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Temps de lecture estimé : 43 mn
14/07/04
Résumé:  Par une belle soirée d'été, Sophie découvre les plaisirs saphiques avec sa copine Henriette avant d'être surprise par son propre mari, Franck, qui se joint à elles pour une partie à trois. Le couple apprend ensuite à Henriette une spécialité qu'ils affect
Critères:  ffh fbi couplus intermast pénétratio fsodo
Auteur : Petit Salaud      
Eté 1998


ETE 1998




ACTE 1 :


C’était au cœur de l’été, par un de ces chauds après-midi n’offrant que très peu d’air et durant lesquels on se laisserait volontiers aller à la farniente. Tout était paisible autour de la paisible demeure perdue dans la campagne. Sophie soupira et s’essuya le front. Cela faisait longtemps qu’elle n’avait pas eu si chaud. Elle regrettait que Franck ne rentre pas plus tôt qu’à son habitude car ces températures agissaient directement sur sa libido, faisant naître en elle des désirs peu avouables. Bref, elle avait une prodigieuse envie de sexe ! Pour chasser ses obscènes pensées, elle piqua une tête dans l’eau tiède et turquoise et fit quelques brassées avant d’aller se coucher sur la chaise longue installée au bord de la piscine. La chaleur était telle que les gouttes d’eau restées sur sa peau disparurent en un clin d’œil. Sophie se surprit à ôter son maillot de bain presque machinalement, comme si elle aidait des mains invisibles qui auraient deviné ses pulsions… Sa main gauche caressa ses seins tandis qu’instinctivement sa main droite se dirigeait vers la toison de son bas-ventre. Elle gémit lorsqu’elle sentit ses doigts glisser le long de sa fente humide, et ne pu retenir un sourire de plaisir en effleurant le bourgeon qui pointait déjà, lui promettant un agréable moment de volupté… Elle se tripotait depuis quelques minutes quand elle entendit soudain une voix derrière elle :

« Sophie ?!… Tu es là ?… »

Surprise, elle reconnu immédiatement Henriette, une amie qui lui rendait régulièrement visite sans autre but que de discuter et passer un moment, et retira prestement sa main de son entrejambes en réfléchissant à ce qu’elle allait bien pouvoir dire à sa copine pour justifier sa tenue et son attitude. Décontenancée, elle se releva et balbutia :

« Salut Henriette, euh…tu sais…je ne sais pas comment t’expliquer… je… euh… je n’ai entendu arriver ta voiture et… enfin je veux dire… je ne pensais pas que tu viendrais me voir aujourd’hui et…

_ Ne t’en fais pas ! » la coupa Henriette.

« Ce n’est pas parce que je te surprend ’la main dans le sac’ que j’ai nécessairement besoin d’explications ! Tu sais, ça m’arrive aussi quelquefois de me donner du plaisir en solitaire, il n’y a pas de honte à cela ! » rajouta t-elle en souriant d’un air complice.

Sophie, un peu gênée malgré tout, lui rendit son sourire en lui tendant spontanément la joue. Mais au lieu de lui faire la bise comme elles en avaient coutume, sa blonde amie posa ses lèvres sur la bouche de Sophie qui, trop étonnée pour faire le moindre mouvement de recul, se laissa faire. Elle apprécia la douceur de ce baiser féminin mais se sentit un peu coupable et désemparée. En effet, Sophie n’avait jamais eu le moindre rapport d’ordre sexuel avec une femme, ne serait-ce qu’un baiser; toutefois, ce geste ne l’avait qu’à moitié surprise venant d’Henriette qu’elle savait assez libre sur le plan ’relationnel’… Celle-ci reprit :

« Tu sais Sophie, je n’ai jamais osé te l’avouer, mais je crois que c’est le moment choisi. Je ne me considère pas comme une lesbienne, loin de là, pourtant tu ne me laisse pas indifférente … Je te trouve même plutôt carrément sexy ! Je m’entend bien avec toi mais, sans vouloir te blesser, je voudrais que tu saches que j’aimerais vraiment…euh… disons que ce serait sympa de… euh… de… d’approfondir nos relations… »

Sophie était bouche bée. Elle n’en revenait pas de cette subite autant qu’inattendue déclaration… Elle dévisageait la jeune femme, comme abasourdie par les mots qu’elle venait d’entendre. Mille questions venaient à son esprit et, visiblement désemparée, elle dévia la conversation, tout au moins le temps de réfléchir un peu et de mettre de l’ordre dans ses idées, en proposant un rafraîchissement à Henriette.

D’un point de vue, Sophie se disait que c’était sans doute là l’occasion pour elle d’essayer une autre expérience en matière de sexe - son amie, sans être rentrée dans le détail, avait été assez claire sur ce point !- et sans avoir eu d’attirance physique particulière pour des filles, Sophie était bien obligée de reconnaître que son amie était jolie, plutôt bien foutue et ne manquait pas de charme. De plus, le baiser coquin qu’elles venaient d’échanger et les paroles de la blonde avaient jeté en elle un certain trouble, qu’elle dissimulait d’ailleurs assez mal en remplissant les verres de jus de raisin.

En fait, ce qui la dérangeait le plus dans cette histoire était le fait qu’elle soit mariée à Franck. Elle aurait voulu connaître à l’avance sa réaction, si toutefois il devait se passer quelque chose entre elle et Henriette… Elle n’aurait pas l’impression de le tromper comme s’il s’agissait d’un autre homme, d’autant que Franck lui avait parlé d’un de ses fantasmes où il aurait été témoin, et éventuellement acteur d’ébats sexuels entre deux femmes. Et puis, après tout, elle-même ne serait pas en train de se poser ce genre de questions si son homme était là avec elle, trop occupé qu’il était à finir de mettre au point le dernier logiciel de gestion d’entreprise dont une multinationale avait passé commande à sa société. De ce fait, Franck rentrait fréquemment tard ces derniers temps, ce qui laissait Sophie ’sur sa faim’ côté sexe. Il se disait fatigué et prétendait ’ne pas avoir la tête à faire ça’. Il ne manquait pourtant pas de tendresse, et pas un soir ne se passait sans qu’il ne la prenne dans ses bras ou ne l’embrasse amoureusement, mais ce projet professionnel lui accaparait tant l’esprit qu’il en oubliait d’entreprendre les gestes plus sensuels et plus intimes qu’attendait Sophie.

Perdue dans ses pensées, celle-ci se rendit compte du silence qu’elle avait imposé inconsciemment quand Henriette reposa son verre sur la table. Elle fixait toujours Sophie avec un regard plein de charme et de promesses qui déstabilisait la jeune femme. C’était une sensation si extraordinaire et nouvelle pour elle que de se sentir désirée par une fille ! Elle ne savait ni que dire ni que faire…

Henriette devina ce léger malaise et décida de devenir plus entreprenante. Après s’être levée, elle s’approcha doucement de Sophie puis, sans la quitter des yeux, vint s’asseoir près d’elle sur le canapé. Elle la prit par le cou et posa sa main sur la généreuse poitrine, ce qui fit tressauter Sophie…

« Détend-toi… Laisse-toi aller… Je vais faire en sorte que l’on passe un bon moment toutes les deux… Et je crois pouvoir t’assurer que tu ne le regretteras pas ! »



ACTE 2 :


Sophie ferma les yeux et goûta à nouveau la bouche de son amie. Elle eût la même appréhension que lorsqu’elle avait embrassé un garçon pour la première fois quand elle sentit la langue d’Henriette s’enrouler autour de la sienne, mais fût stupéfaite de s’apercevoir que son sexe était trempé d’excitation. Henriette se fit plus insistante dans son baiser et Sophie écarta spontanément les jambes. Les doigts fins et longs de la blonde passèrent très lentement le long de la fente qui s’ouvrait doucement, telle une fleur dont les délicats pétales s’écartent pour recueillir la rosée du soir, puis l’index et le majeur commencèrent à masser le clitoris énervé de Sophie, emmenant rapidement celle-ci aux portes de l’extase avant de s’arrêter net.

Sophie rouvrit les yeux, interloquée. Henriette ôtât nonchalamment son chemisier, et la malice que Sophie lisait dans son regard lui faisait se demander quelle serait la suite des ’festivités’… Elle était désormais sous le charme que déployait sa copine en se déshabillant. Celle-ci se leva pour enlever sa jupe plus facilement et fit glisser ses sous-vêtements sur le sol avec la classe d’une strip-teaseuse professionnelle, puis elle s’agenouilla en face de Sophie et, la regardant droit dans les yeux, lui expliqua la raison de l’interruption de ses caresses :

« A présent, j’ai envie de te faire jouir avec ma bouche… »

Sans attendre de réponse, elle plongea sa tête entre les cuisses de la pulpeuse brune. Le contact de sa langue chaude et douce fit à Sophie l’effet d’un choc électrique auquel elle réagit aussitôt en empoignant la chevelure dorée à pleines mains, priant ainsi sa complice d’aller cette fois jusqu’au bout…

Le morceau de chair passait sur sa chatte de bas en haut, titillait le clitoris avant de redescendre, puis s’attardait sur les moindres replis de ses lèvres avant de remonter lentement.

