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Temps de lecture estimé : 9 mn
07/07/04
Résumé:  Je pensais passer une soirée entre potes quand une jeune fille me fit du rentre-dedans. Les jeunes d'aujourd'hui sont moins sages que nous il y a peu? Tant mieux!
Critères:  fh hplusag jeunes fépilée piscine hotel danser fête odeurs intermast fellation cunnilingu 69 pénétratio fdanus humour
Auteur : f2b  (François, 26 ans, loin de sa ville natale)            Envoi mini-message
Chichi ou la jeune Flamande allumeuse


Je suis allé à cette soirée par amitié pour les sœurs de B., pour laquelle ses parents recevaient à l’occasion de ses 18 ans. C’était pour moi l’occasion de revoir des amis de ma chère ville de Beaune et d’entretenir quelques relations. Ce groupe d’amis de mon âge –25/30ans– restait collé à une table, regardant avec amusement tous ces jeunots se comporter comme nous le faisions il y a très peu de temps.


Après que j’eusse fait les mondanités nécessaires auprès de la maîtresse de maison, je décidai d’attaquer dignement la soirée à l’aide de plusieurs verres du vin produit par le père de mes amies. Alors que je me dirigeai vers le buffet pour faire remplir mon verre, B. vint vers moi, accompagnée d’une de ses amies.



Il me sembla déceler dans sa réponse un léger accent… Elle était très mignonne et souriante, portait une robe fourreau rouge dont le décolleté pourtant très chaste laissait entrevoir une paire de seins assez généreuse. Chichi n’était pas grande, elle devait mesurer dans les 1m65, mais elle était très bien proportionnée. Sa silhouette était fine, et sa robe fendue assez haut mettait en valeur de très jolies jambes. Son visage était rond, ceint d’une chevelure châtain clair et éclairé par de très beaux yeux bleus qu’elle plantait fixement dans les miens à chaque mot échangé entre nous.


B. nous laissa ensemble, en me demandant de m’occuper de Chichi qui ne connaissait personne. Je cherchais dans les tréfonds de ma mémoire de piaf qui cette fille pouvait bien être. J’étais sûr de l’avoir déjà vue, mais j’étais incapable de me souvenir de quoi que ce soit. Le seul indice dont je disposais était son accent étranger.



Bien sûr! C’était la correspondante Belge de B., une Flamande dont les parents voulaient qu’elle apprit le Français. Je l’avais vue plusieurs fois durant l’été, alors qu’elle passait quelques semaines à Beaune. Son sobriquet gaulliste lui avait été affublé en raison de son prénom résolument imprononçable pour des Français. Nous avions passé quelques heures ensemble deux ans auparavant au bord de la piscine, en compagnie de mes amies, et je me souvins que j’avais trouvé la fille peu farouche pour son âge.


Nous rejoignîmes la table de mes amis. Elle ne me quittait pas d’une semelle, tant elle avait peur de se retrouver seule. Le groupe était animé et l’ambiance était à la critique des jeunes sur le ton ironique de "tout fout le camp ma bonne dame". Le temps passa et je me retrouvai bientôt à danser avec mes amis, toujours flanqué de mon garde du corps. La danse n’a jamais été mon truc, aussi ais-je l’habitude de faire l’imbécile sur une piste. Ce n’était pas de son goût et elle m’entraîna dans une danse très collée, se frottant à moi le plus possible.



Chichi nous rejoignit.



Nous sortîmes donc avec Chichi pour faire quelques pas dans les vignes tout en discutant. Je la vis très vite frissonner, aussi lui prêtais-je ma veste, prétendant que je n’avais pas froid à 2h du matin en Novembre. Nous trouvâmes un coin tranquille, loin du vacarme, pour discuter. Elle s’était assise le plus naturellement du monde sur mes genoux et avait passé un bras autour de mon cou. Je n’arrivai pas à savoir si c’était une provocatrice ou si elle avait une idée derrière la tête. Elle m’ôta ce doute en m’embrassant, au détour d’une phrase. Le premier baiser fut sur le coin des lèvres, le suivant sur la bouche; nous passâmes de longues minutes dans le bras l’un de l’autre à nous embrasser, mêlant nos langues en nous caressant. Ses mains descendirent très vite sur mes fesses, puis elle s’amusa à effleurer mon sexe. Ma seule préoccupation était de ne pas me faire surprendre par la maîtresse de maison, aussi coupais-je court à ces effusions en lui proposant de rejoindre les autres.


