre ma langue le plus profondément possible en elle, puis viens l’embrasser.

L’échange est fougueux!

"Redescends"

J’obéis, elle se retourne et m’offre ses fesses.

"Lèches moi maintenant mon petit cul."

J’entame du bas de ses reins un long parcours avec ma langue, tournant autour de son petit trou.

A chaque tour, je me rapproche du centre, j’y arrive enfin et commence à le lui lécher doucement.

"Plus fort, je veux sentir ta langue!"

Décidément, elle qui est souvent timide de se côté là…

J’obéis, lui empoigne ses fesses à deux mains pour bien les écarter et j’introduis ma langue le plus profondément possible. Elle ne met pas longtemps à réagir

"C’est bien mon beau jardinier, continue, lèches mon petit cul à fond."

"Réalises-tu que tu es filmé !"

De surprise, j’arrête de la lécher

"Je n’ai pas dit d’arrêter continue!"

" Après t’avoir bandé les yeux, j’ai placé la caméra sur son trépied dans un endroit bien situé qui me permet de tout filmer."

"Quel film érotique je suis entrain de faire! Bien meilleur que ceux que tu as dans ton armoire n’est ce pas ?"



"Ne t’inquiètes pas! On aura l’occasion de le voir ensemble et il faudra que tu me montres comment faire un montage sur l’ordinateur et inclure les photos de ce matin."

"Tu rêvais d’une femme épanouie et libérée, et bien tu vas être servi mon amour!"

Je continue toujours à lui lécher ardemment les fesses en pensant à tout ce qui a changé en moins d’une journée.

C’est à la fois étrange et plaisant, mais je n’ai pas le temps de m’attarder dans mes pensées que j’entends

"J’ai encore envie de toi, viens mon jardinier me labourer mes fesses, je veux sentir ton soc en moi dans mon petit cul."

"Amènes moi ta queue que je l’enduise de lubrifiant, pas question d’avoir mal!

Elle s’est emparée de ma queue, me branle un peu et je sens bientôt un liquide froid dessus.


"Aller viens, mais attention, pas question que t’éjacules dans mes fesses, OK."



Je guide avec ma main mon sexe tendu vers son petit trou, comme je ne vois rien j’ai du mal à trouver l’entrée, rapidement je sens sa main venir à la rescousse et placer ma queue à l’entrée de son petit cul.

Je le pénètre doucement mais profondément.

Elle est bien serrée, qu’il est bon son petit cul!

Après quelques instants, je commence à bouger doucement et progressivement j’accélère le rythme.

Elle m’encourage : "Vas-y mon chéri, accélère, prends-moi mon cul !"

Je sens mes couilles venir buter contre sa main venue je pense caresser son clitoris.

Elle gémit, me crie "plus vite, plus fort, vas y laboures moi, fais moi jouir"

"Oui ! Comme ça, allez !"

J’accélère encore et je l’encule à fond de plus en plus vite.

"Oh ! Oui, il arrive, aaaah, aaaahhh, aaaaaaaaaaaaahhhhh, aaaahhhhhhhhh…."

Je sens les spasmes accompagner la jouissance de ma femme, j’ai le plus grand mal à ne pas exploser moi aussi!

Je souffle, je me relâche tout en gardant le rythme ! 10 ans d’arts martiaux ça aide!

Son orgasme est passé, je diminue mon rythme doucement, bientôt je fais de grands aller-retour lentement, le plus doucement possible, avec mon sexe gonflé, prêt à exploser, elle doit bien me sentir !

" Ah! , merci mon amour, c’était génial, je n’ai jamais aussi bien jouit avec mes fesses "

"Tu en es où, toi ?"



"Ça te ferait plaisir de venir m’asperger le visage ?"

Je n’en reviens pas, elle qui me le refusait tout le temps, me propose de réaliser enfin un de mes fantasmes.



"Enlèves ton bandeau, viens t’asseoir sur mon ventre et branles toi !"

J’obéis avec plaisir.

Je ne mets pas longtemps à jouir

Un premier jet puissant atterri sur son front, les suivants s’éparpillent sur son nez, sa joue, dans sa bouche grande ouverte et les derniers tombent sur son menton et coulent doucement le long de son cou.



Elle me regarde avec un grand sourire.

"Viens m’embrasser"

Je viens lui déposer un doux baiser chaste sur la bouche un peu rebuté, je pense comme beaucoup de mecs, par mon propre sperme quand d’une main elle me saisit le cou et me roule un patin d’enfer avec encore mon sperme dans sa bouche.

J’ai du mal mais une tape sur mes fesses me rappelle que le jeu n’est pas fini, je me relâche et participe sans retenue à ce baiser.

Elle rompt le baiser en premier et me dit :

"T’as peut-être mis ton sperme partout mon petit jardinier mais ce n’est pas fini"

"Comme tu n’as pas été au top sur ce bisou, tu vas maintenant me lécher tout le sperme que t’as mis sur moi!"

"Je veux sentir ta belle langue nettoyer mon visage et mon cou !"

"Au boulot!". Je reçois en même temps une fessée.

Je commence par un tout petit amas, un peu réticent.

"Aller, tu as voulu finir comme çà, maintenant tu nettoies et quand t’auras fini, tu viendras m’embrasser."


Je n’avais jamais goûté mon sperme avant, mis à part ce midi bien dilué dans du champagne, j’ai du mal au début mais ces ordres, appuyés par quelques fessées, finissent par me faire obéir.

Je lui lèche doucement les sourcils, le front. D’un grand coup de langue j’avale une longue traînée de sperme sur sa joue droite. Je lui bisouille le menton, puis le cou avant d’aller lui nettoyer son sein gauche où quelques goûtes ont atterri.

J’ai du mal à finir mais j’y arrive, visiblement elle, elle adore sentir ma langue la lécher doucement et me regarder faire!

Je viens finalement l’embrasser, l’échange est toujours aussi sauvage!

"C’est bien mon beau, tu vois ce n’était pas si difficile !"

" Je suis sûr maintenant que tu apprécieras mieux les fellations où j’avale ton sperme."

"Rien de tel que des expériences partagées pour mieux apprécier. D’ailleurs ça me donne des idées mais je les garde pour un autre jour"

"Le jeu est fini, viens ".

Elle ramasse ses affaires, éteint la caméra et on part tous les deux reprendre une douche.

Peu après nous nous endormons dans les bras l’un de l’autre. Avec juste ces derniers échanges avant de sombrer dans le sommeil.

"Bonne nuit mon amour, je pense que tu n’oublieras pas de sitôt nos 9 ans de mariage !"