Sophie sentait son orgasme tout proche…Quand la bouche d’Henriette aspira entièrement son bouton ’magique’, elle eût subitement l’impression que son sexe allait exploser. Sa jouissance fût telle que des saccades de plaisir la secouèrent pendant plusieurs dizaines de secondes.

Henriette la regardait, satisfaite du ’devoir accompli’, puis vint se coucher près d’elle pour la gratifier d’un baiser à la saveur âcre mais excitante de son propre sexe. Sophie voulut la remercier de vive voix mais, ayant réfléchi, se dit qu’il y avait mieux à faire…Saisissant la main d’Henriette, elle l’entraîna son amie, qui la suivit sans broncher, à l’intérieur de la maison. Arrivée dans le salon, elle désigna une peau de brebis, s’y coucha sur le dos puis invita la blonde à venir s’installer au-dessus d’elle, mais dans l’autre sens : le ’69’ comme disait Franck. Ça tombait bien, la radio diffusait le fameux titre de Gainsbourg et Birkin : ’69, année érotique’…

Jamais Sophie n’avait vu de fessier féminin d’aussi près .Celui de sa copine n’était pas des plus vilains, bien au contraire, et elle comprenait mieux pourquoi Franck adorait cette position. La vue qui s’offrait à ses yeux l’excitait tant qu’elle aurait cru ne pas avoir connu d’orgasme cinq minutes plus tôt. Henriette avait un petit cul mais ses fesses étaient plutôt ’rondouillettes’. Sophie remarqua la douceur et la finesse du grain de la peau bronzée dès qu’elle y appliqua la première caresse. Elle nota également que la toison, taillée avec soin et laissant apparaître le sexe luisant et rose, était aussi blonde que la chevelure de sa copine.

Sophie saisit un coussin qu’elle glissa sous sa tête pour la rehausser. L’odeur de la vulve la surprit un peu mais le goût que sa langue y trouva ne fit qu’accroître son excitation. Elle s’efforçait d’imiter les caresses que son mari lui prodiguait habituellement et dont Henriette venait de la gratifier. Celle-ci la guidait en cela par des mouvements de la croupe plus ou moins appuyés et des gémissements de plus en plus bruyants. Cependant, Sophie était là pour apprendre et ne souhaitait pas précipiter les choses. Elles avaient tout le temps…



ACTE 3 :


Franck arriva vers 19 h. Il aurait bien bossé un peu plus tard mais la ’clime’ du bureau était tombée en panne et il avait du mal à se concentrer sur son travail au-delà de 30°. De plus, il n’avait pas vu sa femme de la semaine, ou si peu, et eut envie de lui faire la surprise de rentrer plus tôt que d’habitude - Sophie ne l’attendait généralement pas avant 21 h- d’autant que la chaleur des derniers jours avait stimulé sa libido et qu’il sentait sa virilité ’frapper à la porte’ comme au jour de ses vingt ans, bien qu’il en totalise quasiment le double. Il avait déjà une petite idée du planning de la soirée. D’abord, il s’était promis une bière bien glacée pour se dessécher le gosier… Ensuite, rien de tel qu’un plongeon dans la piscine pour se rafraîchir le corps et les idées, avant d’enchaîner éventuellement par un léger dîner sur la terrasse, puis il s’occuperait des choses ’sérieuses’, pour lesquelles Sophie, il en était sûr, ne manquerait sûrement pas d’enthousiasme… Bref, le week-end s’annonçait sous les meilleurs auspices.

Il ne fut pas étonné de trouver le portail fermé mais grimaça en se rendant compte que sa télécommande d’ouverture à distance ne fonctionnait plus.

« Cette fichue pile est encore déchargée ! La clime, la télécommande, décidément, rien ne marche normalement aujourd’hui !… » grommela-t-il en claquant nerveusement la portière de sa voiture.

« Bon, tampis ! Je rentrerai la bagnole plus tard… » se dit-il en enjambant les trois marches donnant sur l’allée étroite qui menait au parking, lui-même situé devant la maison.

« Tiens, Henriette est encore là à cette heure-ci ?… » pensa-t-il en passant près du 4x4 qu’il connaissait bien.

« Moi qui pensait passer une soirée en amoureux, je crois bien qu’il va falloir la remettre à plus tard…Et tu vas voir qu’en plus, on va souper à des heures impossibles… »

Indirectement, il reprocha à sa femme, plus ou moins consciemment, de ne pas savoir dire aux visiteurs de s’en aller avant qu’il ne rentre. Il ne se rendait pas compte qu’il passait lui-même un paquet d’heures supplémentaires au bureau sans se soucier de Sophie et que celle-ci, de ce fait, avait régulièrement besoin d’un minimum de compagnie. Alors qu’il s’approchait de la piscine, il fût étonné de ne pas trouver ’les deux commères’, comme il s’amusait à les surnommer en plaisantant, en train de bronzer en ’jacassant’. Il entendit la chaîne hi-fi dans le salon et, révisant son planning, jugea préférable de ne pas déranger les filles.

« Je vais d’abord prendre une bonne douche. D’ici-là, Henriette aura sans doute fini sa causerie ! » se rassura-t-il en montant l’escalier en chaussettes, ayant négligemment laissé traîner ses mocassins dans le hall de la maison.

Après s’être douché et rasé de près, Franck sortit de la salle de bains dans le plus simple appareil et se dirigea vers la chambre pour y enfiler un short, ceci afin d’être à peu près présentable devant l’amie de sa femme, si toutefois celle-ci était encore là… C’est en traversant la mezzanine, qui dominait le vaste salon-séjour au rez-de-chaussée, qu’il entendit des bruits qu’il jugea suspects. Il tendit l’oreille en s’approchant de la balustre d’où il découvrit stupéfait, quelques mètres au-dessous de lui, Sophie et Henriette dans une position qui ne pouvait laisser aucune place au hasard, ni aucun doute sur le but recherché…

Il ne pouvait en croire ses yeux ! Sa propre femme était bel et bien en train de faire un cunnilingus à sa copine, toutes deux totalement nues. Franck eut immédiatement un mouvement de recul, de peur d’avoir été vu, mais il supposa que les deux femmes ne l’avait ni vu, ni même entendu arriver, car dans le cas contraire, il ne les aurait jamais surpris ainsi. En fait, elles étaient sûrement loin de se douter qu’il rentrerait aussi tôt ce soir-là… Franck ne comprenait pas. Il ne comprenait rien d’ailleurs. Sa femme était donc devenue lesbienne et il ne s’en était même pas rendu compte ! Mais au-delà des questions qui se posaient subitement à son esprit, il fût comme envoûté par ce qu’il voyait là. Il s’accroupit et, sans faire le moindre bruit, contempla le spectacle qui déjà assaillait son cerveau de désirs fous. Son sexe s’était mis à gonfler démesurément et il ne s’en aperçut que lorsque cela lui fit mal tant il bandait.

Soudain une idée traversa ses pensées ; puisque Sophie était en train de ’prendre son pied’ avec la belle blonde, pourquoi lui-même ne profiterait-il pas de l’occasion pour réaliser son fantasme le plus fou : faire l’amour avec deux femmes…



ACTE 4 :


Les filles étaient encore dans la même position quand soudain Henriette releva la tête et, se tournant en arrière, s’adressa à Sophie :

« Moi, c’est à chaque fois pareil, après le hors-d’œuvre, je ressens toujours l’envie d’un bon plat de résistance ! » dit-elle dans un rire spontané.

Sophie, interloquée, n’eut pas le temps de comprendre ce qu’elle voulait dire que déjà son amie s’asseyait à ses côtés. Sophie s’inquiéta de la qualité de sa prestation comme son homme l’aurait fait avec elle :

« Tu n’apprécies pas mes caresses ? Je m’y prends sans doute assez mal… Tu devrais peut-être me dire ce que… »

Henriette la coupa aussitôt :

_ Ne t’excuses pas, tu fais cela à merveille ! Non, ce que je veux dire par là, c’est qu’après une ’mise en condition’ comme celle-ci, j’ai besoin d’une bonne queue bien raide pour éteindre le feu dans mon corps ! » avoua-t-elle en éclatant de rire.

Sophie reconnu là l’humour qu’employait Franck pendant leurs rapports pour dédramatiser le SEXE. Pour lui, faire l’amour était un moment privilégié synonyme de plaisir, de joie de vivre, et il ne pouvait concevoir la sexualité dans la morosité ou l’indifférence. Sophie hocha la tête d’un air entendu et constata, un brin frustrée :

« Donc, tu as toujours besoin d’un mec pour prendre ton pied ?…

_ Pas forcément, mais je dois reconnaître que j’apprécie quand même particulièrement une bonne séance de baise ! »

Franck n’avait pas perdu une parole de la conversation et, quoique peu sûr de la réaction de l’une comme de l’autre des jeunes femmes, il se força à sortir de l’ombre en se disant que c’était le moment ou jamais de se manifester. De plus, au point où en était la situation, il n’avait vraiment rien à perdre de toutes façons, mais plutôt tout à gagner ! Il se mit debout et descendit l’escalier sans faire de bruit pour ne pas gâcher son effet de surprise.