De retour dans la salle, nous allâmes danser puis discuter avec notre groupe d’amis, et je m’efforçai de contenir les ardeurs de Chichi.



Nous nous dirigeâmes donc vers la sortie, l’opération prenant quelques temps puisque nous dûmes dire bonsoir à différentes personnes. Une fois dans la voiture, elle m’indiqua son hôtel et nous prîmes la route. Nous avions un peu d’autoroute à faire avant de rejoindre Beaune.



J’avais mon idée derrière la tête, et c’était cousu de fil blanc.



J’avais honte de ma proposition détournée à 2 balles. Mais dans l’urgence, je n’avais rien trouvé de mieux. Elle posa une main sur ma cuisse et accepta avec un large sourire. Nous nous mîmes d’accord sur la marche à suivre: passer à son hôtel pour prendre ses affaires, puis aller au mien. Elle laissa sa main sur ma cuisse un instant puis recommença à m’allumer comme elle l’avait fait dans le parc quelques temps auparavant. Elle remonta vers mon sexe et le caressa avec douceur à travers mon pantalon. J’avais toute la peine du monde à me concentrer sur ma conduite. À son hôtel, je l’accompagnai dans sa chambre pour rassembler ses affaires. Nous nous embrassâmes longuement sur son lit. Je lui caressai les seins, alors qu’elle se collait à moi le plus possible, comprimant mon sexe contre sa vulve en ondulant doucement. Nous n’allâmes pas plus loin et repartîmes avec ses bagages. J’étais dans un état d’excitation rare, et Chichi en était parfaitement consciente.


J’avais eu la bonne idée de prendre ce que mon hôtel appelait pompeusement une suite, et qui était en réalité une chambre de taille correcte avec petit coin salon, flanquée d’une salle de bain équipée d’un jacuzzi dans lequel on tenait aisément à deux. À peine arrivée, Chichi décida de prendre un bain. Elle enleva sa robe après avoir fait voler ses chaussures et disparut dans la salle de bain en petite culotte. Je me dévêtis avant de la rejoindre, cachant maladroitement mon érection en rentrant rapidement dans l’eau. Elle s’allongea sur moi et m’embrassa, alors que le jacuzzi se remplissait à grand bruit d’une eau bouillante. Bien qu’elle ait versé un flacon de bain moussant, je pouvais la voir nue et apprécier sa beauté. Sa peau était douce et elle frottait ses jambes contre les miennes en m’embrassant. Elle caressa mes fesses et mon ventre, sans jamais toucher mon sexe que je sentais gonflé au maximum. Je massai son dos pendant que nous mêlions nos langues, puis descendis mes mains sur ses fesses. Son ventre étant plaqué sur le mien, je ne pouvais accéder à ses lèvres que je rêvais de pouvoir effleurer. Enfin elle commença à onduler très lentement de bas en haut, frottant son sexe contre le mien. La friction était quasiment imperceptible, et je pouvais voir à son sourire qu’elle savait parfaitement dans quel état elle me mettait. Chichi était sans conteste une allumeuse expérimentée. Elle s’arrêta soudain pour s’allonger dans le sens contraire au mien et, fermant les yeux, nous goûtâmes sagement au plaisir du bain à remous.