Arrivé à quelques mètres seulement du charmant duo, il prit alors une grande inspiration et, bien qu’un peu tremblant, lança d’une voix forte :

« Si vous avez besoin des services d’un mâle, je pense être en mesure de vous contenter, mesdames !… »

Transies, les filles levèrent les yeux de concert et comprirent d’emblée la raison de cette proposition : non seulement Franck avait tout vu et tout entendu, mais sa tenue et surtout son état ne pouvaient laisser croire le contraire ! Sophie, se sentant prise en faute, baissa instinctivement les yeux. Cependant, elle voulût d’abord disculper Henriette de toute responsabilité et prit malgré tout la parole :

« Ce n’est pas ce que tu penses, Franck ! Henriette est arrivée alors que j’étais en train de… euh… de me… eh bien… de me donner du plaisir et nous avons… euh…

_ … Et vous avez décidé de sauter sur l’occasion pour jouer à ’broute-minou’ toutes les deux ! » coupa Franck.

« Je comprends vite et bien, tu sais ! Ma foi, où est le mal ?… J’ai toujours rêvé de participer à ce genre de corps à corps. » rajouta-t-il en lorgnant délibérément du côté de la blonde pour appuyer ses propos.

« Vous auriez simplement pu avoir la politesse de m’attendre pour commencer les ’hostilités’ car, si j’ai toutefois bien saisi votre petite conversation, il semblerait qu’Henriette, notamment, ne soit pas totalement contre le fait qu’un membre de la gente masculine se joigne à vos activités, ce qui ne veut pas dire que tu y soies forcément opposée !… » dit-il en s’adressant plus particulièrement à sa femme.

Autant Sophie était décontenancée par l’apparition surprise de son mari, autant Henriette paraissait, malgré son étonnement passager, plutôt ravie de voir la tournure qu’étaient en train de prendre les évènements. Elle ne semblait pas du tout gênée d’avoir été prise en pareil flagrant délit et, au lieu de cacher un tant soit peu sa nudité à Franck, elle l’affichait avec une parfaite insolence en souriant, persuadée que ’l’affaire’ ne pouvait que trouver une fin heureuse…Franck lui, ressentait une certaine gêne de se montrer dans un aussi simple appareil devant une fille qui jusqu’à ce soir-là ne l’avait vu au mieux qu’en maillot de bain. Il tenu à justifier sa tenue d’Adam :

« Je sortais de la douche quand je vous ai entendues dans le salon et… bon …euh… disons que j’ai apprécié le spectacle… et que j’en ai oublié de m’habiller !…

_ J’en suis très honorée, Franck !… » lui répondit Henriette.

«… Car c’est moi qui ai entraîné ta femme sur ce terrain inconnu pour elle ! Si vous êtes partants tous les deux, pourquoi ne continuerions-nous pas l’aventure à trois ? Cela me paraît être une expérience intéressante pour chacun de nous… Je n’ai personnellement jamais essayé avec un couple ! » s’empressa-t-elle d’ajouter avec un sourire coquin.

Franck n’en croyait pas ses oreilles. Il connaissait lui aussi le côté libertin de l’amie de Sophie mais jamais dans leurs relations antérieures il n’aurait imaginé qu’Henriette soit dévergondée à ce point. Il fût immédiatement séduit par cette proposition, aussi indécente fût-elle, car il y voyait son fantasme le plus refoulé devenir enfin palpable. Sophie fut soulagée de sentir l’approbation de son mari bien que celui-ci ne broncha pas. Elle imaginait déjà la folle nuit qui s’annonçait et cela l’excitait au plus haut point… Comme le silence commençait à devenir gênant, personne n’osant faire le premier pas, elle prit l’initiative de servir à Franck un double whisky, en rajouta un peu dans le verre de son amie puis dans le sien, enclencha l’alarme pour qu’ils ne soient pas dérangés par des visiteurs importuns, et inséra dans le lecteur de la hi-fi un disque de musique brésilienne pour faire ’monter’ la température. Si cela contribua à détendre l’ambiance, il était évident que la soirée allait être de toutes façons particulièrement chaude…



ACTE 5 :


Tout en sirotant son whisky, Franck regardait avec insistance le corps d’Henriette. Il était ébahi par ses formes généreuses, surtout qu’il considérait jusque là la copine de Sophie un peu trop mince pour lui lorsqu’il la voyait habillée. Sa pensée était envahie par l’image envoûtante des deux femmes en train de se lécher mais la première envie qu’il lui vint fut de leur demander de s’embrasser et se caresser :

« Allez-y ! Tripotez-vous !…Ca me plait vraiment de voir deux gonzesses se toucher ! Et si cela peut vous aider, imaginez que je ne suis pas là ! » rajouta-t-il d’un ton ironique.

Ce fût Sophie qui, spontanément, s’approcha d’Henriette et, lui prenant la main, l’invita à s’asseoir sur le canapé. Presque brutalement, elle empoigna la tête blonde et enfouit sa langue dans la bouche de son amie. Celle-ci lui saisit alors un sein pour le malaxer et en pinça doucement l’extrémité. Sophie réagit aussitôt en laissant glisser sa main libre entre les longues jambes. Elle s’empara du minuscule morceau de chair et le fit délicatement rouler entre ses doigts. Henriette bascula la tête en arrière, laissant échapper un long soupir de volupté, et Sophie plongea alors vers les tendres tétons pour les lécher en faisant mine de les mordre. Descendue rapidement vers le nombril, elle jugea plus intéressant de diriger sa bouche vers la vulve trempée qui émergeait de la toison d’or. Lorsqu’elle sentit le contact de la langue chaude sur son clitoris, Henriette eût une telle surprise qu’elle en rouvrit les yeux de et découvrit à ce moment-là que Franck n’était pas du genre à rester de marbre devant pareil spectacle ! Sans rien perdre de la scène, il s’était emparé de son ’outil’ auquel il appliquait un lent mouvement de va-et-vient et son visage empourpré en disait long sur l’effet que les gestes des filles lui procurait… Bien qu’elle se serait volontiers laissée aller aux caresses buccales de Sophie, la vue de ce pénis dressé rappela à Henriette l’envie qu’elle lui avait avouée juste avant l’arrivée inattendue de Franck. Elle se redressa lentement et la tignasse brune cessa subitement de s’agiter sur son bas-ventre pour lui lancer un regard interrogateur. En guise de réponse, et sans quitter des yeux le braquemart de Franck, Henriette dit avec un air envieux :

« Dis donc, tu m’avais caché que ton mec est ’monté’ comme un véritable étalon ! Et tu sais que je m’y connais en chevaux !… Je croyais pourtant que des amies telles que nous devaient partager tout ce qu’elles avaient, le pire comme le meilleur… »

Elle accentua son regard vers l’objet de son désir avant d’ajouter en se tournant vers Sophie :

« _ Ce soir est une excellente occasion de te faire pardonner, ma chérie… Ne penses-tu pas ?… »

Sans laisser à sa femme le temps de réagir, Frank s’avança vers le canapé, exhibant fièrement ses attributs, dont l’état ne laissait planer aucun doute sur ses intentions. Il était effectivement excité comme jamais et bandait avec la vigueur d’un adolescent qui découvre un livre pornographique pour la première fois… Sophie lui fit remarquer la forme olympique de son sexe, presque inhabituelle, ce à quoi il répliquât :

« _ Il me parait plutôt opportun de me trouver dans une très grande forme sexuelle, en tous cas si vous souhaiter que je puisse vous contenter toutes les deux ce soir ! »

Il lorgnait en particulier du côté d’Henriette et tout en lui adressant un sourire entendu, il cru bon d’ajouter :

« A moins, Mesdemoiselles, que je ne me trompe ?… »

Sophie attira son homme vers elle et lui fit prendre place au milieu du canapé. Il se trouva donc ’piégé’ entre les deux nymphes mais cette position de ’proie’ ne semblait d’aucune manière lui déplaire… Au contraire, il savourait pleinement l’impérieux désir qui montait en lui et ne se laissa aller au plaisir que lorsque Sophie lui passa la main entre les jambes pour caresser délicatement ses testicules. Puis, saisissant le phallus entre ses doigts, Sophie en absorba d’un coup l’extrémité dans sa bouche chaude et soyeuse. Aussitôt, Henriette posa la sienne sur la poitrine de l’homme, cherchant de sa langue les points sensibles. Après avoir joué un moment avec un mamelon, elle remonta nonchalamment jusqu’au cou puis, parvenue à la bouche, chercha la langue de Franck. Bien placée pour déceler l’excitation extraordinaire de son mari, Sophie avait choisit d’appliquer, pour cette fellation, un mouvement vertical assez lent et peu appuyé sur la verge, afin de ne pas précipiter les choses, mais lorsqu’il sentit la main d’Henriette lui flatter tendrement les bourses, Franck dut reprendre son souffle, délaissant quelques secondes ce ballet de langues. Sa femme elle aussi voulût respirer et la blonde s’agenouilla pour la remplacer. Elle semblait tout aussi experte dans ce domaine que pour honorer un clitoris, faisant coulisser ses lèvres serrées sur le sexe dressé, descendant rapidement et remontant plus lentement, aspirant le gland et le chatouillant de petits coups de langue appliqués avant de descendre à nouveau… Sophie se remit à sucer la queue turgescente à son tour, puis les deux femmes décidèrent d’un accord tacite de se la partager. Pendant quelques minutes, chacune lécha un côté, mais comme ce n’était pas très pratique, elles établirent un tour de rôle pour la sucer en entier, profitant du moment du relais pour mélanger leur langue et se ’rouler des pelles’ comme jamais Franck ne l’aurait imaginé. Il était d’ailleurs tout autant excité par les lècheries plus ou moins appuyées entre les deux filles ou par le fait de les voir se partager sa bite que par les caresses buccales qu’elles lui prodiguaient. Un instant plus tard, Sophie trouva un compromis qui contenta chacun des membres du trio : tandis qu’elle laissait sa copine rassasier sa bouche gourmande du pénis de Franck et le soin de lui caresser les couilles, elle-même tenait la verge d’une main et lui imprimait un mouvement inverse de celui de la bouche d’Henriette. Elle demanda ensuite à Franck d’écarter les jambes en les maintenant légèrement levées, et entreprit d’abord de lui lécher les fesses avant de venir lui taquiner la zone anale. Franck se félicitait de la subtile perversité dont sa femme faisait preuve. C’était un moment exquis ! Quand il sentit le bout de la langue de Sophie s’enfoncer délicatement dans son anus, il ne tenta même pas de retenir ’la sauce’ qui montait en lui ; cela faisait déjà un certain temps qu’il luttait contre le plaisir et il savait que le ’combat’ était vain, car perdu d’avance… Sa délivrance arriva si puissamment qu’il eût l’impression de se vider littéralement de toute l’énergie de son corps. Sa semence jaillissait par saccades et en si grosse quantité qu’elle aspergea copieusement le visage et la chevelure des deux complices, coulant sur leurs bras, leurs doigts, leurs seins et leurs joues, collant à leur bouche et à leur langue. Henriette s’assura cependant que l’éruption était bien terminée en aspirant profondément la verge pour ne rien perdre de ce miel, puis elle se mit à lécher les coulures de sperme sur le corps de Sophie qui l’imita, fascinée par l’appétit de son amie. Franck les observait et trouva la chose carrément bandante, même s’il se sentait incapable d’avoir une nouvelle érection dans la minute. Une fois le ’nettoyage’ fini, affichant un large sourire, elles lancèrent un regard victorieux vers Franck, satisfaites et ravies d’avoir conjointement mené à bien leur ’mission’, et s’échangèrent un profond baiser au goût de sperme affirmé.



ACTE 6 :


Tandis que Franck tentait de reprendre ses esprits, Sophie s’adressa à Henriette avec humour :

« Et bien ma chérie, je crois que nous avons peut-être été un peu vite en affaires… A présent, il va te falloir attendre un moment pour satisfaire ton envie ! Est-ce que tu as vu dans l’état qu’on l’a mis ?!… »

Franck ne répondit même pas à cette plaisanterie qui faisait pourtant directement allusion à sa virilité. Il hocha la tête pour confirmer qu’il ne fallait effectivement pas compter sur lui, tout au moins dans un premier temps.

« _ J’attendrais le temps qu’il faudra ! » répliqua la blonde en souriant.

« _ Pendant que ton homme reprend des forces, pourquoi ne reprendrions-nous pas notre ’69’ là où nous l’avions laissé ?… »

Au lieu d’une réponse, Sophie se coucha sur la peau de brebis et son amie vînt se positionner à quatre pattes au-dessus d’elle, présentant ainsi son postérieur à qui voudrait le voir. Par un heureux hasard, Franck se trouvait pour ainsi dire aux premières loges, mais bien qu’il ne perdait rien des mouvements de la langue de Sophie sur la fente généreusement ouverte d’Henriette, il fût malgré tout le premier étonné de sentir son sexe durcir instantanément ! Après l’éjaculation historique qu’il venait d’avoir, il était persuadé qu’une demi-heure au minimum lui serait nécessaire pour récupérer sa virilité, et pourtant son désir était là, parfaitement intact. En un clin d’oeil, il se sentit rajeuni de vingt ans !

Il se leva brusquement et, tout en leur présentant son outil en parfait état de fonctionnement, lança au duo d’un air sûr de lui :

« Si vous êtes prêtes, Mesdemoiselles, je pense que les festivités vont pouvoir réellement commencer !… Qui de vous deux aura l’honneur de subir mes premiers assauts ?… » rajouta-t-il en arborant un large sourire à l’attention de l’invitée.

Les filles furent impressionnées par ce subit regain de vigueur, principalement Henriette qui n’avait pas l’habitude de fréquenter de tels ’mâles’, et qui lâcha un « Oh !… » traduisant autant sa surprise que son admiration ! Sophie suggéra spontanément :

« _ Puisque nous sommes installées ainsi, je crois que tu pourrais chevaucher notre hôte pendant que je m’appliquerais à lui lécher la chatte !… »

Franck ne se fit pas prier et, sans demander son avis à l’intéressée, s’exécuta en venant s’agenouiller derrière elle afin de la prendre en levrette. Il approcha son sexe dur comme un bâton de chêne de celui de la blonde, doux, brûlant et trempé d’excitation. Il n’eut du coup aucun mal à introduire son membre avant de commencer un coït lent mais puissant qui fit bientôt gémir sa partenaire. Parallèlement, Sophie, tout en observant les mouvements du phallus d’un oeil curieux, reprit son cunnilingus encore plus enthousiaste, titillant le clitoris énervé et laissant volontairement déraper sa langue parfois sur la hampe lisse qui maintenant accentuait sa vitesse et sa force. Visiblement, Henriette appréciait le traitement, écartant un peu plus les jambes à chaque vague du plaisir qui la submergeait et amplifiant ses gémissements :

« Mmmm… Oh oui… Comme c’est bon ce que vous me faites là… Oui, j’adore… Aaaaah… Mmmm… Continuez… Plus fort… »

Franck, bien que surexcité par les vocalises de la jeune femme, maîtrisait son désir sans trop d’efforts grâce à sa récente éjaculation. Sans ce premier orgasme, il n’aurait pas été capable de se contenir si longtemps ! Excédée par les assauts virils de Franck et la langue chaude de Sophie qui dévorait son bourgeon, Henriette releva soudain la tête en arrière et se laissa totalement aller, accompagnant sauvagement le va-et-vient tout en jouissant bruyamment.

Elle cria tellement fort que lorsqu’elle se fût calmée, personne n’osa faire un seul geste ou dire le moindre mot. Le trio resta donc immobile et silencieux quelques instants, comme suspendu dans la trame invisible du temps.

Franck ayant la position la moins confortable d’eux trois, il se retira en douceur et se coucha près des filles. Henriette se leva et, plus radieuse que jamais, avoua à ses partenaires :

« Whaou ! C’était vraiment génial ! Vous m’avez donné l’un comme l’autre un tel plaisir…Je vous assure que je ne jouis pas comme cela à chaque fois, mais là, c’était trop bon ! Bon, il faut que j’aille aux petits coins, je vous laisse deux minutes… »

Le couple se retrouva alors couché face à face et échangea un baiser très sensuel. Sophie regarda Franck droit dans les yeux et lui demanda :

« _ Alors, tu es satisfait à présent ?… Voilà ton rêve devenu réalité, non ?… »

Franck hocha la tête en souriant béatement avant d’embrasser sa femme à nouveau.

« _ Oui, mon amour, et c’est bien grâce à toi ! Si tu n’avais pas pris les devants avec Henriette, ce fantasme n’aurait sans doute jamais pu se réaliser, ni avec elle, ni avec aucune autre fille… »

Il marqua un léger temps de réflexion avant de poursuivre :

« Crois-tu qu’elle apprécierait ’notre’ méthode ?… »

Sophie comprit aussitôt à quoi il faisait allusion et lui suggéra avec son petit air coquin :

« _ On pourrait d’abord lui montrer comment on s’y prend… Si elle ne connaît pas cette pratique, nous voir faire lui donnera sûrement l’envie de l’expérimenter !…Le cas échéant, tu pourras compter sur moi pour tâcher de la convaincre ! »

Franck comprit que sa femme lui promettait ainsi une faveur supplémentaire qu’il n’aurait même pas oser espérer jusque là. Toujours nu comme un ver, il se leva brusquement et bondit dans la chambre conjugale à l’étage puis redescendit les marches de l’escalier quatre par quatre, tenant dans sa main un mystérieux objet…



ACTE 7 :


Henriette sortit des toilettes à ce moment-là et, remarquant l’agitation de Franck et le sourire complice que Sophie adressait à celui-ci, elle leur lança en riant :

« Mais qu’est ce que vous mijotez tous les deux derrière mon dos ?… Répondez-moi, je veux savoir !… »

Sophie lui répondit calmement :

« Ne t’inquiète pas, Franck et moi-même venons de décider de te faire une surprise !