C’est elle qui prit l’initiative de sortir du bain pour se sécher les cheveux et aller s’étendre nue sur le lit où je la rejoignis. Je m’allongeai à côté d’elle et l’embrassai avant de descendre sur son cou, ses seins, son ventre et, avec lenteur, m’approcher de son sexe. Elle me laissait faire, les yeux fermés, en souriant de plaisir. Son sexe était soigneusement épilé, seule une fine toison rase surmontait ses lèvres. Sa peau sentait l’amande du bain moussant. J’embrassai son mont de Vénus en caressant l’intérieur de ses cuisses, puis descendis sur ses lèvres humides. L’odeur de son plaisir commençait à recouvrir celle du savon, et j’entendis sa respiration se faire plus profonde. Je léchai ses lèvres, les écartant de mes doigts puis vint titiller son clitoris du bout de ma langue pendant que mon majeur massait l’entrée de son vagin. Je regardais parfois son visage calme et souriant, qui prenait un air de plus en plus sérieux. Je pivotai afin de me retrouver tête-bêche, en position de 69, et continuai à la masser de mon doigt. Son sexe était totalement humide, et tout en continuant de l’exciter en léchant son clitoris, je descendis mon doigt vers son anus pour le masser doucement. Sentant cela, sa respiration se fit plus rapide et elle posa ses mains sur mon sexe pour le branler doucement. Elle resta ainsi quelques instants avant d’approcher sa bouche pour sucer mon gland, faisant tourner sa langue autour. Lentement, elle commença de petits mouvements de va-et-vient qu’elle augmenta pour bientôt avoir mon sexe entier dans la bouche. Je massai avec de plus en plus de vigueur son anus, le sentant se détendre progressivement. J’augmentais progressivement la pression de mon doigt avec de petits mouvements circulaires, et pus bientôt enfoncer mon majeur. Elle arrêta sa fellation pour laisser échapper un petit cri d’encouragement. Puis elle reprit sa succion, massant mes testicules d’une main et branlant la base de mon sexe de l’autre. Elle gémissait maintenant en rythme avec ma pénétration que je maintenais douce et peu profonde afin de bien la détendre. Nous changeâmes de position et je vins sur elle, l’embrassant avec fougue tandis que je frottais mon gland contre son clitoris. Elle plaqua ses mains sur mes fesses pour m’inciter à la pénétrer en me pressant contre elle; je préférai attendre en reprenant le massage de mon majeur. Je pus vite recommencer la pénétration mais cette fois-ci en enfonçant mon sexe très lentement au fond de son vagin. Je fis d’abord de petits va-et-vient, augmentant le rythme sans empressement: non seulement je voulais mettre sa patience à l’épreuve –on a la vengeance que l’on peut– mais en plus j’espérais éviter de jouir trop vite. Chichi se mordait les lèvres pour ne pas crier et ses soupirs se faisaient de plus en plus aigus. Mon doigt s’enfonçait maintenant entièrement dans son petit trou, à la même cadence que mon sexe la pénétrait. Je sentais sa cyprine couler sur ma main, lubrifiant mon majeur et facilitant d’autant la pénétration. Je ne pus tenir très longtemps et dus me retirer pour ne pas éjaculer.


Je descendis vers son vagin pour lécher son sexe. Ma langue s’insinuait entre ses lèvres gonflées et inondées de cyprine dont l’odeur musquée me prit le nez. Chichi caressait mes cheveux et ondulait son bassin, émettant des gémissements de moins en moins étouffés. Ses jambes se contractaient de plus en plus violemment alors que les mouvements de son ventre se faisaient saccadés. Je rentrai ma langue dans son vagin tout en massant vigoureusement son clitoris, sentant son jus couler sur mes lèvres. Chichi faisait tout ce qu’elle pouvait pour ne pas crier, mais elle finit par jouir en poussant un long cri, fermant ses poings sur mes cheveux. Elle m’invita à venir l’embrasser, excitée à l’idée de goûter sa jouissance. Elle me coucha sur le dos, s’assit sur mes jambes et prit mon sexe dans ses mains. Elle me regardait en souriant, masturbant avec lenteur ma verge qui n’avait pas débandée. Elle rejeta ses cheveux en arrière et se laissa glisser sur le sol, à genoux, me tira vers elle afin que ma hampe soit à hauteur de son visage. Elle commença par lécher mon gland. Je sentais sa langue appuyer et tourner , puis ses lèvres descendirent, serrées, alors qu’elle aspirait ma bite au fond de sa bouche. Chichi caressait mes bourses avec douceur tout en suçant rapidement ma verge. Je fermai les yeux, me laissant aller à mon seul plaisir. Je sentis bientôt que j’allais jouir, approchai mes mains de son visage pour lui relever la tête mais elle les écarta et accéléra ses mouvements, si bien que j’éjaculai dans sa bouche par de longues et puissantes saccades qu’elle avala. Il me sembla que cette jouissance était la plus violente que j’aie connue. Chichi vint ensuite se blottir contre moi, en ayant la gentillesse de ne pas essayer de m’embrasser à pleine bouche.


Nous partîmes quelques heures plus tard pour l’aéroport où je la déposai, sachant pertinemment que cette histoire n’irait pas plus loin. Nous nous quittâmes sur un chaste baiser déposé au coin de mes lèvres.