_ Ah oui, une surprise ? J’adore les surprises ! De quoi s’agit-il plus précisément ?… » demanda Henriette qui se doutait bien du caractère sexuel de la surprise en question.

« _Oh, rien de bien exceptionnel, tu sais. Nous allons juste te montrer de quelle façon on s’envoie en l’air… Et le fait que tu soies là en tant que spectatrice nous émoustille encore plus que d’habitude… D’ailleurs, regarde-moi, je suis toute trempée rien que d’y penser ! » dit Sophie en se passant deux doigts dans la fente.

« _ Ah ! Et qu’y a-t-il de si particulier dans votre technique ? Attendez, laissez-moi deviner… Vous vous attachez au lit ?… Vous vous pendez aux rideaux ?… Vous vous suspendez au lustre ?… Vous vous badigeonnez de confiture ?… À moins que vous… »

Elle s’interrompit net en se rendant compte que Franck dissimulait quelque chose dans son dos tandis que Sophie venait de s’installer à quatre pattes sur le tapis, présentant à son mari son superbe fessier comme en signe de soumission. Henriette resta un instant bouche bée, puis finit par lâcher dans un rire jaune :

« Non, c’est pas vrai !… Frank ! Tu ne vas tout de même pas la fouetter ?!… Parce que dans ce cas, moi, je ne joue plus !! »

Le couple, très surpris par cette idée saugrenue, éclata de rire simultanément devant l’air peu rassuré de leur invitée. Brandissant un tube de vaseline, Franck lui montra ce qu’elle avait supposé être un martinet en lui disant :

« Tu as bien failli nous prendre pour des sado- maso, hein ?… Sincèrement, crois-tu que je puisse lui faire du mal avec ça ?… Au contraire…

_ Bon, d’accord, j’étais complètement à côté de la plaque !… » avoua Henriette, rassurée à présent. « Cependant, je ne saisis pas vraiment où vous voulez en venir… Allez-vous enfin m’expliquer ?…»

Sophie attrapa la vaseline que Franck lui tendait et, sans cesser de sourire à son amie, lui répondit :

« C’est pourtant simple, ma chérie, Franck va tout simplement me sodomiser !

_ Te sodomiser ?! Ah… Et bien, je préfère ça !… Mais par contre, je me demande comment tu peux apprécier cette pratique. Ça doit être douloureux, non ?… »

Devant l’inquiétude injustifiée de leur amie, Sophie et Franck se sourirent mutuellement, ayant compris du même coup qu’elle était novice en la matière.

« _ Je ne suis pas une brute, tu sais ! Il faut toujours commencer en douceur, c’est primordial pour ne pas gâcher la suite… » commenta Franck.

Il s’agenouilla derrière Sophie, posa les mains sur ses reins pour l’obliger à se cambrer un peu plus et lui fit écarter les jambes en se rapprochant. Voyant qu’Henriette semblait porter beaucoup d’intérêt au ’cérémonial’, il lui proposa :

« Viens, approche-toi donc, tu vas m’être utile et en même temps, tu seras aux premières loges ! » Elle s’exécuta aussitôt en lui souriant puis demanda des précisions :

« _ Que dois-je faire au juste ?… » Sophie, qui avait posé sa tête sur le tapis, lui indiqua la marche à suivre :

« _ Ecarte-moi bien les fesses et observe la préparation. Tu vas voir, c’est très excitant… »

Henriette posa ses doigts longs et fins sur les deux lobes qu’elle écarta doucement en suivant avec attention les moindres gestes de Franck. Celui-ci s’empara du tube que Sophie lui tendait et lui enduisit délicatement l’anus après y avoir déposé un ruban de vaseline. Tandis qu’il chatouillait le clitoris de sa compagne de sa main gauche, il massa l’orifice avec le bout du majeur afin d’y répartir le lubrifiant le mieux possible. Il y entra une phalange, puis deux, ressortit son doigt, l’enfonça en entier avant de recommencer mais avec deux doigts cette fois-ci, l’index ayant rejoint le majeur pour assouplir au maximum le conduit rectal. Sophie faisait de son mieux en relâchant son sphincter le plus possible afin de faciliter l’introduction finale. Elle se tortilla de plaisir lorsqu’elle sentit l’annulaire rejoindre les autres doigts pour distendre encore un peu plus son ’petit trou’ comme elle disait. Quand elle jugea l’efficacité des préliminaires optimum, elle implora son homme de l’honorer sans attendre :

« Viens maintenant, je veux sentir ta queue dans mon cul ! »



ACTE 8 :


Franck ne se fit pas prier. Il déposa un peu de vaseline au bout de son sexe, l’étala sur toute la hampe et pointa son outil bandé au centre des délicieuses fesses qui s’offraient à lui. Au contact de la verge, l’œillet se contracta une seconde puis se détendit avant de pratiquement s’ouvrir de lui-même, laissant Henriette entrevoir la chair rose et brillante à l’intérieur. Franck empoigna son dard, dont le gland turgescent semblait prêt à exploser, et commença son investigation très lentement, forçant le passage avec une extrême douceur. Pour Sophie comme pour son mari, la tension était à son comble, mais Henriette, qui ne perdait pas une miette de cette intromission anale, autant surprenante que nouvelle pour elle, commençait à se sentir elle aussi envahie par l’excitation. Tout à coup, le gland fût comme happé de l’intérieur, laissant Sophie pousser un soupir de soulagement. Franck commença un lent mouvement de va-et-vient, ne laissant rentrer que le premier tiers de son sexe. Il savait qu’il fallait à sa femme un certain temps ’d’adaptation’ pour apprécier pleinement la présence de ce ’passager clandestin’ dans la partie la plus intime de son anatomie. Quand Sophie se mit à l’accompagner dans ses mouvements, il jugea qu’il pouvait ’conquérir un peu plus de terrain’ et bientôt le phallus entier disparu dans l’anus distendu de la belle brune. Franck était aux anges. Il estimait bander aussi fort que lors de sa première expérience du genre avec sa femme. En effet, hormis le pur plaisir physique que lui procurait la sensation de son pénis prisonnier de cette gaine étroite et chaude, c’était surtout cette vision obscène qui l’excitait tant. Depuis sa puberté, un beau fessier féminin lui avait toujours fait beaucoup d’effet, nettement plus qu’une jolie paire de seins par exemple, sans qu’il puisse d’ailleurs en expliquer précisément la raison… Les fesses de Sophie tenaient de ce fait une place de choix dans ses fantasmes et l’inspiraient parti-CUL-ièrement, mais lorsque sa queue était plantée en plein milieu, il trouvait cela encore plus bandant ! De plus, la présence de la charmante blonde et son assistance en tant qu’apprentie pour sodomiser sa propre femme, lui faisait l’effet d’un puissant aphrodisiaque et décuplait son plaisir. Il accéléra ses coups de boutoir quelques secondes puis ralentit son rythme afin de profiter le plus longtemps possible des extraordinaires sensations qu’ils éprouvaient mutuellement. Puis, humectant ses doigts de salive, il reprit ses caresses sur le clitoris de Sophie dont Henriette tenait toujours les deux lobes fessiers bien écartés, tout en regardant les réactions de l’un et l’autre de ses complices. Franck s’immobilisa un instant et demanda à sa femme :

« Tu aimes ça, hein ?… Ça te plait de sentir ma bite bien dure dans ton petit cul serré, pas vrai ?…

_ Oh oui, c’est bon !… Vas-y, bourre bien mon petit trou mon amour ! Allez, fais-moi jouir, défonce-moi l’anus ! » gémit Sophie dans un soupir.

Franck ressentait parfaitement l’œillet se resserrer autour de son braquemart, comme s’il eût été pris dans un étau, et cela l’excitait encore plus. Il n’avait pas vu sa femme aussi motivée depuis un bon moment. Il saisit à nouveau son sexe à la base et le sortit très lentement du fourreau étroit. Quand il fût entièrement dégagé, il grimaça de plaisir en voyant le cratère brûlant se resserrer un peu, puis se dilater au maximum, se resserrer encore avant de se rouvrir, plus timidement cette fois. Henriette n’en revenait pas, elle écarquillait les yeux de surprise, observant attentivement l’orifice béant qui frémissait, comme impatient de recevoir le coup de grâce…

Elle porta machinalement sa main gauche sur sa vulve, qui la démangeait de plus en plus, tandis que de l’autre elle s’empara du sexe de l’homme pour le sucer goulûment. Sa langue s’enroulait autour du gland, lui faisant découvrir des saveurs nouvelles, pendant qu’elle se tripotait frénétiquement le bouton. Franck n’était pas loin de l’extase et il lui aurait volontiers éjaculé dans la gorge mais il préféra garder sa semence pour éteindre le feu dans le cul de sa femme qui piaffait d’impatience en remuant la croupe :

« Oh, Franck, s’il te plait, ne me fait pas languir… Remet-la-moi dans le derrière tout de suite ! »

Il sortit son pénis de la bouche soyeuse avec une pointe de regret puis, après s’être solidement campé sur ses jambes légèrement fléchies, il saisit Sophie par les ’poignets d’amour’ -qui prenaient ici tout leur sens !- et, la maintenant fermement, reprit son souffle avant de l’empaler avec la force d’un bûcheron qui abat un gros chêne ! Franck avait plaqué ses mains sur les fesses généreuses et travaillait l’orifice avec une vigueur et une cadence qui laissaient présager à la sodomisée que le dénouement était proche. Elle- même n’était plus très loin de l’orgasme et l’attendait comme une délivrance. Elle jouissait comme une vraie tigresse, encourageant son homme à terminer l’ouvrage :

« Oh oui… Encore plus vite ! Plus fort ! Rentre moi ta bite jusqu’aux couilles !… »

Franck s’exécuta. Dix fois, vingt fois, trente fois de suite, il ressortit entièrement son membre pour le replonger aussitôt jusqu’à la garde dans ce puits qui lui donnait tant de plaisir. Quand il sentit la jouissance monter irrémédiablement, il accentua encore plus la puissance de ses coups de reins alors que Sophie se cambrait au maximum pour mieux sentir la verge au plus profond de son fondement. Elle contracta une dernière fois sa rondelle autour du phallus, dont elle savait l’éruption imminente, comme un boa étreint sa proie pour l’étouffer définitivement et sentit le sperme bouillant jaillir soudain et inonder son rectum. Leur corps tout entier était dédié au plaisir total et absolu, qui les anéantissait d’une façon parfaitement synchronisée telle que Henriette en fût impressionnée. Sophie s’affaissa sur le tapis tandis que Franck, à bout de force, se laissa tomber à ses côtés, son sexe encore érigé aspergeant copieusement le fessier de sa femme au passage. Instantanément, Henriette s’amusa à étaler la semence blanchâtre sur la peau dorée de Sophie, puis elle lui passa le majeur entre les fesses pour vérifier que l’anus de sa copine avait repris sa position normale. Enfin, une fois rassurée, elle se coucha entre les deux corps inertes et ferma les yeux, laissant vagabonder son esprit vers toutes sortes de fantasmes plus ou moins inavouables. Avoir participé à cette impressionnante séance de sexe anal l’avait sans aucun doute beaucoup plus troublée qu’elle ne voulait elle-même se l’avouer…



ACTE 9 :


Le double CD se termina, plongeant la demeure dans le silence de la campagne environnante. Jusque là bercée par la musique, Henriette qui somnolait s’éveilla doucement. Découvrant le décor de la pièce, elle se souvint la raison de sa présence dans ces lieux et ce qui venait de s’y dérouler. Elle sentait la tiédeur des corps endormis près d’elle et respira l’odeur qui s’en dégageait pour se rassurer, un peu à la manière d’un animal. Sa sensualité l’avait toujours incitée à renifler ses partenaires, notamment après avoir fait l’amour avec eux…

« Quelle heure peut-il bien être ?… » se dit-elle.

Elle se dégagea de la jambe de Sophie posée sur sa cuisse, et se leva sans bruit, n’osant réveiller ses compagnons, puis alla consulter l’heure qu’indiquait le tuner de la chaîne hi-fi :

« Deux heures vingt-cinq !… Tiens, je ne pensais pas qu’il était si tard ! On a dû dormir plus que je n’aurais cru. »

Décidant que la soirée n’était pas encore terminée malgré tout, elle choisit un CD de slows qu’elle déposa dans le lecteur après s’être assurée que le son n’était pas trop élevé, puis elle se resservit un verre de jus d’orange. Elle contempla le couple nu qui sommeillait sur le tapis et se félicita de la tournure qu’avaient pris les évènements. Cependant, elle n’était pas tout à fait rassasiée, sexuellement parlant… Bien au contraire…

Presque inconsciemment, elle se dirigea vers Franck. Depuis qu’elle le connaissait, Henriette ressentait une attirance physique certaine pour lui, mais elle s’était jusque là toujours refusée toute pensée érotique par respect pour Sophie. Jamais elle n’aurait imaginé qu’un scénario comme celui qui se déroulait ce soir-là puisse se produire, mais elle se félicitait du concours de circonstances qui lui avaient permis une expérience à trois. Elle était particulièrement reconnaissante envers Sophie de lui avoir ’prêté’ son mec et souhaitait encore profiter de cette aubaine, ne sachant pas si une telle occasion se renouvellerait de sitôt…

Elle s’allongea près de l’homme, approcha son visage du pénis au repos, et entreprit de lui faire retrouver la vigueur qu’il avait démontrée plus tôt en le prenant dans sa bouche. Elle se mit à téter avec beaucoup de douceur tout en caressant tendrement les testicules, ce qui métamorphosa progressivement le sexe flasque et détendu en une tige vaillamment dressée, dure et droite comme un ’i’. Encouragée, Henriette accentua sa succion et sentit que son ’patient’ commençait à se réveiller peu à peu.

En effet, Franck n’avait pas l’habitude d’émerger du sommeil d’une façon aussi agréable et fût très surpris de trouver cette chevelure blonde entre ses jambes. Henriette releva la tête et lâcha sa ’proie’ pour rendre son sourire à l’homme. Elle s’enquérit de la qualité de sa fellation :

« Tu aimes la façon dont je te suce ?… » demanda-t-elle.

« Comment pourrait-il en être autrement ? Il faudrait que je sois vraiment difficile !… » lui répondit-il en passant sa main dans les longs cheveux d’or.

Alors qu’elle s’apprêtait à reprendre sa sucette, Franck l’attira vers lui et la regarda fixement quelques secondes avant de lui proposer sa langue qu’elle s’empressa d’enfouir toute entière dans sa bouche. Leurs corps roulèrent sur le côté, ce qui permis à Franck de caresser le dos, puis les reins de sa partenaire. Ses mains descendirent ensuite jusqu’aux fesses rondes qu’elles pétrirent amoureusement. Henriette se tortilla, frottant son sexe contre le pénis enflé, et se mit à gémir doucement, ce qui eut pour effet d’exciter encore plus Franck. Sophie, qui avait le sommeil assez léger, eut conscience d’une certaine agitation et se tourna vers les responsables. Lorsqu’elle découvrit Henriette et son mari enlacés, elle esquissa un sourire complice avant de leur lancer sur un ton de reproche:

« Et alors, vous deux !…Vous seriez gentils de me convier à la fête ! J’aimerais participer moi aussi !

_ Franck n’y est pour rien, tu sais. C’est moi qui me suis éveillée la première et j’avais envie de…

_ …De t’envoyer en l’air avec lui bien entendu, et cela sans me demander mon accord, n’est-ce-pas ? »

Sophie avait coupé net la réplique de son amie et mimait un air jaloux avec une certaine assurance. Elle ne put se retenir de rire en voyant la mine interloquée des ’amants’ qui, se croyant plus ou moins pris en faute, n’avaient visiblement pas saisi l’humour qu’elle avait expressément déployé.

« Si vous pouviez voir la tête que vous faites ! Mais enfin, vous ne vous rendez pas compte que je plaisante ! Dites-vous bien que si j’avais eu la moindre opposition à cela, je vous l’aurais fait savoir depuis le début de la soirée ! » Sa joie soudaine fût le détonateur de sincères éclats de rire de la part de ses compagnons, rassurés sur son état d’esprit à présent. D’un pas décidé, elle se rapprocha d’eux et obligea son homme à rester allongé sur le dos. Franck et Henriette la regardaient faire attentivement, ayant compris qu’elle avait décidé de prendre en main les opérations qui allaient suivre…



ACTE 10 :


Sophie enjamba le corps de son mari et, lui tournant le dos, vint s’asseoir à califourchon à hauteur de sa tête, lui présentant ainsi ses parties génitales que Franck se mit immédiatement à lécher. Ayant saisi le membre gonflé, elle le masturba énergiquement avant d’en gober l’extrémité, sur laquelle elle déposa ensuite une bonne dose de salive. Elle invita ensuite Henriette à venir la rejoindre, prenant soin de lui faire adopter la même position qu’elle-même, mais tout en lui faisant face. Celle-ci lâcha un soupir de satisfaction lorsqu’elle sentit la main de Sophie glisser entre ses jambes, et chercha la bouche de sa complice quand les doigts fins remontèrent vers son clitoris. Tandis que leurs langues se mêlaient, Sophie empoigna la verge brûlante, tendue et gluante de salive et la dirigea vers l’entrejambe d’Henriette qui maintenant tremblait de désir et d’impatience. Lorsqu’elle jugea que son amie n’en pouvait plus d’attendre, elle lui glissa à mi-voix :

« Vas-y, ma chérie, prends sa bite, fais-toi plaisir !… »

Le gland lisse et bien lubrifié entra sans aucun mal dans le vagin chaud et moelleux. Henriette resta suspendue un instant, comme pour prendre des forces avant le combat qui s’annonçait, puis relâcha d’un coup la pression qu’elle exerçait sur les muscles de ses cuisses pour absorber intégralement le phallus. Elle ne put retenir un cri de plaisir. Franck soupira bruyamment et entama un coït lent mais ferme. Il avait la curieuse impression que sa langue, s’enfonçant dans les chairs intimes de Sophie, rythmait parallèlement le va-et-vient du sexe d’Henriette sur le sien. Le trio fonctionnait parfaitement, et pourtant Franck aurait voulu avoir langue et pénis en double pour être capable de contenter les deux filles en même temps…

Bien que son mari soit passé maître dans l’art de pratiquer un cunnilingus, Sophie eût subitement une idée qui l’obséda et l’empêcha de se concentrer plus longtemps sur les douces caresses que Franck lui prodiguait. Comme elle se dégageait de cette double étreinte, Henriette la regarda d’un air interrogateur, mais devant le sourire muet de sa copine, choisit de lui faire confiance. Sophie se leva et vint s’agenouiller derrière elle pour apprécier visuellement les lents mouvements du pénis en érection dans le sexe rose d’Henriette. Elle lui écarta alors les fesses et, suivant le rythme dicté par le slow que diffusait la hi-fi, fit glisser sa langue le long du sillon fessier. La blonde semblait beaucoup apprécier ce genre de petites attentions, surtout lorsque Sophie lui titilla l’anus du bout de la langue. Elle se cambra pour mieux sentir le bout de chair chatouiller sa pastille :

« Hum… J’adore ce que tu me fais là, Sophie… »

Sophie, voyant l’orifice se détendre peu à peu au gré de ses coups de langue, y enfonça en premier lieu son index, bientôt rejoint par son majeur. Elle percevait parfaitement les secousses du braquemart, de l’autre côté de la paroi rectale et, se rappelant le principe de fonctionnement du moteur bicylindre, elle s’amusa à suivre le mouvement inverse pendant quelques secondes. Quand elle estima le conduit suffisamment distendu, elle y plongea sa langue toute entière avec avidité.

« Whaa ! C’est divinement vicieux de sentir ainsi ta langue dans ma rosette ! Oh oui, continue s’il te plait… » commenta Henriette pour l’encourager à continuer.

« _ Ce ne sont pourtant que les préliminaires… Car tu vas maintenant découvrir le bonheur d’être sodomisée ! » répondit Sophie.

« _ Bon, d’accord ! Je veux bien essayer mais vous êtes prévenus : je ne veux pas avoir mal, il va falloir procéder avec le maximum de douceur ! » avertit Henriette d’un ton qui se voulait ferme.

« _ Ne t’inquiète pas, jolie blonde, je te promet de faire en sorte que ce soit le moins douloureux possible. » assura Franck avant d’ajouter :

« C’est ta première expérience anale et je n’ai pas l’intention de t’en dégoûter, au contraire… Car rien ne dit que l’occasion de recommencer ne se représentera pas par la suite… N’est-ce-pas, Sophie… »

Sa femme lui jeta un œil complice et lui sourit malicieusement. Elle savait que c’était le moment qu’il attendait avec le plus d’impatience depuis qu’il s’était joint à leurs jeux amoureux…



ACTE 11 :


Sophie attrapa le tube de vaseline et en déposa un peu sur le bout de ses doigts, puis commença à lubrifier l’anus de son amie. Un peu crispée, celle-ci se contracta instinctivement, ce qui n’échappa nullement à Sophie. S’étant emparée de la pine veineuse, elle la dirigea vers la tâche brune en conseillant à Henriette :

« _ Calme-toi, ma chérie… Plus tu seras détendue, moins la pénétration sera douloureuse, crois-moi… »

L’orifice frémit au contact du gland violacé puis s’entrouvrit légèrement. Sophie profita de ce moment-là pour forcer le passage et, après quelques secondes, le sexe dressé disparu aux deux tiers dans le passage étroit. Henriette avait éprouvé une légère douleur lors de l’intromission et Franck, qui l’avait deviné, resta immobile un moment afin de laisser au sphincter de sa partenaire le temps de s’habituer à ce corps étranger. Malgré sa réelle excitation, les deux précédentes éjaculations qu’il avait eues, liées à sa passivité passagère, eurent raison de sa virilité, tout au moins en partie. Sophie s’en aperçu et lui caressa les testicules avec délicatesse. La verge prisonnière retrouva instantanément sa superbe et même Henriette s’en rendit compte :

« Oh, hum… Franck… Comme tu es gros… Aaaaah… Comme je te sens grossir !

_ Ah ouais… C’est vrai ?… Et là, est ce que tu me sens bien dans ton cul ?… » lui rétorqua-t-il en commençant à bouger son membre dans le tunnel rectal.

« _ Oh oui… Bouge bien ta queue ! Hum… Vas-y, enfonce-la à fond… Oui, comme ça… Ooooooh… C’est si bon… »

Henriette avait machinalement porté sa main droite sur son petit bourgeon et le massait lentement pendant que Franck limait à présent à une cadence soutenue et régulière, tout en lui tripotant les fesses à pleines mains. Sophie lui suggéra :

« _ Tu devrais maintenir ses fesses bien écartées, mon amour. Ainsi, je pourrais profiter pleinement de la vision de ta pine coulissant dans son adorable et charmant petit trou du cul… »

Cette phrase de sa femme exacerba l’excitation de Franck. Plaquant les mains sur les lobes fessiers, il accéléra la fréquence et l’amplitude de son coït anal sur lequel Sophie avait focalisé toute son attention. Elle apercevait parfois furtivement le gland sortir aux trois-quarts, mais celui-ci replongeait immédiatement dans l’étroit fourreau qui absorbait la tige jusqu’aux testicules. Elle imaginait facilement les sensations qu’éprouvait sa copine et en tirait presque autant de plaisir. Elle commenta :

« Qu’est ce que tu l’encules bien, mon amour… Tu ne peux pas t’imaginer à quel point ça m’excite !… »

Franck demanda confirmation à la principale intéressée :

« _ Et toi Henriette, qu’en penses-tu ?… Ça te plait de te faire enculer ?… »

Effectivement, Henriette savourait pleinement la volupté qui l’enveloppait et rassura son sodomite:

« _ Oh oui !!! Je n’aurais jamais pensé que ça puisse être aussi divin d’avoir une bite plantée dans le cul ! C’est délicieusement pervers !… Oooooh, comme je jouis !… »

Prise dans un tourbillon de plaisir, elle accompagna de la croupe le va-et-vient mais, mal synchronisée avec celle de son partenaire, son agitation fût sanctionnée par le retrait total du phallus. Sophie lui recommanda :

« _ Tu devrais peut-être en profiter pour changer de position… En matière de sodomie, il convient de varier les plaisirs. Retourne-toi donc dans l’autre sens ! »

Appuyant ses paroles de gestes, elle incita Henriette à tourner le dos à Franck et à prendre appui sur ses quatre membres, de manière à ce qu’elle se trouve légèrement suspendue au-dessus de lui. Elle lui fit ensuite écarter les jambes au maximum puis, ayant saisi le sexe en érection, le guida vers l’anus de la blonde qui semblait déjà s’impatienter. Quand celle-ci sentit la chair chaude contre sa pastille, elle s’empala dessus sans la moindre arrière-pensée cette fois-ci. Faisant pression sur ses cuisses, elle hissait très lentement ses fesses, jusqu’à sentir la verge pratiquement sortir de son étui, puis se laissait redescendre brutalement, appréciant un instant la totalité du chibre investir son rectum, avant de remonter à nouveau, savourant chaque millimètre de la pine dure et brûlante qui coulissait en elle.

« _ Comme c’est bon d’être prise de la sorte ! » glissa-t-elle entre deux soupirs. Franck approuva en donnant deux bons coups de reins puis il laissa la nymphe s’agiter à sa guise sur son dard.



ACTE 12 :


Sophie était très heureuse que son amie prenne autant de plaisir mais était un peu frustrée de ne pas pouvoir jouir en même temps. Soudainement, elle se leva et faussa un instant compagnie à ses compagnons. Elle revint en tenant dans une main un magnifique godemiché dont la taille et le diamètre équivalait à un pénis en érection d’une taille respectable. Prenant position face à Henriette, elle se mit à quatre pattes, lubrifia l’extrémité lisse de l’objet de vaseline et, sans autre préliminaire, se l’enfila doucement dans l’anus. Cela n’impressionna nullement Henriette après la démonstration dont Sophie l’avait gratifiée un peu plus tôt. Elle avait compris que sa brune amie était une véritable inconditionnelle de la sodomie et elle-même était en train d’apprendre comment on en devenait une…

Sophie s’était approchée des cuisses de sa copine et joua encore la voyeuse, admirant la copulation perverse au plus près. Tandis que d’une main elle se tripotait le clitoris, de l’autre elle enfonçait puis ressortait rageusement le gode de son petit trou. Elle était comme en transe. Subitement, elle plongea la tête dans la toison blonde et se mit à lécher frénétiquement la fente trempée d’Henriette. Celle-ci reçut une décharge électrique telle qu’il lui sembla qu’elle allait jouir. Cependant, sa position commençait à la fatiguer et ses jambes étaient devenues tellement flasques qu’elle ne put accélérer le mouvement, du coup son orgasme fit marche arrière.

« Pff… Mes cuisses n’en peuvent plus ! » dit-elle en se dégageant soudain. « Je ne suis pas très à l’aise… Et si tu m’enfilais de la même manière dont vous avez procédé tout les deux tout à l’heure, Franck ?… »

Pour toute réponse, l’homme se mit à genoux et, approchant sa tête de celle de la jeune femme, il lui enfouit sa langue dans la bouche sans cesser de tripoter ses fesses. Sophie ne fut pas du tout gênée par ce fougueux baiser. Au contraire, cela ne fit qu’accroître son excitation. Franck finit par dire :

« _ Puisque tu es notre hôte, tes désirs sont des ordres ! Après tout, c’est vrai que je suis plutôt resté passif avec toi jusque là… »

Henriette s’installa donc en levrette, écarta les jambes au maximum et cambra les reins de son mieux. Sans attendre, Franck se posta derrière elle et la sodomisa à nouveau pendant que Sophie, qui avait ôté son godemiché, vint prendre place à leurs cotés. Cette fois-ci, l’orifice bien dilaté n’offrit aucune résistance et le membre en pleine érection s’y enfonça comme dans une motte de beurre… Sophie fit glisser sa langue lentement dans le sillon fessier puis se mit à lécher la partie extérieure du pénis et les abords de l’anus. Henriette se tortillait de plaisir. Jamais personne n’avait choyé son derrière avec autant d’attention et d’application. Soudain, dans un assaut mal contrôlé, le dard de Franck sortit totalement, puis dérapa et manqua l’objectif. Henriette le supplia :

« _ Oh, reviens vite ! Encule-moi encore ! »

Alors qu’il s’apprêtait à remettre son sexe dans le ’droit chemin’, Sophie le stoppa net :

_ Non, attends ! Laisse-moi faire… » dit-elle en s’emparant de la queue raide. Elle se mit à la sucer avec force, comme pour en extirper toute la saveur. Elle ne fit cependant pas trop durer la chose pour se précipiter sur les fesses d’Henriette qu’elle embrassa et mordilla avant de venir lécher la pastille brune entrouverte. Visiblement très sensible à cette caresse, le petit cratère se dilata un peu plus et Sophie en profita pour y fourrer sa langue.

Elle s’employait à fouiller la cavité rectale avec la même énergie que Franck lorsqu’il lui faisait un anilingus, ce qui ne laissait pas Henriette indifférente. En effet, celle-ci remuait son fessier en cadence avec les coups de langue tout en gémissant bruyamment. Franck fût étonné mais ravi de la perversité dont ses partenaires faisaient preuve et se masturbait sans perdre aucun détail de ce croustillant spectacle qui l’émoustillait au plus haut point… Sophie s’interrompit et lui fit un clin d’œil en l’encourageant à venir la remplacer :

« Je crois qu’Henriette est prête pour l’assaut final, mon chéri ! Vas-y maintenant, défonce-la, bourre-lui bien son petit cul, elle n’attend plus que ça !… »



ACTE 13 :


Franck ne se fit pas prier pour s’exécuter aussitôt. Il se hissa sur ses jambes, qu’il avait passées devant celles d’Henriette, et présenta son pieu dressé devant le postérieur de la blonde qui piaffait d’impatience. Sophie s’occupa elle-même de l’introduction en guidant le sexe imposant de Franck vers le délicat passage. Commença alors un coït sauvage et furieux, à la manière d’un duel sans merci au bout duquel il n’y aurait que des vaincus …

Le phallus labourait sans pitié le fondement d’Henriette qui grimaçait de plaisir. C’était le déchaînement total ! Tous trois avaient parfaitement conscience que cette overdose de baise aurait une fin, et ils devinaient celle-ci proche. Aussi chacun d’eux était prêt à se donner pleinement afin que cette sodomie finale soit une parfaite réussite !

Sophie avait repris sa fornication solitaire en même temps qu’elle se rinçait l’œil, excitée comme une jeune pucelle par cette pénétration anale ’en direct live’. Puis, souhaitant à nouveau avoir une participation active, elle eut la judicieuse idée de venir se faufiler sous le corps de sa copine. Elle pouvait ainsi lui bouffer la chatte pendant qu’Henriette léchait la sienne, et cela en étant à la première loge pour apprécier le spectacle de la bite de Franck coulissant entre les deux magnifiques lobes fessiers! Henriette comprit où elle voulait en venir quand Sophie écarta les jambes et lui ordonna en désignant le gode :

« N’aies pas peur, vas-y, mets le moi, déchire-moi la rondelle !.. »

Bien que passablement secouée, Henriette saisit l’objet à pleines mains et entama illico un va-et-vient calqué sur le rythme des coups de boutoir que Franck lui infligeait, tandis qu’elle titillait du bout de la langue le clito de Sophie. Surexcitée, celle-ci ne fut pas longue à jouir, mais ne se sentit pas rassasiée pour autant. Elle hissa sa tête jusqu’aux fesses de son homme, et commença par lui lécher les testicules, puis l’anus, pendant qu’il sodomisait leur invitée. Quand il sentit la langue douce et chaude de sa compagne chatouiller son orifice avant de s’y enfoncer, Franck, occupé jusque là à mener à son terme la tâche qu’il avait entreprit, fût quelque peu surpris mais apprécia cette caresse fort délicate. Ralentissant ses mouvements entre les fesses d’Henriette, il demanda à sa femme :

« _ Hé ! Qu’est ce que tu me fais là, Sophie ?…

_ Je prépare simplement ton petit trou, mon amour… Car j’ai décidé que le moment était venu de te sodomiser à mon tour ! Après tout le plaisir que tu nous as donné, Henriette et moi-même te devons bien ça, non… A moins que tu n’y soies opposé bien entendu… Mais je ne saurais trop te conseiller d’essayer ça au moins une fois !

_ Eh bien, je… Je ne sais pas quoi en penser… Mais je dirais qu’à voir la jouissance que vous en tirez l’une comme l’autre, ça ne doit pas être forcément désagréable… Et puis, à vrai dire, ce n’est pas tant d’être sodomisé qui m’excite, mais plutôt le fait que ce soit une femme qui me le fasse, et toi en particulier… Et c’est d’autant plus bandant que je suis en train de baiser Henriette dans le cul !… » répondit-il à moitié rassuré.

« _ Tu va voir, je suis certaine que tu vas aimer ! Surtout, n’hésite pas à m’arrêter si je te fais mal… » rajouta Sophie en enduisant le pénis factice de vaseline. Elle l’appliqua ensuite contre la pastille de son homme et avant d’accentuer sa pression, l’incita à se détendre. Pour ce faire, l’homme avait provisoirement ralentit son rythme et Henriette semblait donner quelques signes d’impatience en s’empalant d’elle-même sur le membre chauffé à blanc. Lorsque Sophie eut rentré la moitié du gode entre les fesses de son mari, elle commença à imprimer un lent va-et-vient, tout en lui caressant les testicules.

Franck eut l’extraordinaire sensation d’être perforé lui-même alors qu’il se sentait parallèlement ’aspiré’ par le pétard de la blonde ! Il reprit progressivement un coït plus soutenu, laissant Sophie s’occuper de son derrière d’une main tandis qu’elle tripotait de l’autre le clito de sa copine.

Un orgasme puissant et tumultueux montait en lui lorsque Henriette se mit à jouir en hurlant des obscénités :

« _ Oh oui c’est bon… Met-moi en plein le rond ! Oui, comme ça, encore… Encule-moi bien à fond !… Oui, plus fort, plus vite !!! J’ai vraiment le derrière en feu ! Oh non, n’arrête pas ! Ouuuiiii !!!… Aaaaaah !!!… Je vais jouir… Allez, fais jaillir ton foutre ! Vide tes couilles dans mon cul !!! Inonde-moi ! Aaaaaah… Oui… Ooooooh … »

Franck était lui aussi dans un état second, il se retenait d’éjaculer depuis trop longtemps et ne pouvait continuer indéfiniment. Sophie sentit que l’orgasme de son compagnon était tout proche et accéléra les mouvements du gode en même temps que Franck accentuait la vitesse de ses coups de reins, et ce fut l’extase ! Un intense moment de plaisir qui leur paru durer plusieurs minutes… Ils avaient de toutes façons perdu la notion du temps et peu leur importait de savoir l’heure qu’il était. Henriette s’écroula sur le tapis, épuisée d’une telle overdose de baise, et Franck se coucha près d’elle, non sans avoir préalablement demandé à Sophie de libérer son postérieur. Sophie vint les rejoindre pour un repos bien mérité après avoir nettoyé à coups de langue l’anus de son amie qui dégoulinait de sperme chaud, ce qui lui valu de se voir décerner de la part de ses partenaires la palme d’or de la perversité ! Elle en fût plutôt flattée. De même qu’elle était satisfaite d’avoir réussi sa première expérience sexuelle avec une fille tout en permettant à son mari de réaliser son plus grand fantasme, elle se félicitait aussi d’avoir contribué à initier sa meilleure copine à la sodomie. Cela leur promettait de passer de longues et chaudes soirées d’été… A trois !



FIN